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VI - Desprezo pela Metafísica "Tout est relatif, voilà le seul principe absolu" (C. Maurras) Esta é uma das causas mais importantes dos erros de M., assim como da confusão a respeito de seu real pensamento: "Nous ne sommes pas métaphysiciens, proclame-t-il" (JF, 129). M., discípulo de Augusto Comte, tinha desprezo pela Metafísica. "Et pourtant ce mot de métaphysique , il apparait dans le vocabulaire de Maurras, ainsi que celui de moral comme synonime de mauvais, imprécis, irrationnel, non soumis à l’ordre qui est celui des vies humaines, étranger au réal connaissable" (JF,165). "Alors, comment établir une doctrine de la société, si la société est liée à l'essence de l'homme, et si l'on professe ne rien savoir de cette essence? Aussi Maurras répond-t-il qu'il ne propose point une doctrine , mais des leçons de l'expérience, d'une expérience faite de longtemps, de toujours" (JF, 129). Ora, essa substituição da Metafísica pela experiência social é, de fato, a aplicação da lição do Positivismo de Comte, que colocou a Sociologia no lugar da Metafísica. É de se estranhar, então, que M., grande admirador e seguidor do fundador do Positivismo, afirmasse uma igualdade de valor entre Augusto Comte e Aristóteles? O leitor crê que exageramos e que M. não chegou a esse absurdo ? "En philosophie, Comte, est aux yeux de Maurras ce qui fut Aristote" (JF,75). O positivismo de M. vai tão longe que considera que não só o ser do homem é inatingível pela razão, mas Deus e o próprio ser também não podem ser objeto do conhecimento real humano. M. é - até certo ponto, pode-se dizê-lo - um nihilista. Em um texto inédito - La merveille du monde - analisado pelo principal discípulo de M. , Pierre Boutang, este pergunta: "Pourquoi? Pourquoi rien? Les six premières [conclusões] affirment l'impossibilité (il a d'abord été écrit difficulté ) du Dieu unique comme de la dualité divine des manichéens; l'aboutissement est "qu'il faut être nihiliste en métaphysique" L'intéret de Maurras pour le nihilisme n'a jamais faibli" (PB,117). E esse mesmo insuspeito autor comenta que "Nihil est égale à ne hilum , même pas le hile , le point noir au haut de la fêve, par où celle-ci reçoit les sucs de la terre... Autant dire que ce "rien" est tout, promesse ou condition de tout, et que le nihilisme a des chances de contenir non une simple désespérance, mais un désir forcené qu'il y ait de l'être. Ce serait une analogie entre Maurras et Heidegger qu'il n'a pas connu: le philosophe allemand a noté que lorsqu'il parlait de néant , celà voulait dire être, et que cette singularité, méconnue lors de ses premières traductions en français n'avait été devinée qu'au Japon. Nous allons prendre conscience, avec La merveille que le nihilisme y est terriblement fécond, et que son adoption philosophique mène au "réisme" le plus Copyright © 1999-2014 - Associação Cultural Montfort - http://www.montfort.org.br/ Pág. 1/11

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Maurras

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  • VI - Desprezo pela Metafsica

    "Tout est relatif, voil le seul principe absolu" (C. Maurras)

    Esta uma das causas mais importantes dos erros de M., assim como da confuso a respeito de seu realpensamento:

    "Nous ne sommes pas mtaphysiciens, proclame-t-il" (JF, 129).

    M., discpulo de Augusto Comte, tinha desprezo pela Metafsica. "Et pourtant ce mot de mtaphysique, ilapparait dans le vocabulaire de Maurras, ainsi que celui de moral comme synonime de mauvais, imprcis,irrationnel, non soumis lordre qui est celui des vies humaines, tranger au ral connaissable" (JF,165).

    "Alors, comment tablir une doctrine de la socit, si la socit est lie l'essence de l'homme, et si l'onprofesse ne rien savoir de cette essence? Aussi Maurras rpond-t-il qu'il ne propose point une doctrine, maisdes leons de l'exprience, d'une exprience faite de longtemps, de toujours" (JF, 129).

    Ora, essa substituio da Metafsica pela experincia social , de fato, a aplicao da lio do Positivismo deComte, que colocou a Sociologia no lugar da Metafsica. de se estranhar, ento, que M., grande admiradore seguidor do fundador do Positivismo, afirmasse uma igualdade de valor entre Augusto Comte eAristteles? O leitor cr que exageramos e que M. no chegou a esse absurdo ?

    "En philosophie, Comte, est aux yeux de Maurras ce qui fut Aristote" (JF,75). O positivismo de M. vai tolonge que considera que no s o ser do homem inatingvel pela razo, mas Deus e o prprio ser tambmno podem ser objeto do conhecimento real humano. M. - at certo ponto, pode-se diz-lo - um nihilista.

    Em um texto indito - La merveille du monde - analisado pelo principal discpulo de M. , Pierre Boutang, estepergunta:

    "Pourquoi? Pourquoi rien? Les six premires [concluses] affirment l'impossibilit (il a d'abord t critdifficult) du Dieu unique comme de la dualit divine des manichens; l'aboutissement est "qu'il faut trenihiliste en mtaphysique" L'intret de Maurras pour le nihilisme n'a jamais faibli" (PB,117). E esse mesmoinsuspeito autor comenta que "Nihil est gale ne hilum, mme pas le hile, le point noir au haut de la fve,par o celle-ci reoit les sucs de la terre... Autant dire que ce "rien" est tout, promesse ou condition de tout, etque le nihilisme a des chances de contenir non une simple dsesprance, mais un dsir forcen qu'il y ait del'tre. Ce serait une analogie entre Maurras et Heidegger qu'il n'a pas connu: le philosophe allemand a notque lorsqu'il parlait de nant, cel voulait dire tre, et que cette singularit, mconnue lors de ses premirestraductions en franais n'avait t devine qu'au Japon. Nous allons prendre conscience, avec La merveilleque le nihilisme y est terriblement fcond, et que son adoption philosophique mne au "risme" le plus

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  • dcid pour tout le reste" (PB,118). E pouco adiante PB confirma a objetividade de sua anlise do nihilismode M., citando uma frase dele: "le nant signifie peut-tre le Tout" et cela confirme notre analyse de nihil"(PB,118).

    Bem curiosa anlise que, a pretexto de inocentar o nihilismo maurrassiano o liga ao do existencialista - eportanto gnstico - Heidegger. E, para os que considerarem errada a classificao de Heidegger comognstico, recomendamos a leitura da obra de Hans Jonas (Cfr. Hans Jonas, Gnosticisme, existencialisme etNihilisme, eplogo da obra do mesmo autor La Religion Gnostique, Flammarion, Paris, 1978, pp. 417-442). Eesta aproximao analgica entre o nihilismo gnstico-existencialista de Heidegger e o de M. nos permitesublinhar os traos gnsticos - porque no dialticos - entre nada e tudo feito por Maurras, assim como arepulsa pela Metafsica e pelo ser, elementos tpicos de uma estrutura de pensamento gnstico. Note-se queno estamos afirmando que todo o sistema de M. gnstico. Sublinhamos apenas que algumas de suasteses so gnsticas.

    de se estranhar, ento, que M. conclua que se preciso ser nihlista na ordem Metafsica, precisotambm ser maniqueu em arte? o que constata PB, o fiel discpulo de M.: "Seulement, comme il assuraitau dpart qu'il faut tre nihiliste en mtaphysique, et malgr l'unit de la Beaut et de sa Loi, il pose qu'il fauttre "manichen" en Art, l'art tant "inclin "sur le mal et radieux dans le Bien" (PB,124). E as aspas dapalavra "manichen" pouco salvam a afirmao.

    A ambiguidade de M. exige que citemos outro texto: "Et quand Barrs se dit "nihiliste", Maurras rpond toutau contraire: "J'ai le sentiment [e note-se a palavra "sentimento" num autor que pretendia combater oRomantismo, acusando-o de colocar o sentimento, como guia, acima da razo] qu'il y a, peu de chose, maisenfin quelque chose". Que de profondeur, mtaphysique, ontologique, dans cet il y a, dans cette affirmationde l'tre comme senti" (JF, 169). (Obs.: o sublinhamento de JF). Que Romantismo! Que cheiro de GnoseModernista neste "tre comme senti", dizemos ns!

    Esta recusa da Metafsica e o nihlismo de M. - em que pese o seu sentimento de que, no fundo, h algumacoisa, embora "peu de chose" - explicam algumas de suas afirmaes surpreendentemente bergsonianas, e,portanto, claramente gnsticas, por serem negadoras do ser.

    "Et Maurras a - en 1901 - cette remarque qui nous tonnera beaucoup sous sa plume: "Nous ne savonsjamais avec exactitude o nous en sommes, et cela pour une raison assez fine: nous ne sommes pas" ( JF,119).

    "Nous ne sommes pas"!!! Isto , no somos, no existimos!!! Para um lder de catlicos direitistas, realmente demais, ainda que isto tenha sido escrito em 1901!

    E JF comenta assim esta declarao anti-ontolgica:

    "Et quoi! Cette note bergsonienne, cet "latisme", cet "volutionosme chez Maurras? Oui. Et il [M.] insiste:"Non, nous ne sommes pas. Du mois cette partie de nous-mmes dont nous notons les variations et lesaventures manque tout fait de stabilit et de permanence. Elle chappe aussi, comme tout ce qui manqued`tre, de fermes dfinitions. Nous sommes non des tres msurables, dfinissables, mais des forces encontinuelle transformation". Ainsi parle ce Maurras qu'on tient pour l'homme du "tout fait", l'apologiste d'unenotion de l'homme purement statique et ferme sur elle mme. Le vocabulaire mme nous enseigne:"comme tout ce qui manque d'tre". Le philosophe catholique, tomiste, entend bien ce que cela signifie: Dieuseul est, et toute sa cration n'est que participation cet tre. Sur cela, on le sait, Maurras ne se prononcepas, mais ce qu'il constate est dans cet axe: nous manquons d'tre et sommes "en continuelletransformation" (JF,119).

    A tentativa de tornar tomista a afirmao de que "ns no somos" nos parece mais do que forada. Ela nosalva o "nihilismo" de M., nem sua tese de que estamos "em contnua transformao", que claramente

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  • heraclitana e bergsoniana. Portanto, gnstica. No temos dvida, porm, que os atuais defensores de M.procuraro defend-lo dizendo que estas frases de M. so de 1901. Quereramos saber quando, depois de1901, ele as renegou...

    De onde provinha o nihilismo e o gnosticismo dessas teses do jovem M.?

    "Le desespoir mtaphysique qui n'avait pas cess d'habiter la grande me solitaire (...) de Maurras" (JF,348)provinha de sua incompreenso e revolta diante do problema do mal. Exatamente o problema que est naorigem de toda Gnose.

    O problema do por qu do mal no mundo - do mal fsico ou moral - tornou-se agudo para o esprito de M.devido surdez que o acometeu na adolescncia.

    "(...) le jeune Charles Maurras ruminait longueur des journes certains problmes philosophiques quil'obsdaient et le faisaient retomber dans les tenbres. Ces problmes, c'taient le problme du mal, leproblme de la Providence, ceux-l mmes qui l'charde dans sa chair, le mal physique, sa privationmystrieuse, posaient son esprit et dont il se sentait accabl" (JF,394).

    Com a questo do mal punha-se a M. a pergunta: "comment y trouver la marque du Dieu bon?" (JF,394)."Alors, comment accepter l'ide que le mal est au coeur mme des choses belles, que le pch s'y enracine,et surtout qu'un Dieu que ne saurait tre que Bon et Bien y a soumis ses cratures, plus: les tente avec lui?"(JF,395). Ainda no final de sua vida M. dizia: "je n'arrivait comprendre comment Dieu qui est le SouverainBien peut tolrer le mal" (JF,410-411). Por isso, M. at s vsperas de sua morte no rezava o Pai-nosso,porque no compreendia e no aceitava a petio "ne nos inducas in tentationem" (JF,395).

    "Aussi le dernier mot du Pater sera-t-il presque jusqu' la fin le scandale de Maurras: "Ne nous induit pas ententation" Il se demandait si ces mots n'taient pas "un vestige du premier jansnisme, ou Paulinien, ouaugustinien". Ce qu'il nommait "la lpre semite", ctait cela: l'ide d'une salissure du monde, d'une souillurede sa beaut." (JF,395).

    Nessas frases de M. citadas por JF - e frases ditas pouco antes de morrer - se revela uma recusa orgulhosade que o homem possa ser tentado, e de que no mundo haja males. Revela-se ainda uma crena soberba epag na perfeio absoluta do homem e do mundo. H em M. uma repulsa orgulhosa das imperfeies. Suarepulsa pela "salissure" da natureza cheira fortemente a Gnose. Na realidade, M. recusa aceitar duas coisas:o pecado original e a prpria contingncia do ser criado.

    Vistas estas coisas, compreende-se que M. tenha constatado que no homem h "la melancolie de ne pastre Dieu" (JF,35). "Au dsir d'tre Dieu qui habite les hommes, voici donc la premire rponse: nous nesommes pas des dieux. C'est dchirant, mais c'est vrit" (JF,36).

    Curioso encontrar em M. a idia de que o homem lamenta no ser Deus, idia que Lutero exprimiu nasteses que apresentou em 4-IX-1517: "De maneira nenhuma vlida a sentena: o homem pode querer, porsua natureza, que Deus seja Deus. Na realidade, preferiria que ele prprio fosse Deus, e que Deus no ofosse" (Lutero, tese 17 das 98 remetidas a Erfurt e Nuremberg, por ocasio da formatura de Franz Guntherde Nordhausen, apud Gottfried Fitzer, O que Lutero realmente disse, Civilizao Brasileira, Rio de Janeiro,1971, p.26).

    O nihilismo de M. e seu esprito anti-metafsico, seu orgulho, sua recusa em aceitar o mal relativo, suarevolta contra Deus que permite a tentao, o sofrimento e mesmo o pecado, sua melancolia de no serDeus, provocaram o desejo da morte. J que o homem no Deus, melhor no viver. melhor no ser. o que ele escreveu em seu livro Chemin de Paradis, que a Igreja colocou no Index: "Il y a, dans tout leChemin de Paradis, une obsession et comme un vritable appel de la mort: "Je n'eus d'attachement vritablequ'aux lieux o l'on songe en paix la mort, les glises, les spultures, les lits de sommeil et d'amour. Ma

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  • joie essentielle fut de me sentir qui mourrais" (JF,382).

    E, para ele, pelo menos durante parte de sua vida, alm da morte, no havia mais nada.

    "Ce qui importe au jeune Maurras c'est de "marquer son nom avant que de mourir", car "esprer l'immortalitne convient pas au genre humain. Il nous suffit de vivre avec quelque beaut, c'est--dire, de prendre uneconscience profonde de nos forces et de les montrer" (JF,382).

    de estranhar ento que ele concluisse: "Les problmes mtaphysiques ne sont rsolubles que par lamthode exprimentale qui consiste dans le suicide" (JF,383).

    Mais tarde, M. mudou um tanto essa posio nihilista e suicida, mas sem chegar soluo de seu problemafundamental. Falando de seus amigos e discpulos da Action Franaise que haviam morrido, "Maurras courtau devant de ces poursuivances funbres": "je leur parlais, les priais, et les questionnais sur leur sort, sur lemien, ou plutot sur le lien que la mort n'avait pas pu rompre entre elles et moi. Je mentirais en prsentant cetinterrogatoire des Ombres comme driv ou de curiosit, ou de l'angoisse du problme philosophique etreligieux. Il ne s'agissait pas, au reste, de sonder notre avenir d'outre-tombe. Je ne tentais pas d'claircirquelle navigation lointaine entreprend le principe secret, l'impalpable soufle de vie (personnel? ouimpersonnel?) qui ne me semble pas pouvoir ne pas survivre notre cendre" (JF,384).

    Eis a um texto de M. em que ele admite "O impalpvel sopro de vida" que existe em ns. Admite ainda que"o princpio secreto"que nos anima sobreviver. Mas, ele manifesta dvida se esse princpio secreto pessoal ou impessoal. Nem M. d maior importncia a qual seja o futuro desse "princpio secreto". Eleapenas admite: "Srement, nous ne disparaissons pas tout entier. Quelque chose d'immortel est en nous"(JF, 389-390). At o fim da vida sua crena permaneceu ambgua: "Je n'ai jamais ni le surnaturel - cri-t-il Xavier Valat em 10-IX-1952. La dificult est de savoir o il commence" ( JF,411).

    Agnstico e descrente do Bem infinito que permite o mal neste mundo, o jovem M. dizia ter horror do infinito(JF,38). Para ele, s vale o finito, o definido. S h luz - luz da verdade - no que definido. Ele recusavaentregar-se ao "sentiment de l'infini": tout est nombr et termin... dfinitions certaines et justes confins horslesquels s'tend un obscne chaos" (JF,34).

    "L'infini! Le sentiment de l'infini! Rien que ces mots absurdes et ces formes honteuses devraient induire retablir la belle notion du fini. Elle est bien la seule sense. Quel Grec l dit? La divinit est un nombre, toutnombre est termin" (JF,235).

    Quando se acusava M. de que esses conceitos eram inconciliveis com a noo crist de Deus, ele sedefendia dizendo que por infinito entendia o indefinido.

    M. queria atacar a noo de infinito dos romnticos alemes, mas sua confuso entre infinito e indefinido inaceitvel. Como inaceitvel sua escusa, pois ele foi um autor que defendia exatamente os conceitosclaros e definies precisas.

    Pelas mesmas razes que no aceitava o infinito, M. no aceitava tambm a eternidade. "Avoir raison, c'estencore une des manires dont l`homme s'ternise", dizia M. (JF,113).

    "Faute d'avoir trouv une ternit personelle, c'est dans la victoire de la raison que M. cherche la dure dequelque chose d'humain; amener la Cit une vie raisonable, c'est assurer cette dure".

    "S'il est vrai, comme l'crivait M, que les ides ont leur visage, leur plein sens et leur pure beaut l'heure oelles naissent, nous tenons l l'ide maurrassienne a l'tat pur. Elle a quelque chose de religieux puis qu'ellese propose une ternisation de l'homme (...) (JF, 113).

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  • No lugar da eternidade e da imortalidade, M. coloca ento a durao, a permanncia. "Telle est... la premiresituation intrieure de M. devant la mort et qui va crer en lui l`obsession de ce qui peut susciter la dure"(JF,383)."Le monde peut durer, il y a une permanence, celle des lois de l'univers, de l'ordre du monde. Pourla Grce, "la Mort doit elle tre elle-mme avertie que le monde s'est enfin senti et connu sous la formed'ternit, dans ses rapports invariables, dans ce lois qui ne branlent point" (M. apud JF,381).

    Para M. ento, no foi Cristo que venceu a Morte (com M maisculo) e nos deu a vida eterna. Foi a Grciaque nos deu a "eternidade" humana, que mera permanncia, simples durao.

    "Qui entre dans l'ordre de l'tre, chappe la mort. C'est en ce sens que le fini est prcisement ce qui estrefus la destruction" (JF,389). "Ce qui dure n'est pas seulement participation la vie mais participation l'essence de l'univers" (JF,381).

    "Mais entre cette permanence de l'tre ou des tres et l'amoureuse puissance d'un Dieu crateur quel abmeencore! comment ne pas voir que tout se distingue peine d'un panthisme que pourtant, Maurras refuse"(JF,391).

    M. podia dizer que recusava o pantesmo, e mesmo afirmar que admirava o valor de So Toms, de SantoAgostinho e de Bossuet, enquanto defensores de verdades duradouras. Isto no era suficiente para impedirque seus leitores ou seguidores tirassem concluses pantestas do que ele escrevia.

    Em vez do Infinito, o definido; em lugar da Eternidade, a permanncia, em lugar da Metafsica, a FsicaSocial construtora da Cidade. "Ce que la mtaphysique, ce que l'ontologie ne lui donnaient pas, il l'a cherchdans la transmission sociale, dans la tradition des richesses de l'esprit. De l que la vie sociale est, pour lui,devenue majeure: elle lui a, en quelque sorte, tenu lieu d'ontologie, de mtaphysique" (JF,118). "Fauted'avoir trouv la source mtaphysique, Maurras en a cherch les conditions dans la vie des hommes engroupe, dans la cit" (JF,389).

    A cidade aspirada por M. seria construda pela aplicao da experincia social consubstanciada na tradio.V-se ento que o prprio conceito de tradio maurrassiano mais prximo do positivismo de Comte doque do catolicismo.

    Assim como M. no conseguia compreender o problema do mal, nem aceitar o Deus que permite a tentao,assim tambm sua noo de Cidade era utpica, no sentido em que a Utopia eliminao de todo o malsocial.

    "Il a desir un monde o le beau ne serait pas marqu de pch, o le temps s'outrepasserait lui-mme pardes crations perdurables, o le beau, le vrai, le bien comporteraient des cits harmonieuses dans lesquelles"les meilleurs" communiqueraient leurs biens tous parce que ce Beau, ce Vrai, ce Bien seraient la Loitotalement connue. Oui, c'est de cet univers humain et social sans pch qu' rv Maurras" (JF,396).

    Esta busca da Cidade Ideal acabaria por ser um absoluto para M.: "Est-ce donc que, comme son matreComte, Maurras pense que la socit est la fin dernire, l'absolu, puisqu`il n'en est plus d'autre? C'est bienque parat dire la Dclaration de la Ligue d'Action Franaise quand elle demande qu'un "vrai nationalisteplace la patrie avant tout" (JF,401).

    de espantar, ento, que esse anti-metafsico tivesse afirmado que:

    "TOUT EST RELATIF, VOIL LE SEUL PRINCIPE ABSOLU" (C. Maurras, Romantisme et rvolution, pp92-93, apud PRP, 68).

    No, esse relativismo radical e contraditrio, por mais absurdo que seja, no de causar espanto em quemrecusava a Metafsica. O que de espantar, o que incompreensvel, isto sim, que esse homem , at

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  • hoje, engane tantos catlicos franceses e at alguns sacerdotes.

    VII - Maurras e Deus

    Nascido de famlia catlica, M. muito cedo perdeu a f. Depois, a admirao pelo mundo grego levou-o aopaganismo e ao agnosticismo. Frutos dessa decadncia espiritual foram suas frases laudatrias do"Pater-Chaos" assim como suas blasfmias contra o Cristo hebreu.Vimos j que sua posio anti-metafsicao levou a exprimir pensamentos de ntida inclinao gnstica, como, por exemplo, a identificao do ser como nada, e do nada com o tudo.

    "Le nant signifie peut-tre le tout" (PB,118). E o "peut-tre" inserido na frase tpico do espritoambiguamente resvaladio de M.. Mais tarde, ele se aproximou politicamente do catolicismo, o que notrouxe mudanas em sua posio diante do problema da existncia de Deus.

    "Mon amour du catholicisme n'est point aussi extrieur que vous le dfinissiez. J`en aime l'ordre intellectuelet moral. Mais, dans la sphre du vrai, nulle considration ne peut diminuer dans mon esprit le repos, lasatisfaction que me donne l'image du Pater - Chaos d'o s'lancent les hommes et les dieux. Le Beau, lavertu, la grce, l'ordre me semblent des effets accidentels (et d'autant plus prcieux) plutt que des causesou des fins" (PB, 322).

    "Ds les premiers mots de la Merveille du Monde, le Dieu unique est rejet" (PB,124). Apesar destaafirmao, Pierre Boutang garante que M. "ne fut jamais diste, c'est--dire, athe sans franchise" (PB,124).Entretanto, sua posio face ao problema da existncia de Deus era, quando muito pragmtica, pois, nomximo, interessava-lhe saber se a idia de Deus era ou no benfazeja do ponto de vista poltico-social. "Endpit du grand prjug que l'autorit de Voltaire a fait rgner en France, c'est une question de savoir si l'idede Dieu, du Dieu unique et prsent la conscience, est toujours une ide bienfaisante et politique" (C.Maurras. Romantisme et Rvolution, p.273, apud PRP, 122). M. no era desta, isto , ateu sem franqueza,nos diz Boutang. Querer ele nos dizer que M. foi francamente ateu? Isto explicaria porque ele discutia ouduvidava de que a idia de Deus fosse realmente benfazeja e poltica... Atesmo ou monotesmo, para M.no era ento um problema teolgico e sim poltico..."Politique d'abord!"

    Nem testa, nem desta. Recusando tanto o Deus nico quanto o Deus, Sumo Bem, que permite o mal e atentao, M. simpatizava com a idia do Pater-Chaos, tudo-nada, to parecido com o conceito gnstico dadivindade sem nome. Tendo em mente esses pressupostos, tornam-se muito curiosas as seguintesafirmaes do maior discpulo de M. a respeito das idias de seu mestre sobre Deus:

    "Encore au-del, et cette fois du dehors, en transcendance absolue, il ne peut plus y avoir, commeparadigme de tous les sacrifices, que la Knose de Dieu, le vide que Dieu fait en lui-mme dans l'Incarnationet la passion Fils" (PB,129).

    Que vazio fez Deus em si mesmo na Encarnao e na Paixo? Pode o ser divino estabelecer em si mesmoo vazio, isto , o no-ser? Se o ser o bem, este vazio o mal? Haveria ento o mal no prprio ser deDeus? Que estranho e conhecido cheiro de Gnose h nestas frases. Com efeito, na doutrina cabalista deIsaac Lria de Safed que se fala de um vazio que a divindade teria feito em si mesma, a fim de poder a criaro universo (Cfr. G.G.Scholem, A mstica judaica,- Major trends in Jewish mysticism - Perspectiva, So Paulo,1972, 263 e s.). No queremos afirmar que Pierre Boutang aceitava a doutrina lurinica. Apenasconstatamos, em seu pensamento, um ponto de semelhana com a doutrina cabalista de Isaac Luria deSafed.

    As frases blasfemas de M. sobre o Cristo hebreu foram dos tempos de sua juventude agnstica e pag.

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  • "Il parat bien que l soit [a defesa das hierarquias sociais que permanecem] la sagesse dernire de Maurrasdu Chemin de Paradis. Le sage Criton s'insurge d'apprendre qu'un Christ hbreu viendra au monde,rachetera l'esclave, et, dposant le fort du thrne, placera les premiers plus bas que les derniers, pour que sagloire soit chante dans la vie ternelle" (JF,38).

    Esta citao de JF nos parece benvola demais se for comparada com o texto completo da passagem daqual foi tirada: o sbio Criton leu consternado, nas portas do inferno, as letras prenunciando que:

    "Un Christ hbreu viendra au monde, rachtera l'esclave et dposant le fort du trne, placera les premiersplus bas que les derniers pour que sa gloire soit chante dans la vie ternelle".

    Criton interroga ento o deus Mercrio:

    "Ce Christ hbreu... est-il venu?"

    "Il est venu, Criton".

    "A-t-il chass les forts du trne, ainsi qu'il le promettait?"

    "Il l'a fait", dit Mercure.

    Mais les chos lysens rpetrent en gmissant:

    "Il l'a fait, il l'a fait !"

    "Il a mis les premiers au-dessous des derniers? Il a rendu Clon l'gal du fils de Sophronisque?"

    "Mon Criton, ces rveries s'accomplissent."

    "Et cela a russit?"

    "Tout arrive, Criton."

    Le sage Criton soupira. Il comprennait peu que l'absurde et ainsi triomph.

    "Hlas! Mercure, reprit-il, je sais aussi que les esclaves au nom du mme Christ doivent un jour treaffranchis. Est-il temps de s'y opposer?"

    "Voil prs de trois cents soixante-treize olympiades que l'Hbreu criait sur sa croix : "Cela estconsomm".

    Oui, depuis ce moment, les esclaves ont reu le gouvernement de leur me. Ils ne sentent plus d'autresjougs que ceux de vivre et de mourir. Ils disposent de tout leur coeur. La servitude est abolie, chresombres!" (C. Maurras, Chemin de Paradis, p. 202-203, apud PRP, 85-86)

    Ao lado da blasfmia, o absurdo: M. despreza a Cristo e lamenta que o Cristianismo tenha abolido aescravatura. Os atuais admiradores de M. defendero tambm essa blasfmia e esse absurdo de seumestre intocvel?

    Para o jovem M., a vida de Jesus foi contada nos "vangiles de quatre juifs obscurs" (JF,392). "Lecatholicisme traditionel (...) soumetant les visions juives et le sentiment chrtien la discipline reue dumonde hellnique et romain, porte avec soi l'ordre naturel de l'humanit" (JF,67). "Le mrite et l'honneur ducatholicisme furent d'organiser l'ide de Dieu - crit Maurras - et de lui ter ce venin" (du disme sans dogme

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  • et sans glise (JF , 393).

    No final de sua vida, M. mudou um tanto sua posio nessa questo. Mas, at mesmo Pierre Boutang, seumais fiel discpulo, reconheceu que "(...) l'ide d'un catholicisme sauvant le monde du "Christ hbreu" est lapire, la moins dfendable, qu'ait connu Maurras. Pourquoi nier qu'il l'ait effectivement conue? Le Christ dansla nature humaine tait hbreu, et mme un patriote juif" (PB,328). S que, quando M. faz o deus Mercriochamar Cristo de "hbreu" , ele no estava constatando apenas sua origem nacional. Era em tomanti-semita e depreciativo que o adjetivo era colocado. Entretanto, no apenas a blasfmia que se devecondenar nesse texto de M. citado acima. Deve-se condenar tambm a defesa da escravido.

    Em carta a Maurice Barrs, em junho de 1891, o jovem M. afirmou que era preciso inverter o Magnificat paraque houvesse verdadeira ordem social:

    "Le premier postulat de la Vie, c'est l'organisation et l'organisation suppose un ordre, et l'ordre suppose lempris des infrieurs, l'exaltation des suprieurs, ceci systmatis, cristalis par la Tradition, la Coutume,l'Hrdit. Le Magnificat retourn, voil, mon gout, la vritable doctrine sociale, je l'ait dit la RformeSociale" (JF,66).

    Evidentemente, essa interpretao do Magnificat falsa. Repare-se que M. pede, alm da defesa da ordem- o que legtimo - a exaltao dos superiores e o desprezo dos inferiores, tal como o far o Nazismo comsua idia de raa superior. E esta exaltao dos superiores, e este desprezo dos inferiores no socatlicos. Considerar que a ordem, selo da Sabedoria de Deus no universo, implica no desprezo dosinferiores, anticristianismo. Esse erro de M. era a conseqncia natural de sua incompreenso doproblema do mal, que logicamente, dev-lo-ia conduzir ao culto da fora, a uma sociedade cristalizada emcastas e at admisso da escravido.

    M. faz o escravo Andrcles dizer palavras absurdas a seu amo, em defesa da escravido, considerando-ade acordo com a lei natural, ao ponto de justificar como um bem at as injrias e as pancadas dadas pelosenhor a seu escravo.

    "Mais, cher matre, le visage de la fortune sourit dans ta venue. Dis, ne nous quitte plus, car nous avonsbesoin d'un pre, d'une mre et d'un ami fidle. Tout de toi nous sera lger, les injures, les coups. Car celafait partie de notre condition, et les pires maux appliqus aux places convenables deviennent les prsents duciel. Il n'est point de bonheur pareil celui de remplir le message que Jupiter inscrivit en lettres divines, surles paules de chacun" (C. Maurras, Chemin de Paradis, p. 215, apud PRP, 94).

    "Combien d'esclaves ns de notre connaissance retrouveraient la paix au fond des ergastules d'o l'histoiremoderne les a follement exils" (C. Maurras, Chemin de Paradis, LXXXVII, apud PRP, 97).

    Esta absurda e louca defesa dos ergstulos como causadores da paz para os escravos, feita por M., explicaporque - ns o veremos mais adiante - ele acabou por no repudiar a colaborao com o Nazismo,instaurador dos modernos ergstulos genocidas, tais como Auschwitz e Treblinka.

    Como o reconhece JF, M. tinha uma concepo do universo oposta a do Cristianismo (Cfr. JF, 382).

    "L'apologie du Magnificat retourn, la colre contre le Christ exaltant les derniers ont pu s'effacer oudisparatre, il n'en reste pas moins qu'elles avaient nourri les premires passions du jeune Maurras" (JF,402).

    De novo, a citao de M. feita por JF esconde o que h de pior no texto original.

    "Ce fut un des honneurs philosophiques de l'glise, comme aussi d'avoir mis aux versets du Magnificat unemusique qui en attnue le venin" (C. Maurras, Chemin de Paradis, XXVIII-XXIX, 2a. ed., apud PRP, 81).

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  • Mrito e honra da Igreja teria sido ento o de "atenuar o veneno" do hino composto por Nossa Senhora, pormeio da msica gregoriana. E ainda se quer defender M. como pensador, cuja doutrina deveria ser estudadae seguida - e seguida! - pelos catlicos, sem nenhuma crtica! Pois, qualquer crtica a M. tida, por certoscatlicos franceses, como indcio de heterodoxia!

    Nem mesmo o "elogio" muito relativo e muito humano - e falso - de ter o Catolicismo submetido as visesjudaicas ordem racional grega feito sem ressalvas por Maurras.

    "On ne peut douter qu'il y et un temps - et peut tre un longtemps - o la venue "du Nazaren" signifia pourMaurras l'avnement d'une re o, cause du Christ, "tout l'ancien monde s'croula", qui tait celui del'harmonie des choses parce qu'il avait ordonn la pense dans la saisie du monde "fini" (Anthina). [Textosupresso por M. nas edies posteriores] (JF,403).

    Um dia, M. escreveu uma poesia, na forma bem bela, bem enganadora por sua ambiguidade, bemreveladora em seu contedo.

    AU DIEU INCONNU

    ("Mentre che la speranza ha fior del verde"- Dante, Purgatorio)

    "Seigneur, endormez - moi dans vtre paix certaine Entre les bras de l'Esprance et de l'Amour Ce vieux coeur de soldat n'a point connu la haine Et pour vos seuls vrais biens a battu sans retour.

    Le combat qu'il soutint fut pour une Patrie, pour un Roi, les plus beaux qu'on ait vus sous le ciel La France des Bourbons, des Mesdames Marie, Jeanne d'Arc et Therse et Monsieur Saint Michel.

    Notre Paris jamais ne rompit avec Rome. Rome d'Athne en fleur a recolt le fruit, Beaut, raison, vertu, tous les honneurs de l'homme Les visages divins qui sortent de ma nuit:

    Car, Seigneur, je ne sais qui vous tes. J'ignore Quel est cet artisan du vivre et du mourir, Au coeur appell mien quelles ondes sonores Ont dit ou contredit son ternel dsir.

    Et je ne comprens rien l'tre de mon tre, tant de Dieux ennemis se le sont disput! Mes os vont soulever la dalle des anctres, Je cherche en y tombant la mme vrit.

    coutez ce besoin de comprendre pour croire! Est-il un sens aux mots que je profre? Est-il

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  • Outre le labyrinthe, une porte de gloire? Ariane me manque et je n'ai pas son fil.

    Comment croire, Seigneur, pour une me qui trane son obscur aptit des lumires du jour? Seigneur, endormez-la dans votre paix certaine Entre les bras de l'Esprance et de l'Amour.

    (C. Maurras, Clairvaux, Juin 1950, apud PB,709-710)

    JF diz que essa derradeira poesia do ltimo livro de poemas de M. - LA BALANCE INTRIEURE - foisublinhada, no exemplar que ele entregou ao cnego Cormier, e que seu ttulo original, "Au Dieu Inconnu",foi riscado pelo autor. E comenta Fabrgues: "En rayant ce titre, Maurras avait nomm son Dieu" (JF,413). realmente ter muita boa vontade e contentar-se com bem pouco. Desde quando, um simples riscar de umttulo ambguo, se torna uma confisso de f?

    S que M. no denominou qual era o seu Deus. Na poesia - "d'ailleurs si belle" - a ambigidadepermaneceu. At a morte, M. foi a permanncia da ambigidade. Ter riscado o ttulo original absolutamente insuficiente para se concluir que desse modo M. designou seu Deus. S se seu Deus sechamava "Talvez". Supor que esse Deus fosse Cristo pura suposio - para no dizer imaginao - de JF.Limitar-se a riscar o ttulo absolutamente insuficiente, especialmente para um autor como M. que foiagnstico confesso e que havia publicamente blasfemado contra "o Cristo hebreu". Quem foi publicamentecontra Cristo at a blasfmia, convertendo-se, teria que manifestar-se pblica e claramente a favor de Cristoat a proclamao de sua divindade. Como Tom, M. deveria ter exclamado: "Meu Senhor e meu Deus" eno ter se limitado a riscar um ttulo ambguo sem por nada em seu lugar.

    M. afirma, na poesia, que s lutou pelos verdadeiros bens deste Deus desconhecido. Como primeiro dessesbens, ele no coloca nem a Redeno, nem a Revelao, nem a Igreja, nem os Sacramentos, mas apenasbens naturais: a "Ptria", a Frana, seus Reis e heris, dando um lugar para "Tereza" e para "Monsieur"Saint Michel - quase uma figura folclrica francesa, e no o Arcanjo da teologia catlica.

    Ele se orgulha por Paris jamais ter rompido com Roma. Mas no com a Roma de Pedro. A Roma a que elese refere a Roma pag, herdeira da cultura grega. Beleza, razo, virtude, as honras do homem, que M.chama de "os rostos divinos" de sua noite.

    Na estrofe seguinte, M., o "chtien du dehors" - expresso muito parecida com a dos cristos annimos doprogressismo e da Teologia da Libertao - confessa que ignora o nome e o que o Deus que d o viver e omorrer. uma estrofe claramente desta, impossvel de ser aplicada a Cristo.

    Aquele que fra louvado por no ser desta, isto , ateu sem franqueza, escreveu, quando j envelhecido equase na hora da morte e prximo de confessar-se, uma poesia desta que se deseja apresentar como umaconfisso de f em Jesus Cristo. Francamente, isto ter muita vontade de desculpar M..

    Nessa poesia M. confessa ainda que "nada compreende ao ser de seu ser" e que, para crer, ele temnecessidade de compreender. O que o oposto ao ato de f. Ele mostra duvidar at mesmo de suasprprias palavras, e, como os antigos pagos, ele se v no labirinto do mundo e dos conceitos sem fiocondutor, sem guia e sem caminho. Como pode ento ser chamado de "cristo" mesmo "du dehors", aqueleque no aceita que Cristo o caminho, e que a Igreja a Guia segura e a Mestra infalvel dos homens?Como pode se sentir perdido no labirinto do mundo e dos conceitos quem aceitou a F Catlica,confessando-se na hora da morte?

    No! Esta poesia - alis, literariamente bela - no prova que M. se converteu. Deixa suspeitar o contrrio.Em que pese ele ter riscado o ttulo "Ao Deus desconhecido".

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  • A maneira de M. referir-se ao "Cristo hebreu", ao "Nazareno", tinha sido depreciativa. At mesmo o maiorapologista e discpulo de M., Pierre Boutang, foi obrigado a reconhec-lo:

    "Or, l'ide d'un catholicisme sauvant le monde du "Christ hbreu"est la pire, la moins dfendable, qu'aitconue Maurras. Pourquoi nier qu'il l'ait effectivement conue? Le Christ dans sa nature humaine taithbreu, et mme un patriote juif" (PB,328).

    Dir-se-nos- que, entre todas as concepes de Deus, M. preferia a catlica. Triste consolao para ns.Veja-se, porm, nesta ltima citao que faremos sobre este tema, que posio tomava M. face noocatlica de Deus:

    "En conclusion, le catholicisme propose la seule ide de Dieu tlrable aujourd'hui dans un tat bien polic"(C. Maurras, Romantisme et Rvolution , apud PRP,124).

    Considerem, pois, os atuais admiradores de M., que a idia de Deus da Igreja Catlica era, para ele, apenas"tolrable", num Estado bem organizado.

    E como podem tolerar tal absurdo os que rezam com f o "Credo in unum Deum"?

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    MONTFORT Associao Cultural http://www.montfort.org.br/old/index.php?secao=cadernos&subsecao=religiao&artigo=maurras2Online, 10/11/2014 s 13:41h

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