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MATE... PARA VIVER Ano VIU Rio de Janeiro, 19 de Agosto de 19441 N.» 365.. DOM CASMÜRRO DIRETOR: Bricio de Abreu A CONFUSÃO ERA GERAL.., Machado de Assis - DOM CASMÜRRO - Pag. 3-13 GRANDE HEBDOMADÁRIO BRASILEIRO FRIO OU QUENTE FAZ BEM A GENTE ââ Feuillez de Saints" - Paul Verlaine Par Paul Claudel .¦¦¦¦¦llllllll1IIIII1IIIIIM1IIIIIIIIIlllllMMI lllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllh I. LE. FAIBLE VERLAINE Uenfani trop grand, 1'enfant mal décidé à Vhomme, plein [ de secfets et plein de menaces, Le vagabond â longues enjambées qui commence, Rimbaud, [ et qui s'en va de place en place, Avant qu'il ait trouvé là-bas son enfer aussi <*' f-cette terre le lui permet, Lesoleil en face de lui pour toujours et le silence le plus\ t complet, Le voici pour Ia première fois qui.dêbarque, et c'est parmi [ ces horribles hommes de lettres et dans les cafés IFayant rien autre chose à révéler, sinon qu'il a retrouvé [ 1'Eternité, N'ayant rien autre chose à révéler, sinon que nous ne som- ¦r[ mes pas au monde ! Un seul homme dans le rire et Ia fumée et les bocks, tous t ces lorgnons et toutes ces barbes immondes, Un seul a regardé cet enfant et a compris qui c'était, __IÍ a^regardé Rimbaud, et c'est fini pour lui dêsormais Du Parnasse Contemporain, et de Vechoppe Von fabrique Ces sonnets qui partent tout seuls comme des tabatières à [ musique ! Ni rien ne lui est plus de rien, tout casse ! ni sa jeune femme i qu'il aime, Pourvu qu'il suive cet enfant, qu'est-ce qu'ü dit au milieu [ des rêves et ães blasphèmes ? Comprenant ce qu'ol dit ã moitié, mais cette moitié suffit. L'autre regarde ailleurs d'un oeil bleu, innocent de tout ce [ qu'il entraine après lui. Faible Verlaine ! maintenant reste seul, car tu ne peux aller [ plus loin. Rimbaud part, tu ne le verras plus, et ce qui reste dans un [ coin. Ecumant, à demi-fou et compromettant pour Ia sêcuritê [ publique, Les Belges Vont soigneusement ramassé et placé dans une [ prison en briques. 21 est seul. 11 est en état parfait d'abaissement et de dépos- [ sesion Sa femme lui notijie un jugement de sèparation. La Bonne Chanson est chantêe, le modeste bonheur n'est plus. A un mètre de ses yeux, il n'y a plus que le mur qui est nu. Dehors le monde qui 1'e.xclut, et, au dedans, Paul Verlaine, La blessure, et le goút en lui de ces choses qui sont autres- [ qu'humaines. La fenêtre est si petite tà-haut qu'elle ne permet de voir que [ Vazur. II est assis du matin jusqu'au soir et regarde le-mur: L'intérieur il est de ce liêu qui le preserve du danqer, De ce château par qui toute Ia misère humaine est épongêe, Pénétré de douleur et de sang comme le Unge de Ia Véronique! Jusqu'â ce qu'y naisse enfin cette image de cette face ou'tt [ implique, Du fond des ages rédivwe au devanfde sa face Kagarde, Cette bouehe qui se tait et ses yeux wew à peu qui le regardent, Vhomme étrange peu á peu qui devient mon Dieu et mon [ Seigneur, Jesus plus intérieur que Ia honte, qui lui montre et qui lui [ ouvre son Coeur ! Et si tu tentas d'oublier le pacte de cette heure que tu fis, Lam.enta.ble Verlaine, poete, oh, comme tu tly est mal pris .' Cet art honorablem-ent de vivre avec tous ses péchés Qui sont comme s'ils n'étaient pas, du moment nous les [ tenons cachês, Cet art qui nous vient comme de cire ã'accommoder VEvan- \ gile avec le monde. Comme tu n'y as rien compris, esvèce de sondara imm.nnde! Glouton.' que le vin dans ton verre fut court et que Ia lie [ en fut ?>r:nfi*inV ' La mince couche d'ateool dans ton verre et le sucre artificiei, Comme tu te pressnl* d'en finír afin de trnuver le Hei! Oue le marchar* d de vim fut court A Côtfi, de Vhôpital! Que Ia triste débauche fut courte à côtê de Ia panvretê fon- T dnm.er>lale, Vingt annêes par les rues Latines si arnnde qu'elle fut un [ scandale à tous les yeux, Privation de Ia Urre et du\ ciei, manque des hommes et man- [ que de Dieu ! Jusqu'à ce que, le fond même de tout, il te fut permis ã'y [ mordre, D'y mordre et de mourir dessus cette mort qui était^selqnjon. _,,——[ ordre, tjre de prõstííuèe, laface contre Ia terre, Aussi nu par terre que Venfant quand il sort tout nu du ven- í tre de sa mère ! II. L'IRREDUCTIBLE II fut ce matelot laissé à terre et qui fait de Ia peine à Ia gen- [ darmerie, Avec ses deux sous de tabac, son casier judiciaire belge et sa . [ feuille de route jusqu'à Paris- Marin dorénavant sans Ia mer, vagabond d'une route sans [ kilomètres, Domicile inconnu, profession, pas... "Verlaine Paul, homme [ ãe lettres", Le malheureux fait des vers en effet pour lesquels Anatole [ France n'est pas tendre: Quand on écrit en français, c'est pour se faire comprcndre. L'homme tout ãe même est si drôle avec sa jambe raide qu'ii [ Va mis dans un roman. On lui paye parfois une "blanche", il est célebre chez les [ étudiants, Mais ce qu'il écrit, c'est des choses qu'on ne peut lire sans\ [ indignation, Car elles ont treize pieds quelquefois et aucune signification. Le prix Archon-Despérousses n'est pas pour lui, ni le regard l de M. de Montyon qui est tra ciei. II est 1'amateur dérisoire au milieu des professionnels Chacun lui donne de bons conseils; sil meurt de faim, c'est [ sa faute. On ne se Ia laisse pas faire par ce mystificateur à Ia cote. TJargent, on n'en a pas de trop pour Messieurs les Prqfes- [ seurs, Qui plus tara feront ães cours sur lui et qui seront tous t£é- [ cores de Ia Lêgíon d'honneur. Nous ne connaissons pas cet homme et nous ne savons qui [ il est. Le vieux Sócrates chauve grommelle dans sa barbe emmêlée; Car une absinthe coute cinquante centimes et il en faut au [ moins quatre pour être soül: Mais it aime mieux être ivre que semblable ã aucun de nous. Car son coeur est comme empoisonnê, depuis que le pervertit Cette voix de femme ou ã'enfant ou d'un ange qui lui par- [ lait dans le par-adis ! Que Catulle Mendes garde Ia gloire, et Sully-Prud'homme ce [ grand poete! II refuse de recevoir sa patente en cuivre avec une belle [ casquette, Que d'autres gardent le plaisir avec Ia vertu, les femmes, [ Vhonneur et les ciqares. II couche tout nu dans un garni avec une inãifférence tartare. II Connaít les marchands de vins par leur petit nom, il est à f Vhôpital comme chez lui: Mais il vaxtt mieux être mort que áfêtre comme les gens d'ici. Donc cêlébrons tous d'une seule voix Verlaine, maintenant [ qu'on nous dit qu'il est mort. Cétait Ia seule chose qui lui manquait, et ce qu'ü y a de [ plus fort, Cest que nous comprenons, tous. ses vers maintenant aue nos [ demoiselles nous les chantent, avec Ia musique Que de grands compositeurs y ont mise et toute sorte d'accom- [ pagnements sêraphiques f Le vieil homme à Ia cote est parti; il a rejoint le batp.au aui T Va ãêbarquê. Et qui Vattendait en ce port noir, mais nous n'avons rien re- [ m.arniiA, Rien que Ia dêtonation de Ia grande voile qui se. gonfle et le [ bruít d'une puíssante êtrave dans Vêcume, Rien qu'une voix. comme une voix de femme ou aVenfarít, ou ã'un ange qui appelait: Verlaine! dans Ia brume. «£ 1 ,.. - MlllllllllNMMIIIIIIUnUMIlllllllllMllllinnillMIIIIIIIIIIIIMIIMMIIIMIMlIlIMMMIIIIIlllMIIIIIIIIIIIIIIIIIUIIIIIIIIIIIIIIIMIIIUIIIIHIHIUIUIIUIIMIIHIIIIMIIIIIIIIMIIMIMIIIIMIIIIIIIIIIIIIIIIMlUIII'- DOM CASMÜRRO3

MATE DOM CASMÜRRO - memoria.bn.brmemoria.bn.br/pdf/095605/per095605_1944_00365.pdf · Quando, no dia 30 de irar-ço de 1644, às nove horas da noite, na cidade de Metz, no np 2 da

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MATE...PARA

VIVER

Ano VIU Rio de Janeiro, 19 de Agosto de 19441 N.» 365 ..

DOM CASMÜRRODIRETOR:

Bricio de AbreuA CONFUSÃO ERA GERAL ..,

Machado de Assis - DOM CASMÜRRO - Pag. 3-13

GRANDE HEBDOMADÁRIO BRASILEIRO

FRIO OUQUENTE

FAZBEMA

GENTE

ââ Feuillez de Saints" - Paul VerlainePar Paul Claudel

.¦¦¦¦¦llllllll 1IIIII1IIIIIM 1IIIIIIII Illlll MMI lllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllh

I. LE. FAIBLE VERLAINE

Uenfani trop grand, 1'enfant mal décidé à Vhomme, plein[ de secfets et plein de menaces,

Le vagabond â longues enjambées qui commence, Rimbaud,[ et qui s'en va de place en place,

Avant qu'il ait trouvé là-bas son enfer aussi <*'f-cette terre le lui permet,

Lesoleil en face de lui pour toujours et le silence le plus\t complet,

Le voici pour Ia première fois qui.dêbarque, et c'est parmi[ ces horribles hommes de lettres et dans les cafés

IFayant rien autre chose à révéler, sinon qu'il a retrouvé[ 1'Eternité,

N'ayant rien autre chose à révéler, sinon que nous ne som-¦r [ mes pas au monde !

Un seul homme dans le rire et Ia fumée et les bocks, toust ces lorgnons et toutes ces barbes immondes,

Un seul a regardé cet enfant et a compris qui c'était,__IÍ a^regardé Rimbaud, et c'est fini pour lui dêsormais

Du Parnasse Contemporain, et de Vechoppe oü Von fabriqueCes sonnets qui partent tout seuls comme des tabatières à

[ musique !Ni rien ne lui est plus de rien, tout casse ! ni sa jeune femme

i qu'il aime,Pourvu qu'il suive cet enfant, qu'est-ce qu'ü dit au milieu

[ des rêves et ães blasphèmes ?Comprenant ce qu'ol dit ã moitié, mais cette moitié suffit.L'autre regarde ailleurs d'un oeil bleu, innocent de tout ce

[ qu'il entraine après lui.Faible Verlaine ! maintenant reste seul, car tu ne peux aller

[ plus loin.Rimbaud part, tu ne le verras plus, et ce qui reste dans un

[ coin.Ecumant, à demi-fou et compromettant pour Ia sêcuritê

[ publique,Les Belges Vont soigneusement ramassé et placé dans une

[ prison en briques.

21 est seul. 11 est en état parfait d'abaissement et de dépos-[ sesion

Sa femme lui notijie un jugement de sèparation.La Bonne Chanson est chantêe, le modeste bonheur n'est plus.A un mètre de ses yeux, il n'y a plus que le mur qui est nu.Dehors le monde qui 1'e.xclut, et, au dedans, Paul Verlaine,La blessure, et le goút en lui de ces choses qui sont autres-

[ qu'humaines.La fenêtre est si petite tà-haut qu'elle ne permet de voir que

[ Vazur.II est assis du matin jusqu'au soir et regarde le-mur:L'intérieur oü il est de ce liêu qui le preserve du danqer,De ce château par qui toute Ia misère humaine est épongêe,Pénétré de douleur et de sang comme le Unge de Ia Véronique!Jusqu'â ce qu'y naisse enfin cette image de cette face ou'tt

[ implique,Du fond des ages rédivwe au devanfde sa face Kagarde,Cette bouehe qui se tait et ses yeux wew à peu qui le regardent,Vhomme étrange peu á peu qui devient mon Dieu et mon

[ Seigneur,Jesus plus intérieur que Ia honte, qui lui montre et qui lui

[ ouvre son Coeur !

Et si tu tentas d'oublier le pacte de cette heure que tu fis,Lam.enta.ble Verlaine, poete, oh, comme tu tly est mal pris .'Cet art honorablem-ent de vivre avec tous ses péchésQui sont comme s'ils n'étaient pas, du moment oü nous les

[ tenons cachês,Cet art qui nous vient comme de cire ã'accommoder VEvan-

\ gile avec le monde.Comme tu n'y as rien compris, esvèce de sondara imm.nnde!Glouton.' que le vin dans ton verre fut court et que Ia lie

[ en fut ?>r:nfi*inV 'La mince couche d'ateool dans ton verre et le sucre artificiei,Comme tu te pressnl* d'en finír afin de trnuver le Hei!Oue le marchar* d de vim fut court A Côtfi, de Vhôpital!Que Ia triste débauche fut courte à côtê de Ia panvretê fon-

T dnm.er>lale,Vingt annêes par les rues Latines si arnnde qu'elle fut un

[ scandale à tous les yeux,

Privation de Ia Urre et du\ ciei, manque des hommes et man-[ que de Dieu !

Jusqu'à ce que, le fond même de tout, il te fut permis ã'y[ mordre,

D'y mordre et de mourir dessus cette mort qui était^selqnjon._,, —— [ ordre,

tjre de prõstííuèe, laface contre Ia terre,Aussi nu par terre que Venfant quand il sort tout nu du ven-

í tre de sa mère !

II. L'IRREDUCTIBLE

II fut ce matelot laissé à terre et qui fait de Ia peine à Ia gen-[ darmerie,

Avec ses deux sous de tabac, son casier judiciaire belge et sa. [ feuille de route jusqu'à Paris-

Marin dorénavant sans Ia mer, vagabond d'une route sans[ kilomètres,

Domicile inconnu, profession, pas... "Verlaine Paul, homme[ ãe lettres",

Le malheureux fait des vers en effet pour lesquels Anatole[ France n'est pas tendre:

Quand on écrit en français, c'est pour se faire comprcndre.L'homme tout ãe même est si drôle avec sa jambe raide qu'ii

[ Va mis dans un roman.On lui paye parfois une "blanche", il est célebre chez les

[ étudiants,Mais ce qu'il écrit, c'est des choses qu'on ne peut lire sans\

[ indignation,Car elles ont treize pieds quelquefois et aucune signification.Le prix Archon-Despérousses n'est pas pour lui, ni le regard

l de M. de Montyon qui est tra ciei.II est 1'amateur dérisoire au milieu des professionnelsChacun lui donne de bons conseils; sil meurt de faim, c'est

[ sa faute.On ne se Ia laisse pas faire par ce mystificateur à Ia cote.TJargent, on n'en a pas de trop pour Messieurs les Prqfes-

[ seurs,Qui plus tara feront ães cours sur lui et qui seront tous t£é-

[ cores de Ia Lêgíon d'honneur.

Nous ne connaissons pas cet homme et nous ne savons qui[ il est.

Le vieux Sócrates chauve grommelle dans sa barbe emmêlée;Car une absinthe coute cinquante centimes et il en faut au

[ moins quatre pour être soül:Mais it aime mieux être ivre que semblable ã aucun de nous.Car son coeur est comme empoisonnê, depuis que le pervertitCette voix de femme ou ã'enfant — ou d'un ange qui lui par-

[ lait dans le par-adis !Que Catulle Mendes garde Ia gloire, et Sully-Prud'homme ce

[ grand poete!II refuse de recevoir sa patente en cuivre avec une belle

[ casquette,Que d'autres gardent le plaisir avec Ia vertu, les femmes,

[ Vhonneur et les ciqares.II couche tout nu dans un garni avec une inãifférence tartare.II Connaít les marchands de vins par leur petit nom, il est à

f Vhôpital comme chez lui:Mais il vaxtt mieux être mort que áfêtre comme les gens d'ici.

Donc cêlébrons tous d'une seule voix Verlaine, maintenant[ qu'on nous dit qu'il est mort.

Cétait Ia seule chose qui lui manquait, et ce qu'ü y a de[ plus fort,

Cest que nous comprenons, tous. ses vers maintenant aue nos[ demoiselles nous les chantent, avec Ia musique

Que de grands compositeurs y ont mise et toute sorte d'accom-[ pagnements sêraphiques f

Le vieil homme à Ia cote est parti; il a rejoint le batp.au auiT Va ãêbarquê.

Et qui Vattendait en ce port noir, mais nous n'avons rien re-[ m.arniiA,

Rien que Ia dêtonation de Ia grande voile qui se. gonfle et le[ bruít d'une puíssante êtrave dans Vêcume,

Rien qu'une voix. comme une voix de femme ou aVenfarít, ouã'un ange qui appelait: Verlaine! dans Ia brume.

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Quando, no dia 30 de irar-ço de 1644, às nove horas danoite, na cidade de Metz, nonp 2 da rua Haute-Pierire,Stoéphanie Dehée, esposa deNloolas-Auguste Verlainia, ca-ipitão ajudante major do H.aRegimento de engenharia deua luz ao bizarro menino derosto redondo, a dltosa par-turíente (a expressão banaladquire aqui seu isehtido la-to)' tinha trinta e dois anos,sendo seu marido treze anosmais velho. O casal, que atéentão se conservara sem des-cenidentes, Já náo eru muitoJovem.

Nunca um filho foi mais ar-(dentemente desejado p^losgenitores quanto o pequenoPaulo, antes do seu nasci-mento, por parte duma mãepiedosa, alvo de mais fervo-rosas preces. De três gesta-ções infrutíferas. Mme. Ver-laine conservou não ar>enas astristes recordações, mas tam-bfm os frutos malogrados,alinhados em três frascos comálcool, na prateleira dum ar-mário. ^_____-———Provavelmente por três ve-rjM, tivera, rest-eilc. ao ger-men que se desenvolvia emsuas entranhas, tantos so-nhos, que não se resignara aseparar-se completamente dês-ses sonhos desfeitos: os trêsrecipientes e respectivos con-teúdos. iperman^ciflm r>a famí-lia como uma Invocação e de-monstração.

O irpMnto matcrnal exfluede mistérios que provêm maisdas entranhas tiue dn racioíi-nio. como todo instinto pu-Jante, quando decepcHonado,pode acarretar a loucura. No-«emos esta extravagância du-ma burguesa mais que tudomuito sensata, correi, e até,de acordo com a opinião depessoas amigas, muito reser-vada.

E' igualmente extranho ha-ja o capitão Verlaine permi-tid0 em seu lar este bizarroculto fúnRb^, tão r*."osseira-mente materializado. Seria porindulgência para com a mu-lher amada e bem mais moçaque êle? Provavelmente; mas,também, infinfu uma o^-tafalta de autoridade, assaz fre-quente nas- famílias de algunsmilitares, geralmente os maisrigorosos na disciplina da ca-serna e intrépidos no comba-te.

•Essa anomalia, sobre a qualum marido complacente fe-charia os olhos, não era, emcasa die Verlaine, antçs donascimento de Paulo, o uni-co indicio dessa paixão que ocasal tinha por crianças, ecuja satisfação, a natureza por1 longo tempo frustara. Eis umaou Ta prova, mais natural, emque a bondade intervém, poisos Verlaines eram pessoas bo-nissimas: Stéphaníe tinha umaIrmã casada com um "bomhomem, porém ébrio". O ca-sal tinha um filho e uma fi-lha, de tenra idade, quandosubitamente faleceu a mãe. Ofilho ficou com o pai, c. osVerlaines recolheram a sobri-

.' nha e educaram-na como sefora sua própria, filha. Quan-do Paulo nasceu, Elisa Mon-comble - contava oito anos. Erameiga: e carinhosa. E logo de-

Oririgens de Paul Verlainede François Porché

votou ao bebê um afeto demãesinha. Daí uma dupla ter-nura maternal expandla-se so-W* O b3i»?o da r^cem-nascí'-do, como se a da própria mãe,cega, disposta por antecipaçãoalncía mais terno .para des-tasse e tivesse necessidade deassociar-se a um sentimentoainda mais ttícna, para des-culpar os caprichos da -crian-ça. e mais tarde, as primeiras'extravagâncias do rapaz.

Resta acrescentar que o im-pulso de generosidade que in-duziu os verlaines a adotarElisa foi-lhes facilitado pela si-tuação financeira.

Seus haveres não se limita-vam ao soldo de capitão. Ora-ças ao dote, e aos bens de Sté-phanie, a família gozava derendimentos que os maus dej-_-pósitos e a falência do CrédltMobilier comprometeram maistarde, mas que durante o pe-ríodo corr^spontierito a infán-cia de Paulo, podiam ser ava-liado em quatrocentos mil fran-cos. Quatrocentos mil francos,naquela época, era regular for-tuna. Vale a pena assinalar acifra pois se tratando de di-nheiro tem sua significaçãomoral. Em melados do séculopassado, notadamente, em queas separações entre as classeseram ainda bem marcantes,denotam elas hábitos de vida,um «conjunto de idéias e pre-conceitos, e marcam, como umlivro de contas, os diferentes .graus que separam o povo daalta burguezia. Os Verlaine»pertenciam a classe média, po-rém, bem desafogados, nutri-dos, confortavelmente instala-dos. Paulo, único filho, teve,pois, na infância, todos os uri-,Viléeios reservados aos filhos'de família abastada. Se tives-se nascido pobre, teria sidoamado da mesma forma, po-rém nã0 tão amimado.

Eis o ambiente em que, a des-peito da voz-tonltroante do ca-pitão, processava-se uma edu-cação, cheia de desvêlos e von-tades. Por gratidão a NossaSenhora, que fez com que ti-vesse enfim este filho, a pie-dosa senhora Verlaine, desejaacrescentar ao de Paulo 0 no-me de Maria. E pouco depoisdo batismo, o menino é consa-grado a Virgem e obrigado avestir-se de azul e branco.

Entrelanto, o enigma sub-. siste. Nem o meio, nem a edu-

cação bastarão para conter oque mais tarde surgirá, querno adolescente quer no homem:a bondade e a degradação, eno âmago de tantos erros, ês-se dom maravilhoso, como aeclosão duma flor divina.

O pequeno Paulo é dumafealdade singular: tez pálida,quasi terosa; enorme testa con-vexa; olhos vagamente azues,que parecem pretos, por esta-rem enterrados, muito enter-rados, nas órbitas; nariz cur-to, batatúdo; bochechas salien-tes. Quando dorme, têm-se aimpressão de estar pousada sô-bre o travesseiro a cabeça dumcadaversinho

"Dans leur veines, lesang subtil comme unpoisou "

A hereditariedade, acredita-mos, é a determinante, porém,pelo que se sabe e o que sepode deduzir, por maiores pes-quisas que se faça, a conclusãoé sempre temerária. Primeiropor uma espécie de prevensãoabsurda em abono do nome, é.a descendência paternal, e nes-sa ascendência, a linhagem emque o nome figura, que nos de-temos com mais freqüência,como se o sangue nos outros ra-mos tivesse menos importan-cia. Mas para quem não se dei-xa iludir pelas aparências, aconfusão, a partir da quartageração, torna-se intrincada. Deduas uma, ou se obtém infor-mações seguras em tildas as 11-ilhas, sobre todas as pessoas (oque é uma exceção) e nos en*

de-nos, com freqüência, que deburgueses tão pacatos, e, diga-mos, virtuosos, como o capitãoAugusto Verlaine e a esposa,descendesse um filho, que foiem tudo uma criatura imode-rada, dado a desvios e intempe-ranças, anjo e animal ao mes-mo tempo-

Não podendo estabelecer amínima semelhança entre acriança colérica e seus bonspais, alguns afetados moralis-tas, atribuíram o fato ã máeducação dada ao jovem Pau-Io, as deficiências da autorida-de paternal, a falta de disci-plina na família...

E' possível que todas estasfraquezas ou ternas condescen-déncias, tenham influído sobrea formação do caráter_do me-nino,-mas" estou mais propen-so a crer que serviram para pro-porcionar-lhe uma infância fe-liz. da qual, por ocasião d= seudesastre e misérias, se recor-dava em lágrimas. Insinuarque favorecendo sua naturalintemperanica. os seus contrl-buiram para torná-lo o sensualviolento e extravagante em que

• cedo se converteu, é aventurarmuito.

Não, a criança de rosto re-dondo, mamava ainda na ama,que digo! estava ainda nas en-tranhas de sua mãe, e as fata-,lldades, as mais graves, já seacirravam contra ela.

¦ ... "J'y suis representeen petit bonnet à ruches sur.-mont ã'un bourrelet blanc etdeu"...

"CONPESSICNS" — PSg.195. (Desenho de BertholdMahn de um retrato, paraas "Oeuvres (Completes" —Grande edição da "Librai-rie de France", Vol. VII.Bibliot. Bricio de Abreu).

centramos então na incapaci-dade de averiguar, entre tan-tos característicos, os que pu-deiem ser transmitidos aos des-cendentes em questão, ou en-tão confere-se um valor gra-tüiuo a determinado indício'eventualmente escolhido, dan-do-lhe uma projeção falaz, dei-xando todo 0 resto do quadrona sombra.

Por conseguinte, embora des-providos na hora atual, em fa-ce destes problemas, existe umaverdade evidente que acaboupor se impor, é que os carac-teres hereditários não se trans-mitem regularmente e fatal-men;s, duma geração ã outra.Existe na ordem adotada, Ia-cunas e saltos, de forma que,por vezes, somos menos des-cendentes de nossos pais quedos nossos avós e bisavós oudescendentes mais remotos ain-da, ou até de ramos colateraisesquecidos.

Foi. ao que parece, o casode Paulo Vernaine. Surpreen-

"O Metz, meu berçofatídico."

Berço acidental, provável-mente Pauio Veriaine e, se as-sim podemos classificar, Mes-sin sem ser Lorrain, Messüi,porque aconteceu que seu paiservindo na guarnição em Me^zem 1844, sua mãe deu a luznesta cidade."Minha família, declara opoeta, é de velho tronco ar-denia belga". O que só é ver-dade quanto a sua ascendèn-cia paterna. O capitão Nlco-las-Auguste, efetivamente, nas-ceu em 1798, em Bertrix, ai-deia próxima da fronteira bel-go-francesa, tendo sido anexa-da em 1795, ao novo departa-mento dos Porêts. No dia ime-diato aos "cem Dias", Bsrtrixfoi concedida oo Luxemburgobelga e, consequentemente, aosPaíses-Baixos, pelo rtatado deViena. Nicolas Augusto, entãocom dezesete anos, já soldadohá um ano, do exército fran-cês, onde se engajara, optou

• naturalmente, pela França.Paulo Verlaine é pois na ver-dade de origem ardeniana-bel-ga, do lado paterno, porém suamãe, nascida em Tampouxipas-de-Calais) duma família

de lavradores* e "usineiros deaçúcar"' implantada na região

de Arras, era: originária de Ar-tois, ho limite da Flandre fran-cesa.

Assim, pela dupla ascendèn-cia, o poeta é um "homem donorte". Além disio, observa-

ram com justeza que, fora umabreve estadia quando muitocriança, em Montpelller e emNimes, quando o regimento deseu pai lol transferido, e umaviaeem a Aix-les-Bains, em1889, motivada por uma esta-çao de águas, Paris foi a clda-de mais meridional, e únicaque Paulo Verlain, conheceu eviveu. Ele próprio, próximo aofim de sua vida confessava:

"Admiro, mas gosio pouco dosol., Caiifti-me náuseas; ator-doa e ofusca, prefiro absoluta-mente o "1'hivcr lucide" comomeu estimado e grande Sté-phane Mallarmé". A lucidez,mesmo no inverso (onde os ca-barets não fecham) nao era oque precisava o gênio de Ver-laine. Porém passemos adian-te.

Sobre os Dehée possue-se pou-cas informações, contudo per-manece assáz obscura a genea-logia dos Verlaines, até estesúltimos tempos. Porém, gra-ças às pesquisas dum magis-trado belga, M. Léon Le Fe-bre de Vivy. eis que no pó dosarquivos d'Arlan, Liége e ou-tros lugares, e registros paro-quianos de várias comunasbelgas, foram extaumlidos ve-lhos segredos, que nem o poe-ta, nem mesmo seu pai talvezsuspeitassem.

já, há aproximadamente unsivinte e cinco anos, um biógrafoformulou a hipótese de que po-dia ser que os ancestrais pater-nais do poeta fossem de ori-gem nobre. Edmond Lepelle-tier, o fiel companheiro dePaulo Verlaine, não era estro-nho a esses rumores, mas talcomo o próprio poeta, lgno-rante de sua genealogia, nadadissera a respeito, o bom Le-pelletier, tão firme nas amiza-des quanto superficial em sen-so crítico, afastou essas suges-toes. a que as descobertas deM. Le Febre de Vivy pareciamdar um fundamento mais real.M. de Vivy conseguiu chegaraté a um certo Gilles de Ver-laine, que viveu em 1577, "franchomme" do prebnstado d'Ar-dennia, o qual se dizia (é aquique a incerteza começa) gen-tilhomem de raça. descendente,baistardo, de Gilles d'Ochaln,escudeiro, senhor de Verlaine.Pois a família dos Ochain fazparte das mais antigas e me-lhores da nobreza belga.

Mme. Rachilde escreveu alhu- ,res que Paulo Verlaine possuíaum olhar penetrante, terrível,taciturno como o de um rei.Por certo para explicar esteolhar basta supor que o velhovagabundo, tal como o autorde "Morisieur Vénus" o co-nheceu, aproximadamente em1886, tinha de sua eminentedignidade em poesia, um sen-timento intensa. Entretanto, élícito supor, que este orgulhoíntimo do poeta prendia-se, in-concientemente e sem ciência .sua a reviviscências duma ca-valaresca origem.

Mas as fatalidades, que .des-de o ventre ma.'3rnal, ameaça-vam a criança recém-nascida,não remontavam tão longe, eestas que Paulo Verlaine des-conheceu, que seu próprio paiparece ter ignorado, são hojeevidentes para non.

"Mon enfance, elle fut jo-[ yeuse!

Or je naguis choyê, béni..."

Uma procissão de penitentesem cagulos, em Montepelller;os percevejos dé que a cidadeestava infestada; as sombriasvegetações, de reflexos metáll-'cos, do passeio do Peíron, sobo caustlcante sol; as festas daproclamação da República, emNimes, em fevereiro dê • 1848,associadas ao feiSio de umascalças tarjadas, dum bonet comgrande borla; depois do 2.° dsengenharia tãmdo sido chama-do à Metz, de ingresso, porLíon e a visão duma vela ne-

Iníanc ia e adolescenciagra na beira dum cais do Rhõ-ne; tais são, mesclados de in-cidentes pueris, pequenos ma-les, pequenas diversões, as remi-níscências que o poeta guar-dou da sua infância, quando emjunho de 1894, no hospitalSaint-Louis, e a seguir no Ho-tel de Lisboa, n. 4 rua de Vau-girard, escrevia para o "Fin de"Siècle",

por dez vinténs a 11-

nha, o início de "Ses Confes-sions".

Em Metz, ó pequeno Paul en-contra sua boa prima Elisa, quedurante a viagem de Midi, fi-cará interna no convento dasDamas de Sainte-Ohrétienne.Era guloso, desobediente, comoem geral o são os garotos de suaidade; era repreendi^, anui-mado, desenhava bonecos ao

clarão dos lampeões a óleo, e,aos sete anos, na Esplanada, aosom das músicas militares, ena-mora-se. duma menina de oitoanos, de cabelos dum louro ar-dente, de lábios carnudos, como rosto salpicado de sardas,particularidades que, mais tar-de, parece, não deixarão deperturbá-lo, quando os encon-

trar' numa jovem. (1)

Kste idílio infantil foi brus-camente interrompido pela par-tida de Verlaine. Em 1851, o ca-pitão, contrariado por não sesabe que injustiça de que sejulgou vítima, pediu demissão,Em ' vão o coronel, Mel, o f U' 'turo marechal, que comandavaentão o 2o de engenharia, qjuísreter o excelente oficial.

Se o coronel Grandjean ain-da vivesse, pode ser que tivesseconseguido que o sobrinho per-manecesse no exército, mas tioNicolas morrera em Paliseulhavia tires anos. o capitão seobstinou e a família, tendo dei-xado Metz definitivamente, foi

DOM CASMURRO

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morar no Batignolles, próximoa Paris

Foi assim que o Jovem paulredigiu ainda seu - endereço em1858, aos quatorze anos emeio aluno do quarto ano eimpaciente por dar os primeirospassos "dans 1'orageuse carriê-re de lá ipoésie", ao enviar, co-mo era uso nesta época, paraum estreiante, a Victor Hugo,exilado,- que êle denomina "mai-

Itae habile" (Hugo não deve tergostado' muito- da expressão)um poema sobre "La Mort".

A pacífica Batignolles, nestaocasião, estava situada além dasbarreiras. Era um arrabaldehabiiado por aposentados e pes-soas de modestos rendimentos.A' margem dos novos viadutosvárias ruas conservaram, aténossos dias, a estrutura de ou-trora. Entre elas, estavam pre-cisamente, as em que o portamorou,: perto de viníe anos,desde a instalação de seus paisás porta»; da capital, até seucasamento. ; (2),

Em Ififll quando-a-jfajnfUR.desembarcava no hotel da rua''des Pétites Scuries" aguardan-do a chegada dos móveis (en-tre os quais os três írapcou de-vidamente . empacotados queapós haverem acompanhadoos Verlaines no Midi, continua-vam a segui-los cm todas assuas mudanças), o pequenoPaul acabava de completar seteanos.

Chove, a grande cidade, sobo aguaceiro, parece-lhe feia.Porém, alguns dias mais tarde,a animação dos "Boulevaras" osurpreende e seduz. Éle faz estaobservação sutil que os tran-

.seuntes parecem estar sempresegredando :algo, entretanto, nacapital, eles falam alto: a li-herdade de Paris!

tStéphanie^ a mãe de Paul;era uma creatura ativa, curio-^sa, tagarela, expansiva. Algunsdesses característicos podem pa-i-ecer contraditórios com os Jãmencionados, mas as pessoasnão são talhadas dum só bloco,e não será a primeira vez quese verificará que uma mulherhonesta, econômica e devota,possa ser bisbilhoteira, nemuma burguesa esposa de oficial,passar da vivacidade à com-punção, dos mexericos às ce-rimônias. (3)

O certo é que Stéphanie ama-va o marido, gostava de Elisa,

e de todos Os seus e acima detudo adorava Paul. Era detemperamento alegre Ah! estetemperamento, "a vida" osub-,metera a duras provas! "A '¦vida", quer dizer Paul. Mas;

nessa ocasião, Paul era umacriança, não multo bonitaé Verdade (será que uma mãereconhece Isto ?) mas muitocarinhosa, quando mão se deba-tia enraivecida 1

De 1851 a 1853, Paul foi edu-endo num pequeno externatoda rua Hélène. Faz exercíciosnas barras sob as árvores,aprende as quajro perações, ai-gumas noções de história e degeografia e mostra tanta apli-cação nos estudos que quandocaiu doente, duma febre mu-cosa, entrelaça no seu delírio a

taboada de multiplicar com asérie de sub-prefsituras.

O que teria levado M. e Mme.Verlaine a determinação de In™ternar, quando lhes teria sidofácil conservar 'junto a si fa-zendo-o estudar, este filho uni-co, de nove anos e meio, ao«}ual tanto estimavam 1 Nãoera porque Paul fosse pregui-coso, como vimos, embora as-madura por uma arrogância ra-bujenta de — "poete maudit" —

(1) Tal eomo Maria Gambier, em:':1886.

f2) Primeiro no n.° 2 rua SaintLouíb (hoje rua Nollet), depoia no28 rua Truffaut; depois a partir de'JSfil. -.ovamor-te na rua Snint-Lous,desta vez no número 10, (a caaa exís-te ainda, recordam o-noa de haver vi-BÍtodo há aproximadamente 30 anos,o poeta Pierre Quillard, precisamenteno apartamento que foi habitado pelosVerlnireB); em seguida, no 45 ruaLemercier em 1863; finalmente no 26rua Lécluse em 1866, apus o faleci-mento de seu pai."A casa da rua Lécluse, escreveMme. Delporte, nas auas "MemoiresInédita", era mais que modesta; umpequeno apartamento de quatro pe-cas no terceiro andar, feio e triste:móveis esflo Louis-Philippe, de. máugôBto; estragados como os móveis demilitares que rolaram de guarnicãopara euariilção. O salão, a melhorpeca, tinha duas janelas para a rua.urn oronde- retrato a ójen do pai deVerlaine, ! vestido de oficial, estavacolocado qSbre o p;ano e constituía o"único ornamento desta sala; nem umobjeto alegre nem mesmo um bihelot,nem uma planta verde ou, uma flornum vaso. Entretanto, tudo estavaCBpnnado, esfregado, encerado, dumameticulosa limpesa e numa ordem per-feita"; tinha o aspecto duma-residen- c

cia <'e cente arruinada; pobreza altivae decente, porém pobreza".

Sabe-se, que ós Verlaines não erampobres, mas o autor dessas memórias,nascido Mante de Fleurville tinha pre-

¦ letiçBe* de ele-ril"cia, "Pas ihênieune plante vertei"

(3) Mme. Delporte (ftimoirêa ini-ditt. falando de seu primeiro encontro,em 18(19. com aua futura BORra. assima descreve: "Ela parecia-se muito como filho, com a diferença que devia tersido bonita na mocidooe, e que aindaconservava bom aspecto; porím comos mesmos olhos apertados, os mesmosBupercWos ¦'errados, um tanto rispl-do". Em 18G9, Stiphaníe estava com

para quem a aplicação iincompaivel com a aurora dumdestino como o seu. E' de pre-sumir que o caráter do menl-no já inquietasse um pouco aospais, ou melhor, ao pai, Ã re-cente moléstia do garoto, a sa-tisfação redobrada de vontadesque sua convalescência motivouna mãe e na prima, deram en-sejo de desenvolver e demons-trar aos seus, as bizarrias deseu humor: seus impulsos decarinho nervoso ao qual se su-cedia, à menor contrariedade, 'surpreendentes acessos de rai-va. O capitão, ao menos emteoria, era partidário da disci-plina rigorosa. Recordava-sedo salutar rigor de seu mentor,-o coronel Brandjean. Êle, éverdade, nunca estivera Inter-mo. Fpi.no recesso do lar dosavós que aprendeu a obedecer,depois,, aos dezesseis anos, noexército durante a campanhade França. Mas, graças a Dsusfizera-se oficial e tinha meiospara matricular o filho no liceu.Ter o filho no liceu era, para'y aqueles burgueses, indício li-sonjeiro de prosperidade. En-tretanto, venceu o internato,por insistência de sua mãePareceu-lhe menos rigoroso etalvez mais distinto que Paulfosse matriculado numa instl-tuição de fama, naquele tempo,(o nome de Sainte-Beuve lia-se no parlábório encimando osquadros de honra); InstituiçãoLandy, na rua Chaptal, cujosalunos, a partir do sétimo ano,eram conduzidos, por turmasaos cursos do liceu Bonaparte(mais tarde Fontanes, hojeCondorcet).

¦;* -

"...dans1 ce,"bahut"...A idéia de usar kepi e túni-"ca, concorreu para ajudar o jo-

vem Paul aceitar, sem excessl-va angústia, a perspectiva dessamudança, que lhe diziam ser aprova de ter saído da infância¦ e se ter tornado um homemzi-nho; Mas: na primeira noite deinterna jO,j entre os novos con-discípulos sob as lâmpadas doabat-jour de metal, donde jor-rava uma luz' forte, seu coraçãoconfrangeu-se de desespero: Norefeitório a vertigem acentuou-se, diante da carne de vacacozida, os feijões vermelhos, atal ponto que, na ocasião desubir para o dormitório, apro-veitando-se dum minuto de con-fusão, motivado pela salda dosexternos, saiu da fila, transpôsa porta escancarada, e pôs-se a(correr na bruma.-Cabeça ¦ descoberta, suando,

chega à rua Saint-Louls, en-coní;raa família à mesa e, cho-rando, ppecipita-Sa, entre ex-clamações de surpresa, nos bra-ços de súa mãe depois, sucessi-vãmente/ nos do pai e da pri-ma Elisa e nos do primo Victor,sargento - do batalhão ¦ de caça-dores de Vincennes, que estavajantando em sua casa àquelanoite, O fugittvo foi.consolado,perdoado, afagado, alimentadocom boa sopa de tapioca, fran-

go macio e sobremesa. Mas, no

dia seguinte, reconduzido pelopai, que o exorta, durante ocaminho, militarmente, retornaao pensiona to. . .

AU permaneceu nove anos,decorrer dos quais, com, exce-ção do tempo de férias que pas-sava em casa, o pai ia vê-lodiariamente, sem faltar um sódia.

—-!-*."...Ia salle d'études auxpupitres noirs, à 1'odeurpedestre et encore au-trement..."

O aluno Verlaine (Paul) nãofoi nem um craneo como o pob-ta aprouve qualificá-lo, nem umaluno brilhante. Admitido nanona classe da Instituição da.rua Chaptal, considerado aprincipio como um meninoatrasado, recebeu aulas parti-culares do diretor do estatele-cimento, o pai Landry, capitãoajudan^ de major, na GardeNationale, o qual lecionava'-enamore", usando—um—barce--

Lcpelletier que possuía, como sediz, um coraão de ouro, e ti-nha além disto por Verlaine amais. calorosa simpatia, referiu-se ao amigo, dizendo que viviaatormenjado ''por uma fealüa-de intensa". A primeira vezque Paul, num domingo, foi &casa dos pais de Edmond, suamãe não pode reter um gritode espanto: "Meus Deus ! disseao filho, depois que Verlaine seretirou —i "teu amigo pareceu-me um orangotango fugido doJardim Zoológico i" A este ex-wjrior, naturamente "repelente"(o qualificativo é* também deLepelktierj a vida do "bahut'aumentava os desfavores: kepideformado, roupa pouco assea-da, vestes sempre repuxadas emuito curtas, unhas sujas ouroídas, e Olheiras profundas...

Entreijanto, no estudo da noi-'te, ao clarão do gáá sibilante,entre uma leitura clandestinade Gamiaiii, de "L'Examen ãeFlora", e a redação dum bilhe-te cifrado, destinado a , algumcompanheiro, o adolescente, comO queixo apoiado nas mãos,

te de veludo com ramagensseda azul; e, às vezes atiravana cabeça do calouro distraído,tomando a precaução de visá-lode lado, suponho, sua penca dechaves, ou um dicionário deNoèl et Quicherat. O aluno

..."J'ai déjã dêcrit quelquepeu de mon Metz enfan-Un",..

"CONPESSIONS" —' Pâg.205. (Desenho de BertholdMahn feito de um retratoaos 4 anos dado por Ver-laine a Jules Tellier e quehoje pertence ã família deLa Tailhede. — "OeuvresComplètesâ, vol. VIII. Lib.de France. Eibliot. Briciode Abreu). —

Verlaine (Paul) travou conhe-cimento, devido a um erro deconjugação latina, com o cãr-cere escolar designado por "so-litária".., De 1855 a 1,862, dasétima classe até ao bacharela-to, duas vezes por dia, com ex-ceção. dos domingos e quinta-feiras, era levado.com os cama-radas da instituição, ao liceuBonàpárté,' para seguir, os cur-sos 'Foi'lá que, erii 1860, na se-gunda série, conheceu Lepelle-tier, aluno externo do liceu.

De ano em ano, graças à suaassiduidade ao trabalho, ganhagraduações, (menos em ciên-cias, em que, para um literatode então, era do bom tom sernulo). Dentre os atrasados daclasse galga, pouco a pouco, aoprimeiro lugar, entre os adian-tados. Consegue até, ao ter-minar a retórica, um "accesslt"em versão latina e outro emconversação francesa.! O professor da segunda série,que não o apreciava, escreveuser êle "mal ajambrado, o alu-no mais sujo de corpo e nasroupas do liceu Bonaparte;dono de um rosto horrorosolembrando o de um criminosoembrutecído". Mas Edmond

passava horas divagando, ou'melhor, em pleno alheiamentn,pois como designar, senão assimos momentos mais obscuros,enlevados, mais intensos que osonho, durante os quais êle ficacomo que em êxtase ?

Um dia, na oátedra do peão,vé um livro esquecido, e delese apodera Lê mal o título: LesFleurs du Mal. Não importa !devora o alfarrábio, sem com-preender nada, a não ser quese refere a perversões, e de vezem quando a nudez. Entreian-to, grava o nome do autor:Baudelaire.

Outro dia, estando de férias,descobre num alfarrabista docais Voltaire, "les Cariatldes",de Banville. Desta vez ficaarrebatado imediatamente. Avirtuosidade triunfa incontínen-te, onde a profundeza falha ouse presta à confusão. E' por-que o leitor tem quinze anos.

Já há um ano que o jovemVerlaine se exercita em rimar:"lucubrações, dizia, paraleies amaus costumes". Entre outrascoisas esboça um drama sobreCharles le Fou (lede Char-les VI) depois um Louis XV emseis atos e um poema sobre odeus Crépitus:

"Je suis 1'Adamastor des ca-[bir&ets dJaipance,

Le Júpiter des lieux bas.

Ao mesmo tempo que com-põe esta arenga escatológica, lêDcsbordes-Valmore. Distraida-mente, é verdade. Só dez anosmais tarde recomeçará, devidoaos conselhos imperiosos dumamigo;

Heure charmante,Soyez moins lente !Aváncez-vouxMoments si doux !Une journéeEst une annéeQuand pour te voir,J'attends le soir I

Dum lado, a retórica obsce-

na, de outro os arrulhos dapomba. Pela torpeza, Verlai-ne conservará sempre um ira-co. Mas suponho qiis, desdeesta época, antes da injunçãodo terrível amigo, a canção doMarceline deve ter atuado sô-bre êle quando sonhava, oqueixo apoiado nas mãos, ve-lantío, independente de sua von-fade no âmago do seu ser, mis-teriosas ressonâncias.

Agora, está com dezessete-anos. Sua vocação se precisa.Delibera ser literato, poeta.Qual será o seu gênero de li-teratura ? Como será sua poe-sia comparável, a alguma outra,ou uma poesia puramenje ver-lainiana ? Nem êle próprio osabe. Terá algum dia uma no-ção bem nítida ? Na ocasião,les Vignes Folies de Glatigny,a Phílomela de Mendes, o em-polgam. Ao terminar os deve-res, ãs escondidas, oculto porum caderno, escreveu NocturneParisien, fria imitação do "PèreHugo" e dos Tableaux pari-siens de Baudelaire, (4).

Wn riifl -ygninte imitará T-^-__conte de Lisle, mais tarde, Cop-pée, Banville, Heredia. Depoisdas reminiscências, após as có-pias inconscientes, virão as pa-ródias e as mis^elâneas. Du-rante toda a sua rida como paraconvencer a si mesmo que pos-sue todas as roalícias da pro-fissão usará essa artimanha.Literato e posta êle o será con-comitantemente; um, porém,bem fraco, negligenciável ou fas-tidioso, e o outro divino emsuas horas de inspiração.

O quadro poderia ser assina-do Constantin Guys. Entretantoa imitação ignóbil se transmu-dará nisto:

O Verão aproxima-se que em1862 é para Verlaine a épocado bacharelado., E' preciso sa-tisfazer primeiro ao programa(discursos latinos, composiçãofrancesa, que mais tarde nosdias de penúria êle lamen-tara não possuir cópias paravender como autógrafo). No diaseguinte, provas orais:- paraleloentre César e Pompeu; interro-gação sobre o reinado deLuiz XIII (o candidato safa-segraças às recordações do TraisMousquetères); interrogações só-bre Boileau e Bossuet; explica-ções de Cícero e Tito Lívio, dumcoro de Sephocles "e dum pe-fíodo desse árduo Demosthe-nes". Apesar de um zero emfísica (o candidato não tendopodido dar a definição da bom-ba aspirante-calcante), à 16 deagosto no Edifício da velha Sor-bonne, "negro como a tinta dumdiscurso latino, carunchoso co-mo o estilo de uma dissertaçãofrancesa", Verlaine (Paul Ma-rie) bacharelou-se em letras.

(Tradução de Solêna Benevi-des Viana).

(4) A peça tigure. nos Poimet S,i. Em TS'R(J""Jules'""dê Onr.

sou flprradeeimento ao autor, pelalessa dum volume eloeára princi-

palmente O poema do colegial: "Vous

sentei «t vouí soaffrei Paria et vo-tre temps "

MALA REAL INGLESA

AVENIDA RIO BRANCO, 51-55 — RIOPara informações sobre fretes e passagens dirigir-se àCM SÉCULO DE TRANSPORTES MARÍTIMOS

DOM CASMÜRRO

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^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^1

Mais de

40 MILHÕESde CruzeirosPAGOS, EM 1943,

a segurados e seus beneficiários!O 48.° baiango da Sul America, relativoa 1943, traz números que mostrambem a sua serena e firme ascençSo, edaí a mais alta garantia para seussegurados. A confiança que inspiraestá demonstrada pelo fato de have-rem sido emitidos 35.036 apólices ecertificados de seguros sobre a vidade chefes de família, no total deCr* 651.580.005,00. Convém recordar que,em 1943, os seguros pagos pela Com-panhia montaram a Crt 40.006.295,30.Estabelecida em 1895, a Sul Americatem no seu ativo 48_anos de serviço àfamília e â sociedade. Milhares e milha-res de pessoas foram diretamente bene-

ficiadas por um seguro feito a tempona Sul America. Foi salva, muitas vezes,a carreira de filhos menores, asseguradaa tranqüilidade de famílias inteiras, ga-rantido o futuro de inúmeros lares.A mais de três bilhões de cruzeiros sobeo total dos seguros em vigor atualmente.Sólidas e definitivas garantias respon-dem por compromissos da Sul America.Observe o resumo do balanço da SulAmerica, relativo a 1943. E se aindanfio assegurou a tranqüilidade futura,sua e de seu lar, pense e resolva, en*quanto é tempo. E construa essa tran-quilidade sobre a suprema garantia doum seguro na Sul America.

• • *da 48." Balanço da "Sol America"

durante o ano de 1943Os novos seguros aceitos, com os respectivos primeiros prêmios

pagos, atingiram a cpiantia de Cr$ 651*580*005,00O total dos seguros em vigor aumentou para Cr$ 3.353.015.240,00Os pagamentos aos próprios segurados e aos beneficiários dos segu-

rados falecidos (sinistros, liquidações e lucros) somaram.. Cr$ 40.006.295,30E o total de pagamentos desde a fundação apresenta a cifra de. Cr$ 610.071.397,40O ativo real elevou-se em 31 de Dezembro de 1943 à importância de. Cr$ 597.546.553,30

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O BEBEDO - d moGidade - aquestão

''Verlaine"

Decorreram quatro anos após.a morte do Capitão Verlaine.Na rua Lécluse, onde o poetaresido com sua mãe, quantasvezes o porteiro, despertado ãnoijtie por um violento toquede campainha, ouve, o estré-pito dos pés do terrível rapaz!Quantas vezes, por ocasião des-sas entradas tardias, aconte-ceu Paulo se atirar completa-mente vestido scVbre o leito ISua mãe, uma manhã, pene-trando «em seu quarto, encon-tra-o dormindo, vestido è com'a cartola sobre a cabeça. Riu.se, e, como o despertasse, êleespanta-se, não compreenden-do o motivo desta hilaridade;ela então faz com que se mireno espelho de barbear. Eleriu-se também, riram juntos,mãe e filho. Pobre Stéphaníe!Tem ainda forças para gra-oejar e encontrar o lado cõ-mico deste deprimente espe?táculo. Paulo balbucia vagasdesculpas ou conta algumas"caraminholas", alegando queo acontecido não fora por cul-pa sua. De resto não encontranenhuma dificuldade em con-vencer sua mãe; tamanha 6a cegueira de Stéphanie, queela própria se convencera deque Paulo era uma presa fácilpara todas as tentações, e queos verdadeiros responsáveis pe-Ias suas intemperanças eram oscamaradas; êle não bebe, obri-gam-no a beber.

A 22 de março de 1869, morreem Paliseul, com a idade de73 anos Mme. Grandjean, tiaLuiza, irmã do capitão Verlai-ne e viuva do coronel Nicolas.

Paulo vai ás exéquias, mas secomporta escandalosamente, co-mo em Lécluse, quando foi aoenterro de sua prima Elisa. Du-

_rante_dpjs_djaB—seguidos^ ficaembriagado e, como receia acensura dos parentes, recusa-«e a vê-los, outorga ás pressas,ama procuração geral a M. Pé-rot, e retorna à Paris no dia25. No inventario de tia Luiza

. foi cobrada uma conta do bo-tequineiro de Paliseul: "Cincofrancos de aguardente de Gene-bra, fornecido ao Sr. Paulo".Paulo permaneceu, em Paliseul,apenas, dois dias e meio. A Ge-nébra custava um vintém o cã-líoe; Bebeu, portanto, cem cá-lices.

Havia já seis ou sete anosque Verlaine se entregara aovício; em conseqüência sinto-mas alarmantes manifestaram-se: entre eles um, principal-mente, que ridiculariza, talvezo- mais grave: atonia cerebral,conseqüente da embriaguez ai-coólica.

A' 12 de junho de 1868, es-creve de Lécluse, a Coppée:"salvo três dias sucessivos demal estar, devido a bebidas ex-cessivas, repouso agora; passeiestupidamenle meus dias defolga passeiando pelo bosque<Sic) Já mencícmado (1) ou emfrenéticas peregrinações dumaaldeia a outra, através dos cam-jpos, com um bastão de espi-nheiro na mão, e na cabeçaum pavoroso chapéu de palha(achado) digno complementoduma blusa sórdida e dumacalca fora da moda"1. »

Mas, a Lepelletier com quemse abre sem reservas, escreverana véspera: "cheguei ontem aFampoux, tomei três bebedei-ras formidáveis, entremeadasde dansas austeras, incontáveiscomo os grãos de areia do mare como Os chops sorvidos peloteu velho cúmplice. De tildoisto não resulta senão uma pe-quena fadiga na barriga daperna, e um ligeiro embruteci-mento, demonstrado sobeja-mente pela presente inépcia

epistolar , . , Pazes poesia?Eu, todas as manhãs, o tento,mas não posso arrancar de meucérebro estagnado, senão o na-da, nada, nadai de M. Des-mousseaux de Givré (V. Va-pereau ceux qui en ont) , , .adeus minha velha . . . aper-to-te cordialmente à destra ea sinistra".. Um outro sintoma de alcoo-lismo éJ desde logo, notado noinfortunado: a ürascibilidade.A primeira fase' da embriaguez,a excitação alegre, expansiva,loquaz, sucede bruscamente,um taciturno mutismo, como seo alegre companheiro de hápouco, houvesse recebido, su-bitamenfie, uma notícia que lheírustrara as esperanças e es-tragara-lhe a vida. Mais algunsgoles e o intoxicado penetra naterceira fase: a da cólera. Umfogo tenebroso irradia-se dassuas pupilas. Tudo se tornapretesto para: uma briga. Sãomuitos os que afirmam quequando Verlaine se achava nes-se esjado, tornava-se intolerá-vel. Más, a maior parte dasvezes, não chegava a esse ex-tremo. Desta época em dian-te conheceu a quarta fase, afase do delírio e da alucina-cão. Tornava-se então verda-deiramente perigoso. Seu fu-ror, deu inúmeras provas, eraum furor homicida.

Lembramo-nos que o poetatinha inúmeros camaradas en-tre os republicanos vermelhos,da época.

Os amigos Lepelletier e Bi-card únnam-lne comunicadosuas paixões políticas, mas Ver-laine, assáz indiferente a dou-trina, não buscava nesta agi-taçao senão a satisfação dumtemperamento extremaao, e na-turaimente propenso a- -todosos excessos. Certa noite emVersailies, numa rua deserta;

¦ cuja calçada estava em con-certo, julgou-se no dever deconstruir, sozinho, uma barri-cada de lagedos, gritando:"Abaixo o Impériol" isto naopassa duma aventura grotesca,como acontece a qualquer em-briagado. Porém, noutra oca-siaoi, após iibações, empunhaõ estoque e resolve ir matar oImperador. Com esta intenção(se a palavra "intenção" nãodá uma idéia muito ponderada,para ser empregada numa ve-iocidoue desta oraem) dirige-se para as Tuileries. Somentea embriaguez deturpa o carac-ter, sem modificá-lo por com-pu-ftíj: se Verlaine era vio-to, só tornava-se Intrépido quan-do embriagado. Em resumo, (êêle que narra a história) o apa-recimento de alguns agentesde policia, mesmo vislumbradosatravés dos vapores do abisin-to, bastaram {para refrear-lheos ardores regicidas. Se se tia-tasse de um caso isolado, esteseria pueriL Como Verlaineconseguiria proximar-se de Na-poteão ni? Todas as circuns-tâncias do caso são absurdas.Entretanto julgamos que exis-te algo pa ser salientado nocaso, seu primeiro impulso.Mais tarde, em circunstânciasmais dramáticas, encontoare-mos no poeta a mesma dispo-Bicão, quero dizer, esta facili-dade atroz. Nem e preciso pa-ra isto, esperar por determina,do dia fatal. Acessos de fúriaassassina, Verlaine, em 1869, jáas tinha com freqüência, o quedemonstra a que ponto essascrises eram acidentes morbi-dos, e que na origem do clamornão se encon Sra, frequentemen-te, nenhum sentimento de ódio

de François Porché

ou de rancor. Basta, por ve-fses, uma simples contradição,uma mera recusa para cedera determinado capricho, parase produzir a explosão. O pró-prio Lepelletier, ao termo au-ma noitada de panaega, qua-se náo foi vitima do seu "ve-lho cúmplice"? Os dois nott-vagos, pouco antes ao aivore-cer, chegaram ao Pré-Catelan.Depois oe terem aí consumidoovos e leite, repasto oucoíico,ao qual venaine acrescentarauma iorte — "bistounie"', amoda ae Fampoux, ao regres-sarem a i-ans, camimuwam,camoaleantes, pelas aieas aoBois, — Verlaine — eis umainspiração de bêbado — quíz,a toao custo, voltar ao Pré-4Ja-lelan para tornar a beoer, eprosseguir numa discussão queentaboiara com vizinnos demesa. Lepélieucr, mais pruden-te, reteve-o pelo braço, Ver-laine desprenae-se bruscamente,puxa o estilete e avança para oamigo, fciste apara os goipescom a bengala, porem, sentin-do-se em perigo, foge. O ou-tro persegueo berrando quequeria estripá-lo. For felicida-de o capo-e de Verlaine ema-ranha-se numa moita, tropeçae a arma cae-lhe da máo. Le-pelletier não foi o único quesofreu a sanha deste energu-meno. Outros também, foramvitimas. Mas, a partir dos anosde 1868-l8t>8, alguém ainda maisternamente amada, teve várias '

vezes de defender-se contra asviolências de Verlaine: sua mãe.

Desejando traçar de nossoautor mu retrato tao liei quan-to poüüiv-ei, temos ae auoruar,resoiuianucnie, um assunto su-bre o quai uoo mantivemos,ate agoiu, res^vãõõsí^üYpen.dores. ,

Kendamos, inicialmente, ho-menagem ao exegeta que empruntun» lugar teve a coragemde expor o proDiema com iran-quesá: M. Mareei Couion çí>M. üouion, foi por muito tem-po magistrauo. «em a arro-gãncia ae alguns o inumiaou,nem a insensatez de outros a-brandou-o; teimo aoerto o aos-sier ao processo, ins^ruiu-otranqüilamente, isto é natural.Cumpre conci-auiacr M. cou-

lon, sobre pontos accessóriosda causa, mas sobre o prinei-pai, temos a nonra de estar deacordo com este íntegro juiz.Prestou ele às lecras, um relê-vante serviço.

Testemunha LepelletierÍEdmond» acuanjae-vos, venha

dizer o que sabeis.Depoimento da testemunha;

— Meu" amigo Verlaine era, namocidade, auma feaidade gro-tesca, mongólica e baooninla-na. A' primeira vista, só po-dia inspirar, a uma mulher, re-pugnância ou pavor. Êle pró-prio estava disso convencido.Por lisso mesmio mustraiva-isetímido e contrafeito com o be-Io sexo. Verlaine nunca amou,antes do casamento.

O que vos autoriza estaafirmação?

Ele me teria contado. Nempoderia, além disto, ter meocultado, pois estávamos emcontacto diário. Porém nuncasoube que tivesse uma amante.Esquivava-se de nossos passeioscampestres, de nossos domingosde remo, em Joinvüle-le-Pont,em companhia de alegres re-miadoras. Afinmo que Jamais,

¦.. ¦ r %¦¦¦Ç/r- . ¦ : PsP - ¦

(1) O "neflueno boaQue encanta-tador" du visõe* de ShakeBperianas edos Set« Galantes.

(2) M«rcel CJonlon: Verlaine In-«lês. Exegese verlaininnas (Les Mar-««. fevereiro « »bril de 1919). Nocoração da Verlaine e de Rimbaud (Lelivre 192B) — Veria!ne poeta sa-torniano (Grawet . r»29).

antes de seu casamento, meaconteceu ver Paul de braçodado com alguma mulher.

Então era êle um casto?•— Oh! não. Porém conten-

tava-se com satisfações sen-suais mais grosseiras.

E onde as encontrava?Em estabelecimentos es-

peciais, de preços módicos.—• Vós o acompanhasüeis ai-

guma vez?Nunca. Ia só.Sempre

Sim. Não queria ninguémpara companhia de seus desa-tinos.

-i Este-depoimento não é fan-tasia. Lúnitei-me a apresenta-Io aqui, sob a forma de per-guntas e respostas, de forma acolocar em foco os pontos es-senciais, o que Lepelletier sus-tentou firmemente. (3)

M. Mareei Couion, Inquiridormeticuloso náo aeixou ae jun-tar seu testemumio ao aosswr.O impetuoso e ingênuo i^pei-letier! Que se puaesse aizerque Vçriame tivera naoitosanormais (contra nature) isxpareceu-lhe aoominavcl. eícempreendeu escrever suas re-minisceneias, com o fito Oe re-dimir desta suscita infaman-te a memória de seu veino ca-marada. Como então nao com-¦preendeu que fornecia, em de-terminadas passagens do seulivro, arma para a acusação?

Foi por ser simultaneamenteadvogado e testemunha do pro-cesso. Que homem sinceropoderá desempenhar este duplopapel ? Foi aqui, entretanto,que, em nossa opinião, a cüaie-tica rigorosa de M. Couion olevou um pouco além do queesperava. Mais tarde, quando setratou de determinar o carac-ter das relações que Verlainemanteve, pouco tempo depoisdo casamento, o terrível Rim-baud, o juiz formulara uma hi-póJese tão apertada, que seriaimpossível sair, logicamente,deixar de concluir pela afirma-ção da homosexualidáde fisio-lógica, real, efetiva. Mas paten-teado e fixado, este ponto, M.Couion, cedendo talvez ao em-polgamento inerente às argumen-tações triunfantes, quiz ir maisalém; pretendeu retrotrair àépoca que precedeu de perto ocasamento, que chegamos, nodecorrer deste estudo, a veri-ficar que, desde sua saida do

pensionato até seu noivado, o

poeta já tinha pendores anor-mais.

Por certo, julgamos que astendências que em Verlaineiam em breve acentuar-se, e porsua manifestação causar tan-tos dissabores, feriam irrom-pido, bruscamente, em determi-nada noite, frente a um meni-no, pois que, antes dos vin:eanos, época do encontro fatal,mada fazia prever a existênciade tal anomalia. Sobre a here-dltariedade, nada diremos, poisignoramos este particular. He-

jcordamo-nos somente das "gar-ífiçonneries" do colégio, do pri-minho do Norte e de 'LucienViotti. Parece-nos, pois, quefoi querer avançar em demasia,desejando provar demais, queM. Couion excedeu-se.

Não direi que sua tese prin-cipal tenha se enfrauecido,pois quando um julgamentoestá bem fundamentado e te-nha expostos os motivos, sub-siste, sem que qualquer exa-gero que se lhe acresça, altere.a convicção. Acho, apenas, queé lamen^vel para a elegânciado raciocínio, que, o sábio dia-letico, não se haja cingido aoque havia de indiscutível nasua vitória.

De actedo com M. ManjeiCouion, Verlaine foi um "ho-n?osexual eventual" (4>. O juizdestaca o depoifento impru-dente de Lepeüetier, para pro-var que os naoitos anormais dopotíta loram conseqüentes de suafeaidade. Resta saber como oespantalho que assustava "ostordps" podia atrair os "mel-ros". Eis o que M. Couion nãoesclarece. E a fragilidade .daasserção, que presupõe nos no-mosexuais uma indiferença to-tal a lealdade física, um ascomenos intenso que nas própriasprostitutas. Além do que, nãoserá abusivo presumir tenha.Verlaine tido amizades suspei-{.as, unicamente por não ha-ver eneonDraüo mulnei^s f-ieconsentissem em lhe dispensarfavores ? Pode-se alegar con-sentimentos e favores, quandose alude a carinhos comercial-mente proporcionados a fre-quentadores, em certas casas, eque qualquer homem tem cer-teza de obter, desde que possapagá-los ? Pelo fato de Le-pelletier não ter sido nuncaconvidado por Verlaine paraacompanhá-lo a esses lugares,ou por Lepelletier garantir queVerlaine ia sempre só, cabe-

( 4 ) Verlaine, poeta saturuiano.

DOM CASMURRO

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nos o direito de concluir queVerlaine nunca fosse, e que ruasnarrativas a ê>te respeito nãopassassem de fábulas 1 Enllir,se admitirmos a opinião de MCouion, a aíirmaçao: "Por fal-ta de tordo..." como explicar,então, que a paixão anormalque ia alterar a vida do poeta,etc., a tenha concebido na vi-gència do casamento, quandoIpossuia uma esposa jovem egraciosa ?

De resto M. Couion nos dizque les Poèmes Saturniens" são"uma confissão sincera sob oartificio da forma". Na sua

accepção gerai, esta tese como jáse viu, é também a nossa, po-rém si M. Couion chega à con-clusão que "les Poèmes Satur-niens" são a confissão dum"homosexual acidental", quesofre pelo seu temperamento,guardemos reservas sobre estainterpretação especial, da qualo menos que se pode dizer, éque no estado atual da causa,ela torna-se problemática.

M. Couion chega a declararque o próprio Verlaine coníes-sou, por escrito, que tivera an-tes do casamento, hábitos anor-mais:

J'aUais par des chemins per-[fides...

Em seguida, no Amour, oterceiro verso deste quarteto:Chemins perfides, amours pre-mièrcs, parece que isto é explí-cito. Diabo! quando se pensaque M. Couion realmente pre-sidiu um tribunal, treme-se um

pouco. "Chemins perfides", aexpressão é muito vaga, muitogeneralizada, e quanto as pala-vras "amours premières", nãose pode interpretar isoladamen-te, as sórdidas "équipées" amo-rosas, sórdidas, porém "norma-les" ?

Qual será nossa posição nes-tes debates? Muito simples.Por falta de provas, de teste-munhas decisivas a questão.. "Verlaine", durante o períodocompreendido entre a saída docolégio e o noivado, ficará obs*cura? Sim, diremos que é obicura.., Acrescentaremos porémque favorece a tese de ser Ver-laine bem diverso de um "ho-mosexual acidental", o homo-nele uma tendência orgânica, asexualismo foi verdadeiramenteprincipio difusa, depois fixadapelas obcenidades db interna

,to. Existe na onra secreta ae

Verlaine, no seu "enfer" umpequeno livro de versos póstu-mos, (5), a qual, mesmo que nãopossuíssemos nenhum outro do-

cumento sobre os desvios deca, ou como disse Lepelletier —

nos edificar. Impossível neledivisarmos simplesmente retóri-'dévergondage cerebral". Eis

aqui a confissão detalhadíssi-ma e circunstanciada, desta vezduma experiência reiterada ha-bitualmente. M. Couion su-gere que a confissão deste li-vro obceno (e li:erariamente

notável) deve remontar à épocados Poèmes saturniens. Ah! M.Couion não solta a presa. Evi-

dentemente, se isto fosse pro-vado, a tese de homosexualida-

de praticada anteriormente aocasamento, de verossimel, que é,tornar-se-ia inegável. Mas istonão ficou provado. E quanto ainstituir uma discussão dos

íextos para, de acordo com osargumentos prosódicos, as ci.ni-parações de métrica, tirar con.clusões de datas, é um meio deinquérito mais duvidoso ainda,que uma perícia grafologi-ca. (6).

Êle idolatrava fisicamente aesposa. Neste particular, em

que a moral social não o cons-trangia,' confessa-se, com um

cinismo extremo, lírico. E noúltimo período da sua vida, aostentação complacente e sim-pies de seu deboche, vem con-firmar, aos olhos de todos fsinceridade do instinto que,acreditamos, era nele, o maisnatural, o mais forte. Devemos,ainda (pois o dever do crítico éa busca da verdade) sem levarem conta tantos elogios à pias-rando-se estes dois registros deVerlaine está repleta, nos re-

ferir a outro pequeno livro

(6) Hombres. Tltnlo primitivo:D'aleune. Impresso sob manto em1804.

(6) Uma cópia do trabalho escri-to'em parte no papel do hospital, foientregue por Verlaine à Vnnier, pelaquantia de 40 francos, o que provaum recibo datado de 19 de marco de1892. Seriam versos antigos? E* pro-vável. A forma desses poemas exóti-cos. £ rie uma solidez que por certo,Verlaine, nesta época, já não seriacapas. Sem noa perdermos em espe-ciosas discussões técnicas, é entretan-to permitido supor que a obra nãofosse muito recente. Daí afirmar pe-rentoriamente que fosse contemporâ-nea dos Poèmes Satumiene, há umadistánc!a. No texto Impresso algumasdas poesias estão datadas na maioriade 18B0 ou 1891. Seriam, mesmo, essasdatas firmadas pelo punho de Ver-

clandestino, (7) espécie deapêndice do primeiro. Compa-rando-se estes dois registros deconfissões, ver-se-á quanto oscânticos inspirados pelos Fi-

lhos de Eva, superam em ar-dor, em exaltação, em delírio,o ritual das "missas negras"*

Em suma. a complexidade amo-rosa- de Veriume, era dupla,com um pendor marcante, umapreferência evidente, pela mu-lher. Êle foi o que Oscar Wil-de chamava com chiste e des-prezo (pois era exclusivista)¦ um "bi-méjalllste". Este tiponão é tão excepcional, e sòmen-te por nos obstinarmos na igno-rãncia é que a questão dos cos-tumes de Verlaine, constitueainda motivo de interpretaçõesinúteis)-

Na nomenclatura das "diver-sas atividades literárias de Ver-laine a/proxímadamento, nosanos de 1867-69 se não nos falhaa memória, nós reservamos umsétimo número. Sob o nume-ro 7, lembramos, precisamente,a obra erótica do poeta, já ini-ciada a esse tempo.

Não se trata dos pequenoslivros secretos que viemos demencionar, (a data destes per-manece desconhecida) porém,poesias menos licenciosas, nãoobstante serem bem livres, o pu-dor público tendo se tornadomais tolerante, assim como aernsura, foram dadas a nubli-cidade em 1889, na coletâneaintitulada "Parallèlement".

"Les amies", soneos uelo 11-cenciado Pablo de Heriagnez(sic) Ségovie, apareceram em1867, em Bruxelas. A plaquetateve por editor Poulet — Mal-sasis, antigo editor das Fleursdu Mal, ao qual Verlaine forarecomendado por Coppée."Como mal perche", comoBaudelaire o chamava, estava,depois da falência de sua casaeditora, retirado, em 1866, naBélgica, onde. se especializarana impressão de obras eróticas— de algumas, diremos: crua-meníe pornográficas.

Ter composto, gasto tinta,impresso, tiragem, brochar, asFleurs du Mal, ter este fim !Como ê triste ! <8)

PROLONGUEPAUL VERLAINE

L'Amour est infatigable!. II est ardent comme un diable,

Comme un ange il est aimable.

L'Amant est impitoyable!II est méchant comme un diable,Comme un ange, redoutable.

II va rôdant comme un loupAutuur du coeur de beaucoupEt s'élance tout & coup,

Poussant un sombre hou-hou!Soudaln le voilà roucou-Lant ramier gonflant son con,Puis que métamorphoses!tèvres rouges, joues roses,Moues gaies, ris morõses,

Et pour finlr, moulte choseBlanche et noire, effet et cause;Le lis droit, Ia rose éclose.,.

A nova "profissão de "Coco'corria seus riscos naquela épo-ca. A edição de "Les Amies"

(7) Femmes — Impresso debaixodo manto em 1890, mas duma eompo-sicão nparenteroente anterior. O títuloprimitivo era: WaulcuncB.

(8) O homem nem por iaso perdeuo bom humor: "Com efeito, escreveuêle, de Bruxelas, a Verlaine, a 9 de

outubro de 1667, tornei-me, atendendo& proposta de Coppée, o padrinho "desAmies", Elas serão, simultaneamente,minhas comadres e afilhadas. Eis-mebem equipado com loucas creaturas.Estão, presentemente, sob os fundostipográficos (jogo de palavras entrefonda e fonU). Calculo que a cerímô-nia terminará no fim do mês. Haverádoces, e podereis cantar com um nu-mero de patas que desejais..." LeaAmies, cenas de amor safico, cotisti-tucni uma nova prova da fascinaçãoprofunda, que Verlaine tinha pelasmulheres.

foi apreendida na fronteirafrancesa, quando tentavam su-brepticiamente atravessa- Ia

conjuntamente com brochuraspolíticas.

A distribuição do trabalho foiordenada a 6 de maio de 1868,por julgamento do rtibunal deLille. Quinhentos francos demulta "Coco". Foi assim queVerlaine, de longe, sob a más-cará de espanhol, travou co-nhecimento com a justiça pelaprimeira vez.

(Trad. de Solêna BenevidesViana). , ,

O Muse,' dis-nous comment,un jour de misère et de chan-ce, j'ai acheté sous les Galerlesde 1'Odéon, au rabals, un livreinconnu inMtulé "SAGESSE";

dis-nous aussi comment un peuiplus tard, j'ai vu dans un hô-ipltal un homme également in-cònnu qui s'aDpelait Paul Ver-laine et qui .é*iait 1'auteur du li-vre de "SAGESSE".

Pour commencer, o Muse bien-veillante, rappelle-nous Ia íor-me de 1'Odéon. Cétait, sur IaRive Ganche, dans un quartlerfreqüente par les Sénateurs,vieux hommes pleins de pru-dence et de modéraMon, uhthéatre vastre et désert. Nonloin de lã, il y avait un barbierqui avatt fait mettre sur sonenseisme une inscrlptioh engrec

.íignlfíant: «Je rase et Je metais". A 1'Odéon on ne se taf-saít pas, mais on rasalt.

.ÍHeureusement, tout autourde cet édiflce, était un portique,traversé par les vents les plussournpis. Le libraire Flamma-rlon y étalait ses livres et ceuxde ses confrères; il vendait deuxfrancs soíxante quinze les ou-vrages marquês trols francscinquante, et 11 permettalt auipassants de feuilleter les nou-,veautés d*un doigt lmpafcient,mais quelquefois crasseux.

Beconnais, o dlvine Muse, quetu protégeais oes lecteurs. pau-vres et pressés, car je n'ai ja-mais entendu dire qu'aucund'eux «ut péri de bronchíte,

• 8

"Pour le Tombeau de Lelian"(Comme j'ai connu Verlaine)

gnppe ou pneumoníe contractéesous les Galerias de 1'Odéon.

Et maintenant, o Muse, con-tinuons sur un autre sujet.

Explique _nous, toi qui saistout, ce qu'était 113cole Norma-le qui prétendalt toui savoir,et qui savait bien peu de cho-ses. Mais elle était habitée pardes jeunes gens exaltes et unpeu fous, qui valaient toute Iasciense ensemble. Elle s'élevaitdans un quartier écafté et frold,sur le point le plus haut de IaMontagiie Sainte-Geneviève, à1'ombre du Panthéon, monu-ment non moins désert que1'Odéon. Elle devait fournir àIa Republique une elite de pro-fesseurs peu nombreux, maissupérieurs comme elle, car on2'appelait l"Ecole Normale Su-perieure. Et 11 n'est jamaisvenu d'elle aucun grand mou-vement collectif, aucun largecourant social. Elle ne formaitque de fortes individualités; et

par FORTUNAT STROWSKIde L'Institut. - Proí. a Ia Sorbonneet L'Uhiversité du Brèsil. -

(Spêcialement écrit trour "Dom Casmurro")

souvent elle y réussissalt à son-halt. Taine et Pasteur avaientété ses nourrissons. Jean Jau-rés venait d'en sortir, et M.Léon BLurri se préparait à y en-trer. Ceux qu'elle formalt seressemblaient par le même dé-veloppement intellectuel,'le mê-me besoin de vêrité, le mêmedésinteressement des biens ma-térials, jusou'ou jour ou lis «sonentres dans l'Actlon, o Muse;et o6 jour-là l'Ecole ÇJormaiea commencé à avoir d'autres

qualités et d'autres défauts.Mais au moment oü se passecette histoire, on était en pleinidéallsme; Ia foi aussi bien que1'art tourmentaient chacun denous, et cela aussi bien dans iaconsefence profonde que dansle clair intellect, aussi bien dansle cour et dans Ia sélíslbllltéque dans le cerveau et Ia rai-son. On était fievreux, inquíet,furieusement . indépendant etpássionhé.íxjur, sa. liberte, Nous

en avons tous gardé jusqu'à Iafin. quelque chose, Peut-êtreaurait-on pu avoir un senti-ment plus présent des respon-sabilités sociales, à côié de saaesponsabilité devant soi-mêmeet devant Dfeu. Mais tels nousétians, 0 Muse; et je crois quetu ne nous en aimais pasmoins.

Pour ne pas oublier Ia chosecapitale, 11 faut remarquer qu'iin'y avait point d'auto, point deradio, point de cinema, et qu'enrevanche, faute de oonnaltre1'aspirine, Ia jeunesse dite pen-sive était flagellée par le mal detête et Ia mlgralne.

Et maintenant, Muse, c'estmoi qui vais parler pour moncomípte, car je vais avoir Ia sot-tlse de parler de moi.

J'étais éléve de 1'Enole Nor-male. Ayãnt tout mon saoulde mlgraines et de maux detête, je lisais les philosophesüiconnus. parce que Je n*étais

pas obligé de les comprendre;et je lisais plus assiduement'encore les poetes, parce qu'il ya dans le rythme une espèce decharme qui berce Ia douleurlancinante des méninges. J'ai-mais les poetes. Mais J'en man-quais.

Volci en effet que VictorHugo était mort, et les par-nassiens ses suecesseurs fatl-guaient mes yeux de migrainepar leur éclatante perfection; 'Sully - Prudhomme était biensubtil et bien inMlectuel rjourquelqu'un qui avait besoin avanttout de musique et de repôs, tim'aurait faliu une musique, pourainsi dire, «ralante et silen-cleuse.

Je n'étals pas seul ft meplaindre de ce désert de lã poe-sie contemporaine.'

Un livre intitule "VOS POÉ-TES" débutaft par l*anecdotede Théodore de BanvHle allantchez son coiffeur pour ses che-veux. Ce n'était pas le barbierde 1'Odéon. Et cet homme de1'art lui répondit: "Dépêchezvous donc, Monsieur, dans unouart d'heure. vous n'en aurezplus". Dans un quart d'heu-re, il n'y aurait plus'de poeteen France, pronosttquaient lesaugures,

Cest devant cette perspectl-ve décourageante que je m'at-tristals, en flânant un jour sousles galerles de 1'Odéon. Pigu-resi-vous que J'étals maigre,

DOM CASMÜRRO

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V *

ií» it^t-.

Depositando naCAIXA ECONÔMICA

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DOM CASWfcEQ

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f"

LA BONNE CRAINTEPAUL VERLAINE:'

Le rliable de PafpefiguièreEut tort, d'accord, detre effrayé

Be quoi, bons dieux!

Mais que veut-on que je requièreA son encontre, moi qui ai

Peur encor mieux?

Eh quoi, cette grãce infinie,Délice, delire, harmonie

Be cette chair,

O femme, ô femmes, qu'est la vôtre,Dont le mol péché qui s'y vautre

M'est si cher,

AboutiSsant, c'est vrai, par quellesOmbreuses genthnent venelles,

Ou, richement,

Légère toison qui ondoie,Toute de jour, toute de joie,

Innocenunent,

Or frisotté comme eau qui vireOu du soleil tiède se mire

Et qui sent fin,

Lonrds eopeaux, si minces! d'ébènesTordus, sans nombre, sous I'haleine

D'étés sans fin,

Aboutissant à cet aboneDoulourcux et gai, vil, sublime,

Mais effrayant —

On dirait — de sauvagerle,De stracture mal éqnarrie,

Cios et béant!

Oh! oui, j'ai-oeur, non pas de L'antreNI de la façon qu'on y entre

Ni 4Íe 1'entoar

Mais des 1'entrèe effectuéeDans 1'âpre caverne d'amour,

Qu'habituée

Pomtant à l"h4>rrenr fraic'he et chande,Ma tête en larmes et en feu,

Jamais en fraude,

N'y reste un jour, tant vaut Ie Ueu!

Tout le monde. a entenduassez parler de cette révélation,de cette libératlon que fut lapoésie verlainienne, à laquelledevait correspondre bientôtaprès la libáraMon par la pen-sée bergsonienne. Ce fut lasource de fraÍ4dieur pour notregénération élevée dans 1'ariditéSntelleotuelle et dans 1'orgueilde 1'esprit. Mais il est super-flu d'y insistir.

Je remarqueral seulement que,pour moi, le meilleur de "SA-GESSE" se fut son élan reli-

gieux, tout naif, tout ingémi,prompt et direct comme uneflèohe, sans un regárd en arriè-re...

Imaginez le normalien devingt ans Cfue j'étais, réfléchis--sant éperduement sur le problè--me religieux, et -tourme-iité'

par--la forme abstràite que prenaientses sentiments. Tout devenaitdifficulté et complicatlon danssa Vie et sa pensée. Et- toutd'un coup il lisait ceei- qui lepéneíirait et 1'attendrissait mais-qld réclairait aussi:

Vous, Dieux de Paix, de Joie ett de Bonheur,

Toutes mes peúrs, toutes mes[ ignorances,

Vous, Dieu de Paix, de Joie et[ Ae Bonheur,

Vous connalssez tout cela, tout[ cela,

petite ville aux rues tortueuseset éíiroites, s'etendit peu à peu,comme au]ourd'hui de la colli-ne ã la riyière. Elle devint une"commune" et elle eut ses li-bertés et ses coutumes. En voi:ei une qui vous dirá mieuxqu'autre chose, l'esprit de cesgens et de ce temps. Lorsqu'unefemme était surprisé en adul-t43re, elle était promenée à tra-vers les rues, en chemise dechanvre, à califourchon sur unâne, la téte tournée vers la queuede sa monture. Cela ne va-lait-il pas mieux que d'étrangler

Desdemona ?Au temps de ma jeunesse

c'etait ]a ville Ia dIus paisibleet la plus provinciale de Fran-ce. Mais la vie y était si tran-ouille, et elle-même était deli-

fl. vnir,SifiHse ...Elle—

maigre, mes camarades m'appli-quaient de vers fameux,ParTofe il s'a8sey:U à 1'ombre

[de sa lance,Mais peu.,.

J'avais l'air ahuri, et j'éta!sen quête d'un poete, une qúêtesans espoir.Et tout à coup, dans un Coirl,

fentrevia Tin livre à Ia rouver-ture saumon, d'un format iriu-site. plat, lone et lance. Mérf-taitil le reproche adressé Jadis[par le maitre Paul Albert ã ladissei*3tton de l'un de mes ai-aiés: "Elle est longue, plate etwiortelle". Peu importait,Cétaiènt des vers, tout de mê-me, et lis étaient vendus avecUn grand rabals.

Ils avaient été publiés et ira-primes chez le fameux librairecatholique Victor Palme, maÍ3lis avaient du décourager parleur mévente cet estimable ÃJi-teur, car il avait solde 1'éditlonà un tout petit, petit marchanrfde livres, Léon Vaníer qui avaitcollé un papillon à son nom surle nom de Palme et qui sous-soldait au détail, comme il pou-'valt, cet enfant mort-né.

' Comme J'avals au fond de mapoche, quelques sous inatten-dus, je risqual Ie paquet. Je

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pavais et emoortais le livre sansmême rtítrarder le titre qui au-rait suffi à me décourager. Etc'était "SAGESSE**.

Je n'al pas besoin de dire Iarévéla^n que "Safr<«<e" futpour mol. et lá rèvolution queses vers firen*. en moi. La mêmechose est arrivée, a tous ceuxqui euren*; vers ce temps la mê-me aventure que moi. Et leurnombre devait croitre bien viteavec notre enthousiasme.

I*s*. "nus étions liberes.Nous 1'etions cies poetes sa-

vants, des poetes analytlques,des poetes conscientes et orga-nisés, des poetes qui n'étaientpas la poésie, qui se conten-taient de la faire.

¦L'auteur de "SARFSBE" n'ex-pliquait rlen, n'enselgnait rien,ne savait rlen. n était contem-porain de la nalssance du mon-de. n était toulours émerveillé:et cependant U trouvait slmpleet naturel tout ce qui Temer-veillait.

11 chantalt ses émotions surles rythmes qu'elles lui suggé-raient et qui plaisaient ã sonoreílle, non pas sur les les ryth-mes convenus des prosodies etdes métronomes.

Enfln 11 avait une ftme quine devait rien ã son esprit, rlenã personne, sauf à Dieu.

Et que je suis plus paiwe que¦ [personne.Vous connalssez tout «ela, tout

[cela,Mais ce que j'ai, mon Dieu, je

[ vous le donne.

Cest alors que j'aurais pureprendre ã mon compte ces au-três vers de mon poete, si 1'avalsconnu sa "BONNE CHANSON",comme je connaissais "SA-GESSE":

Un vaste et tendre .Enchantement

Semble descendreDu Firmament.

Mais Je ne connaissais pasplus la "BONNE CHANSON"que je connaissais Verlaine lui-même. Pourtant cela ne devaitpas tarder.

Tci de nouveau. j'invoaue laMuse. Car 11 s'agit d'aller pios«te que 1'avlon mime. et deville lointalne, oü' j'évoqueraIquitter Paris pour une petite1'ombre de la poésie.

Cette petite ville que n'ontjamais chantèe ceux qui boivent1'eau du Parnasse, "quantos be-B4*m a aroa de Parnaso", com-

me dit Camoens, c'est une ml-macule caoitale, Molssac enQuercy («auercy veut dire Jeefifa: pays des chênes.) Mateelle est grand tout de même.

Elle exlstait au temps destiruides, et on y coupait Ie Guyavec une faucllle d'or dans lesforêts qui l'entouraient. LeiBomains l'ont habitée. Hs y ontbati des temples, creusé desfontatnes et ouvert ces routesqui allaient aux confins dumonde. De mes yeux j'y ai vules vestiges d'un temple au dieuMercure; J'ai descendu les mys^té>leux degrés de la FontameauxVingt quatre Echelons; etjai dherché sous llierbe lesdalles inusables des voles ro-ma.ínes qu'on appelait encore, lechemin romain.

Les Romains partis, les Bar-bares installés, voici que desmoines de Climy ont bâtt, aupled de la coliine, au confluentde deux courtes vallées. uneégllse du pur style gothiquedont Ie porche est décoré deBCulptures et de bas-reliefsillustres.

Un cloitre y était adossé etles chapíteux de ses colonettesétaient pour les yeux et le cceurdes moissagais, le vrai livre del'Ancien et .du Nouveau Testa-ment. Des maisons 8'abrl-talen*i à 1'nmbro de In 'cn.t.riMra-

le et entre ses contre-forts,comme des poussins entre lespattes de m*re-poule. Ainsi là

allées semblables ' à celle de

Nova-Friburgo, avec des plata-nes aussi beaux que ses euca-lyptus: de vrais plliers pourune ímmense cathedrale. Elleavait de plus une large rivlèredont un barrage avait fait unlac paisible, et Teau ruisselalten cataracte sur la digue. Ledimanche, les vieilles gens, lesgarçons et les jeunes íjlles sepromenaient dans les allées, biensagement, tout comme ici (jeveux dire à Friburgo, non pasdans nòs villes hâtives autantqu'énormes>. Le fond de lapopulation étaient d'arttsans etde petits rentlers. hajjüant làde père en HIs. depuis des temipstrès-anciens et ils ne deman-daient pas autre chose à Dieu,sinon que la terre continue àtourner autour de son centre.

Cetfait â vrai dire une exis-tance un peu monotone, peupropre à provoquer la naissan-ce du gérile. Et ceuendant ily avait là des orieinaux fortcurieux et des personnalÍ*^s vi-goureuses quoique bornées dansleur hprizon. Le cadre chassalttoute banalité et le passe don-nait aux gens comme aux mai-sons, une fierté et une noblesseennemies du vulgaire. Enfin,mal4rré soi. on y éfait artisted'une certalne manl4jre.

Moissac n'était pas ma villenatale, mais le père de ma mèrel'évaifc élu pour y finir sa vie.Je m'y sentais en vacances; jem'y plaisais beaucoup. H n'étaitpas íusqu'aux raisins et auxpêches de ses espaliers qui nefussent pour moi un délice.

Bientôt j'eus un ami qui va-lait tous les fruits de la terre.TI ava.it passe doux ou trois ans

au collège Stanislas á Paris; etil était revenu sans avoir ache-vé sa scolarfté réeuliére. II y

aurait perdu son temps. H sem-blal né pour Molssac. H aimaitles beaux livres, II oollectiennaitles édltions rares de la PleYadeau Heu de courlr les fillettes,comme la jeunesse dorée de l'en-droit. n

Et 11 était poste, n ne 1'éWtpas en se mettant à sa tablede travail; il n'avait Das de ta-ble de travail. H 1'étalt tou-joiirs. Spr ry>ê"ie<:. toutoiirs

rcres et dtme Insplration mys- ,térleuse naissaient et Rermaienten sbn çéníe comme des plantesmerveilleuses; mais il leur fal-lait 1p temns nour /¦r^Yt-rp eft

s'épanoulr. n les médltait etles Derfectir>nni)it sans cesse,Jamais la plume à la main,t» a r c e au'il n'écrivait pas.Anrès d*>s móis et d<*s annéesd*> ws*iaMon. II consentait á lesrédtfT. Enfin. si on l'en ores-salt Wftn fort il les écrivalt. IIIps d'=alt sans nuances nl ex-pT^ssIvité. d'une voix matmifi-lwairte mi">: BAYMOND DELA TATTJTn-OE.

TI fifmih'e nue, ouand Ia t>oé-fiíp »>«it nueVtue part. elle aHire(d'antres noites rwime un pnr-fiim ó> fleur attire de loin les

ün certain móis d'octobre, ilapparut dans nOs rues un nou-veau professeur du Collège.Au premier aspect 11 n'kvaltrien d'enthousiasmant. Un hom-me Jeune, sérieur un peu tris-

te, au regard sans éclat, malanon sans proionaeur. U etaitia, paice que son üestin le vou-lait; et il attendait que son des-tln l'envoyãt ailleurs. Bon se-cret, c'est qu'il devait mourirWentôü, a vingt stx ans. II y ades gens qui gardent sur eux,dans la víeillesse la plus avan-cée, le reílet brillant de la Jeu-ntisse. Lui par un mysceritíux -

pi-essentiment, il avait sur sajeimesse le reflet assombrl desa fin prochaine.

II est devenu l'un des nôtres,mais en gardant une distanceinfranchissable, non seulementpar sa tournure d'esprit médí-tative, mais surtout, par sonson immense supértorité. Tousceux qui 1'approchalent sen-taient son a-inendant. Maurice

prince de la jeu-nesse, ralmait tendrement, luienvoyait ses manuscrits, et écou-tait avec respect ses avis. Aureste il lui a dédié, je crois, le"JARDÍN DE BERENICE"; (ilíaudrait vérifier). Jules Lemai-tre avait été son professeur derhétorique et était devenu sondisciple, II lui conflalt sesessais à peine ébauchés, mêmeses vers avant que le poème oule sonnet fussent aohevés, etrinterrogeait sur la jeune poé-sie qui déconcertait son goutencore timide de professeur etde normalien. Ftifin c'était un

ami, et un confident d*- Ver-—laine.

Auiourd-hul je pense qu'ilavait du génie, non pas un gé-nie éclatant et prodigue encréations. mais un génie inté-riéur, replié sur sol. que la mortseule révèla entiérement à nosyeux.

Cétait JULES TELLIER.-— —-Et c'est par lui, que nous

avons enfin connu Verlainelui-méme.

De sa voix un peu souxde, enparoles simples et precises, 11nous a raconté la vie et lesmalheurs de Verlaine. II neparlait de Rimbaud qu'avec unesorte d'horreur, dont 1'écho alongtemps résonné en moi. nle considérait comme un êtremonsbrueux, comme Un torrentravageur de boue et de feu. Enrevanche il s'attendrissait sur lepauvre Lelian, 1'être exquis etfeible, tout pareil ã la feuillemorte. Pour lui cependant legénie poetique de Verlaine n'é-tait pas mort.

C'et*ait en effet avant la gran-de, la fatale déchéance. Maisdéja elle s'annonçait, inévitable.La dernière expérience du poè-

te, celle de Coulommes venaitde finir, et elle avait été, d'unefaçon plus basse, .plus vulgaire,[plíus lamentable, la réjpétitionen petit des drames de Lon-dres et de Bruxelles.

Enfin Verlaine venait de per-dre sa gardienne, sa protectri-ce, sa mère!

H se trouvait rfesormáis seul,sans volonté, et sans argent.H trainalt d'hopital en hopital,avec sa jambe malade, et jlavait encore la force de tra-

v vailler. Mais toute autre éner-gie lui manquait.

Peut-être que s'U avait été prlsen main dès lors par un maitreénerglque et tout à fait dévoué,il aurait pu reprendre sa placeau grand soleil, et jouir de sapart de considération et de gloi-re. Au moment oú il etaitle plus bas, 11 avr.it eu le cou-rage surhumain, lui, 1'alcooliqueinvétiéré et' la misérable épave,de rester une semaine sans boi-re, de mener toute une semal-ne 1a vie la plus régullére, par-ce qu'on lui avait prranis de luiamener son fils-promesse d'ail-leurs qui ne fut pas tênue. 11avait conserve donc en lui, cePríncipe de grandeur qui avaitsouvé son àme et son génif poé.tique dans la prlson de Mons.Et qui salt? SI Tellier avait

voulu, qui salt, s'il n'aurait pasévlté au malheureux de tomberirrémédiablement ?

M»ls deli T.lUer. s-etait vouéau senie noetique de Baymonrlde la Tailhède qui avait besoto •

DOM CASMURRO

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lui aussi d'un maitre ferme etautoritaire.

Nous étions tous rentrés deMoissac à Paris, oü Tellier,quittant les coHèges avait étéappelé pour collaborer à un nou-

veau Journal qui n'a pas vécu.Nous avions cesse de nous voir,car j'etais rentré dans mon éco-

le normale, comme un moinedans sa cellule.

Et voilà qu'un jour, Tellierest venu me prendre avec Ray-

mon de La Tailhede pour te-nir Ia promesse 'qu'il nVavaitfaite de me présenter ã Ver-

laine.Nous avons déjeuné ensemblg.

toue lon fcrois; "iUV~hous. som-mes allés chez le libraire LéonVanier.chercher les droits cVau-teur du poete. Après de longscalculs et- dès marchahdagescompliques, Ia caissière voulutbien nous donner CENT SOUS,une grosse pièce ronde, qui nous-

pàrut une fortuné. Selon lesdnstructions de V|arlaine cettefortune a été employée à 1'achat

, d'un panjalon de toile grossiê-re, d'un couteau de poche etde je ne sais quoi encore. Onvoil que c'était avant Ia viechère. D'ailleurs à oette époque,

cent sous c'était cent fois unsou et non cent fois rombre

—d'un >uu. ~"Je ne sais plus à quel hõpitál

était Verlaine. Un omnibus,tire par deux chevaux, nous yporta sur son impériale. Le

.. temps était beau.Comme j'étaits ému en entrant

dans Ia salle ã peu près videoü il reposait sur_un-pstit-lit~ tout blanc, d'une propreté imma-culée: II sourit ennousvoyant.Un rayon de soleil, entrant parJla íenêtre, jouait sur son ut, Toutcela était enfantin et irréel. Etc'était vraiment 1'hopital, etcéjait réellement Verlaine, Iapoésie même.

II était bien tel que je 1'avaisimagine d'après les descriptions

de Tellier. II avait une laideursocratique, et point de malice,ni d'ironie, mais une ingénuiténaturelle qui n'était ni feinte niartificielle. Plus tard, ayant levin mauvais, c'était un "mau-

vais bougre" qu'll ne fallalt pasopprocher quand il avait tropbu. Mais alors il était un pau-vre enfant, un être, waimentriche de tout ce qu'il- n'avait

.pas. Je veux dire que tout cequ'il aurait pu et du avoir au-rait empêché Ia délicieuse etsainte liberte de Ia poésie qu'ilportaít en lui;

II causa, bien gentiment, sij'ose dire. II me parla de Boi-leau, on sait qu'il était commeecrivain un scrüpuleux. et unjpuris'>e parlant Ia meilleúre

langue française et avec ungout classique. II me parlaaussi da Fr?avait été son compagnon duParnasse et qui était reste sonami: "II ne m'a* jamais ¦refuséune pièce de cent sous", dit-ildun ton attendri. Je me rappe-

. lais qua Coppée ayant bien vou-lu accueillir Rimbaud qui arri-vait tout crotté du fond desArdennes, je crois, et à pieds,fut un peu hqrrifié de voir seharbare vagabond essuyer sss

bottes à ses beaux rideauxblancs. Mlle. Coppée n'en étaitpas revenue.

D parla encore de diversespersonnes. II nomma des gensconnus qui le dédalgnaient

-maintcn.ml.1 - H n'ouDlla pas¦ Victor Hugo, qui de son cóté,ne 1'avait pas oublíé ni aban-donné dans sa prison de Mons,car Hugo avait 1'âme grande efcgénéreuse, quoiqu'on en ait dit.

II n'y a qu*une personne dontil ne parla point, et ce fut pourmoi Ia plus vive déception c'étaifc

lui-même. Êt son silence n'avaitrien d'affecté ni de volontaire,ce n'était ni de Ia fausse ni deIa vraie modestie, mais du na-turel. II ne parlalt pas plus desa poésie qu'une mère ne par-

lera du lait qu'elle dorme à sonenfant. Moi qui aurais tantvoulu 1'entendre sur ses rêves',ses préferences. ses méditations,et 1'éveille des images, et l'appeldes rimes et Le choix des ryth-

mes. Mais non, rien, rien.Aujourd'hul je l'en admire da-vantage.

Oui il lui est reste toujoursune grandeur, même quand il

n'a été qu'un violon abandonné,chantant au hasard de quatirevents et des frôlements de Iavie.

Je ne l'ai plus revu. Tellierest mort. Raymond le -ia Tai-flhède est toujours reste pourmoi 1'aml d'enfance et mon,premier compagnon sur Ia rou-te de poésie. II vient de niou-rir à son tour.

J'ai ínitié longtemps mesétudiants à Verlaine, comme àFrancis Jammes; André Laloa,

François Mauriac, Jean Baldí,pout 1'équipe bordelalse de dé-' ' " dècle, avant 1'autreguerre, je Tai menée ao- tom-beau de Verlaine.

Naguère à Ia Sorbonne, deuxjeunes hommes faisaient sousmes yeux leur thèse de docto-rat, l'un anglais, sur Rimbaud,' 1'autre, français et des Arden-nes, sur Verlaine á Coulommè.

iianglais a achevé et publiésa these. II me dit qu'il avaitun prédecesseur dans son pays,qui avait écrit lui aussi ungrand et important travail surTauteur de Ia "Salson en En-fer". Mais ce travail n'avaitpas encore pu paraitre et pour_

le moment_s£lui--qíHWJg--fairiiépeut guère s'en ocouper: c'estM. Antony Éden... Altesses,saluez 1

L'autre, le français, a été in-terrompu par Ia guerre actuelle..Parti simple soldat, il est re-venu officier et decore de Ia lé-gion d'honneur au moment oüIa France est tombée. II avait¦défendu avec une tenacité fa-fouche sa patrie et le petitjpays de Verlaine. La poasie

ne l'avait pas empêché d'avoirune valuer héroique.

II esj reste en France pourrésister encore, comme il l'avaitfait. Je ne sais oü il est àcette heure. Il m'écrivait na-guère pour nVassurer qu'il nedésepérailj pas, qu'il ne pliaitpas, et il ajoutait: "Croyez-vous que Ia poésie refleurira enFrance ?"

St je le crois ? mais de tou-tes mes forces í D'ailleursa-t-elle jamais cesse de fleurir ?

Loeuvrede Verlaine

Por George Raeders.

(especial para "Dom Casmurro"

PAUL-MARIE VERLAINE naquit â Metz le 30

mars 1844 d'une famille originaire des Arden.-nes et mourut à Paris le 8 janvier 1896.. Cest

toujours Villon qui vient à Ia pensée quand on évo-que le nom et le génie de Verlaine. Aussi irrêgulier,aussi ingénu, également cynique, aussi grand poeteenfin et- riche profusément comme lui ães dons es-sentiels du langage et le Vharmonie, 1'auteur de SA-GESSE, s'il égale ãe poete des BALLADES, s'enécarte par une forme d'esprit plus narquoise, parun paganisme chamei plus obsêdant, 'par des nuan-ces de sensibüité mieux accordées aux douceursdésirées et regrettées du foyer familial. Disons deVerlaine qu'il fut pius_Jlenfant^—qu?r^vtMon,~pTM

j}ji]Jatté--par-1#S~~p~eTslstantes oppositions d'une naturetrês animalisée et d'une spiritualité três raffinée.

Sensuel et fervent, plein de tentations et de remords,artiste comme nul autre et savant de tous les voca-bles, de tous les rythmes, domestiqué en même tempspar des ¦ sensations basses .et des sentiments t impul-sifs, rarement Vhomo-duplex'' antique apparht plusdéchirant qu'aux actes' de cette âme toute de noblesseet d'indiscipline. Uoeuvre entiére, qui reflete si fidé-lement Vâme du "Pauvre Lêlian" dans ses diversétats et aux divers moments d'une vie três incohê-rente, mele Vexquis au trivial, Ia perle aux débris,le-pur trait de génie immatériel à Ia banalité frustede Vexpression, voire à Ia vilenie ãu propôs ordu-rier. "Cest un barbare, un sauvage, un enfant, ditJules Lémaitre. Seulement cet enfant a une musiquedans Vâme et, à certains jours, il entenã des voixque nul autre avant lui n'avait entendues". Aussi,surnageant à jamais de tout ce que les tares de l'ho-mme" et ses misères, Ia sottise et Vartificiel de 1'épo-que et du milieu ont occosionné, certains poèmesd'une indéfectible beauté, certains vers d'une immar-cescible grandeur, un accent de douleur poignante,une intonation ardente ãe foi ingénue et surtout Iavéritê humaine toute simple auréalent-ils de gloirele nom ãe Vun ães plus grands parmi les poetes fran-cais.

As "Editions de Ia NouvelleRevue Française" incorporaramà sua valiosa coleção da "Biblio-thèque de Ia Pléiade", lançan-do-a ao mercado, a publicaçãocompleta, em um só volume,das obras poéticas de Paul Ver-laine. E' essa, alias, a primeiraedição crítica que se faz, daobra completa do poeta. da entre nós, de um belo vo-

Trata-se, como oa demais da lume encadernado que, a des-coleção que já está populariza, peito de suas 1.166 páginas, é

Verlaine e Gonçalves CrespoUm enigma bibliográfico deOnestaldo de Pennafort

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" brochura francesa,graças ao papel "bíblia" emque é impresso, por sinal queem caracteres nitidos e elegan-tes.

A introdução, notas e biblio-gratfia sãó de Y. G. Le Dan-tec, que ihelue no volume atéos primeiros versos >da moci-dade do poeta, qua este deixa-ra de apresentar em sua obrade.estréia, e publica variantes,algumas das quais inéditas.

Assim, volta Verlaine ao car-taz depois da magnífica obraque François Porché, não hámuito, lhe havia consagrado eem que o homem e o poeta sãoestudados à luz de novos do-cumentos pelo espírito alta-misnts compreensivo de umverlainiamo que não só por essemotivo se recomenda à nossaadmiração, senão também pala:;suas outras obras de ficção ecie crítica. (1)

O presente volume é o ultimopublicado da coleção da "Pléia-de", e, amante 1aa analogias.simbólicas, apraz-ms verificar acuriosa coincidência .de se tra-tar das obras do último grandeposta moderno.

Emprego aqui a palavra nãocomo termo escolástico, mas nosentido histórico, porque Ver-laine fechou o ciclo da poesiamoderna, iniciado com Fran-çois Villon, — que foi o pri-meiro a fazer da poesia umconfessionário do coração, a re-

fletir no verso todas as suasemoções pessoais, num admira-vel processo de transposição doreal para o ideal.

A poesia, que foi a princípiouma teogonia, em seguida umaepopéia, para se transformar,nos piores tempos, no virtuosis-co volutuoso e convencional doslatinos da decadência, até entãopertencera sempre à ordem di-dática. Todos os poemas que aantigüidade nos legou são maisou menos didáticos, visam tan-to "a mover, como a instruir",para usar a linguagem pitores-ca dos velhos retóricos.,.

Foi Villon que, de fato, de-sinteressando a poesia da teo-gonia, da epopéia e das artespoé.icas, primeiro iniciou apoesia de inspiração psssoal emque o poeta se narra indefini-damente no verso, como ¦ numconfessionário.

Villon, Baudelaire e Verlaine,passando pelos românticos, re-presentam, típica e histórica-menttl, essa .-'poesia dessoil.Baudelaire a elevara ao seoimais alto nível moral e este-ílico; Verlaine, que exagerou odom de se narrai- em vsrso,— chegando quase a transfor-mar a pcesia numa arte de cir-cunstância, — levou-a aos ex-ítremos limitas do sentimentosem descambar, todavia, para osentimentalismo.

Com êle morreu uma estéti-ca, enoerrou-se um ciclo poéti-co. E assim se une êie, na

grande noite dos séculos, ao seuirmão mais velho François Vil-lon, do qual o aproximam, alémda poética, outras circunstân-cias da vida desregrada quearrastou, tortuosa e dolorosa-mente, pela mesma Paris.

Foi o ultimo grande poeta deinspiração pessoal, o últimogrande lírico.

Depois dele, se é que nãomorreu temporariamente, apoesia voltou-se para a epopéia.São epopéias fracionadas, esses

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cantos do homem de hoje, quegloripicam a máquina e a civi-Uzaçio do século, criando omaravilhoso mecanizado, e des-crevem os anseios de grandesmassas humanas.

Mas não é meu intuito tra-çar aqui,um painel histórico dapoesia. A propósito da novaecíiçao das obras do poeta das"Fêtes Galantes" e*de "Sages.se" e porque ela se ocupa da.bibliografia verlainiama, querotfio somente trazer a públicoum curioso e inédito ponto re-iatlvoà bibllorafia de verlai-ne que tem estreita ligação comPortugal e Brasil, esto é, com asliteraturas de língua portu-gueaa.

Assim, levantemos para logoa questão: qual foi o primeirotradutor de Verlaine? Qual foio primeiro estrangeiro que, emmeio a formidável floraão dapoesia francesa do melado doséculo dezenove, ainda em pie-no fastlgio do pontificado deVictor Hugo, sentiu a beleza ea graça inefjvel da poesia ver-laimiana ?

Para nossa glória responde-mos que foi um poeta brasi-"" " de nascimentoe de inspiração, bem que por-tuguês de adoção. Foi esse ofiníssimo e sutil poeta Gonçal-Tes Crespo, cujo nome decas-sllabico, Antônio Cândido Gon-çalves Crespo, era ,1á uma pro-messa para a poesia

Toda a gente em Portugal eno Brasil conhece esse relicarioide poesia parnasiana e ihti-mista que se intitula "Minia-turas" e que, aparecido em1871, tornou-se logo, principal-mente no mundo feminino deentão, um precioso brevlário de 'arte que "sobre a banca de tra-balho de todas as mulheres dis-tintas" — escreve uma de-Ias (2) — "entre o cestüiho debordado e a jarra de vloietas ede rosas,, pousava com a gra-ca delcada de um escrlnio queguardasse a mais rara Jóia emo-clonal. ,

No que nem todos atentaram,porém, é aue nesse livro, quetanta influência exerceu nasduas literaturai, de Portugal edo Brasil, e no público da épo-ca, a páeinas 108 e 109 figuraa tradução de uma das noe-slas mais preciosas das "FêtesGalantes" de Verlaine, a quese Intitula "Oortiege":Un singe en veste de brocart

Trotte et gambade devant elleQui froisse un mouchoir de den-

[teldDans sa main gantée avec art

Tandis qu'un négrillon tout rou-[ge

Maintient à tour de oras lestpans

De sa lourde robe en suspens,Attentlí à tout pi! qiü bouge

Le singe ne perd pas des yeuxLa gorge blanche de Ia dame,Opulent trésor que reclameLe torse nu de l'un des dieux;

Le négrillon partois soulevePlus qu'il ne faut», l'aigrefin,Bon fardeau somptueux, aflnDe voir ce dont Ia nuit 11 réve;

Elle va par les escaliers,Et ne parais pas davántageSenslble à 1'insolent suílrageDe ses animeaux familiers (3)

¦ "

E» a seguinte a tradução deGonçalves Crespo, que ao citaro nome de Verlaine, traduz-lhe0 prenome, Paulo, a maneirados espanhóis (4):

A espaços o negro, ousado,Ergue a cauda mais um pouco;Quer ver se as vilões de um

[loucoMentiram... pobre cpltado!

No rico salão festivoPasseia a bela lndolente,Becresce a paixão ardenteNo seu cortejo lascivo.

Até aí, dlr-se-á, nada de mais,AS "Fêtes Galantes" são de 1869e as "Miniaturas" de 1871 Masisso já era muito. Em 1371, seexcetuarmos os elogios mais oumenos formalísticos de um Vie-tor Hugo e de um Banville (5),conforme assinala François Por-ché, o poeta de "Sagesse" eraainda um desconhecido não sóna França, mas mesmo em Pa-ris, e a qualidade da sua poe-sia absolutamente ignorada

Ha mais, entretanto Nas "Mi-niaturas", a tradução das qua-dras de "Cortège" traz a datade 1868. Data essa que foi con-servada na edição póstuma dasobras completas de GonçalvesCrespo, decerto cuidadosamenteorganizada, em 1887, sobre osmanuscritos do poeta,' pela suaviuva, ilustre escritora portu-

!CORTEJO

Em veste d'ouro e brocadoUm mono os passos acertaAnte a formosa, que apertaNa mão um lenço bordado

Atrás um negro luzldoSegue, de capa encarnada:Sustem a cauda pesadaDo roçaganbe vestido.

O mono os olhos demoraNo lácteo seio da bela.Seio que a todos revelaA nua Venus de outrora

DOM CASMÜRRO

valho, o que afasta qualquerhipótese de um engano típogra-fico da primeira edição das"Miniaturas".

Além disso, é preciso notarque nesse livro, à exceção deonze peças apenas, todas aspoesias, ao modo da época, sãodatadas, e a maior parte delasde 1863.

E" evidente, pois, uma vez queas "Fêtes Galantes" só forampublicadas em 1869, que o poe-ta das "Miniaturas" deve terlido a poesia de Verlaine emalguma revista literária, numadessas revistas literárias quaseanônimas, talvez, e de vida efê-mera, em que, por aquele tem-po, a Verlaine, jovem poeta maisque anônimo, era permitido co-laborar.

Resta, porém, a pergunta: emque revista teria «aido e-sa poe-sia interessantíssima das "Fê-tes Galantes" e. :naís, como te-ria ido ela, com certeza pobiwpublicação de tiragem limita-díssíma, — "para os raros ape-nas", — parar às mãos de Gon-çalves Crespo, então simples es-tudante de Coimbra, ainda cheiodas saudades do seu Brasil tãodecantado por ele nos versosde sabor nativista (6) das "Mi-nlaturas"? E^ o que resta sa-ber.

Que a poesia foi traduzidaem 1868, isto é, um ano antesda publicação do volume das"Fêtes 'Galantes", é fora dedúvida.

O enigma bibliográfico é dig-no de tentar a argúcia„e„a_pa-_.

-ciência" desses finos e esforça-dos memorialistas e bibliógra-fos que na França trabalhampelo estudo c pela glória dosgrandes artistas e escritorescom um interesse e uma abne-gação que bastam para paten-tear o nível intelectual de umpaís.

Disse enigma e, de fato, tra-tarse de um enigma, porqueVan Bever e Maurice Monda,os incansáveis blhlidgrafos dopoeta de Sagesse, em sua "Bi-bliografie et. Iconogranhie de

¦Paul Verlaine", (Paris, AlbertMessein, 1926), mencionam ape-nas como poesias das "Fêtes

Galantes" que tiveram publi-cação pre-original em jornal erevista, as seguintes: "Clair deLune" e "Mandoline", ambassaídas na "Gazetx Rimée" (7),no número de 20 de fevereiro,de 1867. Le Dantec, que alémda obra de Bever e Monda men-dona a de François Montei,"Bibliographíe de Paul Verlai-ne" (Giraud-BMUn, 1924), ratl-fica essa afirmativa, que o pre-íiente artigo, entretanto, põe porterra.

Como então poderia Gonçal-ves Crespo ter traduzido em1868 uma poesia que só foi publicada em livro aparecido umano depois dessa data?

E' claro que Bever e Monda eMontei desconheciam a parti-

tülnridade, que aqui se revela,tonjèturalmente, pela primeiravez, da publicação pre-original,em revista ou Jornal, de "Corte-

ge" A menos que, se admita ahipótese absurda, que nada au-toriza, de que, ou diretamentepelo próprio Verlaine, ou Indi-retamente por intermédio deum amigo comum, GonçalvesCrespo houvesse tido conheci-mento do original ainda iné*dito, e dai o traduzisse.

A tradução de Crespo com-preende, como a poesia origi-liai, cinco quadras, mas de ver-sos de sele sílabas, quando notex**> francês os versos são oto-silábicos. Também as rimas,graves e agudas, ou masculinase femininas, alternadamente, nooriginal, são todas graves natradução. Na terceira quadra.Crespo, fugindo ao pensamentodo autor, peca, por outro iado,

com a intfirpolação de acesso-rios estranhos ao tema origi-nal, tal a quase cactifômca ' nuaVenus", etc. Dessa quadra emdiante, aliás, foge a traduçãopor completo aos pormenores esutilezas da poesia francesa, pa-ra só fonrprvaj cia mesma as' linhas gerais.

Que falia faz, por exemplo^na quadra final, aquela . notabarroco-rococó, mixto de sen-sualismo oriental e de malíciaocidental, da "coquetterie" pre-ciosa e a um tempo instintivada bela que finge não notar actvpida e atrevida homenagemdos seus animais domésticos 'J

que lembra uma das mais be-"'ifHI^pí

de modo mais amplo, o primei-ro tradutor de Verlain^ emqualquer língua que se consí-dere, pois que, ao que se sabe,não há noticia de versão dequalquer poesia do grande li-rico francês anteriormente &1868.

Aos verlalneanos de línguaportuguesa e principalmente aospoetas brasileiros, que tanta influência receberam de Verlaine,deve ser sobremaneira grato ve-rificar essa particularidade,realmente notável.

Admiremos, pols,_como devemser admirados, o agudo sensopoético, a fina penetração cri-fclea e estética desse artista bra-sileiro que soube sentir e rpres-sentir a poesia verlainean»quando esta ainda se não re-velara em toda a sua plenitude,

e, o que é mais, quando ela eraainda totalmente ignorada naprópria França, a qual levouvinte anos, aproximadamente,para compreender a nota pes-soai. Inédita até então, das "Fê-tes Galantes", — o primeirolivro de poesia em que, comoelementos estéticos, as duasinspirações, a obetlva e a sub-jetlva, aparecem estreitamente^^—profuâdentente-de modo tão absoluto que senão poderá dizer onde começauma e acaba outra.

"Ce timbre profond — dizFrançois Porché — litteralementinoui des Fêtes Galantes, quidonc, en 1869, s'avisera de l'en-tendre? II a faliu vingt anspour que queloucs artistes, par-mi les plus raffinés, reconnus-sent Ia force penetrante de cet-te musique en apparence si lé-gere, sa puissance ineffable".

Não é preciso dizer mais, oa-ra fazer-se o elogio de Gon-çalves Cresoo. di sua aci-Madea um ^ftmioo poética e crítica

As "Miniatwras", jpequeninajoía de poesia parnasiana e in-tünista, — ela própria um enig-ma de antecirjacão de gosto li-terárió, — contem um enigmahihllográfi<-o dpfi "T*4tes. On-i«n-tes", a mais perfeita jóia lite-rária em qualmier idioma quese tenha em vista.

Pois nan S" Ih<«! no*^ at^ ntncerto ar de família, nos títulospreciosos?

(1) Verlaine tel au'ü iut, (Piam-mHrlon, 1933). Essa obra. que comexpor a nú o homem condenável emVerlaine tem a mais alta significa-Cão literária, poia que pondo em con.fronto aa duas naturezas antf podas,o. monstro e o poeta, coexlstentes emVerlaine, melhor do qne nenhuma ou-tra' noa faa compreender e sentir aqualidade excepcional da poesia ver-laineana, nio só ê omitida por LeDante* na bibliografia sobre o poeta,como atacada embora enotninadamen-te, com «ma injustificsvel violência,no prefácio da edieso da Pléiade.

(2> Maria Amalia Va* de Carva-E, na penúltima quadra,, do Bw^Estado-C

' ¦ ¦¦ Completes de Gonçalves

"Verlaine chegando ao CaféProcope". (Desenho de F. A.Cazals — "Les derniers Joursde Paul Verlaine" — Mer-cure de France. Exemplar17, vergé d'arches. Bibliot.

Bricio de Abreu).'

Ias florps antológicas sobre oaidil feminino, a vergiliana "ga-latea ad salices"!

-originar/ 'tõcSTo 'acento verlai/

neano da poesia, com tudo oque ele apresenta de ambigui-dade, de evasiva, de entretons,do retração, não estará, porven-tura, naquele verso em que o"négrillon", — espécie de Za-mor da Du Barry, — suspendemais do que deve a cauda dovestido, a-fimDe voir ce dont Ia nuit il rêvce que Crespo traduziu tão malcom uma horrível perifJrase?

Seja, porém, como for, apesarde todos os senões de sua ver-são, cabe ao fino poeta das "Ml-niaturas" a glória de ser nãosó o primeiro tradutor na lín-gua (portuguesa do poeta de

como a de ter sido,

Crespo.

Í3) Nnnea pude deixar de aproxí-mar o quadro pintado por Verlaine.nesses quartetos, do que nos descreve.evidentemente por impre*"iac5o daniie-le, Joseph Marie de Heredfe (LeaTrophiea); no soneto La Dnçaresae:lndolente et euperbe, une Dft»*«, à

11'éeart,Se tournant à (temi dana un flot de

[brocart,Sourit <ltt néffriUon qui lui porte Ia

[ouette.(4) O qne nos lembra uma espiri-

tuosn anedota sobre o próprio Verlai-ne. swnindo a qnnl. o poeta, imbuídoem certo tempo de uma pretensa as-cendêndft castelhana, teria anunciado,m qnetro v-tc. com ir m«o »f-rio, meio pilhérico, que ia traduair

para o francês a obra de CaWeron «leLa Barca, e começou por tracniafr onome do grande poeta espanhol:Chaudron de Bateav..

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agradece a preferênciaAv. Rio Branco, 120 - Loja Tel. 43-7191

Aegri SomniaPAUL VERLAINEDepois dis ans, ma jambe

[gaúche»Tn me jonas combfen de tours!Cen est lassant, cela me fauche.Cela va~t-il durer toujours?

Si je marche, je me figureQue je traine un boulet, forçatInnocent, mais tu n'en a cure!— Qui donc voolut que tant

[pesãt

Derrière moi ce membre raideEt doulourenx? le diable on

[Dieo?Est-se ã péches le remede,1,'expiation? Lors, c'est pen.

On bien Satan, jamais en faut»Quand U faut ne pas faire bien,Veut-il tenter, invisible note,Ma patience de chrétien?...

Bah! ce n'est rien. Dien voit[mon zele

A sonffrir en cet anjourtThui,Et ma jambe muée en aile,Moi mort, m'essoTera vers Lui.

¦f5) "Hti Spírecrmcnto—das— JTÍíeoGalantes, Théodore de Banville escre-veu um artifro elogioso mas aeramaior penetraão. sobre a peauena pia-r"iet.to", no National, em 19 do abrilde 1869. e Victor Hutro endereou aVerlaine. datada daquele mes e ano,uma carta apenas amável de agrade-cimento pela remessa do volume. Atiragem, das Fêtes Galantes, impressaa expenaas do autor, foi de 350 exem-

(6) A Senta, Alguém, Na Roça,,Canção, Ao Meio Dia, pãgs. 14, 92, 9i,120 e 133. respectivamente, da primei-ra edição. A nostalgia do Brasil cmGonçalves Crespo começa, curiosamen-te. por se nos revelar na original de-,claração "Natural do Rio de Janeí-ro-*. que figura na folha de rostode obra, logo abnixo do nome do au-tor. Como se sabe. Crespo, filho de paiportuguês e de mãe brasileira, de côr.nasceu no Rio em 1346. Mandado paraPortugal, sozinho, aos dez anoa, paraestudar, formou-se em Coimbra, emPortugal se fez. homem, publicou suasúnicas obras e constituiu família semnunca mais voltar ao Brasil, onde,entretanto, viviam sua mãe e umairmã casada. Adotou mais tarde, a na-cionnlidade portuguesa, para exercero seu mandado de deputado à cArtcsHe TAnbbn, onde representou as índias.Faleceu em Portugal em 1883. sendo aaua morte pranteada no Brasil, emsentidos sonetos, pelos poetas parna-aianos, de que foi um precursor de

(7) Esclareçamos, porém, quenessa publicação pre-original, elasaparecem ainda com os títulos comque primitivamente figuravam no ma-niincritn oHinnnl. euio "fnc-Bimile"

tive em minhas mãos, ou seja, respec-tivamente, Fites Galantes e Trumeau.A primeira dessas poesias 6 a qtieabre o livro e daf Verlaine lhe haverdado a principio o titulo geral que robra teria.

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14 DOM CASMURRO

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ir

O BRANCOVERLAINE

de Afonso de Carvalho 'Especial para

"Dom Casmurrò"

Verlaine cantando: "J'étaisavec Fathma".... (Croquisdo natural, feito por F| A

Cazals; Obra citada).

Em Paris, não pode sermais seleto o grupo intelec-tual em que convive o Barão.

Nessa época, a Cidade-Luzagazalha os príncipes exila-dos dó espirito. — EduardoPrado, procurando esquecerno boulevarã, no parisianis-mo do "Jacinto" de ACidaãae as Serras, o saudosismo mo-nárquico, a rebentar em fui-gores de ódio republicano nosFüstos da Ditadura Militar.K' um "Frederico de S" irre-verente," pseudônimo que malesconde ó. panfletário rebela-do, o jornalista cintilante eerudito, de cujas polêmicassaltam chispas de despeito ede talento'.

— Eça de Queiroz, o espí-rito mais gaulez que já pro-duziu o século.XIX, desam-bientado das doçúras ruraisda sua terra, flor de civiliza-ção incompreendidamentenascida na Póvoa do Var-zim, quando, para vicejar,precisava das sombras doBois ãe Boulogne. E' um

exilado voluntário, que pro-cura Paris como a falena per-segue a luz, e ali se deixaficar, embebido no espíritofrancês, como na sua terra, ,a lamparina no azeite.- E to-cado de luz, de emulações,de flamas e de sinos de pra-ta, fica a maravilhar a pai-sagem'espiritual do seu po-vo e da sua raça como umatorre de cristal, com seusvitrais a arder em clarida-des de alvorada, em policro-mias de fogo, e os seus si--nos a cantar a voz mais lím-,pida e sonora do idioma por-tuguês,'

Outro exilado é o próprioRio Branco, desde 1876 au-sente.. da sua pátria, do seuBrasil, renascido da brumae do carvão de Liverpool eque precisa da claridade deParis, como a terra necessi-ta de sol para vencer o ne-voeiro.

A' trindade augusta vemainda se reunir o giganteRamalho Ortlgão, pletórlcode vida, gordo de otimismo,blasonando saúde como umcouraceiro de Frederico II, eesbanjando frases de espiri-to, perdulariamente, com umespirítuoso lanceiro dos tem-pos de Voltaire.

E nessa orquestra altisso-nante, um violino melodioso— Bulho Pato.

Quer na residência do Ba-rão, na Rue de Rennes, quer

no apartamento de Eduardo' Prado, na esquina da Rue de,Rivoli; quer no famoso "202"do Eça, as reuniões se pro-longávam faiscantes de graçae de espírito, na mais fran-ca boêmia intelectual.

Domício da Gama, que veioa conhecer o -Barão nessa,época, quando apresentado aEduardo Prado para enviarcorrespondências à Gazeta de.Notícias do Rio, referentesà Exposição de . Paris, dáprecioso depoimento dessastertúlias magníficas.."Era o tempo de amizadefraternal com o Barão. OPrado e o Barão eram inse-paráveis. Dia e noite juntos.Nunca vi duas pessoas se en-tenderem melhor".

"... Eça, com aquela verve. e a inexcedívei vivacidade do

seu espírito, quase sempremordaz, conversava horas afio, deslumbrando o cenáculo.O Barão mantinha-se silen-cioso; mas quando estava debom humor, era simplesmen-te encantador. Prado, ele-gante, moral e fisicamente,com aqueles seus ares degrão senhor, fazia pilhériascom Eça e com o Ramalho,que, barulhento, estabanado,falava alto, com estrondo."

".. .E êle ressuçitava opassado. O Barão, o Barãoquase que exclusivamente oBarão, era o assunto prefe-rido da sua prosa. Era im-

pressionante e, ao mesmotempo tocante, como esse ho-mem era dominado pela per-sonalidade do seu amigo!o Barão !"

Eis o que Domício revelaa Heitor Lira' e se acha pa-blicado em "Um passeio emParis com Domício da Ga-ma". • :

E' nesse ambiente, é nes-se elevado círculo intelectualque Rio Branco trabalha.

Essa convivência com asgrandes figuras de sua épo-ca, .foi ae acentuado valorpara a formação mental aeRio Branco.

O B«rão ineressava-se portodas as coisas do espírito esempre, manteve destacadapredileção pelos autênticosvalores intelectuais.

Dentre eles, não podia ex-cetuar Verlaine.

Toda Paris admirava osversos do poeta, na sua be-leza e na sua amargura. Suascomposições, em cuja amari-tude o divino se misturavacom o humano, de fôrma es-tranhamente bela e lumino-sa, como o clarão de fogo-fátuo, remontado da podri-dão e a chama do santelmo,descida das tempestades,eram lidas, comentadas, dis-cutidas, no "202" e no bas-fond, e sempre em louvor dopoeta, que trazia em seusversos o diabolismo da dôr.

Mas o Barão nao conheciaVerlaine pessoalmente.

Retrato de Veflaine feitopelo êle mesmo.

Uma tarde — conta o seufilho, o embaixador Raul doRio Branco, em suas Remi-niscéncias, caminha RioBranco pela rua de Mouffe-tard.

"Um indivíduo quase emfrangalhos, com ares de men-digo, dirigiu-se para nós.Tinha uma capa que maisparecia uma blusa de opera-rio do que qualquer outracoisa, com um chapéu de côrindefinivel, tanto estava usa-do, sobre uma cabeleira aomesmo tempo hirsuta e raraEm tôrrío do pescoço, sobrea camisa encardida. havia ,uma espécie de trapo à gui-sa de lenço. Andava trôpe-go, apesar de apoiar-se numabengala velhíssima. O olharera ora vivo ora baço, nu-ma fisionomia inteligente,terminada por uma barbadescmüada e ponteaguda

Meteu meu Pai a mão nobolso do colete, mas retive-lhe a tempo o braço. Quasedava uma esmola a Verlai-ne",

E foi assim que Rio Bran-co veio a conhecer, pessoal-mente, o grande poeta.

1 —OS POÈMES SATURNIENS

Não somos dos que, pretextam-do a influencia de Leconte deUsle, e de Catulle Mendes, vi-sível em tres ou quatro campo-sições dos Poèmes Saturniens,julgam de somenos importân-cia, em relação aos subsíquen-tes volumes do poeta, esse li- ;vro de estréia de Verlaine, quese divide em qua*ro partes, Me-lancholie, Eaux Fortes, Paysages Tristes e Caiprices, além deum Prologue e de um Epilogue.Ao contráffio, atribuímos umaimportância capital a esse vo-lume de estréia em que o poe-ta, apesar da sua pouca idadete o livro fora escrito quasetodio na adolescência) além denos mos'irar, o que é raro numaestréia, uma personalidade de-,finida, oferece a pijori, o efue árarissimo, como que uma visãopanorâmica e antecipada, se as-sim podemos dizer, dos seus li-vros futuros, não só do pontode vista da técnica poética, se-

¦ não também com relação à ins-pirâçao.

De fato, a par das peças emque o autor revela a sua feiçãodo momento, de que são carac-

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A obra de Verlaine vista porum poeta brasileiro

ONESTALDO DE PENNAFORT, poeta e escritor brasileiro oem conhecido, foi o pri-meiro tradutor de um livro de Verlaine em linsu» portueuesa — "Festas Galantes" — editadoem 1934 pela '!Cia. Editora Nacional". Este ano, publicará êle, na "Livraria do Globo", um novolivro "Poesias escolhidas de Paul Verlaine" (Antologia e Exegese) do qual teve a.gentllezade nos ceder as duas apreciações que se sesuem, rápidos "aperçus", e as traduções dos versos"AUégorie" c "Chanson d'Outomne".

térísticos o Prólogo, a primeiraparte Melancolia, e o célebreEpílogo ¦ em que expôs a suateoria estética da arte pela ar-te.

Ce qu'il nous faut, à nous,c*est 1'étuile sans trêve,

Cest 1'effort inoui, le comhatnonpareil.

Cest Ia nuit, 1'àpre nuit dutravail, d'oü se leve,

Lentement, lentement, l'Oeu-vre, ainsi qu'un soleil,

é fácil ver nos Poèmes Satur-niens o germen das futuras ins-

í-pi-raisões-e da disciplina litsrâ-ria a que t<eriam de obedeceios posteriores livros de Verlai-ne,

Como negar, por exemplo, quea segunda parte dessa oora, —afi admiráveis Aguas-Fortes, —é uma amostra do processo or-tistico e da estética que presi-diriam à confecção dos Roman-ces Sans Paroles, livro escritasete anos depois de publicados0£ Poèmes Saturniens e de ou-trás poesias esparsas nas der-radieiras obras de Verlaine; queas Paysages Tristes, e, entreelas, as três primeiras e prin-

cipalmente a célebre Chansond'Automne, anunciam já de mo-do indiscutível toda a futuramaneira da pessia outonal deVerlaine; que a poesia Le ros-signol é uma "bonne chanson"por antecipação; que a Chan-sori des Ingénues, com os seuschapeaux de bergeres é um gra-cioso pendant de Les Ingénus dasFêtes Galantes; que MonsieurPrudhomme é uma Invectivemenos circunstanciada; que aSérénade poderia perfeitamen-te figurar nas Chansons PourElle; que os sonetos de alexan-dritnos longos e arrastados daprimeira parte dos Poèmes têmum ar de família com1 os sone-tos de Sagesse?

Pode dizer-se, em suma, quetodas ou quasi todas as obras[posteriores de Verlaine consti-tuem um desdobramento lógicoe natural de todas as tendeu-cias estéticas e líricas acusadasnos Poèmes Saturniens, que as-sumem assim 'a feição de umaantologia, avant Ia lcttre, dapoesia de Verlaine,

Que melhor elogio para umlivro de estréia publicado aosvüVe e dois anos? e que foraescrito em grande parte na ado-lesoencia do poeta?

3 —OS ROMANCES SANSPAROLES

Este livro, escrito entre 05anos de 1872 « 1873, e que é dewma originalidade e cie uma su-tileza notáveis, pinta a vaga-bundagem sentumen ai e llbe-rária úe Verlaine (que abando-i.ara a .esposa) com o poeta Rim-baud, através da B-slgica e daInglaterra, Publicado em 187-4por Edmond Lepelletier, amigofiel e futuro biógrafo do Pau-vre Lélian, numa tiragem limi-tada, de quinhentos exemplares,e em papel Whatman, fora docomércio, compõe-se a pequeni-na obra prima de qua.iro par-tes: Ariettes Oubliées, Paysa-ges Belges, Aquarelles e Birdsin liie niglit (em inglês, no ori-ginal).

Belas e célebres são todas asarietas esquecidas, destacando-se, principalmente, a terceirada série,

II pleure dans mon coeurComme il pleut sur Ia viile.Quelle est cette iangucurQui penetre mon coeur?

Chora em meu coraçãoComo chove, na rua.Que lânguida emoçãoMe invade o coração?

A notar a sutileza do poeta,que tornou impessoal o verbopleurer para estabelecer maiorrelação com o verbo pleuvoir,e assim esireitar o simile. Essaarieta Verlaine a compoz quan-do, abandonado por sua vez pe-In seu companheiro, sozinho emmeio ao fog londrino, separadoda esposa, que iniciara a aiçãode divorcio, mal visto em Pa-lis, — teve um desses momentosde enternecimento por si mes-mo, tão freqüentes nos egois-tas e nos poetas, "Rimbaud par-ti — diz François Porché — l'a-bandon a sur 1'exilé cet effetqu'il perd tout sentiment de sesresponsabilités; le voilà mainte-nant qui gémit sur son sort,comme si c'était Mathüde qui1'avait cnvoyé languir dans cesale. clima,"

O tom plangente e nevoentodesses versos, que caem verti-calmenle, se assim podemos di-zer, com a monotonia enervan-te de um chuvisco fino e pene-trante, corroborando o sentidoe a melancolia das palavras, —tudo isso contrasta bastante coma vivacidade descuidosa e des-cuidaidia que, para além das pa-lavras e u.s vezes a despeito de-Ias, transparece das PaysagesBelges, compostas ao tempo em

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que Verlaine deambulava ate-gremente pelas Flandres, uim

rytmc — diz Forché — qui estcelni d'un marcho rápido, rieu-se, et combíen legère de re-

Brlques et tuiles,O les chármantsPetits asilesPour les amante!Telhas, ladrUhos,Que encantadoresEsconderilhos

As Arlettes Oatoliées, con-quanto formem a primeira partedo livro, foram escritas depoisdas Paisagens Belgas, — asquais representam as primeirasdoçuras que, evadldo doa laçosmatrimoniais, da família, da or-dem social, em suma, Verlaineexperimenta om coinpanhia deRimbaud, do terrível Rimbaud,"1'hnmme aux semelles de vent",como lhe chamava, o trágico"passant" a que agitava a fe-bre implacável de mudar de lu-

gar, de ir além de tudo, de seevadir, de se sumir nos samffins do mundo real e do ideal

Longas travessias através dasfronteiras, dos campos adorme-cidos no silêncio noturno, ale-gre despertar junto às moitasainda úmidas de orvalho, sur-{prezas do viajor sem destino esem itinerário, infindável reno-vação dos horizontes, das pai-sagens, "rades, greves, pays etprovinces", como mais tarde, emSagesse, dirá Verlaine recordan-

do essa época e o seu estranhocompanheiro,

N4jus allions, — vous souvient-il,Voyageur oü «á dispara?Filant légers dans 1'air subtil,Deux spcotres joyeux, on eut cru.Des ipaysages, des cites

Fosaient pour nos yeux jamais[Ias;

Nos belles curiositésEussent mangé tous les atlas.

Tudo isso, que é tão diferentedn inspiração intimista de LaBonne Chanson, — é o fundodas Bomanças Sem Palavras,livro que desde o título, e naoobstante descritivo em muitapassagem, é eminentemente mu-sical.

O reverso da medalha, é oabandono em .Londres .a queRimbaud sujeita Verlaine, é oprocesso de divorcio intentadojpor Mathilde em Paria, são osdois anos de prisão celular.

O Casamento de VerlaineJe FRANÇOIS PORCHE

mulher que o desposar?! De-pois de sua morte, r^rmaneceraesta compensação, uma vez quesó restará, sua obra, e o maisdesaparecerá. Mas, em vida.tudo é considerado. E em se tra-tando de Verlaine, o que repre-senta "tudo mais", iremos ver.Bem sei, também, que da faceexqulsita e bestial nem sua mãe.

certho, grita ou sai batendo comcom as portas!

Este fanfarrão viciado, entre-tanto, não goza tranqüilidade.Seu despertar após as "cultes"nada tem de triunfal. Inútil-mente ohasquea e alude a"abrutissement léger", a oére-

Desenho de P. Berrichon,"d'après" um busto de Ver-

laine pelo escultor Rodo.

"Certo dia de junhoem que eu estava preo-cupado".

Eis um êbfío um colérico, umbruto, um debochado, um lú-brico, um perverso cuja sen-eualidade é multiforme. Que fa-zer para corrigi-lo ? Já contavinte e cinco anos. F/ opor-tuno que se case. Assim pres-creve a lei da burguesia, a an-tiga lei de Família. Bem seique este transviado é o gran-de poeta Verlaine, porém estaimpossibilidade evidente, a ou-tra face do "Fauno", ninguém,mos conciliábulos de família,leva em consideração: despre-zam-na, fingem ignorá-la.Quanto ao mais, que um homemdissoluto, atormentado por vi-cios incorrigiveis, seja o autorde maravilhosas canções, ser»compensação suficiente para a

mem o tio Dehée, nem os pi.niws do Norte, conhecem todasas sombras. Esta poderia ser adesculpa. Mas, ainda que meinorâüiorniaaos, nem por isto de-sistiriam do seu projeto, "Paulo

precisa casar-se". Tal é o cos-tuonie, mais íorüe que o bomsenso, que todos os escrúpulos.O' casameto "solucionará tu-do".

Em Jéhonville, em Paliseul, emFampoux, oade o procedimentodo "Parisiense" em férias, ser-ve para enacotas e censuras,quantas vezes, Stèphanie rece-beu das cunhadas, do irmão Ju-lien e da irmã Rose, este con-sêlho: "E' preciso que teu filhose case, é preciso que se rege-nere !" SDéphanie concorda,chora, e ri. Paul é seu filno.Para ela a máscara inquieta-dora do Eiitiro, llumina-a dealegria, de ternura, de amor.E não é só para ela, de resto:há momentos em que êle é jul-gado encantador. Nestas oca-siões dizem: — "No íntimo êleé bom". Porém, à menoradmoestecão, carrega o sobre-

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yuw. cuiiviria ao lúcido e lógicojjuuueiiUie, ininterruptamenteua^úiiiuo pianos ue viua, acin-pia a parui- ao áia seguinte, coma. cuuiui aas quantiaa que paria-Uifcutt cllbic Suil niiua t: 0\*ail*.XC,fcfcte termo, iiao se aaapta a 'ver-

ituiic. Vciiaiue nao possue a mi-mina clanviaencia, sentia ape-lios uma granue iassioao, um

Verlaine e Marie Krysinska".tCroquis do natural íeitopor F. A. Cazais. Oura

citada)'.

bro estagnado, o que não dizé que nestas horas de torpor,a vergonha mistura-se ao re-morso. Faz-se, geralmente, deVerlaine uma iàisa iueia, porquenele só enxergamos o homemsocialmente decaído, o vagabuu-do que, nos últimos anos, renun-iciaira defínitivaanente a morl-gerar sua vida. Mas foi pre-ciso uma longa série de desen-ganos para chegar a este des-calabro. Durante muito tempo,Verlaine lutou contra si próprio,isto é, com a serie invi&ivei deantepassados mortos, que cons-trangiam-lhe a alma.

"Vatnement ma raisort vou-lait prendre la barre".

Assim se expressou tambémum outro poeta, no terror dumcombate, talvez ainda mais se-vero, contra o inimigo interior.

Grande intelectual, ameaça-de alucinações, Baudelaire lan-ca este brado: "Ma raison!..."Verlaine, não mais sensível, po-rém unicamente guiado, nosseus impulsos espirituais, pelasensibilidade, só lança apelosdesesperados ao coração; ex-clusivamente do qual espera oresgaLe. a volta ao bom cami-nho.

E' raro que, num destino,quando as grandes emoç(5es, nãosão produzidas por acidentesfortui.os, ou catástrofes exterio-res, seja notada qualquer causaque os prefigure, como se a ai-ma antes de precipitar-se emdeterminada direção, traçasse ocaminho a seguir. Em seguidaa um "ribote" ou algum era-puloso deboche, Verlaine consi-dera a desordem de sua vida,

piUiunoo asco dextmo rtiiete suore a causa ae seuiiiíli, o que seria um meio dei>uuuo<wo, entrega-se. üis a ra-zuq porque abandona o quarto,tiua, püias ruas em lugar de irp^vi-a, o escritório, e ao passartuante de uma igreja, entra.ieiüiõ impulso o impenu para esselocal. V Ha dez anos, aesde osquinze anos de idade, que ja nãoore, náo pratica a religião, es-queceu as orações. Entretanto,pustou-se de joelhos num con-iisionario, e, ei-io a lazer o si-nai oa Cruz, bate no peito e du-rante muuo tempo, um tempoenorme, lavado em lagrimas,qtsiia com fervor e humildade,com uma .espécie de arroubo,ou arrepenamienjo, o rosa-no de suas culpas. Ainda nãoooteve desta vez a absolvição.Mas na semana seguinte /oiperdoado e admitido à SantaMesa da Comunhão. Que éx-tase ! No dia seguinte revela-se no Paço da Câmara Muni-cipl, um empregado integro, ze-loso, não se ausenta a tarue in-teira. A saida do escritório,foge das luzes tentadoras doscaies, recolhe-se diretamente asBatignolles. Esta firme reso-hição durou aproximadamentequinze dias, quinze dias de"sagesse" em 1869.

Depois é a recaída profunda,e novamente a vergonha e oarrependhnento. Na sua pertiur-baçao o "Deves te casar rauí",volta-lhe ã lembrança. Porém,estes preconceitos da provínciaque querem lhe impingir, aniisto não! Mas esJa vida ignó-bil, não se pode prolongar. Po-rém, como esquivar-se ? Nãosabe ! Esta nisto...

j&""Verlaine no Café Procope".(Desenho de F. A. Cazais.

Obra citada).

Certo dia de junho de 1869,pelo fim da tarde, dirigiu-se ãMontmartre, à rua çjicolet n. 14,onde reside, com a família, seuamigo, o musico marquls Char-les de Sivry. Êle quer falar oo

caro "Sivrotâ de Vaucochard etfils ler", seu simultâneo proje-to de farça lírica. "Sivrot" énotãmbulo, com uma regular!-dade que Verllaâne, empregadono Paço da <3ãmara, não podepretender. Por isto só se recolheao alvorecer, Charles costumadormir até às cinco da tarde.Neste dia, quando Verlaine tio-4jou a campainha. Charles ain-da na cama, mal abrira os olhos.Paul vai-lhe ao encontro noquarto de dormir, situado no se-gundo andar do prédio próprio.Os dois amigos conversavam,havia algum tempo, quando,apôs três ligeiras batidas naporta, uma mocinha apareceu.

En robc tfrise et verte avecdes raches.

Fez menção de retirar-se, pe-rém Sivry: — Fica, este Senhoré poeta, é Verlaine, conheces?

Então ela:— ó ! gosto muito dos poetas.

Senhor.

Elle alia, vint, revint, s'asslt,l parla,

Légère et grave, ironique,[attendrie...

O que falou ? Banalidades sô-bre o calor do dia, mas:

Sa voix, étant de la musiquel fine.

Accompagnait délicieusementL'êsprit sans fiel de son babil

[charmantOü la gaite d'un coeur bon se

[ devine.

Ao ftêrmo de alguns instantes,após ter marcado encontro comSivry. no café Delta; Verlainedespediu-se. Ao descer a escadajá estava

"Au plejn pouvoir de la petiteFée".

De seu segundo casamentocom M. Manté (diz de Fleur-

DOM CASMURRO 17

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villie) rentier a mãe de "Sivrot",nascida Chariot tinha duas fi-lhas, Matilde a mais velha, istoocorreu em 1869.

"Une filie presque enfant".

Eis o'que não deve ser esque-cido. Apesar de ser ainda mui-co jovem por ocasião desse pri-meiro encontro, era mais velho10 anos do que Matilde, quenascida em 1854, contava quin-ze anos, Oharles, seu irmãounl-lateral, de olhos empapuiga-dos de sono as cinco horas datarde, contava vinte e um anos,Vê-se o trio: uma menina ino-cente; o rapaz, bem jovem, ros-to fino de musicista, com lon*gos cabelos magros, e bigodeslouros, tez mate, empalidecidopelas vigílias das noites de ca-barets; <e o ouliro, com olhosoblíquos ,nariz chato e fareja-dor, o cràneo já quasi calvo,alto e robusto, apertado na so-brecasaca encolhida de funcio' nário, uma gravata preta, es:irei-ta como um cordão, amarradaem volta do colarinho branco,indumentária austera que pare-ce tomada por empréstimo,cjue é o disfarce de um Fauno.

Num relance, Verlaine apre-ciou tudo: o talhe pequeno eencantador, "com uma promessa

O grasse en des jerseys de[ poult-de-soie;

os cabelos castanhos, o "rostomuito meigo, pálido, rochon-tinido, apesar de alongado", onariz ã Roxeiane";

.. narines qui vont en 1'airNon loin de deux beaux yeux

[ quelconques,.. .mignonnes comme ces coc

[quêsDu bord de mer de bains de

[mer.i.

a boca "talvez ligeiramente ver-melha, invés de rubra; pontacasta e tão rapidamente apare-cendo como desaparecendo, du-ma língua que de vez em quan-do umedecia 05 lábios; os olhoscinzentos, a pupila movida semmalícia... apesar de olhar umpouco de soslaio, provavelmente,ou quem sabe senão (pois comessas virgens o que acreditarj?como saber ?)"

Ses yeux qui sont les yeux[ d'un ange

Savent pourtant sans y pensei*ÉvelKer le désir étrangeD'un immatériel baiser...

Esses olhos "sombreados porlongos cilios e separados de bas-tfssimos supercílios que se reu-nem talvez .por inveja", e amão:

.. ,à ce point petiteQuun oiseau-mouche n'y tien-

[ drait

.Reunimos aqui, de propósito,rememorados e fixados de me-mória, em épocas diferentes, to-dos os detalhes que o olhar deVwlaine, num relance, abran-geu, nesta noile de junho: pro-sa e verso, poesia e verdade,êxtase de tempos felizes' e sus-peitas retrospectivas, quase bra-mindo injúrias concentradas,delicadezas e trivialidades. Masem todos esses diversos senti-menjos em que a imagem, apósos incidentes, se colora, até naadoração dos primeiros dias, seobserva um caráter especial devisão. Agudo, rápido, experi-mentado, avalia o valor amoro-so do seu objeto, examina asparticularidades da pele desa-geitado. r.a.t.pp., sopesa, cTincnndri—cada tesouro como se fora umapresa E' o goipe as- vista numconhecedor (o autor das Amies)o qual saboreia, de ante-mao, odeleite duma iniciação a reali-zar e para.quem a própria ino-cência,

"rougeurs de fenHne-enfant"—é um condimento a mais paraa voluptuosidadè.

Mas do sátiro, cujas calças denankin com presühas ocultavamprovavelmente o pé capripede,que juízo teria fei:o a peque-na ninf a 7 Isto é mais obs-curo._

Se Verlaine, na ocasião desseencontro, via ou reparava emMatilde pela primeira vez, elarecordava-se'de já o ter encon-trado, há uns dois anos passa-dos, quando contava treze anos,em casa de Nina de Calhas, de-pois, um pouco mais tarde, nu-ma festa no atelier do escultorBertaux na rua Gabrielle.

Repreesntavam naquele dia,um "sainete" cômico de Lepel-letier, le Rhinocéros, .para o

qual o precoce "Sivrot" escre-vera uma par'itura. Verlainesubstituirá, de momento, umIntérprete ausente. Em casa deNina, Verlaine parecera feio àjovem Matilde: "mal vestido,aspecto de pobreza" e com"olhos de japonês exilado"; emcasa de Bertaux, ela atribuíraao poeta um aspecto agradável,porém assustado. "Ah! comoneste dia a atraíra mais, esterapaz" de rosto interessante"• "com o perfil de Bonaparte emBrienne") que se mantinhammodestamente esquivo a umcanto: François Coppée, o au-tor de Reliquaire, um livro doqual ela sabia de cór variaspoesias, entre as quais La filiedu geôlíer! Como gostaria queCharles lhe apresentasse essebelo moço ! Porém, Charles es-tava muito en;retido com seusmúsicos A apresentação não loifeita.

Entretanto, se Verlaine nãopossuía a sedução de Coppée,era, como aquele, um poeta.Este àtribujo que aos olhos de ¦todos os paremtes de Paul, eaos de Stéphanis, não tinna ne-nhum mérito, parecia à filhamais vellia dos Manté, uma au-réola. Não vale a pena enal-'tecer

Matilde Hiiii.i , il 111"lhe para lêr alguns versos, dePaul: gostaríamos de poder di-zer que a galante menina comnarizinho a "Roxeiane", adivi-nhara o homem de gênio. Masseria absurdo. Não, seu irmãouni-lateral, este músico quedormia durante o dia, agradava-lhe de modo- extraordinário,-talvez pelo con.iraste com o pai,o hipócrita. M. Manté deFleurville, com suissas e óculosde aro de ouro, Charles era umartista, razão porque Matildegostava de todos os artistas, eVerlaine era um deles. Apre-ciava versos, o que seria jusx),se não apreciasse, indistinta-mente, o que é estúpido. Elamesma os compunha detesta-veis. Em suma era um tantocuinha.

Ao deixar a rua Nicolet, nestanoite de junho, Veriaine foi aoDelta. Ia "ruminando", comoé seu hábito. Que acaso feliz,inesperado, colocou essa meigamenina no caminho desastrosoem que ia perder-se? Quando"Sivrot", enfim, completamen-te despeitado na hora do ape-

.. ."Cétait dans l'un des derniers móis de siège, aubastion tant".,."PIERRE DUCHATELLET". — Des. de B. Mahn

para "Oeuvres Completes". Vol. VIII. Lib. dePrance. Bibliot. Bricio de Abreu.

ritivo da tarde, encontrado como amigo, no café, acha-o lendodo jornais ilustrados. Na mesa,um cálice de absinto intacto:

aiçucar ainda na colher ren-dilhada. "Com

>m Sivry", Verlaine nãobebeu naquela noite.

No dia seguinte ,está muitoperturbado, numa tamanha agi-táção que, sem prevenir a nin-guém e deixando sua mãe in-cumbiída de desculpá-lo com ochefe, alegando um mal súbito,parte para Fampbux, casa do-timtfuliên Dehée.

Mal chegou sente um tédiotão profundo, que as pescarias,caçadas, e os numerosos jan-tares em íamilia, em todas asaldeias circunvizinhas, onde re-sidem seus primos, nao conse-guem dissipar.

Toma, então, seu cajado de es-pinheiro, enlexra na cabeça ovelho chapéu de palha, e en-caminha-se, à pé, na direão deArras. Baunilha a calçada quepsrlonga a Scanpe. Percorre numimpulso de ódio vinte quilôme-tros entremeados de pequenasparadas em todos os alberguesdo caminho. Chegado a Arras,vai de café em café; já meioébrid, entoa na igreja Saint-Vaast, respira um instante noambiente fresco, emocionadopelo som do órgão, por qualquer

trecho do canto coral que reper-cute pela a bobada; reapossadopelo demônio à saída, abancivse,novamente, nos cafés, "rium bomçarj^hih&^--enujnha pires sobro

termina o dia, já aoanoitecer, numa casa de tole-rância, voltando para Pampoux,pelo trem da meia-noite, mu aestado indescritível de bebedei-ra, de náusea, de exaltação, deprostração, raiva e amor.

Ao alvorecer precipita-se, ain-da, de camisola, sobre o papele escreve, dirigindo um pedi-do a Sivry, aquele rapaz de vin-te e um anos, para solicitar oque?...a imão de sua meiairmã, de quinze anos. Depois,veste-se às pressas, corre aocorreio, coloca a carta na cai-xa, volta para casa, cai prós-toado sobre o leito, ronca atémeio-dia. Três dias de mortalexpectativa. Finalmente a res-posta chega. "Sivrot" tnans-mitiu a carta de Paul primeiroà Matilde, depois a sua mãe,que a mostrou ao marido. O pe-tíido não foi rejeitado: pode ha-ver esperanças..."Er divino", exclama Verlai-ne, e, imediatamente, concebeo plano dum pequeno comjpên-dio de versos que se intitulará— Bonne Chanson.

(Tradução dfe Solèna Bene-vides Viana).

lV.: ,

\(;:-.i- ";'':

Em suas — "Confessions" —escritas em 1894, Verlaine, jávelho, referiu-se a sua noite denúpcias, em termos de um ei-nismo tão chocante, que ohe-ga a causar vergonha. Comose pode mesclar neste grandepoeta de alma inspirada, capazde ternos e' delicados frêmitos,esta alma grosseira?

Não se tra;a aqui de conve-nléncias, mas de realidades mo-rais e sentimentais. O que co-

Becem-casado - Vida - Brutalidadee amor - Na caserna -1870 - A comuna

lide não é a falta de decência:a decência por vezs não passaduma máscara hipócita, e nassuas "Confessions" guardar a

t_____w>¦^wÊ_y_Pt' ¦¦'

' V v yJj^_^^^...le, recrutement de Ia Garde Nationale de marche, etmême ãe 1'autre (côté des pantouflarãs), je me fis inseri-re ãans le 160e. bataillon — Ia Rapéé-Bercy qui était ãede faction entre Issy, Vanves et Montrouge..,

"CONFESSIONS" — Pág. 340. Des. de B. Mahnpara '.'Oeuvres Completes". Vol. VIU. Lib, Fran-• çe., Bibliot. Bricio de Abreu. ___—¦

18

de FRANÇOIS PORCHÉ.

decência, é falsidade. Não, oque penalisa é que a sincerlda-de obrigue Verlaine a revelar

. constantemente este rosto debo-chado de velho colegial enge-lhado.

La nuit nupciale? Elle futtout ce que je m'en étais pro-mis...

Ma femme, risum beneatis,seize ans..,

Bisum teneatis?... Porém,não temos nenhuma vontadede rir.

; O casal instalou-se à ruaCardinal-Lcmoine n° 2, quar-to andar, num apartamento pe-lo qual pagava mil francos,cuja sacada dava para o cãesde Tournelle.

Foi a época em que o poetaescreveu "Les uns' et les au-tres", um ato em verso, no gê-' r.ero de "Fêtes galantes". "Fè-tes galantes" entremeadas aquide ginásticas "banvillescas",análogas sobre o plano proso-dico, às acrobacias de Matildesobre o tapete. A essência dasprimeiras "Fêtes" se diluemnum estilo afetado de teatro.

Verlaine repartia-se entresua felicidade sensual, o emprê-go quotidiano e esse trabalhode virtuosidade literária, quan-do rebentou a revolução de 4«e"3'êfi;mbro.

"Ria-se e beijava-se pelasruas, cantava-se a Marseillai-merava-se na praça do Paçose... A' noite, a multidão aglo-da Câmara Municipal, e acla-mava o novo governo. Roche-fort aparecia com freqüênciana janela e, era um dos maisovacionados...

O advento de "Ia Troisième"foi acolhido com transporte noapartamento da esquina docães. O pai Manté, aquele queVerlaine chama "o belo velhoviuvo, que tornou a se casar debarrete dourado" depurado can-tonai do décimo oitavo distri-to, nutria contra o Império omesmo ódio que seu gemo. Po-rém, "meu pai, afirma Matilde,foi toda a vida orleanista".Não fora condiscípulo de Hen-rjque IV, o duque de Orléans?Colegas do duque de Orléans,cuanta gente se gabou de o ser!Passemos. Matilde era reipubli-cana, tendo aprendido ortogra-fia e gramática, aliás mal, coma excelente Mlle. Loúisé, a fu-tura "Vierge rouge". A horaem que, ao longe, na praça apa-gavam os últimos lampeões, apequena esposa, nesta noite,íremia de civismo e abracan-cio-se ao marido: — . "Agoraque a temos, estamos salvos,não é verdade? "Que a temos" ¦

a República! Assim murmuravabaixinho a criança tolinha eencantadora.

Ohegou o inverno. Paris cer-cada. Hugo, desde o outono,regressara à sua cidade. Todosos rumores do cerco repercutem-lhe na alma, porém o metaljá perdeu um pouco sua vibra-ção maravilhosa. Imperceptívelresistência da idade! Hugo es-'ifá com sessenta e oito anos"L'année terrible" é úifériorao " Chàtiments",

No Hotel "du Pavillon de"Rohan", depois de La Roche-foucauld, Verlaine visita o ve-lho mestre que, então, descon-fia de Gambetta e como todomundo confia em Trochu, atéo dia em que não será maispara êle senão o partícípio pas-sado do verbo "Trop choir".

Certa noite, Matilde acompa-riha.o marido ã rua La Roche-foucauld. Em presença do gran-•de poeia, sentiu-se muito emo-cionada porém, perfeitamente àvontade, diz ela, O jovem ca-sai Verlaine participou de tô-das as reuniões dadas por Vie-tor Hugo. Gostava do círculoíntimo. Verlaine introduziuLéon Valade "Rochefort, afir-ma Matilde, era lá muito apre-ciado. Era o padrinho de Jean-

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P. Elzear-Bonnier E. BlêmontQuadro celebre de Fantin-Latour — "Coln de Table

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J. Aicard1872 — (Museu de Luxemburgo)

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PAUL VERLAINE. Fotografia feita em 1891 no MeJier de Wisten. em Amsterdam. Essedocumento faz parte da coleção de M. Albert Messpin e foi publicado pela primeira vez naedição de luxo .de "A la gloire Verlaine" de Francis Carco. "Nouvelle Revue Cri ti-que". Exempl. sur Vergé de Hollande Van Gelder. N.° 23. Biblioteca Bricio de Abreu-,

PAUL VERLAINE — Foto atribuída a Lassing e publi-cada na "Revue Bleu". Junho (ie,„1894.

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Detalhe do quadro de Fantin Latour: Paul Verlaine,1872. Museu do Luxemburgo.

jie Hugo, e Victor Hugo cha-mava-o de seu terceiro filho".

Em outra noite, Verlaine le-vou Matilde á casa de Leconte

¦de Lisle:Este, escreve Mme. Delporte,

refugiara-se com a esposa numapartamento próximo dos In-validos. Partilhavam a habita-

: ção com Catulle Mendes e Mme.Mendes, o belo par, como eu¦os tratava. A' noite em que láestivemos, os dois casais esta-

¦ vam a sós com Villiers de lis-le-Adam este último cozinha-'va na lareira do salão, arrozã "Ia creole"...

¦'-[ Quando começou o bombar-jdeio, M. Manté, julgando a fa-;mília exposta no outeiro Mont-jinatre, alugou um apartamentoino boulevard . Saint-Germain,em frente a square Cluny. Êle,

porém, ficou na rua Ni;;ol3t,onde havia, disse Matilde, or-gariizado uma ambulância."A pequena esposa ficara sa-tisfeita por ter sua mãe resi ¦dindo próximo a si. Seu irmã.;Charles, qus, ao irromper aguorra, tornara-se noivo, foraincorporado no primeiro bata-Ihào mecanizado, fazendo partedo forte Nogent-sur-Marne.Contraindo varíola, foi restituí-do aos parentes, e tratado noboulevard Saint-Germain, on-de sua noiva, que não tinhaparentes na capital, fora hos-pedada por Mme. Manté.

Nesje duro inverno d-e 1870-71, o apartamento do boulevardSaint-Germain, tornou-se umrefúgio, onde os amigos djCharles, e de Paul se reuniamà noite. Possuindo Mme. Man-té uma provisão de lenha, es-

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FAUL VERLAINE

Grande amie, aujourâliui Vêpouse de mon coeur)'foi qui fis mon délice en mes jours de tangueur,Gr, maintenant quetque force m'est revenueEt je puis déjier ta wntation nue,Rose et noire, en dehors de toi, bien entenda,A. qui mon corps, vaitlant et douloureux, est dü,Tout. mon corps et toute mon ame et tout cet êtreQui fappróche aujourdhui, ton servant mais son maitre,Et communie en toi par tel tours innocents.Desarmeis, Reine Legitime de mes sens,Que te voici, car Dieu nous veut voir, car il aimeA nous voir à toujours, avec ou sans emblème,Unis, ce qui nous fait des anges a ses yeux.Tout, aussi bien, nous tient ae itens précieux,Tout nous a mariés, ta maturitê mème,Êpanouie exprès en une fleur suprême,Et même ce passe, souvent à ãépiorer,Luxures, trahisons, qu'ü faudra réparer,Et surtout ce malheur qu'en sainte tu purtagesD'un courage charmant par quoi tu Vavantages,Ce malheur tout phisique ou je suis, tout moralDe lã d'oú tu placas ton vraiment auroraiEt comme virginal mode de m'être bonneNe le-cédant en e.vactitudc à personne,Que ãis-je ? toujours lã, près du triste chevetOu l'on crut par mmnents que mon sort s'achevaü.Oui, tout nous fiançuit, tout fit tes justes noces ;De notre avenir calme après les choes atrocesOü nous usions Ia chair et 1'esprit, en enfantsVieillis que nous étions déja. fous, triomphantsD'un reste de jeunesse encor bien usurpèe:Mais qui se sert du fer pêrira par VépêelHeureusement que sur moi seul le moi divinS'accomplit vresque sous tes yeux, — Mais il est vainDe parler. Agissons. Usons de patienceD'áborã. II le faut bien. Puisque 1'ápre scienceEt Vâpre muladie, en leurs momes combats,Me piétinent, champ üe bataille aux mille pas.Et puis, soyons joyeux, ou plutôt sois joyeuse,Toi dont Ia joie éperle une gramme soyeuse.Moi je suis resigne, presque content, content,Comblé, puisque tu vas m'en sourire d'autant.Ah! nous serons heureux mieux qu'avant: Ia sagesse.,.Raisonnable est bien là pour nous faire largesse . .D'un bonheur-jusqu'au bout au lieu de ce plaisir ..Oü tu te méfiais et qui m'était désir V:Pur et simple, avec, bien, pourtant, déjá Ia flècheAu coeur ã'une amour étonnêe et purê et fralclie...Mais tout cela c'est du futur... Vite au présent,Nous! Et puis, te voüà..;detes yeux apaisantMa fievre, avec ma niain sur ta main qui s'y laisse.Embrassons de bras lents acomptes et promesse!

Hôpital Broussais 26 aoüt

Detalhe do cjuadro de Fantin Latour: Rimbaud. 1872.Museu do Luxemburgo.

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tàvam sempre certos de encon-trar um bom fogo. Lã estavamri, três irmãos Cros, Camillt;Pelletan, Regamey, Villiers, Va-lade, cabaner.

;No Natal, houve em casa deVerlaine um "réveillon" mui-to alegre. Matilde [; descobrira,na rua Quatre-Septembre, umaníoüista que, ¦ tendobrenunciacioao comércio de chapéus, dedi-cára-se a vender "pequenas

cou-sas. Esta esperta parisiense ad-quirira vários animais no Jar*ciim Zoológico, que íoram sa-crificados por falta de ahmen-to: Sua loja continha um pou-cq de-tudo: macaco, girafa, ze-bija.-''¦¦--

"Ela ofereceu-mé,' conta Ma-tilde, por vinte francos, o co-ração de v.m urso; porém aque-le enorme pedaço de carnesanguinolenta,, me K^ugnou.

Mostrou-me bonitas tijelinhassobre as quais es.avam escritosesses dizenes sugestivos: " Ti-jeias de perdizes cie Néras".Preço "quatro francos". Erade graça. Comprei, imediata-mente, várias. -No dia do ré-veillon, asv>tijelas fizeram su-cesso. Seu/conteúdo era na ver-dade opiparo.

Entretanto, o doutor Crossencontrou * alguns ossinhoe,ÈxaniiriáhdO-os, com atenção,disse a Matilde: Não vos-ilu-dais Madáms, nossas perdizessão ratos, porém, estes ratos sãoexcelentes. Peço-vos um poucumais".

Em s breve, os ovos passaram avaler cinco francos cada um;um alqueire de batatas, qua-renta francos.

A literatura marcial era amercadoria mais abundante.

Todos os poetas sopraram astrombetas. Recitavam nos tea-tros a "Lettre a un mobile bre-ton", de Coppée, Matilde aisque somente Verlaine se abste-ve. Não..é bem verdade. Escre-veu para o Rappel d'AugusteVacqüprie"' "sone.os vagamentepatrióticos" . Porém, sob anoni-inato.

Wão..qu3 lhe repunasse, preci-samente, esse gênero, mat,, sem

¦ dúvida',-..por ter conciência denão ..ser nele o melhor das suasproduções.

Lepelletier, no seu Paul Ver-laine, assegura que o amigo era' bom patriota", Certamente,patriota,' até calvinista, êle foimais tarde, ao menos em pala-vra, após sua conversão. Po-rém estamos em 1870. Seriaêle patriota nesta época ? Ma.-tilda em suas "Mémolres Iné-

DOM CASMÜRRO

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lüits" se insurge contra o quochama de lenda.

Onde está a verdade ? Estou. propenso a crer que do lado deMatilde. Lepelletier., se ¦e.ngajoii,voluntariamente, no eítército doRliin, depois, levado cómseu re-gimento, perto de Paris, nãoes.ava na capital durante o cér-co. De outro lado, os peque-nos fatos precisos, relutados porMatilde, teem o cunho de au-tenticidade.

Entretanto, é certo qui' nocomeço do Outono, arrastadapelo movimento geral de resis-tência, de guerra sem tirégua:;,que se seguiu ao 7 de setembro,mesclando a fé republicanacom um fervor, jacobino, ouainda desejoso de escapar, semgrandes riscos, à monotonia do"bureau", Verlaine renuncia,vo-luntànamente, a despensa con-cedida pela guarda nacional.dada a sua qualidade de homemcasado e expedicionário d'a Ci-dade. Porém, legalmente, forados efetivos de marcha, êle te-ria perfeitamente podido livrar-se, assim como fizera Lspelle-tier, evitar os guardas na. bar-reira, permanecer entre os "pan-touflards", no contingín.e adi-do ao serviço de correios no in-terior de Paris. Mas alistou-senum batalhão em marcha. Es-operemos

porém, pelo resto.Nessa ocasião, ei-lo armado de

um fiingot à tabatière. Não pa-rece que tenha, Jamais, dadoum tiro. O 160° batalhão de"Üaton" \La Rapée-Bercy) aoqual pertencia, tinha o, seu se-"tor entre Issy, Vanves e Mon-trougs. Serviço por .desloca-mento. Facção de dois em doisdias. Essas batalhões de mar-cha, marchavam principalnieri-te sobre a neve. O comandan-te, um advogado palrador, malequilibrado sobre um cavalo"percheron" da Cia. Farisien-se de ônibus, usava enormes ga-lões brancos, botas de vernizaltas, até as coxas. Os homensbrincavam de jogar rolhas nodeclive.

Horas vasias, tédio, um pou-co mais esmagador que o do"bureau" O entusiasmo dos pri-meiros momentos arrefecera. Apromiscuidade com os pequeno;;botiquineiros sobrepujava tam-bém a este boêmio. Pois o boê-mio artista, principalmente, éum burguês extraviado, sociá-vel, no café, com os do seu gru-po, porém, retraído com os ou-tros, assim permanecerá o poe-ta até o fim da vida, mesmo nosasilos e hospitais.

Então, o guarda nacional Ver-laine (Paul), começa a lastimar

o seu excesso de zelo. Em pri-meiro lugar, não deseja "mor-ler" pelos outras. Matilde estáum tanto humilhada eom estacovardia, Todos.os amigos dePaul não es'.ão cumprindo seudever, sem recriminações ? Paul,de resto, não corre grande ris-co. Porém a metralhadora não

é o único perigo que receia. Ofrio é cruel. Paul teme adqui-rir bronguite. sua mãe, nãoobstante ser mulher de militar,não soube habituá-lo às intem-péries. No leito, habituou-se ausar bonnets de algodão. Paraevitar dores de dente, colocaalgodão nos ouvidos e agasalha-se eom cobertores.

Não, decididamente,, gela demais, é preciso que Paul encontreum meio de libertar-se do ser-viço. Serviço diante do inimi-go. Se obtivesse um atestadamédico ? Vários médics cor.-sultados, recusam-se, após oexame, a declará-lo inapto.

Eis, então, o truque qwarranjou: manda sua mulher le-var uma carta a seu capitão,na qual informa ao oficial quefoi chamado à repartição esta-tíual, para um serviço urgente.Simultaneamente, previne a seuchefe de repartição que estáobrigado a ir montar guarda nabarreira. " Conseguia, assim,disse Matilde, pequenas férias".A maroteira teve êxito por dua&ou três vezes. Porém, um guar-da nacional do mesmo batalhão,que habitava na rua Cardinal-Lsmoine, no apartamento porcima do de Verlaine, descobriua fraude. Paul, denunciado, foicondenado a dois dias de prisão,o que, em tempo de guerra csob o regime do estado de sítionão parece severidade excessi-va. Cumpriu a pena na Prisãomilitar da rua Cherohe-Müdide anòrdo com os informes deMatilde. E, ao que diz o próprioVerlaine no posto da avenidaOrléans, estabelecimento hojosubstituído por uma escola.. Opoeta, ¦ vinte anos mais tarde,em "Mes Prissons", narrou aaventura a seu modo. Quandoo cabo, um bom rapaz, sapatei-ro do bairro, veio buscá-lo emseu domicílio, para levá-lo paru.a "taule" (prisão), a jovem es--posa, rindo, eoloccú-lhe na mo-chila umas latas dos famosospãtés de Nérac..Encarcerado num hangar, comuma trintena de delinqüentes,o poeta aproveitou-se da es-curidão da noite para saborearnum canto "en Suisse", o "ben-dito "pãté de perdigoto". So-" mente dias depois, soube pela

"Verlaine au café", - Des. de B. Mahn para o frontespicio das "Oeuvres Completes", Vol. L.Librairie de France. Bibliot. Bricio de Abreu. ;/".

B^B^B^B^B^B^BH* 'a^B^B^B^B^B^H

"Portrait du poete"/ — Quadro de Eugène Carrière.Museu do Louvre.

menina levada, que tinha comi-do rato. O relato de Paul, nes-te ponto, é confirmado por Ma-tilde. * * *

Mas existe um outro pontrmuito mais importante, sobre oclual'as opiniões der. Verlaine eas de sua esposa,'não; coincidem.Mme. Delporte,-sustenta quedurante todo o primeiro ano quese seguiu ao casamento, até ou-tubro de 1871, o entendimentoentre ela e o marido foi per-feito. Se Verlaine já havia re-começado a beber, não demons-trará senão uma única vez es-tar fora do normal. Um dia, aoentrar em .casa, Matilde encon-trou Paul no salão, sentado ede cartola na cabeça.

Mcstrou-se éle "' implicante.

até à crueldade, criticando feu-do... Chegou a dizer que es-tava farto da asqueirosa carnede cavalo, que obtinham emcasa, e que, no dia seguite, iriaalmoçar no Café du Gaz, ondelhe dariam carne de vaca.

"E de fato, durante umaquinzena, almoçou fora. Mas és-te incidente não motivou entrenós a mínima discussão".

Tenho a impressão que Mme.Belporte procura encobrir osfatos, e como acontece em ca-sos semelhantes, inventa muitacoisa. Mais adiante, referindo-se a outra cena assistida peloirmão, Charles de Sivry, emabril de 1871. ela escreve: "Su-

pliquei a meu irmão que nadadissesse a nossos pais, sobre cque se passara, alegando queera habitual. Êle prometeu,porém retirou-se penalisado,com a impressão de que eu nãoera feliz".

Sua principal preocupação,parece-me, é de ajustar suas re-cordações, ou pelo menos, suas"Mémoires" ( que ela contavana ocasião em que escrevia, po-

der publicar um dia? com o que,instruiu a tese de defesa dosseus advogados, no processo deseparação intentado contra seuprimeiro marido, a desinteli-gência teria principiado numadata precisa, e eSja data (outu-pybro 1»71) coincide com :'& ctie- .gada a Paris dum estranliüívia-/jante. Como sua rcsponsátoili-dade era terrivel, nos aconte-cimentos que motivaram o rom-pimento, os conselheiros de M.vtilde a induziram, provãvelmen-te, a declarar que o hóspededesconhecido não agravara umadesunião já existente, mastrouxera a discórdia para umcasal feliz. Eis o porque prefe-rimos nos referir ao testemunhode Verlaine.-

Parece que a época do blo-queio foi nefasta para este tem-peramento fraco. O rigor datemperatura, as fadigas das noi-tes áe guarda, a ociosidade dosdias, a camaradagem do solda-do, tudo- nas circunstâncias ex-cepcionais do momento pareciajustificar o esquecimento dasboas 'resoluções, e o retornoaos hábitos antigos. Cada pa-rada, - era para os inúmerosguardas nacionais ocasião de ma-tar o bicho em todos os bo'"«-quins do caminho. Verlainepara transpor a soLeíra dumbar não tinha necessidade qwo instigassem muito. Houve en-tradas no lar bem vacilantes,seguidas de tempestades domes-ticas. Pela primeira vez Ma-tilde se apercebeu nitidamente,não obstante o que alegou nassuas razões, aue desposara umétario. Entretanto, é verdadeque os esDosos se amavamSuas querelas terminavam ain-da com reconciliações apaixo-nadas que afogavam até a lem-branca das horas amargas. Nãoobstante em certos dias, não sóPaul voltava para casa embria-gado mas a bebedeira fazia

dele um outro homem e Matil-de ficava um tanto, aterroriza-da. Certa noite .retrucou comuma bofetada, as recriminaçõesque lhe fez. - ..v "A primeira. bofetada" êle

¦Hrltide a^istft::n,as_ suas Confes-"sions, num rtom-' faceto, como"" djmií gesto- reprevávgl. que umhomem deve evitar-no lar tan-to quanto- possível,,-;pois adqui-re treino e agilidade.-.Como estetom é desprezível. ,._, Assim foiaquele que certas;j pessoas cog-nominaram "o meigo. Verlaine".

No decorrer do inverno, me-nos de seis meses napós o casa-mento, Matilde scceíugiou, pelaprimeira vez, emücasa de suamãe. Porém, tendia Paul apa-rentado lamentar ¦ ¦ seu procedi-mento, a menina, de acordo comos conselhos de Mme. Manto,,voltou para junto do marido.Mme. Manté sempre pregou aconciliação no lar. Sem deseul-par o genro, ela parece ter jul-gado seus desvários cm inclui-gência nor muito tempo.

Vous futes bonne et douce eníjos tristes tempêtes, escreveu o.poeta. Verlaine abusivamentecompara os sentimentos que asogra lhe dedicara com os deMaria Clemm pelo genro, Ed-gard Poe. Principalmente noque lhe concerne a compara-ção é muito lisonjeira, poisEdgard Poe, que eu saiba, namais intensa das suas bebedei-ras jamais brutalizou a filhade Maria. Se assim tivesse agi-do, a angélica Maria não o teriaestimado. Porém Verlaine com

BANCO -PAN-AMERICANO S. A.

TODAS AS OPERAÇÕESBANCARIAS

84 Rui Buenos Aires, 8'*

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1

í wlv '1 1, '^

asa"Verlaine e Rimbaud em Londres". — (Desenho de

Feiix Régamey, hoje na Bibliot. Nat. de Paris. Imprimes.Reproduzido pela l.n vez em "Memoires en vrac", deJean Ajaibert. Ed. Albin Michel. Biblio. Bricio de Abreu.

L>ara o cunhado, Charles de Si-vry, músico ocioso, casado háalgumas semanas, um emprég.)r.a Municipalidade Parisiense.

De acordo com o parecer deLepelletier, por muito tempoconsidsrou-ss esta fase du vidade Verlaine sem importância.O próprio poeta variou de opi-aiião a seu respeito. Por certo,quando em 1882 solicitou do Pre-leito Oo Sena sua reintegraçãomos quadros administrativos,não estava disposto a se prevr.-lecer do titulo de antigo comu-real (título que é lícito supor deque êle se jataria na hipóteseque a Comuna saísse vitoriosa):e Lspalletier, que naquela oca-sião apoiou a proposta de Ver-laine junto de Charles Floquet,•jstá no S3u papel ao defendera inocência do amigo. Além dflqU2 Edmond, por sua própria,conta, depois de ter estado naguerra, dirigira em Paris, du-íante a Comuna, um jornal re-volucionário, Le Tribu du Peu-pie. Um dos influentes do dia,Alphonse Humbert, noivo de suairmã Laure fizera-o nomearConservateur au Conssil dTÊtat.Lepelletier, homem simples ecorajoso, devia ser sincero aorepresentar o papel desempe-nhado por Verlaine em 1871 co-mo absolutamente anoúino, Foipor meuir as responsabiUdadesnos riscos que o poe a correra.t_voi.es ejta.iúo nuios e Veriaineno Burcau de ia Presse, nãotendo passado dum subalterno,o advogado tira partido para

freqüência assume esta duplaatitude: é propenso ao arre-pendimento na efusão lírica:assim que raciocina provocairritação e raramente reconhe-ce que labora em erro.

O sitio prolongaw-33. Parisestava esgo.ado de viveresUma tentativa de sartida emCbampigny, repelida, diminuiu aesperança da população. O cas-tigo que Verlaine sofrerá longede recunduzf-lo ao dever, inci-tou-o a inventar um outro es-tratagema para subtrair-se des-ta vez deflnitivamene a guar-da nacional. O que êle fez Ma-tilde nos conta. Transladou-sesimplesmente com a mulher

...para casa de sua mãe nos Ba-tignolles. De lã escreveu a seucapitão que tendo mudado dedomicilio e de bairro, Ingres-sara em outro batalhão. Estaastúçia grosssira teve pleno êxi-to, pois o capi.ão negligencia-ra de verificar a declaração. Zassim o po3U ficou tranqüiloaté o fim da guerra. Em Bu-zenval outros (entre os quais opintor Henrt Regnault) ss "fi-

rent casser la g..., como êledizia. Notemos que sua mãe,viuva de oficial era cúmplice damentira.

Dezoito do março. Desde oamanhecer a atmosfera é desediç&o. Cartazes brancos emtâdas aa paredes. O Comitêcentral da guarda nacional re-cusa-se a desarmar as tropas einstiga a insurreição.

Neste dia Victor Hugo trans-portou de Bordeaux o corpo dofilho. Charles, morto sübita-mente naquela cidade. Da esta-ção de Orléans até o Père La-chaise o feretro avança lenta-mente no meio do povo em ar-mas, que se ds3Cobr-3 com res-peito.

Le peuple a l'arme au bras;le peuple est triste;...

t-or trás do coche, com osolhos vermelhos, a barba eriça-oa um homem baixinho, enca-recldo, semelnante a um javaií"branco: é o grande poeta.

Paul, no cortejo caminha aolado de Edmond Goncourt, tam-bém angustiado pela morte re-csnfce do irmão mais mojo.Exaltado, e talvez já um tantotocado, Verlaine escandaliza ohomem meticuloso com seuspropósitos incendiãrios...

De noite a rebelião triunfaaos gritos de: "Viva a Repúbli-ca comunalista !" M. Thiersfoge de Paris às esconjiídas.Os armazéns fecham, os cafésrecolhem as mesas e cadeirasdes terraços. Os canhões quea guarda nacional foi buscar noalto de Montmarxe foram dis-tribuidos pelas barricadas. Narua des Roziers, os generaisLccomte et Clément-Thomascaíram nas mãos da populaçae arrastados para um páteo deescola. Oeorge Clemenceau, ojovem maglsiirado do XVIII.".precipita-se de braços erguidos:'¦ Não derramem sangue meus

amigos !" Chega muito tarde.Os generais foram fusiladosAo propalar-se a noticia dedrama nos boulevards, Verlainedeclara: "Até isto es!á muitobem !"

Alguns dias depois, não con-tente em aplaudir as violências,o poeta adere oficialmente àComuna ! Entre os chefes domovimento vários: Rigault, An-drieu, Léo Meillet, são para êlevelhos amigos, "copains"; ou-tros: Delescluze, Flourens, re-lações entaboladas em casa deNina, Ei-lo pois instalado navedação da Presse, posto nãouegllgenciável junto de um go-vêrno insurreto. Paulo tevemesmo prestígio para arranjar

GgfElI CABELOS SECOS _^gf#T\#lW E FRACOS ^^^\AW

Res'.Atue aoleosidade natural

vida e beleza aos cabelos

^lUrnc. 9elda PoTocka

cente.Mas vejamos primeiro os fa-

tos. Verlaine tendo reassumi-do suas funções regulares amotel de Ville (Paçi pintei-'~pal)—aulas

de-ts-de-março, te--ria ficado, após es!» data liga-do ao seu rond de cuir "comoo veado á gleba". Entretanto.Lepelletier acrescenta que opoeta foi naturalmente ben-quisto dos novos chefes e feli-citado por sua lealdade; quepéssimo defensor foi este bomhomem! Em Irelação a elidachefe que êle pleiteou a causado camarada comprometeu-a.Foi por falar demais. O bomadvogado é reservado. A maio-ria dos burocratas na ocasiãoda tormenta afastara-se deVerlaine. Sem dúvida, nãoeram obrigados, mas pelos jor-nais do governo de M. Thiersinformara aos funcionários doEstado e da Cidade residentesem Paris que deviam abster-sa de qualquer serviço até novaordem. Verlaine sabia disto .{lipara o nosso orçamento. Comfreqüência via-o sair para o tra-balho de mau humor e julgavaque se êle perdesse sua coloca-ção, o mal não seria grande,pois poderia dedicar todo seutempo a literatura e viver assimde acordo com o seu pendor.Nesta época eu só enxergavapelos olhos de meu marido, eaprovava tudo qunto fazia: es-tava com dezessete anos!"(Memoires inédits).

Em suma, nessa adesão dopoeta à Comuna pouco nos im-porta agora saber se Jurídica-mente as funções que exerceucomprometiam-lhe a responsa-bilidade; o que é interessante

<1) Mme. Delporte escreveu: "Mi-nha sogra temia que o fiho perdesseo lugar a 1'Hotel de Ville (Muniripa-lidade) êle aconselhou-nos a acompa-nhar os trabalhos em Veraaillea. Elaquisera que eu instigasse meu maridoa partir, porém me abstive. Eu con-¦ iderava oa vencimentos de Verlainedispensáveis para o nosso orçamento,Com freqüência via-o sair para otrabalho de mau humor e julgava quere êle perdesse sua colocação, o malnão seria grande, pois poderia de-dicar todo seu tempo à literatura e"i\ er assim de acordo com o seupendor. Nessa época eu só enxergavapelos olhos de meu marido, e aprovavatudo quanto fazia: estava com desesse-te anos!" (Memoires inédita).

..*

saber é o seu modo de pensarna ocasião; e este o coloca, semdúvida possível, entre os insur-retos.

"Verlaine era grande entu-siasta da Comuna e devo dizerque no Início quase a popula-ção inteira de Paris pensava damesma forma... Quase todosos amigos eram partidários daComuna.., (Mine. Delporte,Memoires inédits). Já sob o Im-ri-rio, Verlaine se dizia hsber-tlsta, maratista, babouvista.Ernest Delahaye, que na ver-dade só encontrou o poeta pelaprimeira vez em novembro 1871.tornou-se em seguida seu ami-go e disse oue se identificaramna Comuna". Existe na pala-vra uma certa verossimilhançadevido à violência, a exaspera -cão ser em Verlaine. immilsos4'reauentes, cuase habituais.Porém, noutro sen ido a coir;-xão é injuriosa, suponho, paraü Comuna. Com efeito, o fre-nesi verlainiano é uma moda-lidade mórbida do delirium tre-mens e se a Comuni teve S3U*dias de fúria ignóbil, que po-ciem s?r comparados à loucuraalcoólica, não seria menos in-insto assimilar a esse torpe de-lírio o movimento comunalistaintegral: pois este teve sua no-breza, seus partidários puros cssus mártires.

Quando o exército de Ver-sailles avançava em Paris, foitfUfl a psndência deve ter inspi-rado a Paul o sentimento vivís-simo de que não passara em s'i-ma dum comunallsia em mau-gas de lustrina. A atitude queia adotar desde então a resp?i-to os "vrais" (convictos) se dei-cionáría foi-lhe neste dia dita-da, se assim se pode dizer, peladescarga da fuzilaria. Enquan-to-os-xavam matar nas barricadas,onde tombavam em pelotões d'-doze no páteo da caserna Lo-ban e nos bosques de Luxem-burgo, éle se entocava em casa.

Na segunda-feira, 22 de maio.o dia já despontara a multotempo, Verlaine e sua mulher-zinha ainda estavam deitadosno seu "lit de milieu" quandoum rumor estrugiu na calça-da. O poeta despertado tocoua campainha chamando a em-pregada "pour le chocolat ha-bituel du matin". A empre-gada apelidada "la linotte" en-crou, e, sem nem mesmo per-der tempo em colocar as chi-caras e pãesinhos em forma demeia lua nas mesinhas de ca-bsceira: "Madame, disse ela,

eles estão na Porte Maíllot!'*Eles ou Versaillianos.

A primeira barricada fôs-a to-mada de assalto na véspera, anoite. Grande emoção no "litds milieu". ,

Lepelletier e Mme. Delporte-stão de acordo em observar"la frousse intense" (a expres-são é de Matilde) que se após-sou ininterruptamente de Ver-laine durante estes dias sinis-tros. Os boatos corriam qu<irs obuses cairam nas Batignol-les. Paul estava inquieto sô-bre o destino de sua mãe, masnão tinha ânimo de tomar umfiacre para ir averiguar.

Passou a noite seguinte a la-mentar-se e a chorar, recrimi-nando sua covardia.

Mais ou menos às cinco horasda manhã de quarta-feira. 2a.sua mulher ofereceu-se para irà rua Lécluse. "Êle ponderouque se saísse expunha-se a serpreso pelos confederados e for-cado a tomar parte nos tiro-teios das barricadas "v Foi en-tão que Matilde se propôs ir sòa Batignolles, buscar sua sogra,"o que êle aceitou com prazere reconhecimento". Uma horatdepois Matilde sae. enfrentan-do a batalha da rua. ,

E assim Paul deixou sair só."sta mocinha de dezessete anosrrávida de quatro meses. Po-rém o medo não era o únicomotivo que o retinha em casa.depois de afastar a mulher: "1hlinotteá agradava ao patrãoTsto o próprio Verlaine con-fossa;—cinicamente; nas suasConfessions. Mme. Delporte re-cusa-se a crer . A burguesa"d.ime" que ela é ri com uniriso contrafeito como dum gra-ceio imoróprlo. Nossa criadinhaera, disse ela. "uma pequena- vesga, muito feia*-^—Eh! Poréni_Paul deveria ter a respeito ou-tra opinião. A própria fealda-de não o detinha. Êle provarac canara:

Cest une laide de BoucherSans poudre dans sa cheveu-

[lurt.Follemctit blonde ç d'une

[allnreVénuste à tous nous débau

[ cher...

Esta rapariga, insiste Mme.Delporte. era "duma estupidezdigna de Jocrisse". Um dia emque compramos um areieiropara graduar o cozimento dosovos ela colocou-o juntamentecom os ovos na panela. Porém,"la linotte", Ism ou':ras 03a-

BANCO t?AN-AMERICANO S. A.

TODAS AS OPERAÇÕESBANCARIAS

84 Rua Buenos Aires, 81 VERLAINE. — Quadro de Kerr Lawson. executadopouco antes da morte do poeta.

22 DOM CASMURRO

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rüóes, podia reveloír-se menosestúpida.

Tu possèdes et tu pratiquesLes tours les plus intellits..,

Enfim, temos eôbre este ca-pricho o testemunho de Lepel-leíáer. Durante o dia 24, Le-pelletier e seu colaborador Éml-le Bichard, ao terminarem decompor o último número doTribun du Peuple, vlram-sesurpreendidos entre dois fogos,nos arredores d l'Hotel dè Ville.Bateram em casa de Verlainepara abrigarem-se. O poetanesta ocasião levava vida prós-pera. Os abalos das explosões,o eeoar soturno do canhoneiofaziam-no estremecer sem queentretanto o fizesse deixar suaidéia fixa, pois recusando-se air contemplar da sacada o re-flexo do incêndio, refugiado nofundo dum quarto escuro fcen-tava ainda arrastar a criada,para acalma-la, dizia êle.

Durante este tempo Matildecorria sérios perigos, No dia 23,não tendo podido atingir Ba-tignolles, refugiou-se na rua Ni-colet. — "E' preciso que teumarido seja um louco para tedeixar sair quando se combatepelas ruas. Agora esperarásaqui até que a Bujte seja to-mada. As cinco aa tarde a jo-vem senhora pede aos pais quenão a detenham. Visto não po-der ir buscar a sogra, quer vol-tar para junto de Paul. M.Manté decide-se ã acompa-nhá-la. Mas a fusilarla obri-ga-os a retroceder. No dia se-guinte nova tentativa. O paiacumpanna a filha até o bou-levard Montmar„'re, aepois, cj-mo lhe pareceu que tudo esti-vesse calmo, deixou-a prosse-guii seu caminho.—Rm •ja-int-Hroch ela depara com um cor-dão de isolamento feito pr sol-dados e tem ainda de recuar,lassando pela rua La Roche-foucauld. sobe -lá casa do irmãoque, ao vê-la, põe-se a rir; "Isto

é bem típico de ti! Enquanto seluta pela ruas fazes visitas.Dentro em pouco ei-la nova-menx em Montmartre ondepassa a noite. Finalmsnte, noterceiro dia, 25. ela prossegue ocaminho. Quase foi fusilada nnBoulevard Saint-Germain, ohe-gou a ser colocada contra a pa-rede, depois segurada e empur-rada por um capitão que berra:— "Voulez-vous f... le camp,n. d. D. !" Dez minutos maistarde acha-se na rua Cardi-nal-Lemoine, onde sua sograacaba de chegar, pois a própria

::¦:¦¦ y'.'---r ..¦'' Sei' ??'"¦ ¦¦>'' "."-'¦¦'-" '"

Stéphanle atravessara Paris in-teiro inquieta pelo filho.

Eu admiro esta senhora ido-sa e esta mocinha, ambas igual-mente intrépidas cujos setimen-tos mascaravam a conoiênciado perigo.

Admiro. menos a Verlainenesta ocasião. Lepelletier e seucamarada ainda estavam láquando Matilde regressou. Eleshaviam, na noite precedente,dormido sobre colchões na salade jantar.

Foram ainda aa duas mulhe-res que, com o auxlio da "11-notte", procuraram facilitar aevasão dos dois suspeitos. Quan-to ao poeta nestes dias san-grentos, representa o papel dumgalã lastimável e ridículo, emo-cionado., * * *

Depois desta semana sangren-ta Verlaine evitou aparecer noLuxemburgo, onde os serviçosmunicipais acabavam de serprovisoriamente instalados, aMunicipalidade, IHôtel de Villetendo sido destruída pelo In-cêndlo. Um vento de delaçãosoprava sobre a capital. O an-}igo chefe de expediente daFresse julgou oportuno fazer-seao longe. No decorrer do mêsde junho foi com sua mulherpara Fampoux. para casa dotio Julien Dehée e de lá paraLéclube, para casa do primoDujardin.

Os ireceios do poeta eram tal-vez exagerados mas tífi modonenhum quiméricos. Nas sema-nas que se seguiram ao triur.-fo da "1'Ordre" a justiça, é .sa-bido, ifoi muitas vezes expedita,seu cunhado, o inofensivoCharles de Sivry, que haviaaceitado o lugar de regente daorquestra do Casino de Néris-

-ies-Bains não aoabava de serpreso nesta cidade, levado paradatory ? Satory ! a palavraadquiria um som penoso ondeos fogos dos pelojões longin-quos pareciam prolongar seueeo. Imagine-se a inquietaçãode Paul ao saber esta surpre-endente notícia, sabida no seurefúgio flamengo. Não fora aêle que "Sivrot" devera seu em-pT~_- v Entáo se perseguiam"Sivrot" era que...? Diabo. (2)

(2) A captura Ai pobre "Sivrot"fora motivada por uma denúncia ano-ilima que o sobrecarregava de tanto»crimes que os juíbes desconfiaram. Êlefoi solto porém só em outubro. Maistarde soube-se que a. autora da cartafoi uma mulher, despeitada com o ca-Bamento de Charles (Mme. Dclporte.Mémoiree inédita).

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I ím_$%lWm mt_\ _w™ v_W_m WfÀMmfflmí >%m_\ mI Pf ^^m I..."petit "ftourish", coup de clairon, fioriturc de trompette indispensable selon moi à tout

conférencier-lecteur un peu poli parlant dans tn pays étranger"...

"QUINZE JOURS EN HOLLANDE". — Pág. 172. — Des. de B. Mahn para "Oeu-

vres Completes". Lib. de France. Vol. VII. Bibliot. Bricio de Abreu.

VERLAINE, visto por A. de Croze, datado deSetembro de 1895-

Este acontecimento inclinou^Jaul a apreciar melhor ainaa uácida cerveja do norte: ficoudecidido que espsraria para re-gressar a Paris que a atmos-lei-a se tornasse mais respira-vel e que na sua voua nao po-ria mais os pes no "Durai",níaailde escreveu pois ao paios vencimentos do marido embreve faltariam para atender àsnecessidades ao casal. A rss-posta foi das mais favoráveis.M. Manté ofereceu ao genroque viesse merar com éle: o se-gundo andar do imóvel seria re-servado ao novo casal. Paul, dizMatilde, ficou satisleito comesta combinação que assegura-va à sua família teto e ma-nutenção e aeixava-lhe ampla

_uberdãde^A participação de Verlaine na

Comuna tendo ficado muio óbs-cura na desrganização geral, ne-nhum Inquérito foi ordenado aseu respeito e êle não foi demi-tido, porém, simplesmente, de-vido ao abandono de emprego,considerado demissionário defato e excluído.

Não parece que Verlaine nasolidão do campo tenha feitomuitas ponderações sobre seuprocedimento recente. torém,na passagem Choiseul, fora mui-to criticada e esta reprovaçãode alguns induziu-o a um pessi-mismo rabugento para com ahumanidade. Por isto delibera"ipara o futuro malhar a frioa maioria das pessoa: em quês-\ão".

O ódio de Verlaine par Le-cone de Lisle data daí. Com-prova-sa em Invectives: Por-tralt académique, "Fleur decuistrerie c de méchanceté. . ¦ "

E' dele também, nesta mesma¦Jata, esta declaração de prin-uípios:

f i ;,> iiM *:•»!¦ ;i:«ii,tli '

"Possuir alguns amigos bons.sinceros e francos, e, quantoaos outros camaradas, servir-sec-sles se possível". Foi com opoeta Émile Blémont que s>:_xpandiu assim por carta e pe-ne-lhe com urgência "os últi-mos mexericos da "Ia boite á.ancans", a loja de Lemerre".

Por certo "1'année terrib^"toma um aspecto bem benignocomparada a guerra de 1914-18.No verão de 1871 os escrivães-já se reagrupavam. Nina e suamãe, comprometidas por sua.srelações com diversos membrosda Comuna, fugiram para Ge-nehra, carregando os gatos e an.acaca. Mas a partir do mêsde agosto os jantares dos Vi-lains bons-hommes, ressuscita-iam. Verlaine recebe a notíciacem uma excitação singular;" Eh! bem, farei parte!... O lo •cal é sempre o mesmo ? Reci-taram versos à sobremesa ?"como o futuro vieux vagabondCste pretenso novo villon é <>homem dos cenáculos, homemde lejras.

Como também o poeta divi-r.al, que êle é cede com ire-cuência a vez ao rimador, ac("ruão! De Fampoux, envia aBlémont um soneto, paródia noGênero de Hérédia.

Forem o mais curioso é queum outro soneto que êle apre-senta como uma imitação deBauville é puro Verlaine.

Quero referir-me ao soneto quetem por titulo Bérénbe (Jadiset naguère):

Sa têle fine dans sa maint toute petite...

Aqui o gênio, o próprio tem-peramento sobrepujaram a in-teftção.

No meio de tudo isto, quepensa o poeta do que em tãopouco fempo se converteu emseu sonho da Bonne Chanson?Ele não parece se aperceber ni-tidamente desta derrocada.Blémont tendo lhe anunciadoseu próximo casamento, êle ofelicita duma forma sentenciosadissimulada: "Mais um homemno bom caminho !" O bom !Será que considera as bofeta-das, de que era tão pródigo,como fazendo parte desta bon-"flãcTe

? Esqueceu-se de pedir sô-bre isto o alvitre de Matildel«ião obstante, apesar de aindaquerer bem a mulher, está lon-ge dos primeiros entusiasmos.""Trate de tirar um bom nu-

mero! Quanto a mim não te-nho que me queixar do meu... *'file é bem gentil. Mas sobre o"número" c<ue a sorte lhe pro-porcionou o que diria com aface ainda ardendo de tapas, aipobre "peti1, fée "

No fim de agosto 1871. Ma-tilde pesada pela gestação, do-lente e Verlaine agora tranqui-lizado tomam o trem par.iParis.

Em casa de Lemerre (3) umacarta esperava pelo poeta queiria transtornar toda sua vida.

(3) Mme. Deluorte. Mém

BANCO i?AN-I AMERICANO S. A.

i TODAS AS OPEKAÇOES

BANCARIASI 84 Rua Buenos Aires, 84

DOM CASMÜRRO 23

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VERLAINE era de uma

extrema sociabilidade; ti-nha, se assim podemos di-

zer, a mania da. afeição:"J'ai Ia furaur d'aimer",disse êle, não sem. tristeza; cda boa vontade exclamaria comLa Bruyère: "Sou amante daamisade". Discernia, com umaperspicácia extraordinária a rá-pida, aqueles que lhe agrada-vam, aqueles com os quais sen-tia ter afinidade de idéias, deopiniões eu de desgraças, e nãacs esquecia mais. Chegado àsportas da morte, conservavaainda os amigos de sua idademadura ao, mesmo tempo queos de sua infância ¦- e juventu-de.

Edmond Lepelletier, seu bíó-grafe, era um colega de cias-se;. Ernest Dclaliayc cedeu-lheo lugar (io colégio de Rétheí:Émile BÍémont e François Cop-péc conHeceram-no bem antesda guerra1 de 1870. Viliers e l'Is-le e Stéphane Mallarmé (1) ío-ram sempre, ao mesmo tempu,que amidos muito queridos, seusverdadeiros Irmãos intelectuais.

Em Verlaine, as afeições, maisainda do que os ódios, eram de

uma profunda Intransigência.Possuiatuma__esj]"

Ue .prestigioso encanto quefazia c4»m que fosse difícil, Im-possível' mesmo, zangar-se seria-mente com ele. Apesar dos erros mais ou menos graves dequp ipudesseinos censurá-lo, nãolhe guardávamos rancor. SeVerlaine era iinpontual nos maisimportantes encontros, se, ai-gumas vezes, perdia toda a me-ilida numa discussão na qualdevia fconservar-se cortês,- ti-ulia, no modo . de desculpar-se,de arrepender-se, tanta fran-crueza, Insenuidade e maliciosasimplicidade, empregava, paradar a aparência de verdade aospretextou mais ou menos cao-ciosos que inventava afim deexcusar-se, uma arte tão mara-vilhosa que ¦ chegávamos quasea agradecer-lhe por ter erradoe o amávamos mais do que an-tes.

Aliás, apesar de tudo o quedissemos, a sinceridade de Ver-laine em suas amizades era in-contestável. Sempre que podia,mostrava-se o mais obsequiosodos homens, gastava ás vezestodo o seu dinheiro, usava detodo o crédito que lhe davamsuas relações para prestar.umfavor a "pessoas" a quem malconhecia, mas que lhe tinhamsido simpáticas à primeira vis-ta.

Graças às suas recomenda-ÇÕes, inúmeras pessoas, que oesqueceram em seguida, chega-ram a conseguir uma situação,literária ou outra qualquer, oumesmo, muito simplesmente, aentrar no hospital, o que, nosinvernos rigorosos, não era cou-sa desdenhável para os poetas.Apesar dos assaltos e daszombarias de uma horda de

_JlarrivjsJes^^^e^scribasi^ofi-ciais que tinham — e que ain-da têem — um enorme inte-resse em que o poeta fosse des-presado e que negavam calcula-damente suas obras primas me-nos contestáveis, ninguém sus-citou, nem conservou maioresentusiasmos, mais sinceros eafetuosos devotamentos.

A fisionomia de Verlaine fi-caria incompleta se deixasse-mos de falar naqueles que, emdiversas épocas de sua existên-'ia, viveram na mesma atmos-fera intelectual e sentimental,

(1) Em o."Figaro" de sábado, 8de abr*l de-1911, M. Hené Ghil. <ledi-cou três colunas a recordações nobrePaul Verlaine e Stéphane Mallarmé,onde «oneluin:

'...Sou o único de minha geraçãoa ter visto com os próprios olhosoa dois mestres (188G), que não de-viam encontrar-se mais do que umavez, com um simples aperto de mãos,quando das exéquias da mãe de Ver-

sta alegação, pode-mos atestar, e outros amigos do poetao testemunhariam como nós, que Ver-laine e Mallarmé nunca deixaram deae ver, e isto com muita freqüência,Lembramos especialmente des entre-vistas que se realizavam no Café Va-chette, em casa do editor Vanier eno hospital Qrousaals.

3nf

,r "WJ

Projet de Fresque", cie F, A. Cazais, onde vemos Verlaine e seus amigos

Os amigos de Verlainede Gustave Le Rouge

crearam-na ou sofreram a suainfluência.

Verlaine teve amizades de to-iía espécie: humildes e glorio-sas, ternas e heróicas, devota-das e Iminentes. Não tratarc-mos aqui senão dos amigos dopoeta e quem conhecemos pes-soalmente e que, por não seremsempre os mais notáveis, foram,ipelo menos, os mais interes-santes,

Não nos ocuparemos, pois, deVictor Hugo, de Sainte-Beuve,de Théodore de Banville, nemtão pouco de Arthur Rimbaud ede Luclen Létinois (3). Falare-mos rapidamente mesmo sobreos seus colegas do Parnaso, queVerlaine perdeu de vista nosúltimos anos de sua_vida,

Verlaine. pelo , próprio ant-Mente onde foi educado, foi umdos Parnasianos da primeirahora. Foi desse ambiente queconservou algumas de suas maissólidas amizades.

Verlaine lembrava-se com ter-nura dos companheiros de seusdebates literários. Escreveu so-bre um deles, Charles Cros, porqitem tinha particular estima(3):

"... Conheço Cros há muitotempo: creio que nos encontra-mos pela primeira vez em ca-sa de seu pai, o doutor Antoi-ne, no salão da rua Royale, on-de_fuL_int_rodrziiío pnr Paiern.-Bcrrlchon. ——-

"Nessas festas encontrava-semuita gente: um rei da Arau-4-ania, muito afetado, diuloma-

tas muito decorativos e "sports-mtn" dos, melhores para fazerefeito;;'artistas também e, na-turalmente, poetas; mas, pro-curaríamos em, vão pessoas dogênero y de certos contiemporã-nces i imediatos nossos, — quepena!'— tão cruelmente apre-

(2) "...Lendas maldosas surgirammonstruosamente a respeito da nunli-dade da nfeioão que unia os dois poe-+«¦«. esaea poetas cuia obra teve ir.-fluéncia. tão sã sobre as letras atuaii.E* preciso desfazer essas lendas, por-que a. árvore dessa linueão foi casta ef.e>tr( ramos de amizade não prod""'nada mais que uma vegetação naturalapesar do que o próprio Verlainetenha com pi a ceu temente deixado d-tender. Sim, a fetura, para o vulco.do fauno das "Pétes Galantes", soupsiquismo complexo, um pouco feirr-nino e ambíguo, como, na verdade, oera seu fisico, puderem autorizar oaparecimento dessas lendas... Entre-tanto, a despeito dos muitos cantosverlainianos, êle não foi jamais o qued'zem; nem com Rimbaud, nem comLétinois, nem com outra qualquer. Averdnde de tudo isso é que Verlainefoi um homem de trato muito amávelb amante impetuoso, que pretendiaimperiosamente que não se afastassemdele um instante aqueles que tinhaeleito seus amigos. A amizade nessehomem (ornava proporções de uma pai-xâo, sem cessar de ser amizade: inú-"meros de seus poemas sobre o assuntoestão ai para o afirmar,.," PaternoBerrichon.

H 1<*^Kv>''''':{i^KL;*

(3) Le Figuro, 7 de abril de 1833.

O Prof. Fortunat Stroviski,de LTnstitut e da Sorbonne,Professor da Universíaaiedo Brasil, que conheceu Ver-laine e de quem publicamosum artigo especial neste nú-mero, fotografado ern Copa-cabana em Agosto de 1944,

ciados por Louis Fcrain, umamigo de então e de hoje ain-da. Conheci também HenriCros, o excelente estatuário e ocerieiro sem igual; Cabaner, osimpático musico de quem ou-co ainda os sonetos em canto-chão e as teorias às vezes es-trambóticas, que faziam a gen-te dar meia volta e pensar "na

escadaria"; o tão pranteadoValade e o meu bom amigo

Mérat, um encantador poeta,hoje isolado no Senado, etc. etc.

"Encontro novamente Char-les Cros ,,e seus irmãos — dequem não me ausentara muito— em casa da tão deliciosa etão literalmente chorada Ninade Callias, onde, no meio dascrianças mimadas que éramos,VilUcrs de IIsle-Adam, LéonBierx, Stéphane Mallarmé, Hen-ri Rochefort, Edmond Lepelle-tier, Emmanuel Chabrier, Char-les de,Sivry, e Paul Verlaine...I4|"

Foi também no salão dessaencantadora Nina de Callias,que Catulle Mendes procuroupintar em seu romance: "LaMaiscn de la Vieüle", que nos-so poeta encontrou seu amigoLécn Dierx."Díer! dont le nom fait pourIa gloire sonne clair

Comme une bonne épée en lamain d'un néros..."

Nos ultimes anos de sua vi-da, Verlaine não tornou a ver oadmirável poeta aos "LèvresCloses", senão de tempos emtenqpos, no café Guerbois, ilíAvenida de Clichy (hoje: cer-vejaria Muller), freqüentadooutrora pelos Parnasianos. Seusoutros amigos, Xavier de Bicard,Sully-frudhomme, André Le-moyne, José Maria de Heredia,Georges Lafenestre, Armand" Silvestre, Maurice Bouchor. JeanRichepin, mantinham apenasrelações r.erianjtmiosas, emboracordiais, com Verlaine. Entre-tanto, êle não os esquecia. Doneu leito no hospital, escreviasobre eles. homenagens inte-rrssantes, biografias e curiosossonetos (5).

Do mesmo modo. passou anossem ver Coppée, pelo qual te-v- semnre uma sincera ami-zade, eirhnra quase não tosseco-rcsnonaldo. o Doeta dos' Hiimbles" não reatou as re-lf»r-Õ"s com o seu amleo da mo-cidade, c não veio em seu so-corra, senão orlando ente coiíwcou, graças à admiração cn-

(4) O próprio Coppée escreveu, ai-Kuns meses depois da morte de seu

"...Verlninc. nessa éooca (18*11)ino parecia ubsolutamente o compa-

ihéiro .|e erilneo socrático, coberto dandi-njosos farrnpns nua encontreiHtuto* o,hoh main Urde píih iicrvein-Ia. do Qrmrti.r L.tir, e no. i„„t„c,1" "Plume*'.

Observem que estranho contras-o com o tom lirieo e enternecido daivíicão fúnebre.

(5) Cf. "Amour", "Dédicaeea" e nsinte q c.tíüo bioKrnfijiM dos "Homes

luslasla dos jovens, a tornar-se cclebr'e; fez, então, pagurseus serviços por repreensõescom as quais Verlaine se sen-tiu bastante magoado, mas queaceitou, entretanto, com o seubom humor habitual c toda acontrição de que era capaz.

Foi assim, que um dia Coppéemaa-cou-lhc uin encontro no"Café des Vosges", que aindaexiste, quase na esquina da ruaetc Sêvres e 4la avenida Mont-parnasse. Logo que se encon-traram, Coppée arregalou osvlhos v inflingiu ao Pauvrc Lé-lian um formiiSável sermão.

Não somos mais crianças,.nteu caro amigo, disse-lhe èlc.Será que te é impossível levaruma vida um pouco mais .. .regular?

Verlaine abaixou o nariz eaprovou, balançando a cabeça:

E' verdade! meu caro Fran-cois, murmurou êle. Tem milvezes razão... Mas, é quie cdifícil como o diabo tornar-seassim tão sério!

Todavia, Verlaine promete:»emendar seu procedimento; Cop-pée fingiu acreditar em suas

_Jiroijji_ssa^_jEfJs-^«4^^'pcis de ter esvaziado um mo-desto copo de cerve-ja, dispusc-ram-se a sair. Tinham chega-do perto da porta, quando Ver-laine percebeu que havia es-

rjuecido o guarda-chtiva: êst^fato banal teve o dom de açor-dar os furores adormecidos dopoeta cadémico:

— E' por essas pequeninascoisas que se julga um homem,GTitou êle com veemência; vêvemo és pouco metódico c de-

t. ordenado ! Chove a cântarosc esqueces teu guarda-chuva:isto te retrata !

Verlaine respondeu a essaucimotsiaçâo violenta cem umavas>!a gargalhada. Tinha aca-bado de perceber que, no entu-Masrrjo de sua eloqüência comi-nato ri a, o poeta do "Reliquaire"linha deixado eu cíia.péu pen-durado no cabíde. Coppée pa-rou com.o seu sermão e os doisamigos se separaram com umaperto de mãos mais que cor-dial.

Um outro poeta católico, cujogêrio se aproximava mais deVerlaine, foi grandemente in-ilucnciado pelo autor de "Sa-gesse", — Germain, Nouveau,que

"... ton peintre e bon chré-[ tien

Et ben poete aussi —. les trois .[ s'accordent bien —" (6)

desapareceu, numa peregrina-ção, dizem uns a Jerusalém, cfutros a Saint-Jacques de Com-postelle. Entretanto, sob o no-me de "Humilis", acabam depublicar belos poemas dele, en-viados por vias misteriosas aosseus editores.

Um parnasiano que permane-ceu fiel até o fim a Verlaine foáo poeta Albert Mérat, mortorecentemente (7), e que exerciaas funções de sub-bíblíotecáriitno Senado, o autor de "Fenc-três fleuries" e de tantos ou-tros estranhos poemas deviaaiparecer no célebre "Coin detable". Kecusou-se a posar,per causa da inimizade com Ar-thur Rimbaud, e Fantin Latoursubstituiu-o "por um vaso deflores".

Verlaine via sempre Mérat nocafé Voltaire. Foi ali que seencontraram mais vezes emcompanhia de Émile Blémont,de Léon Valadc, de Mercier, delíurty, de Paul Arène, do dou-tor Raoul Ginestc, o delicadopoeta dos "Chats", de PierreElzéar, que foi secretário deVictor 'Hugo, e do original dou-tor Weiss.

A conversa prolongava-se mui-tas vezes até horas adiantadasda noite, e, com freqüência.,Velaine levava seu amigo atéo pomposo vestíbulo do palácio,antes de voltar ã sua modestacasa das alturas do Panthcon.

24 DOM CASMURRO

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DOM CASMÜRRO23

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Emile Blémont manteve du-i ante lon^o tempo relações epis-tolares com Verlaine Cada unipossuiu o qa?. faltava ao outro:Verlaine, o gênio que Blémontbem d<r-jaria possuir; Blémont,o seus.) prático e a riqueza queCoppcç sonhava para. o PauvreLélian. Tinham sido feitos parase estenderem, E' certo quenunca houve entre eles essagrande amizade que uniu numatão perfeita comunhão de idéiase de sentimentos Verlaine, Mal-larmé, VilEiers, Mas, sua corres-pendência, íneic-literária, meio-familiar, é tanto mais curiosaquanto todos dois tomavam cui-dado, visivelmente, com o queescreviam. Era onde se mostra-vam mais sérios, — um em poe-sia, Blémont, o outro em ne-gócios c em respeitabilidade,Verlaine, Essas cartas teem to-da atração de um diálogo en-tre Parsifal eo Bourgeois "gen-tleman". (8)

Leconte de Lisle foi talvez oúnico de seus confrades doParnaso com o qual Verlainezangou - se irremediavelmente.Éle tinha sido, a princípio, umdos protetores e amigos dapoeta, mas, com o seu caráter-h-rascível c deapótico, em im-possível que ficassem muitotmepo de acordo. A sua antiga

amizade, sucedeu em breve umaaiúmcsiílade que, do lado de iic-conte de Lisle, chegava ao ódio;Verlaine prei.náia nic&mo que,der ris da Comuna, Leconte deLislc, que permaneceu fiel nopartido da ordem, tinha denu..-ciado seu antigo admirador ehavia experimentado mandarfuzilá-lo. Isto seria jogar de-masiado lonjfe a animosidadepcttirr, ! E' ivreíerivel acreditarque, dr lado de Verlaine, haviaum pouco de exajeração invo-[tintaria, mas que se pode ex-jlicar pelo désdem humilhantetom que otratava o autor dos"PoèinfiS barbares". Todavia,i'os ultimes anos da vida de Le-conte de Lisle, Verlaine c êlrfse crisnntraram algumas vezes,por acaso, numa tabacaria daAvenida Saint-Michel, em fren-ir, ã praça Médicls. Leconte deLisle acendeu seu cigarro e Ver-laine seu cachimbo, no mesmoisqueiro, e cumprhnentaram-SQcerimoniosamente; algumas ve-zes chegaram a trocar umaspoucas palavras, mas sem nun-ca entabolar uma conversaçãoseguida.

Não se reconciliaram jamais.Isto não impediu Verlaine deconsagrar a Leconte de Lisle,quando êle morreu, um elogioso

soai. E', afinal, Baudclalrc pos-te ao alcance dos espertos!. ., '

Um verdadeiro amigo ãz PaulVerlaine,

"Mttn plus vieil ami survivantD'un groupe déjã de ianlõ-

[ mes,.. "

foi Edmond Lepelletier, que,diretor d eum jornal da provin-cia, sei viu-se das facilidades quelhe davam sua tipografia puraeditar; "Les Romances sansparoles" (|9). Mas tarde, no"Écho de Paris" e alhures, pu-blicou, u respeito de seu ami-go de colégio, artigos corajosose bem intencionados. Defendeusua memória contra Hcnry Fou-quier, depois da publicação de"Invectives". Vice - {presidentedo "Comitê du monument PaulVerlaine" sonhava vér levantar-se, tal como o Colosso de Ro-des, a efígie de seu glorioso ami-go, nã ponta extrema do diquedessa "Paris-Fort-dc-Mer" pre-metida por èle aos eleitores dasBatignolles.

M. Edmcnd Lc|u:lletier publi-cou (10), sobre a primeira me-tade da vida de Verlaine, umlivro admlràvelmente bem

^^mOÊÊSámmm

m-"'WSèê mmsi^^Ê"OS AMIGOS DE VERLAINE". Quadro de Jacques-Emile Blanche em ISSíi, onde vemos Jéan Ajaibert.Edouard Dujardin e Stéphane Mallarmé. (Publicado pelal.a vez em "Memoires en Vrac", de Jéan Ajaibert. Ed.

Albin Michel. Biblio. Bricio de Abreu).

Eis

(8) Reproduzimos mui umacartas de Verlaine a. Blémont.oferece o interesse de ter sido cína ocasião em que foi composta 'Sa-

'Stkkney). 19 <le novembro de 1875"Meu caro amigo,"Como vê. respondo-lhe carta a.enrta. Sendo hoje sábado, quer diz»'-feriado, posso

Pub lindei

"Antea de tudo, obrigado pela» di-o "High and mightyjm causa. A perda

oos versos nao e grande e êle pode en-rlquecer-se. ae isto lhe agrada, enfei-tando seu salão com as provas, ou fazer"ut.ro uso qualnuer (próprio ou não).Meu luto está "assumed" e eu o en-carrego de desimeumbir-se dessa mis-sáao plenamente."Obrim-ilo pela boa crítfcu ao-bre os meus versos de outro dia. JAlhe disse nue tenho doía volumes empreparo: "Sofresse", cujo prólogo é otrecho supracitado, e "Amour", dequa junto aqui dois fragmentos. Tenhoainda o plano de um livro, de tituloimpreciso, mas que será sobre n Vir-Item. Uma espécie de epopéa. de nar-ração de um sN pôlego, de quatro oucinco mil versos, no máximo.

"Suponho que partirei breve daqui,para ocupar uma situação mais bemremunerada, na cidade, quer dizer, cmBoston. Espero dia a dia uma curtadessa "sub-prefeiturã", afim de queseja fixada a data, que pode estarpróxima, mas oue. em todo o caso,não ultrapassará o Natal Sou agorabastante inglês para aspirar um pou-co mais em um pouco melhor, si bemque não lenha de que me queixar aqui.onde estou .em bonn termos. eortPais,amistosos, e onde fauem tudo paraprender-me. M"° """ '" —- - ;-meirn lu^ar. votí compreeide. sobretu<'o quando Se teI" econofias u fazer!E. depois, em Boston haverá maisdistrações. "O Cflmr>" não está h-stai-te florido agora", Neva terrivelmente

bom momento para deixar as "ai-"Minhas ocupices? além de minhas

liçes. das quais lhe falei recentemente.bí não melha a memória, leio: "No-voli" some poetry, Tennyson, Long-fellow, e. agora, o famoso "Pilgrim'sPr™re«V. etc., etef..

"Tenho alternado r> inpl" com Teo-loiria e Místicos, "La Somme" e"Santa Tereza": veja quantos livros!Digo-lhe. sem nenhum exagero, queoatnn nhsolntamento invapa? de inte-ressarme por outras cousas. Digo sem-pre ¦—¦ porque, oh! doenças! — tenhoainda um fraco pelos versos. E" oreci-so enviar-me versos, você, Valade, os

"Meus projetos! oh! simplesmenteconseguir uma posição, à força denaciéncia. seja anuí ou na Franca.Mas na França, mais tarde, quandomuitas cousas tiverem sido prepara-das. reparadas — se for preciso, re-conquistadas... Enquanto espero, pa-ciência, trabalho o esquecimento..,

,dsn injúrias."Lei jornais: o "Oaily News", o

"Standard", e o "Fiearo" do do-mingo. Adiei o alemão e o italianoranço» na Bélgica. A propósito, vocênos seis últimos meses de meus des-para recomeçar o espanhol que estucique está ao corrente do Além-fMrineu",n&o poderia indicar-me alirum jornalou revista verdadeiramente Interei-parte nessa língua de Cid c de Héré-df~7. , . • . - -i , .

"Envié-me, 'pois;' uma lista, si "poa-nível, com o preço por trimestre; o"marque" para mim alstuns autor"nvxternoa. humoristas e realistas, jo"nnls Ilustrados. cómico«. etc. <><¦»f.Tnurnnl 1'Artiste, IRftfi. — Lettrtjd'Angleterre).

(*) Alphnnse Lemerre.

artigo, e de crestar justiçadignidade de sua vida e ao po-der de seu talento poético. Êlejá tinha escrito em uma biogra-fia des "Hcmmes d'aujourd-hui";

"Disse que Leconte de Lisleca um bom "causeur"; algu-mas vezes duro, no entanto.Esse homem tem as vezes, ran-cores, prevenções humanas ccoitado daqueles contra quemcair sua aversão ! Um dent?agudo brilha e morde com fir-

11 jeza o infeliz, entre o mono-rulo e o cigarro.

cumentadõT que estas notas po=—Xcrlaiiig dedicou a Gabrielj_ - . . *. n.,!,n 1111 t\ „..„ í^ ™l„

belo soneí-o queVi-

:. Des. ei:'Leconte de Lis-!F. A. Casais.

" Que importa ! Existe entreeasiu vi inias de injustiças quemnão ame d? maneira alguma,,mias de ir:são ?.lgum mesmo"Carnifex", coüoo diriam JeanJacques e seu primo Beraard,e que apesar disso forçado pelaequida.de, psio gosto seguro epelo amor das Letras gritariamsolenemente, diante do mun 3oinC5¦¦->¦ Leconte de Lisle é umgrande e nobre poeta !"

\t-»e qut em Leconte de Lia-le êle detc3lava o homem aomesmo tempo que admirava oporta. Era o contrário do quiacontecia c--m Maurice Rollinata quem quiseram, a torto e odireito, fazer um discípulo deVerlaine. Êssc último não o co-nhecia. Não lhe tinha faladomais do que uma vez, na tu-multuosa primeira representa-çãe ¦'•> "Nouvau Monde" deVilliers de IIsle-Adam;"Êie me pareceu, disse, um

moreno biiodudc, com ares debom rapaz, nada vampiro, cer-cado de pelícas .."

Mas, se o 'homem lhe era sim-pÃtico, tinha pela obra umaparticular execração e disso nãofazia mistério algum. Os poe-mas de Maurice Rollinat lhepareciam de terceira ordem,para não dizer pior:"As "Wívroses", explica-nos,estão multo bem... é poesia, sequlzerem... verdadeira poesia•»esmo... mas muito desleixa-

«Ia, multo fácil, muito impes-

derão completar com utilidade.Citemos, apenas, a esse respei-to. h. s°'r"!«*~ ™n—'->'•>-

Uma noite, Edmond Lepelle-tier, Verlame e dois poetas doQuartier Latin voltavam emcarro de uxl-; excursão na But-te sagrada. O Pauvre Lélian,l*m pouco ra usado, cochilava emum canto. Os outros i»ersona-gens conversavam indolentc-mente.

Começaram a falar dos ini-migos de Verlaine que, naquelaocasião, esforçavam-se por fa-zk-íu passar nor misogênico.

— Entre nós, disse EdmondLepelletier, você sabe se Ver-laine c realmente misogênico?

— Você deve estar mais beminformado a esse respeito doque qualquer outra pessoa, res-pondeu um dos seus interlo-cuteres: você não esteve no co-léçio com éle ?

Ladino, Edmond Lepelletierriu gostosamente dessa respos-ta inesperada.

Lepelletier que freqüentavasempre, quer ipor dever profis-sional, quer pelo seu gosto pa-risiense, as tavernas resnlande-ceníes de Montmartre e asgrandes avenidas só de longeoin longe via o Pauvre Lélianrecluso nas salas dos Hospitaisou bebendo, às escondidas, senefêmero absinto, nos modestosestabelecimentos da margem es-querda do Seine. Verlaine viacom mais freqüência GabrielVicaire. Üavia entre èlcs afi-nidades de temperamento e d'->talento que faziam com que osnesses deis psetas fossem exce-lintes amigos.

Vicaire tinha, em geral, seucliwsres no café da Rotondc, naesquina da Avenida Saint-Mich. i

c da avenida do Observatório,enquanto que Verlaine reinavano François ler; mas, essas duaspotências das letras deixavamalgumas vezes seus domíniospara se visitarem, e a elas sej^.^va, sempre Raoul Pon-chon. As testemunhas das jo-viais e francas conversações àiquais presidiam esses três ilus-ti es, guardaram delas recorda-ções inesquecíveis; ali se des-pendiam tesouros de espírito, depoesia e de alegria que jamaisgp encontrarão noutra parte,

(9) Ernest Delahaye escreveu-nos

cairc (11). O que há nele denotável é que Verlaine pintoua si mesmo, traçando de seuamigo uma tão exata quanto di-vertida figura:

"Vous êtes un mysíique e j'en[suis un aussi;

Mais vous léger, charmant, on[dirait du Shakspaars

Moi pas mil sombre, un Dante[ imperceptible et pire

Avec un reste, au fond, de pé-[cheur mal transi.

Je suis un sensuel, vous en êtes[un autre;

Mais vous gen'.'il, rieur, nn gau-Llois et demi.

Moi Tombra du marquis de Sade.[et oe, parmi

Parfois des airs naifs et fauxIde bon apôtre.

Plaign^z-moi, car je suis mau-Tvais et non méchant.

Fuis, tel vous, j'aime la danstjfet j'aime le chaní,

Toates raisons pour ne plus m'e;;[vouloir qu'à peine...

Ei puis j'aime ! Tout court ![En masse, en general,

Depuis la filie amère au souris[sépulcraJ

Jusqula Dieu tout-puissant dont[la droite nous mène !

Chegamos, ajora, a essa bri-Ihante pléiade de jovens escri-tores que, depois de Verlaine,tentou abrir caminhos novos ãarte e que a história das letrasdesignou sob o nome de "de-cadentes" e de "simbolistas".

Xa primeira linha desses, co-locaremos Jean Moréas. Se bemqi.e êle não esposasse as idéia,*de Verlaine sobre a poesia, eque suaj discussões fossem, às

vezes, acerbas e tumultuosas,Moréas deu sempre provas d»mais sincero e ao~llieaiuo tempo -mais leal devotamenfo a Ver-laine. Os dois poetas viam-sesempre com prazer; algumas ve-zes mesmo, noctivagavam jun-tos até longínquos bairros.Verlaine gostava de contar que,'**""" n«it<\ h* mais do vinteanos, os dois distraídos por em-briagaaor?s discussões, tinhamchegado ã Bastilha, depois d*;inúmeras paradas nos cafés.Não estava muito longe das 3horas da manhã, enão foi Ver-laine quem suportou mal as li-hacões rep-rtidas. às quais osdois <w tinham entregue. Êlemanievle suas idéins perfeita-mente lúcidas. Moréas, ao cen-

trãrio, estava um pouco exal-tado; recitava versosbrandlndosua bengala com ar selvagem.

Verlaine replicava e batiacom cadência sua bengala nacalçada, procurando reduzir seuadversário ao ilêncio. De re-pente, os dois amigos encontra-ram-se em frente da porta deum chapeleiro. onde se osten-tava «to c'fras unormes o nrecodos chapéus: 6 !.., 9 !... Essesgrandes números induziram emerro o cidadão de Atenas: acre-ditou-se, ir ui to simplesmente,nhe^ado ?.o hiimbral de nm gi-ii"ceu acccssível p.o miblico. Le-vau tando sua bengala, decla-rou que era preciso entrar.Verlaine fez tudo para conven-cé-Io, nor todos os modos, queèle não linha diante de si, maisdo que uma chapelaria. Moréasnão quis, acreditar: arremessou-se contra a barulhenta porta, aI/rincípio a socos, deipois com abengala. . Em vão Verlainetentou cpôr-se a esse alaridor;;turno: Moréas não ligava ar. LLnor importância aos seusprotestos. Gcntinuou a sacudir

Verlaine corrigiu de ipunho:"Sur votre jeune sein..."

(10) Paul Verlaine. Su viiSon oeuvre. — Socicté du MercuPrnnce, 1007.

26

"OS AMIGOS DE VERLAINE". Desenho de Gauguin —"Jéan Moréas symboliste". Pertencente a coleçãoKarl Boès.

DOM CASMURRO

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UM "SHOW" QUE DISTRAI E EMOCIONA BJ K' ^flflpí /\^ ' WÊÈk^SH

com RAY VENTURA e sua orquestra BB kHP^"*1* ^____J^*__WWMADELEINE ROSAY, FERNANDES MONTELS, ^____W" 'JÈÊf _W^Ê_f9^1GRANDE OTELO, HENKÍ SALVADOR e GEOBGE HENR1 MF' ^K 'tTvKSB

NO MESMO "SHOW": __*'' ¦' "' jl/ ^bB

EDU' e sua gaita HENRY WILSON e sua orquestra invisível __W~"^ "' _V __f

MARIQUITA FLORES e ANTÔNIO DE CORDOB» MB W

^^^^^^^^"^ RütiaKVA DE MESAS — TELEFONE: 26-5550 ^^^"W

DOM CASMÜRRO27

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a porta sempre fechada, tazen-do um barulho infernal. Dian*te disso, dois policias qjue pe-ramouiavam giavciiiciut na oa-tra extremidade da rua, apres-saram-se em acorrer; os aoispoetas foram presos, ameaçadosde dormir no distrito e foi pre-ciso toda a eioquencia muiuade Verlaine ipara obter que osdeixassem.

O poeta Charles Morice, teó-rico ao Símbolo e crítico ins-pirado, foi também um dos me-lnorcs antigos ae .Vwjjmuí, -cs-ereveu soore êle páginas admi-rávcis. Alem disso, não cessoude defender a oora e o homemcontra seus detratores com tan-to devolamento quanto eloQuèrteia.

Sem dizer seu nome, Verlai-ne traçou de seu fiel discípuloum retrato, que se iparecia coinêle em muitos pontos."... Quanao tive o prazer devê-lo pela primeira vez, vocêera extremamente jovem e tra-zia uma cabeleira Apolônea, es-pesso tosâo negro, um tanto em-branquecído hoje; mas sua tes-'ta de pensador e de artista, ga-nhou muito, se assim ouso ia-lar, com essa virilização de suafisionomia. Você è alto e ma-gro, sem exagero, e de uma ele-gancia natural muito digna ede espírito militar, e isso meleva a aludir ao moral, _que é -também muito altivo, talvez ai-jtivo demais, se é possível que aaltivez [possa ser um depeito. *£foi por isto, metade pelos de-feitos, metade pelas qualidades,que eu o batisei, desde os |pri-muros dias de nossa amizade,de Néoptoleme. (13) Do filhode Aquiles, aliado aos tempera-mentos de nossa civilização,bem entendido, você tem a im-petuosidade, a generosidade, iadizendo — a candura. "

Precisamente na época emque apareceu o livro de CharlesMonce, no qual Verlaine foi re-velado ao grande puoiico comoum poeta de primeira catego-ria, em todos os sentidos, éle seviu assediado pela muitidão dosjovins "arrivistas", que dese-javam tirar proveito da glóriaque começara a aureoiar seu no-me e queriam saber em que êlepedia lhes ser útil. Não ha-via estreiante meio esperto quei.ão (procurasse passar por ami-go do Pauvre Lélian.i Mas, eles se aperceberam de-pressa que Veríaine não era ohomem que imaginavam. Ama-va êle a poesia e a vida única-mente por elas mesmas. De-pois de haver obtido dele as re-comen ri ações que lhes podiadar e das quais não era avaro,bateram asas e nunca mais vol-'taram.

Verlaine teve a satisfação, de-pois que esses velhacos parti-ram, de encontrar-se, como emfamíiia, no seio de amigosfiéis.

Desses dias longínquos, datamas relações de Rachitde e deVerlaine Ela foi, desde o prin-cípio, uma entusiasta admira-doía, e até uma protetora do

poeía. |Ve>m como Kachildeconta sua primeira entrevistacom éle:

"... .Foi Cazais quem me apre-sentou a Paul Verlaine pelaprimeira vez. Um Verlaine so-fredor, eexeando como um ar-canjo fulminado, parecendo umladrão.

Guardamos no recôndito denossas almas a visão desse Ver-laine. Nem êle, nem eu o pu-demos esquecer.

Nós o preferimos ao Verlai-ne oficialmente criado depois,pela honrada gente escrupu-losa.

Nós o preferimos com sere-nidade, sem nos ocuparmos coma maledicência.

E é ao túmulo desse, que tra.'zemos nossas flores.

: Vejo ainda o jovem Cazaisde outróra, chegando à minhacasa da rua das Escolas: "M.Verlaine está lá em baixo, em

um flacre. Seu proprietário o"uespejou e eie *»*«» cujii ashomvcis dures na perna".

Inut-ginose um ien»r oas "Fé-tes güiames" e ue " sagesse"«tsusanuo da apoteose oas ri-mas a coluna aos latos aiver-sos do "rem Journal" !

sonnámos, no silencio verti-glnoso ua leivura, com aigumrui do Oriente... li vimo-lotransiormar-se em homem como porte de um triste operário !

. ..ü, apesar aisso, tuuo foiremexido para melhor receoê-lo;os moveis foram arranjados, ostapetes sacuaiuos, os panosbordados sanam dos armários,loram espainauos periumes, etrancados à força o cacnorro eo gato, que queriam saltar im-pruütnieintnte em voita doilustre visitante; tudo feito comtoda a agitação, todo o re-ceio... e inteira piedade !

Verlaine levantou os olhos:— Você permite que eu fu-

me cachimbo, Rachilde ?Mas aquele olliar penetrante,

terrível, negro, é bem o de umrei. Em tona parte eie se senteem sua própria casa!

"Foin des conviMiances, on estLdes decadente!"

Cazais brincalhão, bom rapaz,prestativo, irônico, um poucotolo, naí enxergava mais longedo que a ponta de seu nariz vol-tado para o ar !

Como teve razão em escolher-me, a mim, desconhecida mu-lher de letras, entre tantas ou-iras verdadeiras artistas queteriam disputado, penso, a hon-ra de reccoer o grande homem l

"Senhor, eu nao soa digna ueque entreis em minha casa, masdizei uma só palavra e minhualma ficará curada !"

A nobre irreflexão de Cazais,correndo ao mais próximo deseus amigos, (o qual, por acaso,era uma moça) para confiar-lhe Verlaine, trouxe um poucode luz para mim.

Verlaine contou-me sua his-tõria durante esses dias de re-pouso, história que não é demodo algum a que nos con-tam.

£:le tirou de minha cabeça, ri-diculos preconceitos burgueses.

Minha alma foi curada dodesejo de vãs glórias terrestres,considerando que toda verda-deira glória só tem significadaem si mesma, sem hipocrisia... "

Através de longos anos, Mme.Rachilde guardou uma viva lem-branca da estada de Verlaineem sua casa. Dando-nos comnecimento das duas cartas quetranscrevemos, e que ela nosenviou:

"O sr. tem razão em mos-irar Verlaine tal como era e co-mo eu o vi. Representaram-nomuitas vezes, com os cotove-los sobre a mesa de café, dian-te de um copo de absinto; êleera por natureza um homem ca-seiro, de gostos delicados, aman-do seus hábitos, aceitando astradições, deixando de lado os

preconceitos. >

¦ki^",íwri$2SÀÍmm\ ?.¦'* V vi

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Desenho feito por u." naim para "CLOCHI- CLOCHA" — Verlaine na época em que mo-rava na Rue Saint Victor, 16. — "Qeuvres Completes". Vol. VI. Librairie de France.

Biblioteca Bricio de Abreu.

(1) Dédicaces (188D-1894).Í12) Cf. sonnet í Charles Morice.— "Dédicaces".

Verlaine tendo sido expul-Des. do natural por F. A.

Cazais.

Uma manhã, éle me disse comum sorriso de criança satisfei-ta, que desmentia um pouco oolhar dissimula de, de fauno, quebrilhava sob sua ríálnebia aper-tada: "Sim, o chocolate é me-lhor do que o absinto; pensotomo a senhorinha. E' recon-fortante, agradável, familiar...(um leve ssupiro), é a hora cin

senta ! E tomou moderada-mente seu chocolate, treminan-do seu pão com manteiga. Só-mente ã noite, depois que sai,ricixando-rv senhor de meu pe-fljucno apartamento para receberali seus amigos, não resistiu aodesejo de mandar vir dos cafésvizinhos alguns co^as do temi-ei veneno. No dia seguinte,quando chegou a "hora cinzen-ta", apoiada pelo testemunho deuma criada, criatura boa, embo-ra indiscreta, protestei. Verlai-ne tomou, então, uma expressão,tias mais dignas: :Que queriavocê, minha filhínha, era pre-ciso... quando se recebe, nãose faz o que se quer !" Creionue Verlaine serviu mais di»que bebeu o absinto...

Ele gostava muito dos tecidosde seda: "Não iposso suportaros linhos falsificados, dizia-meéle; minha tristeza, é de nãopoder mudar de camisa muitasvezes por semana. Já que vocême pergunta o que desejo delioas - festas... desejaria (serámuito caro ?) uma fazenda deseda, de cores bem suaves, qua-se invisíveis, ou então, se pu-desse ser, de seda branca... "Ganhou a fazenda de tons de-licados e uma outra toda bran-ca; "Sem contar, acrescentouêle, que isso deve ser uma deli-cia para se assoar! Aliás, dez

delas um toucado, depois demaduras reilexões..."

"No fundo, concluiu Bachilde, como nós, o que predomi-nava nessa iluminada criançagrande, era a idéia de " Sa-gesse ".

"Ora, diante da atitude retada atina, os gestos irregularesdo corpo tievcm ser cumauos,sobretudo quando esse corpo vaiarrastando consigo tantas misé-rias '!..."

No número dos amigas queVerlaine recebia em casa de Ra-rliilde, e que formavam a jovemfalange do "Décadcnt", se con-tavam Maurice líu riessys, i-a-teme Berriclion, Ernest Bay-naud c Anatole líaju.

Toda a geração literária des-sa época guaruuu a lembrançado irrepretjisívci pneta-gentilho-men que foi Maurice Du Pies.sys; poderia ser tomado por ai-guin padre do século XVIIIperdido em nossa época burguê-sa. Ue porte muito elegante,era um verdadeiro Brummel dasletras; e punha em seus versos

a mesma correção delicada, omesmo sentido exasperado domodernismo que punha em sua" toilette", Verlaine era maissinsível do que outro qualquerao encanto de sua conversaçãoe à beleza de seus sonetos, pu-ras jóias, nas quais a graça«maneirada c uma estranha afe.tação se casavam ao mais no-bre lirismo. Maurice Du Pies-sys tinha a nolidez sutil de umaoutra idade; era êle quem, comuma naturalidade c uma sim-plicidade perfeitas, apresenta-va, na roda de seus amigos, seu"port-or", dizendo que entrepoetas se devia "oferecer essascoisas, emo se oferecem cigar-

los". file sonhava com umaitiiciasáo estética tie nosso»liitíiosus custumes modernos,que uesejana. suihuOjoS uumolos tumpos da Keascença ita-liana, e, anuía mais, cum o sa-bor ao ntvucriiismu su^cr-agu-do, que tao oem exprimiu emSeus versas da juveiituue:

"Pourpoint de velours rose, au[jabot brode d'or,

Gibus sur 1'ttou, craviiuiie auLpcing, gantCitt roux,

II se camore arrogant..... .Et le vent luiie avec sa

[eravaie d'auiorc."

l)u Plessys afirmava que a"toilette" era a primeira dasartes e esta pretenção llic va-leu a cantiga satírica, sem mal-cJade, mas não sem malícia, dosseus menores amigos. (13)

Depois de alguns anos, êledeixou a vida ruidosa dos ce-náculos, mas sua inspiração nãotornou senão mais alta e maisfura.

Hoje, (1911) no silêncio do rc-tiro, Maurice Du Plessys, de-pois de ter fundado a "Écoleltomane", conclue uma obra jágioriosa.

Paterne Berrlchon, hirsuto enegro, irascivcl e granailo-qutnte, formava com MauriceDu Plessys um contraste perfei-

<1S)

28

Conwiawvouii 1'enthéttmeDv eu moderne Liuiznn '!J/ ]irh)<:ip'(ie hu poétiiiueJ;t d'non coiintum'ça n'faü iju'unI! porte avec lUirt miprêmeDeu rfroiHfJti«rM il,, bnllfít,I-e crjllunt. iilas ou creme,Q'ui mvtWxeH manche-à-balai...

A la voup'de ho». pantatonOn voit bien q«'c'cbí Auollon ! (bis)

DOM CASMURRO

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Io; era tão rude em sua língua"gcm e tão amargo e tão vio-lento em suas imprecacõesquanta Du Plessys era suave £cortez. Esse extraordinário Fa-terne, que vimos alternodamcn-te c com o mesmo violento en»lusiasmo, pintor, poeta, conspira-dor, an ti-capitalista, crítico dearte e escultor, tinha um tem-peramento colérico; Verlaine nãoestava sempre de bom humor;desse modo as discussões de Pa-leme, ulepísta, e de Verlaine,patriota e nacionalista, toma-vam algumas vezes, tom acerbo.Separa, vam-se quase zangados;1' a ter ne Berrichon retirava-sebatendo as portas, pronto paravoltar no dia seguinte e reto-mar a tempestuosa discussão noponto onde tinha, deixado. Aliás,Paterne Berrichon, que se tor-nou mais tarde cunhado deRimbaud, teve sempre a maisprofunda dmiracão por Verlai-ne c se altercava algumas vzescom o noeta, ninguém o defen-dia. melhor quando a ocasião mbapresentava.

A ésse inimigo das leis pode-riamos opor Emest Raynaud,oue se mostrava sempre seu ze-loso protetor O poeta dos"Cornes du Faune", do "Tom-

heaii de Ia Gloire", da "Cou-ronne des Jours" e de tantasoutras obras delicadas, foi, des-de o começo, um amiço de Ver-laine, de nnem, nelas suas cri-eens ardenenses, era meio con-terrâneo. Se bem nue, comoCharles Maurras e Ravmond deIa Tailh^de. Ernest Rovnaud setivesse filiado às bandeiras ãi"École Romane", da a uai Mo-réas era o pro+açonista. nBm norisso deixou de ser o admiradore n arairo de Verlaine, ao ouaidedicou ai suínos de suas mair.belas peeas. (14)

Batedor de más, professor,jornalista, enfim diretor do"Décadent", Anatole Bani foi,durante ai mim tem no, insena-rável dos três poetas que acaba-mos de citar. Trocista e inçê-nuo ao mesmo tempo, dispen-dia grandes esforços para tor-liar conhecida a obra de Ver-Iam* e sua esco'a. Soríhador emístico, Baju checava a n*is-tificar-se a si prónrio. D-^íioisde muitos anos de bom <>nten-dimento, snnnu uma desavençaentro Verlaine e êle, ou*> tinhadfivairto atrwrecer em o "Déea-flent" nseudos-sonetos de Ar-fhur Rimbaut. Verlaine nãodeixou de ter sempre, gra-idãopelos serviços «matados *»»r êleaos novos escritores: ninguémmais oue ê'e contribuiu waxacriar em torno de s"i,s obrasuma proveitosa airítacão.

Anatole Balii morreu relatf-vãmente iovem, em 1903. numpfitado bem próximo da po-bnwa.

Os versos de Jules Telli»-rphi-pn* a, série do volume de"DédiVuees" (15) CO nxn.irrn.il opor Verlaine a seus confrades.

--{14) Servi mo-nos da "Hommageà Verlaine", "monumento erigido emviBta de um outro monumento" poigentilea do editor A. Mesaein (10101, obelo soneto de Ernest Rnynaud uPaul Verlnine:

Tant (jií*<tíi verta Cpris diviser[Wnvers

Een deux égides parta d' acciilmie tf.t d'orage

Par sa double iiiflueiicc, etixeitiite-[ ntaiit d'âgé. en âge

Qu'elle est náe autrefroin dn flat ehan-l aeant des mem,

Aiiesi longtema lea bois írémiront[ de tea vem,

.âiíhhí longtenips d'épia. . d'olicea, de[ jeulllnge.

De myrtea odoranta, do 1'auriera[ toujoitm vertn,

Lee filies de Mémoire t[i

Lea pâtrcs de

l>e miei, honor

Et feront dire.

>uí le t[ repOHim

l tíliue» pipeaux

Qn'at

Ton courage kéroique,

Siit mériter Ia fleur que le Pé

i móvria des vila bie-ns qu'enfante\ le rotoae.

¦prix dea aeula

[o

amigos e conhecidos "sem ou-tra intenção que a de lÜics seragradável".

Jules Tellier, tão prematura-mente arrebatado às letras,também figurava entre o nu-mero dos mais afeiçoados dis-cípulos do poeta. Um dos au-twrcs destas notas, educado noliceu de Chcrbourg, na ocasiãocm que Jules Tellier era pro-íessor ali, ainda se lembra dolirismo dítirâmbico com o qualfalava êle a respeito das poe-sias de Verlaine, então nos pri-

metros passos de sua cami-nhada.

Foi prr intermédio de seuamigo Rimbaud, que Ernest De-í.ahayc conheceu Paul Verlai-ne, em 1871. Depois , e semmuita interrupção, pelo menos

a partir de 1875, Dclahayc man-teve correspondência com éle,quando se achava na Inglater-ra, depois no Pas-de -Calais,depois em Réthel, cm Coulom-mes, em Juniville c cm Boulog-nc-sur-Seinc. Viram-se comfreqüência em Arras, em Ré-

lhel, em Charleville, depois emParis, na rua da Roquettc,finde Verlaine veio morar comsua mãe. Lembramo-nos detêros acompanhado, várias ve-zes, Paul Verlaine até o Minls-tério da Instrução Pública, porvolta de cinco horas, para espe-rar ali a saída de Ernest De-lahaye, em companhia do qualiairjcs, para conversar mais ãvontade, tomar um modestoaípcritivo na tabacaria maispróxima.

Como Verlaine, Ernest Dela-

l^jÊM^UÊÊÊt^ r !$* ¦ ' ____U_m _m^

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I piirfots de* iiirs de de mi-solde.>(|iic loin inrnlc [irfiiiii

LE CAS VERLAINEDoit-on dévoiler Ia vie intime des grands hommes ?

En sa préface ã 1'édition critique des CEuvres de Verlaine, Aí. YvesGérard Le Dantec condamne tel ouvrage qui, à ses yeux, porte tort àVosuvre du poete en insistant inutilement auprès du grand publié surles turpitudes de Vhom-me. Bien que M. Le Dantec n'ait point nommèM. François Porchè, Vallusion n'a pas échappé aux critiques et plusieursse sont émus... Dans un débat aussi intéressant, et aussi dèlicat, op-posons en toute impartialité leur point de vue. %

YVES QERARD LE DAKTECFRANÇOIS PORCHE

J'Ki

été três surpris, me ditM. François Porché, par ceton violent d'attaque person-netle, hors de tous les usages

dans un livre d'èruditioni car ledroit de réponse ici n'existe pas. Etje n'arrive pas â m'expliquer com-ment un garçon si fin, un poete, apu ainsi se laisser emporter... J'aiété três touché, en revanche, parles pi-otestations qui se sont aussi-tôt élevées dans le monde des let~tres —celles entre autres, d'AndréRousseaux,. de Léon Daudet, deVandêrem, d'Emile Henriot, etc.

« A-t-on le droit de dévoiler Iavie intime des grands poetes, desgrands artistes t Mon opinion esttrês simple. Quand on soulève cettequestion, on se place au point devue strictement littéraire. Mais lepoint de vue húmain dépasse lepoint de vue littéraire. Cest Ia vuede Ia psychologie gênérale de l'hom-me qui est Vobjet d'une biographiecomme celle que fai écrite. Je neme suis donc pas placé en littéra-teur mais en psychologue.

« La vérité ne doit pa-s être ca-chée. Jene crois pas qu'il y ait, enVoccurrence, matière à scandaledans Vétude de ce que Ia vie ãeVerlaine a pu avoir de scandaleux !Et puis, il y a le ton avec lequel onparle d'un ecrivain, et' sur lequelon ne peut vraiment pas se mé-prendre..,. Remarques bien qite chezles auteurs comme Verlaine, l'in-térét littéraire direct ne se separepas de Vintérêt humain, puisqu'ils'agit de lyriques dont Ia vie etVosuvre stentrelacent étroitement,On ne peut rien comprendre d 1'ceu-vre d'un Verlaine, si Von ignore htout de sa vie intime.

J'ai

rendu hommage, me dé-clare M. Yves Gérard LeDantec, aux diverses biogra-phies qui m'ont paru impar-

tiales. (J'ai cite notumment, les li-vres de Delahaye, de Charles Des-nos, d'Edmond Lepelletier, qui con-nurent Verlaine, de Mareei Cou-lon...) Quant aux autres essais, deceux-U&iui fouillent Ia vie des hom-mes illustres dans le but, peut-être,d'amuser le grand public, je ne lesai pas mentionnés.

« Je reproche d'une façon géné-rale a«an biographes de ce genre, demettre à nu ães choses que nousconnaissons et qui, du point de vuepoétique, n'ont aucun intérêt,

«. Pour moi, Vosuvre et Ia vie nesont pas fonetion Vuine de 1'autre.J'ai horreur de ces viés romancèespar Ia lecturc desquelles- le publicse voit abondamment êclairé et dis-pense de recourir à Vosuvre elle-mê-me ! Comme j'a\ horreur aussi deIa psychanalyse, du scalpel !

« Evidemment, il y a des chosesqtt'on n'a pas le droit d'ignorer. Sesamours avec Rimbaud n'ont-ellespas inspire à Verlaine quelques-uns des plus beaux poèmes de Pa-rallèlement ?

« Mais il faut rester alors dansle domaine de Vérudition et deVexégèse.

« Vous me âirez que je ne m'ysuis pas tenu moi-même et que,dans cette préface jugée trop vivepar certains, j'ai outrepassé les bor-nes de Ia sereine bibliographie...Tant pis, que uoulez-vous, il mefallait dire ma pensée lít-dcssus ! »

, Fernand Lot.

hnye enfeitava suas cartas dointeressantes desenhos (16), nosquais êle próprio, GcrmainNoitvcau, Verlaine e ArthurRimbaud figuravam freqüente-mente.

Ernest Delahaye publicou umaobra bastante considerável, umaespécie de estudo literário sò-bre o grande poeta de quem foium dos amigos mais queridos.

Seria injusto deixar de dizeraqui, algumas palavras a res-peito de Albert Cornuty, quaístava entre os que assistiramo poeta em seus últimos mo-mentos. Era o tipo do discí-pulo apaixonado; professavaper Veriaine uma admiraçãaquase servil. Morto muito j«-vem, apenas saído da adoles-cência, não deixou obra nenhu-ma; mas era um verdadeiroteperamento de ipoeta, e é partnós um dever saudar, de passa-gem, sua memória.

Tinha apenas quinze anos,quando veio a pé, de Béziers aParis, com a firme resolução detornar-se um grande poeta.Uma vez recebido nos cenáculosda margem esquerda, esse pe-queno provincial, - de uma sen-sibilidade agudíssima, experi-menteu um verdadeiro encanta-mento. Seu coração batia dofelicidade ao ouvir pronunciaros nomes de Verlaine, de Mallar-mé c de Jean Moréas, de quemrecitava de cór longos fragmen-tos. Mas era sobretudo porVerlain; que Cornuty manifes-tava culto mais veemente. _No__ —dia em que foi apresentado aopoeta de "Sagesse", queo aco-lheu com a sua habitual bene-volencia, valia a pena ver comque ingênua e desdenhosa di?-nidade se desipediu de seusamigos, dizendo: "Vou ã caaado Mestre !"

Devorado por uma febre deídal, Cornuty buscava inspira-ções no "haschich" e no éter.Quis conhecer, como tantos ou-tros, os paraízos artificiais e écertamente ao abuso dessas dro-

gas venenosas, desses venenosda inteligência, que devemoiatribuir sua morte prematura.

O editor Léon Vanier nãopode ser considerado precisa-mente como um dos amigos deVerlaine. Entretanto, teve, navida do poeta, um lugar muitoimportante, para que o pudés-semos deixar no silêncio.

Léon Vanier era um peque-no homem a tarefado e sorriden-le, que tinha, entre outras ma-nfas, a de esfregar as mãos co-mo se estivesse perpètuamentesatisfeito com algum bom nego-cio. Suas origens foram bemmodestas. Começou por vender-no cais artigos de pesca, até odia em que. maravilhado pelosvocábulos sonoros dos poetasdecadentes, tornou-se seu edi*tor.

Verlaine, nos seus dias de có-lera, ridicularizava-lhe as ori-gens. Um dia mesmo, chegoua tratá-lo de "degenerado mer-cador de iscas "

O editor tinha conservado atendência de esnírito um ipou-co mesnuinha do pequeno co-rrerciante. e o poeta, matreiro,que era, divertia-se em ser maisesnerto do que éle. afim deobter algumas moedas supl£-men tares.

Uma tarde, ao crepúsculo,Verlaine chega, com o ar trá-gieo, á loH do cais Saint-Tvfi-rhel. Denois das congratulaCÕes recíprocas, Verlaine ha-teu com sua bengala no chão,deixou-se cair nrrma poltrona <¦¦tomou a fisionomia transtor-irada de um homem ameaçadopor u««a síihit», catástrofe:

— Que aronteceu. caro Mes -tre ? perguntou Vanier, fri-zando cnmirtlacentemente _\\arns-sn bigode: noraue Venicr. arteswir-jo, e talvez mesmo porcausa de seu neoueno nTte. eraoficial da reserva e alardeava de

fl) Um irte ¦

(1S> Éditif . Lóon Vnnier,

Quanto François Porché publicou seu livro — "Paul Verlaine" — a imprensa parisienseteceu grandes debates em tomo do escândalo por ele causado, Damos aqui um quadro,

publicado em "Marianne" de 23 de Novembro de 1938

uenniji caiu. não ae snbe como. tiasmãos de um editor que. nem aoliritariiutorimcão non inter(»'a¦"^'>,'. rniM'™wicartas e desenhos, iitribuiiido-ae intel-

DOM CASMÜRRO 29

Page 28: MATE DOM CASMÜRRO - memoria.bn.brmemoria.bn.br/pdf/095605/per095605_1944_00365.pdf · Quando, no dia 30 de irar-ço de 1644, às nove horas da noite, na cidade de Metz, no np 2 da

boa vontade suas maneiras mi-litareg.

\uiiaine tirou de seu bolsouma grande ioina de papel do-brada em quatro c coiocou-asob os oinos Uo editor.

Nao e, como você talvezpensasse, um soneto, explicoucie; é uma receita do medico,aue me ooriga a compra ue su-bstancias, de drogas tao carasquanto heterogtíntas. Em suma,preciso de um "louis"...

Já lhe manttei cinco fran-cos essa manna.

Precise de um "louls". Oestômago dóe-me de modo atroz;n>inna gastraigia chegou a talponto, que nao puae almoçar

Em tedo o caso, aceitaráum copo de velho "bordeauxcom Disvonos?

Ü poeta (pareceu refletir:Creio que o medico não

m'o proioiu, uísse êls.Enquanto sanoreavam o "bor-

deaux", retomaram a discussão.Vamer merecia aez francos;Veriaine nao desistia de suaexigência; (prctíisava dos seusVinte francos.

Vanier, timbrava em não darjamais a quantia exata que selhe pedia; não havia meio. De-pois de dfcmoraua Qiscussao,acabou por subir sua oferta atédezessete francos: yejJainc pôsa quantia no bolso ao mesmotempo que a pseúdo-receita mé-dica, que se tinna tornaao inu-tu:

E agora, disse, meu caroVanier, vou, graças a você, po-der tratar de meu estômago;venha comigo.

. — Onde; isso ?; — Não ê muito longe; Ve-

E' a dois passos daqui, no*'Soleil-d'Or". Quero oferecer-lhe um absinto I. E, como Vanier levantasse osbraços para o céu com indig-nação:

Creio, tornou Verlaine,que o aperitivo me será maissalutar do que qualquer outradroga. Aliás, sinto-me muitomelhor, depois que tomei esseiragulnho de entrada.

Vanier, um pouco amola-do, (protestou, acusando o poe-ta de ter empregado um ardildesleal: mas, era muito tardee, depois de uma outra ais-cussão de uma meia hora, Va-xtier deixou-se arrastar, de carafeia, até o Soleil-d'Or, onde,aliás, só bebeu uma modestaquina.

Mas, de outras vezes, as cot-sas não terminavam tão bem:Verlaine gritava, acentuandocom bengaladas no chão, suasameaças de processo e de ru-tura de contratos. Vanier en-tão se refugiava atrás do bal-eão e tapava os ouvidos, afim

. de não escutar as terríveis im-precacões que o poeta lançavacontra êle. Então Verlaine,cansado da luta, apanhava aoacaso, em uma prateleira, dois.eu três exemplares de suas pró-prias obras, e ia orgulhosamen-

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m $ mmm\ :;1 Jf'j¥?m

mt;m¦.W-, ¦¦_¦ h J-r**3

seus vícios, suas fraquezas, suasabjcçòcs. (17)

Que diaer dessa " pequenaclasse palradora", desse "ban-do", no qual figuravam JeanMoréas, Gabriel VicairB, Julesreiner, charies Moricti, ±*ausineBerriclion, Stuart Merrill, Fran-çois Vielé-Griííin, Sophus Claus.sen, Ernest, l>cianayij, LaaientTailhade, Maurice Du Plessys,Ernest Baynaud e Maurice Bou-kay e do qual nos honramos tioter feito par&ev

Insistamos aqui, que foramípsses amigos " comprometedorres", que crearam em corno dapessoa e (ia oora ao poeta apompa de que êle precisava eçue nnaimeiiie, a ucspeiüo dosüaribert, oos i'ouquier e deoutros ainua, conseguiram Qt*me loaae wiguia — no devidolugar — a estatua que éle me-receu.

"Paul Verlaine en pyjama chez lui". Rara fotografia do poeta,, publicada pela primeiravez na obra de Francis Carco, mencionada e que faz parte ria crtpçãn Mpoq^jn

te "queimá-las" no "sebo"lado. Era esta a sua única vin-ganca!

Vanier, feliz de ficar em paztfsor tão bom preço, saía de seuesconderijo esfregando as mãos.

Quando, no meio dessas discussões tempestuosas, Verlainequeria "embêtcr ie bibliopole",fazia-lhe, entre outras acusa-ções, mais ou menos frantasistas, a de pagar tão mal aos seusempregados, que eles eram obri-gados a ir, quando soava meiodia, "comer na Hucnette por-ções de cavalo assado a quatrotostões, e feijões com potassa, adez cêntimos" ! Essa acusa-cão de ladroagem exasperavaVanier, o que, para Verlaine,era mais uma razão de insis-tir:

— E eu também, dizia êle,você me força a comer na Hu-chette. Mas, veremos: rirá me-lhor quem rir por último ! Voutornar-me editor também, eumesmo, qualquer dia desses !...

Xotemos, de passagem, queisso foi sempre o sonho de Ver-laine: ser editor. Falava sem-pre nesse projeto, que nuncapôde realizar.

Quando Vanier se mostravademasiadamente intratável,Verlaine não se incomodava deir vender em pessoa, seus ori-guiais, a certos jornais. Lem-bramo-nos de que um dia oginais, a certos jornais. Lem-reproduzido no "Gil Blas Iilus-

do írc" Tomou um carro para irbuscar o dinheiro a que tinhadireito: à razão de um "sou"por unha, essa soma, contati-do o título por uma linha e poroutra a assinatura, atingia avinte e cinco cêntimos! Ver-lí.inc voltou furioso dessa ex-pedição !

Com um copo de cervejaque tomei e com a viagem, es-tou com o bolso vazio! De hojecm diante não darei um únicosoneto por menos de cem fran-ces.

De uma outra vez, Verlainefoi levar um poema para a re-vista "Art e Critique": propu-seram-lbe cinco francos, queêle aceitou, e que foram pagosimediatamente. No dia seguiu-te, o poeta voltou, a fisionomiacarregada:

O Senhor deu-me ontem,disse ao Secretário da redação,uma moeda falsa, o que é bas-tante desagradável.

Caro Mestre, não leve amal, está aqui uma outra; estaé de bom quilate. Creia no meugrande pezar por esse engano,certamente de todo involun-tãrio.

Verlaine passou com negli-gência a moeda para o bolso deseu colete, e depois conversa-ra*n lonramrnte sobre litera-tura. Dispunha-se êle, afinal,a despedir-se, quando o secre-tário da redação lhe perguntou

timidamente o que tinha feitoda moeda falsa.

— Ora, é pena ! disse o poetacom uma candura encantadora,eu a [passei, e asseguro-lhe quenão foi sem dificuldade !

E, levantando a aba de seuchapéu com altiva digmdau.,j,dirigiu-se para a porta e desa-pareceu.

Acabamos de mostrar quais oscompanheiros hahituais de Ver-laine. Não faltaram jornalistasmal informados ou mal inten-rionados para reclamar contraeles. M. Caribert escreveualhures:

"Aquilo de que M. Paul Ver-laine devia suplicar que o li-vrassem, era de seus amigos. Naíaita de toda sinceridade, eleslhe prestam o execrável serviçode aplaudir os seus último»laine. Não faltaram jornalistasficâniiia rara, c de levá-lo aassumir atitudes ridículas ouhumilhantes".

E, mais adiante:Mas, de quem é a culpa?

A pequena camarilha catado-ra, que compôs o seu último cor-tèjo, jura que foi a indiferençapública que o matou e que élemorreu no abandono. Conviria,talvez, pôr um termo a essa»jeremladas imprudentes. Exage-ram um poueo a ingratidão da»massas em relação a essa boacriança que foi Verlaine, quenunca teve no mundo maioresinimigos do que êle próprio,

- (17) E' singular que um escritorde talento pareça adotar o ponto devista do jornalista. Eis o que escre-

um de seus mais sinceros admiradores,JW. Jean Ajiilbert:

"... Era baijlJint té-lo visto em seuhospital ou em seu café, ter conver.sado alguns minutos com éle...; ime-

' tantas horaslábios o seu

sonho não era mais que trabalho esabedoria... intenções de scmorp ouenunca se realizaram e que o amargodestino não li,c íacil.tuva pôr em prá-ti ca. mas, também, tinha contra élese.,» amigos — niuis nefastos do que a,sorte... Oh! pelos amigos, não nuerodizer os poetas <iue o elogiavam, é cer-to, nem o editor, nem as pessoas que*

bando que vi viuutiase, guardadas as pro-¦ do

íiièua extiauruinurio que pareça: seugênio foi envolvido, explorado como ocapital do outro; dos magros subaí-dios que Veriaine conseguia, uma me-sa inteira bebia: ah! eles não solta-vam a sua presa — e impediam quacia fosse socorrida (sic), porque so-corrê-la, como seria preciso, significa-va arrancá-la delta porque é pre-ciso que saibam que se não ti-vessem sido oa admiradores de Verlai-ne, a miséria lhe teria sido poupada.Mas, infelizmente, o poeta que éleaseqüestraram, sob sua influência ma-Hgna, a quem ofereciam assegurar-lhe os dias (?), não respondia senãopor um uunvke de aper.tivos para obando; interrogai a esse respeito Va-nier, Mallarmé, Huysmans, Coppée etHenri de Hêgnior et Viéle-Grüfin".

M. Francia V ielé-G rif f i n respon-deu antecipadamente a M. Jean AjaUbert, em magn.-fico e elucidativo ar-

—i.

"VtJiiaine au café Voltaire". — Foto Dornac, publicada na s»rie "Nos Contemporains chezeux". 1891. Bibliot. Bricio de Abreu.

A Meca dosEscritorese Legentes

Algumas edições da Co-editora Brasittca, à vendaem todas as livrarias; Es-tudo Sistemático dos VEH-BUS PUUTUGUESEA, porMario H. Martins — Cf$

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30 DOM CASMURRO

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FONTES <LINSPIRAÇÃO

Ê lano fím dá orai*, na "boite" que é fonte de

inspiração que a musica embala os corações

parodiando a melodia das ondas...

SSÍ^#\/7Ív» MA Tífíf\

DOM CASMÜRRO31

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Anos de Luta - Um professor singular:Sückney, Bournemouth, Rethel

"Ah! tuez mon esprit et monnoeur, et mes sens!...pitié, Dieu pitoyable!...

Verlaine deixou a prisão no dia16 de janeiro de 1875.

Em vão, no outono cie 1873, evárias vezes no decorrer do anoseguinte, a mãe de Verlaine, emBruxelas, acompanhada do fielM. Istace, esiórçou-se junto aoMinistério da Justiça, redigindovárias súplicas afim de obter em

,'favor do filho, por graça do Rei,uma redução da pena. A rsau-ção de 175 dias concedida aacondenado sôore "son nercips"foi- feita estritamente cie acordocom a. lei, e motivada pala suaconduta regulamentar. A pobreStéphanie, cujas solicitações fo-ram infrutíferas só tinha um ue-sejo: aproximar-se do filho "bri-

gand" fascinora por isso fizeraem 1874, freqüentes visitas à ca-pitai do Hainaut. Ela ia aos"Petits Carmes", à Bruxelas verPaul às quinta-feiras e dotnin-aos, conseguia mesmo com ar-iifícios introduzir als-avés dadupla grade, o "Figaro" com-prado na estação, enrolado "a-lomgado por torsão, fazendo-ofino qual agudo florete".

E, quando numa manhã deinverno, após haver dado baixano registo do carcereiro, a "lour-de porte" da prisão entreabriu-se para dar saída a Verlaine,encontrou ele sua mãe, na cal-cada úmida, a sua espera. No

de FRANÇOIS PORCHÉ

Registo da penitenciaria do no-mie do recluso que se afastavana- bruma constava:

"Caractère: faibleAmendement: probable..."

"Provável" significa esperai-ça, mesclada cüe dúvida. Po-rém em que proporção? O Re-gisto não indicava. E a por-ta cerrou-as.

Na verdade, Paul e Stépha-liie não se encaminhavam asós para a estação. Dois "bon-nnçts" paludos ladeavam ain-da o prisioneiro libertado."Verlaine au Café Voltaire".so da Bélgica, com alguns'compatriotas, foi cctndUiZido

por dois guardas até a fron-teira francesa, sua ~mãé~~se-m-

pre acompanhando-o, velhaovelha inocente desgarrada na-quele vagão que levava um rs-banho suspaito.

Ao anoitecer do mesmo dia,os dois viajantes chegaram aFampoux. O tio Julien Dehée,

a prima ViCioire, rectjMram.com bondade este parente quehavia duramente expiado suasfaltas, e parecia regenerado, Opoeta permaneceu um mês nes-tp estado de graça: — Sãoaqui tão afáveis para conosco,e é tão bom o clima — mes-mo boreal — do campo, quea grande cidade não atrai fcan-to.

Em fevereiro, entretanto,Verlaine vai a Paris com o in-

tuiij» de encontrar-se com oadvogado de Matilde. Espera-va, desta entrevista, alguma¦a como d aço. pois a sentença dedivórcio condenara-o a pagai-à ex-espôsa, uma pensão deKW francos mensais para ma-nutenção do filho, cuja guar-da lhe fora íüegada. Talvez es-perasse ainda que Matilde re-conhecesse sua injustiça e lhe.pedisse perdão... O advogado,nem o recebeu.

Repelido, rejeitada sua novapretensão, embarca para Chi-may. Não obstante a entradaem território belga lhe ser in-tfcrdita., atravessa a fronteirae apresenta-se na Trappe, re-solvido a fazfir-ss frade. Uma"s&mana

de retiro preparatório, .bastou para abalar-lhe a re-solução do postulado. Ufa! Vi-va Paris!

Porque não comprara uniapassagam de ida e volta!

Rimbaud!... Não foi ape-nas nes'e dia cjue Verlainetomou a com êle preocupar-se. Porém a experiência davocação dissipada acirrou-lhea lembrança. Visto que a mu-lher o r-epele, rçue reconheceter sido chamado por Deus apronunciai- votos perpétuos,clirei que volveu a sua abje-ção? Não com tanta pKessa..Permanece em sua crença re-adquirida, até . no arrependi-mento. Quer fazer com queseu amigo também a parti-

** L'S _Z Coitado do Jorginbo! Bastaria, não ser possí-vel comer de tudo... Mas também não pode es-hidar, não entende o que os professores lheexplicam e nunca há lugar para êle nos jog?sdos colegas e nas diversões dos amigos... Elepertence à família 'ido contra". Por vontadeprópria? Não. Porque desconhece o regime ENCMM%__z? -__*G__

^&Mêjji_____\ ¦" ¦ •> J©tf/X'*§?' $

Ê a alegria em pessoal Sempre de bomhumor, tratavel... Memória clara, prontamentealerta, sempre tem os lições na "ponta dalíngua". É o "craclc" dos jogos do colégio...E, depois de tudo isso ainda come de tudolDesconhece dieta, desconhece "não

pode"nãoé "do contra" porque conheceo regime ENOÍ

//ijs ______i

l__mÊl__r_wbi_êlttk_f

l__m___ _ii_\i___\ _m __.

\t_W____9IfnttkS &ÍBB_*_*l.Wss_3BI0g__

Há malestpres * de diversas fontesoriginados por excessos de toxinasno organismo, o que causa prisãode ventre, enxaquecas, enjôos, etc.E isso tudo torna as pessoas inape-tentes, de mau humor, intratáveis.O regime ENO - o uso continuo, aolevantar e ao deitar, de um laxantesuave e seguro como o "Sal de Fructa"ENO, evita essa intoxicação do orça»nismo. ENO pode sertomadoem qual-quer idade. Não há contra indicação.

"SAI DE FRUCTA"

ENO'^¦IIJIIURP** 70 ANOS Dl FAMA MUNDIAL

LAXANTE SUAVE • ANTIÂCIDO EFICAZ • MELHOR ALC ALINIZ ANTE

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WÊT _m__________________________\"Verlaine no Hospital". — Desenho do natural de F. A,

Cazals. Museu do Luxemburgo.

lhe. Não é natural? Escreve-lhe pois: "Araemo-nos em Je-sus": Esta transposição, estetranscordamento aum amor in-fame em amor divino, tem ai-«uma cousa ¦ de escandaloso.Mas é preciso admitir que ara-bos os santim.en.os eram sin-cteros em Verlaine, Delahayeencarregou-se de remeter a car-ta edificante. Verlaine ignora-va-lhe o paradeiro, e Dela-haye que o connecia estavaproibido de revelá-lo.

tfc regn-esso a Rochje, apóso drama de julho de 1873, Rim-baud ali permaneceu até o ou-tono.

Em agosto, tendo terminado"Une Saison en enfer", en-viara o manuscrito ao impres-sor-Poot, no 37 da rua Choux,em Bruxellas. Recebeu umadúzia de exemplares que, lhecabiam como autor, e os dis-tribuie entra várias pessoas.Um exemplar deve ter sido en-viado a Verlaine em Morts. Tê-lo-ia recebido o prisioneiro' Emnovembro deste mesmo ano,Rimoaud reapareceu em Paris.Porém o epílogo trágico de sua(fuga com Verlaine, era noQuartier, a ínlsão em todasas cervejarias. Viraram-lhe ascostas. Que importava! A li-teratura já não o interessava.Ele não queimou, como julga-ram por muito tempo, os exem-plares de "Une Saison en en-fer": apenas negligenciou nãopagando a Poot o preico com-binado, e abandonou a edição

Em Paris, onde conheceu amiséria, travara relações comGermain Nouveau, um poeta devinte e um anos, provinciano.(2). Partiram juntos para nInglaterra, Porém, Nouveau,não era Verlaine. N&o, não ti-ilha os bolsos tão recheiadosquanto cs do — "le vieux" —embora tivesse pago a viagemtifc Rimíbaud. Os dois jovenslogo se separaram. Artur pas-sou todo o ano de 1874. emLondres, dando, "para ganharo pão", lições de francês. Em

(1) Sabe-se que os fardos que obincerruvum (aproximadamente 450exemplares) fórum encontrados, poriiciiso cm 11)15. quarenta c cloiB anoadepois da tiragem, no armazém do

(2) Viram-no como vamelot, ven-dendo arcolas de chaves, cordões du-sapatos, no boullevard Suint Miehel.

\ :&

jamsiro de 1875t voit|ou pai"aAi-dennes, e, tendo obtido umauxílio de sua mae, havendo-apersua dido de que precisavaaprender alemão, foi paraSJUttgart. Aí recebeu em fe-vsreiro a carta edificante.

"Esta carta, escrevia-lhe o ve-lho companheiro, foi meditadadurante seis meses", o outroacolheu o sermão com sarcasmo."Mlidcês de méditées" ! exclamoucom um ritus de desprezo noá"fortes lábios carnudos". Aparjir de então, na sua corres-pondência com Delahaye, sóchamava Verlaine de "o Loyo-Ia". Durante semanas impe-tíiu o amigo comum de revelai'a Paul o lugar do seu retiro.Paul insistia, suplicava. Certodia chegou este consentimem-to cheio de desprezo: "Pouco,me importa! Se quizeres, podes,dar o meu endereço ao Loyo-Ia!"

Verlaine assim que teve co-.nheaimento correu a Sjutt-gajt, "de rosário na mão...Três horas depois renegou seuDeus e fez sangrar as 98 cha-f"s de N. S." Desta forma foique Rimbaud escarnecera, nu-ina carta a Delahaye. O pró-prio Delahaye contou, como.numa noite de luar, duranteum passeio fora da cidade, nas.margens do Necktir, os dbds.

companheiros, após ufrna dis-cussão travaram terrível luta,na qual Vterlaine Ifevou desr-vanliagem. Perdera os senti-,dos no local da luta, sendo so-corrido, no dia seguinte, ao,amanhar, poj- camponeses-,t(ae o transportaram para asua cabana e trataram-lhe osferimentos.

Já sabemos agora o bastan-.te sabre esses dois homefcLs,para que esse drama, que per-maneceu por multo tempo emmistério, se aclarasse.

Verlaine só permaneceu dois.e meio dias em Stuttgart. Ja-mais tornaria a se avistar comRimbaud.

"Sur ma remonstration" dizéle — Verlaine "regressou àParis, para em seguida ir Uer-minar seus estudos "lá-bas,dans l'ile" (na Inglaterra).

Parece-me que Artur se ga-ba muito, o procedimento dePaul, a partir deste instante,não é dos que um simples con-selho de amigo determine. En-trevejo uma verdadeira trons-formação moral, tão grave co-,

DOM CASMÜRRO*%

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mo a que se oiperou na prisãode Mons, revolução espiritual,retorno à fé. Os quatro anosseguintes são assinalados poruma segunda tentativa de Ver-laima, para vencer as fatali-dades que o dominam e arras-tam ás peiores desordens.

oooOoooO poeta desembarca em Lon-

dres, em meiaao de marco. Di-rigiu-se imediatamente a umaAgencia Qe colocações para"professores e preceptores", esolicitou um emprego "au

pair". Uma semana depois re-cebeu aviso Oa Agencia: ofe-leciam-lhe o lugar de proles-¦sor de francês e desenho, nu-ma escola em Stickney, pertode Boston (Lincolnsníre). O lo-oal esta sluoado aproximada-mente 125 milhas ao Norúe deLondres, próximo da costaoriental. Verlaine, nos primei-ros dias de abril, para ai se-guiu. Narrou esta viagem, co-.mo o suave, exquisito, melan-flóiico_____jsptjplxrctonoii o campo ínglIBsem que a primavera com4íçaraa despontar. Na estação deSibsey irai "cabriolet" atrela-

•do com um poney e guiado porian menino bochechudo, aguar-dava para conduzi-lo.

A "Gramrnar School" de Sti-ckney era um estaDelecimentoem estilo gótico. Janelas decaixiihos ae cnumbo e vidraçasem forma de losangulo. O di-reito M. William Anorews, ho-mem de uns trinta nos, abriaem pessoa a barreira. Acoineu

-o novo professor com um "Wel-come, tooussou", sonoro e cor-dial. E como Veriauie, cooertode poeira, gaguejasse desculpas,replicou "Veux-tu laver" ? Ape-sar de Verlaine saoer tanto in-

. glês como o diretor francês, en-Kiiiüiaiiuii-^e penei lamente bem,tanto mais que, desde o pri-meiro quarto ue hora, o pue.asouoe conquistar a simpatia deM. Anorews e de sua digna ejovem esposa, expnminao-lheücom olhos e gestos de que par-talhava o colação, a íu^uivíta-çáo motivada pela saúde de suaiilhinna. Quanto às lições,Verlaine pediu, no dia seguinte,licença para começar por de-s&nno. tor certo receiava o mo-men.io em que teria de ensinarfrancês a meninos que não sa-faiam nem uma palavra de seuidioma e aos quais teria dificul-dades para dar a menor expli-cação em inglês. Entretanto,não obstante o métouo u-rí^ainda não ter sido inventado,é de crer que o novo professoraplicasse por instinto s~us prin-cipíos, com rara ieuciaau-j. poisparece que o"school-master"não estava descontente comseus serviços. E' verdade queVerlaine dava ao prjpno ivt.Anldrews lições de grego e la-tim, em troca de aulas úa inglês.Dentro em pouco, juntou-se aesse emprego de tempo, algu-mas lições particulares de fran-cês, estas remuneradas, que o*'bachelier aux arts de la Fa-oulté de Paris" professava, navizinhança. Nas horas de foi-ga, as conversações, no jardim,

¦ com o vigário da paróquia, ocônego Coltman, " venerávélgentleman de barbas brancas,que falava o francês correta-mente", não eram destituídasde atra;ivos nem proveito. Porfim, a mesa dos Andrews tinhasuas compensações. Quanto aeste particular, Verlaine estava,longe de ser indiferente. Em1894, ainda se lembrava do"pudding" perfumado com cas-'quinha de limão, e do "roast-

beef", delicadamenlie entremea-do de gordura e partes magras,e de certo pedaço de porco sal-gado, chamado "Stuffed chinc(épaulc farcie) cortado em fa-tias, entre as quais, devidamen-te colocado, um guisadinho de¦verduras.

Sem dúvida uma vida regularé coisa recomendável, em regratem seus benefícios, mesmomateriais, tem pequenas com-pensações. porém, como é porvezes monótona ! Verlaine noineio dos seus desregramentos

DOM CASMURRO

com freqüência nos desagi-adou.Porque então agora,, êstie pos-sesso apaziguado, este "Bicam-

bre adouci" nos penaliza ? Porcerto aplaudimos suas boas re-soluções, o felicitamos por mun-tê-las não obstante o lasti-mames. E' que a grandeza deseu esforço e do seu inteiriça-mento nos compunge. Sofre-mos Juntos com êle. Ou então,julgamos que a depressão deseus nervos, um estado de semi-torpor, motivado pela fadiga,concorram para isso.

I/accornpliss-emmt vil de tã-ches puériles, o incitam desdeentão a

Naimer que le silence et C4M1-[server pourtant

Le temps si grand dans la pa-[tience si grande,

Isto também nos penaliza.Que purgacório é o tédio. Maisou menos um mês depois desua chegada, Verlaine escrevea Delahaye. ___-MrnKtrviaã êToucarnente cal-ma...

Itjnfao, atrozmente, BíeeesH-dade de sossego, não me sintoainda bastante reconquistadodos meus desvarios passados,e é com uma espécie de fero-cidade que luto para domar an-tigos hábitos. Eu de Bruxelas edr Londres, 72-73, de Bruxelasjunho 73, também... princi-palmente.

No princípio do ano seguintenuma carta a Emile Blémont,rtpete a mesma cantilena, ape-

che" eram os poemas que de-veriam completar a coletânea duSagesse ou lazer parte aeAmour, o livro seguinte. Sua fé,por momiantos, torna-se taoviva que, parece-lhe, coisa ai-guma poderia dissupá-ia. Porisso pensa em escrever um vo-lume inteiro sobre "a Virgem"itma espécie de epopéia, de nar-rativa, quatro ou cinco milversos seguidos". "Meu poe-ma sacro será imenso'. _ Maspara aqueles que julgarem quemesmo nesJa fase de elusáo deseu amar divino, fosse todo in-genuidade, todo sentimento,lembramos suas leituras nestaépoca: "alterno o inglês comTeologia e Místicos la Sommee Santa Tereza, eis os livros.

Porém, nem a obrigação jotr-naieira, nem as caminhadasa .raives dos campos, nem suaaplicação em mergulhar-se empiedosas leituras nem a expan-são de sua alma na oração, con-seguiam, sempre, desviar o pen-sarmento de_Veriaine^=jíeni_suB-"cãfné — de determinadas re-cordacões.

Madame Verlaine, mãe, fixa-ia-se em Arras, no beco d'El-brMine. Foi 14 que Verlaine foipassar o verão de 1875. E tor-nou a voltar em dezembro, porocasião das férias de Natal. EmArras, Paul encontrou algunsamigos: Delahaye, apresentou-se no domingo, vindo de Char-leville onde estava empregadona Municipalidade. ,

Os dois homens lábcuiam algumas vezes. As li-Soas entretanto náo afilham.rúi pneciflo cuaer aueus ao ca-nal, ao moínno branco, <a ca-v_,a ae concninnas, onde umcoro de amaaur*s caiiu*** aiiwssacras de Miozart e de Haydn.

A partida ocorreu no dia 1,°de Junho. Veriauie recouuuaiusua máe a Arras e voltou paraa ingiaterra, logo depois fora-me oierecido um lugar de pro-fessor interno em Bournemoui&h(Harnpshire), a "wathering pia-cé", na costa meriuionai, emfrente da ilha Wight. No verãooe 1876, Paul passa os fériasem Arras e Fampoux, em casado tio Dehée; vai visitar Dela-haye, em Charlevilie, l(Kal denascimento de Rimbaud; po-rém Rimbaud está na Batávia.No princípio de outubro, o pro*fessor retornou à sua prisão emBournemouth. Durante os pas-seios, do alto da escarpa, con-templava ao longe, o cintuar das

escola Sain>Aloysius, emBournemouth, era "un três se-lect pensionnat". Paul tinhaapenas uns doze alunos.

Nos dias de sol, quando,

'•Latmosphère est de perle et[la mer d'or lane",

levava as crianças à praia e ba-nhava-se com elas.

Em Paris, uma terceira edi-ção do "Parnasse contempo-rain" aparecia na livrria Le-merre: Paul Verlaine nele nãofigurava (Assim como MallaT-

¦riainc dormindo no Café Procope, em 13 .le Novembro de 1890. Desenho pertencenteà coleção Messein.

nas o primeiro entusiasmo estácí.ssipadry, a segurança abala-da; o fastio de um mister mui-to uniforme começa a se fazersentir:

" Calma a qualquer preço,afastamento salutar...

E prudência. Existe, é bemverdade, neste novo modo deviver, horas insípidas e acabru-nhadoras: porém, ao menos,não há ocasião para alucinaçoes,¦faltas a serem cometidas, nemarrependimsnjos deleitosos "no

drawcacks" como se diz aqui;falta de "plaisirs", oh! isto épositivo, porém existe satisfa-cão amiudadas vezes, garanto-lhe. E a saúde, porém refeita,economias realizadas, prática dnlíngua inglesa adquirida, a se-riedade "assumed", o latim re-¦capitulado, tempo suficientepara estudos sérios e mesmopara versejar nas horas de"revenez-y".

Interrogada, quarenta e doisanos mais tarde sobre a recor-ilação que guardava de Paul Ver-laine, Mrs. Andrews respon-deu: "Quando êlenesidiu co-nosoo, eu não sabia que eratamanho poeta; passava o tem-po a passeai- e escrever numcaderninho de bolso, assim queterminav as aulas.

A respeito do professor calvo,escrever "sur un carnei de po-

Irénée Decroix, por conta dequem Verlaine tenrou sem exi-to, colocar vinhos na Inglater-ra. Na primavera de iarí'ò, Sté-phanie, sempre rija apesar dosseus sessenta e quatro anos, foiao encontro de seu filho, emStickney. Ela gos..oii, pois con-versa com o vigário Coltman.assistia cs ofícios da igreja an-glicana no seu livro de orações,romano. O desejo de Pauí a-aque sua mãe morasse com êla.Porém, para que este projetofosse realizável, era necessárioque Paul tivesse uma situaçãomais estável. Agora que possuíaalguns conhecimentos do in-ales, julgou que lhe seria fá-cil encontrar, na cidade vizinha,lições lucrativas. Despediu-se,pois, não sem emoção, de ssusamigos Andrews, e de sua fi-lha Lily, do bom cônego, de seusalunos do poney Taffy e deLady Pig, a ovelha negra, e de-pois, em oatnpanhia de SU)-[phanie transladou-se para umlugar próximo de Boston.

Em Boston, mãe e filho hos-pedaram-se em casa de um ita-liano, que possuía, numa grutade pedrinhas e conchinhas, umpeçjueno no museu, cuja prin-cipal atração era um esqueletode baleia. O poeta persuadiuo italiano a instalar, sob osarcos da carcassa, uma, mesa G

mé, cujo " 1'Après-midi d'unlaune" foi afastado a conselhode Antole France. A exclusãode Verlaine e da Malalrmé fo-ram apoiadas por Leconte deLisle e coppée. Apenas xxinvn-le projestou).

ferias de Natal, rápida via-gjsm à França, no princípio delb77, e retorno a Bournemouth,em

'meados de janeiro. Que

Existência fastidiosa ! Verlai-ne não se queixa. Sua fé o am-para, brilha nos seus olhos.Delahaye não disse que o poe-ta, neste tempo, era "doux etcalme"? Pcréan alguns alunosmostravm-se insübordinados.Alguns, irlandeses principal-men:;e, "de vrais diables". Umdeles atira no professor fran-cês, uma pedra oculta numabola de neve. Verlaine atin-gido na cabeça, vacila e cai des-falecido. Quem é o culpado ?O ferido, reanimado, nao ousaacusar ninguém, visto ter só-mente suspeitas.

A partir de então, redo-bra a indisciplina e o "master-

school", convence-se de queVerlaine não sabe se impor áclasse. Ao terminar o ano le-tivo, completam-se três anos etrês meses que o poeta lecionana Inglaterra. O exílio pesa-lhecada vez mais. Volta a passarville aux toits follets", "aux

places ivres d'air". Êle estft.tão ajuizado, que so vai ao cafénas tardes de sábado, paraolhar as figuras nos Jornaisilustrados. No inicio de sdtem-bro, ei-lo de novo em Bourne-mouth. Por pouco tempo po-rém". Espero, escreve a. Le-pelletier, voltar em breveParis, por ser a época oportu-na das colocações na instruçãopública... Peço-Je verificar seexistem " 4>ccaases p4Mir bibi".E acrescenta, tenho um montede poesias. O volume está qua-se terminado. Procura indicar-me um editor, que náo sejamuito explorador".

Em fins de setembro, em Pa-ris, Verlaine encontra Delahaye.O ex-emipregado da Munici(pa-lidade de Charlevilie, tendoobtido o diploma de bacharel,entrara como professor ou mes-tre-repetidor, na instituição No-tre-Dame de Rethel (Ardennes).Devido a uma série de desen-tendimentos com a_diretojte,._

)ara'cí«r~ãespédir-se do lu-gar. Contou tudo isto a Ver-laine, no café, e o poeta, corao cenho severo que adota porvezes, reprova ao camarada suainconsequência. Nova rodada decopos e separam-se. Oito diasmais tarde, Delahaye recebeuum envelope com o selo de Re-thel. A carta era de Paul eprincipiava com esses termos:"Mon cher Prédécesseur". Paulaproveitando-se das ingênuasinformações dadas pelo cândi-do Ernesto, dirigira-se direta-mente a Rethel e oferecera-seao diretor da Instituição parapreencher a vaga existente de-vido à demissão de seu amiio.Exibira seus diplomas e certi-ficados ingleses, devidamentelegalizados. Foi aceito. "O dis-simulado" concluiu alegremen-ts Ernesto, a ouem devemos orelato deste fato. Por maisamistosamente que tenha sidoprofarida a palavra, deve sergravada como o próprio fato.Peaueno ardil, sem duvida, po-rém aue caracteriza mais Tâniavez ura dos traços nu° sempreress9ltpmo<! em Verlaine: adissimulação. *

O poeta permaneceu doisanos no Colégio Notre Dame,em Reinei. Lecionava francês,inglês e história. Nada maisao ri mio das semanas ingle-sas, em qus os passeios e osesportes ocupavam tanto espa-çj. "Trabaino atros, trinta no-ras de classe e lições particula-res — (ça bono, bono).

Se dermos credito a Mallar-me, Paul jatava-se junto a êle•ie jer inventado um meioao depronuncia inglesa para uso dosliujifescs, A maravilha consis-tia em imitar, de início, a mápronúncia dos insulares, quan-¦do faiam noa^a w^ua, .^-ialocuçao defeituosa, constituíapara os cr^aos que coiauu.wnpara a articulação, uma espé-cie de acomodação inicial, es-tado intermediário entre ofrancês e o inglês. Desja for-ma, um francês poderia habi-tuar-se, na sua própria língua,às intonações guturais, .às es-tridencias com que um íngius,ao falar um outro idioma, ai-verso do seu, tem tanto traba-.__,, cm desvencilhar-se.

Seria depois mais fácil paraeste franes adaptar-se (à pro-nuncia inglesa, no inglês.

.Da acordo com este método,quando Verlaine entrava emclasse, os meninos, de pé, diziam-lhe em coro esta saúda-ção regulamentar: "Baoun-jour,maossiun Voaulaine !"

Evidentemente, esses exerci-cios ofereciam principalmenteuma vantagem ao professor: éque não havia miais mecessiÜade de saber-inglês para en-sinar.

BANCO PAN-AMERICANO S. A.

IODAS AS OPERAÇÕESBANCARIAS

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Carta endereçada (fac-simile) — por Stefan Zweig aOnestaldo Pennafort, onde vemos que o manuscrito origi-nal de "Fêtes Galantes", de Verlaine, acha-se em Londres,

na casa do escritor, Existirá ainda,'

bante de seu firme propósitoque, Matilde, com o tempo, naopoderia deixar de ficar impres-sionada, comovida e até conquis-taria sua admiração. E' quesabia, quantos esforços punfíert.tes teve de empregar nesta lutadesigual de forças ocultas. Quevalor teriam contra uma provadesta, os rancores e preven-ções? Não encarando a quês-tão senão de seu ponto de visr;apessoal, não podia, compreenderque o incriminassem para sem-pre. Achava abé mais plausívelque o felicitassem. Não chfi-gara a expiar os erros ? Eie eraum crente. Suas culpas, seuspecados, já tinham sido coníes-sados. O esmoler do "chatsau''distante, o absolvera, assim, pois.dissiparam-se. Era como se min-ca tivessem .existido. E ainda;Maálde, apesar de ser uma fio-nesta burguezinha, uma boamulherzinha do lar, prudente ecuidadosa, era irreligiosa, ou ,Desprendida da rellpiáo! Poristo Verlaine estava propensoa crer que êle, o pecador, é queestava no bom caminho, êle, omonstro de há pouco, o asquei-roso de outrora é que estavamais próximo de Deus. No quede resto, talvez estivesse com arazão.

Matilde encarava as coisas demodo muito diferente no aspec-to terrestre, não se pode cen-surá-la, circunstancias . e e-niendas motivaram a diissolu1-ição do lar e, por fim, o rompi-meno conjugai. E' cômodo de-pois de tudo, fazer carga naesposa ultrajada, alegar insen-sibilidade e mesquinharias. Fa-lemes de preferência, em pru-dència. O poeta suplicava:

Oh! ma soeur, qui m'avez puni[ pardonnez-moi

"Em Notre-Dame, Verlaine ti-mha um quarto particular. Fa-zia as refeições - na mesa dodiretor, com os padres e algunsleigos, mestres-internos tal co-mo êle. Menu pouco variado,porém forneciam um litro devinho para quatro, e café. Aprincipio sua excessiva reservasurpreendia. E' que da sua"currlculum vi^ae" prenhe deoras-primas e erros, o novo pro-íessor pouco falara. Silenciaraseus trabalhos literários, dosquais ninguém, em Rcthel. ou-vira falar e ocultara especial-mente seus dois anos de yile-giatura em Mons. Parecia tãomisterioso aos jovens abadesque, penetrados pelo seu meti-culoso - misLário, aguçava acuriosidade e causava- certoconstrangimento, No meio detodas aquelas batinas, o faunoevangelizado, julgava-se obrl-gado a aumentar a austerida-de, empertigado na sua sobre-casaca.

Com o tempo, habituou-se. O• Bom-humor-.característico doa

eclesiásticos, acabou por dei-xá-ío à vontde. Os colegas, asvezes, o convidavam para pe-quenas llbacões, em seus quar-tos. Êle próprio, no seu retiro,teve em breve sua adeea de li-cores. Infelizmente essas perme-nas; libações constituíam uma

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cilada do demônÍo|! Depois dedois anos de privações forçadasacrescidas por dois ou três anosde temperança-voluntária. Ver-laine parecia defintlvamente só-brio. Quem sabe quanto é ins-tável num alcoólatra, a desin-toxioação, e como é perigosaqualquer reincidência, emboramínima ! ' ' -;--&í'

No primeiro ano tudo foi bem.Verlaine, nessa época, não ha-via perdido a esperança de umareconciliação com a mulher.Julgava quê a vida morisceradaque se impusera era um atesta-do irrecusável de seu arrenen-dimen*jO, um penhor tão retum-

Les chères mains que furent[ miennes

Toutes petites, toutes belles...Faites le gesie qui pardonne .

Este "frisson", êle não dei-xará de remeter por inbermé-dio de Charles de Sivry a "Ia

Princesse (charmante)", assimcomo lhe enviara os primeirospcemas de Sagesse.

Estas poesias são, por certo,divinas. Entretan*o, abstenha-monos de vêr na sua divlniza-ção, que é de ordem estética,uma garantia moral. Não va-mos, de sua beleza, tirar um ar-sumento de razões contra Ma-tilde e dizer: Ela devia per-doar. Dorque Paul era um gran-di° poeta e implorava seu per-dão em +êrmos admiráveis, du-ma humildade maravilhosa.O raciocínio seria falso. Nãoporque estas implorações deVerlaine não fossem absoluta-mente sinceras. Estamos per-suadidos que elas exprimiam oque havia de mais profunda emsua alma. O resto das pero-Ias puríssimas, o mergulhadornão conseguia atingi-las nemreirá-las do abismo, senão emraras horas privilegiadas. Emseguida estas jóias repousavamno homem, um leito de lamaque, ao menor movimento amea-cava tragar. Infelizmente umaexistência é composta duma in-f inidade de momentos, e as pro-messas de Verlaine (ele fizeratantas) não oodiam inspirar ne-nhuma confiança. Era preciso

pana recomeçai1 a vida em co.mum com Paul, que Matildefosse realmente louca — ougrandemente apaixonada. Po-rém ela era uma criat/urinhamuito prudente. Medíocre, se

quiserem. Mas, se os própriosmedíocres têm direito à ti-an-qullidade.

Resta a questão do filho, pro-duto dessa infeliz união. De

pois do acontecimento Rimbaud,do drama de Bruxelas, da pri-sâo de Mons, será para admi-rar que, psla decisão a posse deicriança fosse retirada ao pai ?E' para surpreender que a mãee sua família, considerando oexercício de seu direi.o, comocumprimento de seu estrito de-ver, tenham afastado toda in-gerência de Veriame na educa-çao do pequeno

'"George, e Istocom um rigor que se devia iracentuando a meuiaa que o me-nino aumentava de idade?

Subtrair á criança fo influén-cia dum hom-tm qu«, sem uuvi-da possuía ^alento, mas era umbêbado, um decoehado da peore&pecie, eis a visão curta, mas,certamente, ajuizada, de Matil-de. E esta loi a resolução ma-balável que tomou .

Quanto à faculdade de visi-tar seu filho, concedida ao pai,pelo tribunal, é inexato qu.;,naquela época, tenha sido con-tes-ada a Verlaine, como este ale-gou. A verdade é que êle mes-mo, após algumas visitas, arras-tado por uma nova paixão paiaoutras desordens, negligenciouusar desse direito.

Mme. Delporte conta que,em 1877, o poeta, de um cafépróximo da ma Nicolet;, enviou-lhe, por um portador, um ex-travagante bilhete no qual lhepedia que restituisse um dese-nho, trabalho de seu pai e aomesmo tempo entregasse, tam-bém, seu filho. Ela acresoen-ta que uma prima de Verlaine,sua prima de Fampoux Victoire,prevenira-a de que desconfiassede Paul. O qual teria dito, porocasião de sua estadia em casados Dehée ao sair da prisão,que procuraria tomar seu filho"como vingança".

Em 1879, durante as férias daPáscoa, Verlaine assiste, emArras ao casamento de IrénéeDecroix. Seu aspecto tris.ionhofoi notado por todos os assis-tentes, No verão êle foi a Pa-ris por ocasião das grandes fé-rias. Visitou a Exposição Uni-versai, onde encontrou um co-lega de Rethel, o abade Dogny,que, lá no pensionato, guiaraas suas leituras piedosas e in-citou em particular seu cultapela Virgem. Durante sua per-manêncla, freqüentou a casa docunhado e projetava até de comêle colaborar na composição deuma opereta: "La tentation deSaint-Antoinc". Por Charles deSivry, soube Verlaine que o pe-queno George estivera grave-mente enfermo."Êle escreveu à minha mãe,diz Mme. Delporte, para queconsentissem que visse o filho.Os meus responderam que po-dia vir, seria .recebido. Fixa-ram dia e hora, George fora deperigo, estava ainda acamado;minha mãe o recebeu junlo aoleito do menino; meu pai subiutambém para vê-lo. Só lhe fa-Iara sobre George, meu nomenão foi pronunciado, nem fize-ram nenhuma alusão ao passa-do. Êle despediu-se satisfeito.

pedindo para voltar mais umavez antes de partir, concorda-mm.

Alguns dias depois voltou econversou, por longo tempo,com minha bondosa mãe e con-tou-lhe quanto era feliz em Re-thel, entre benévolos padres, ca-ridosos e alegres. Alentado peloafável acolhimento de minhamãe, confiou-lhe sua esperançade voltar a morar ainda nessacasa hospitaleira que abandona-¦'-ra num dia de loucura, o quatanto amaldiçoara em suas car-tas ao amigo Ijepellejier. Og ¦tempos estavam mudados.-Quenão daria êle para recomeçar avida em comum! Minha mãeenternecida pelo seu arrependi-mento e máguas, e do afeto quedizia ter por mim, julgou quenao devia dissipar-lhe todas asesperanças, éramos tão -jovens-ainda, mais tarde veremos...

No intimo, minha mãe não1desejava uma aproximação; tan- ¦tas vezes vimos Verlaine, terno ie arrependido, recair em segui-da no seu terrível vício|! Po-'íém não quis desencoraja-lo daserma honesta em que ¦ acabara 'de ingressar.¦Durante sua permanência em

Rethel, Verlaine escreveu algu- 'mas vezes à minha mãe, quelhe respondeu, pedindo notíciasdo filho; enviou a George ai-g-Lins piesentmnos, um álbum defojOgrafias,,um livro inglês ilua-traao".

Poi a época em que em Re-thel, ã noite no seu quartinho,ornado de "crépons japonais"e de "deux tailles-douces repré-sentant Ia Vierge et Saint Jo-seph", o estranho professor de-pois de corrigir as cópias doualunos, franca a porta e tiran-no dum armário os cadernos des&u trabalho secreto, traça ossinais duma linguagem miste-riosa, frases dispostas em linhasdesiguais, sílabas que têm res-sonâhcia, todo um conjunto de.encantamento, pelo qual suasdores se avivam e ao mesmopjmpo acalentam transmudadascm harmonias:

Et j'ai revu 1'enfant uni-[que...

Mas, bruscamente, diz Mme.Delporte, Verlaine "cessou deescrever ã minha mãe, pareceuesquecer que tinha um filho enão ouvimos falar mais sobroêle". Ela não alude à visitaque em 1879, Delahaye, envia-do por Verlaine, fez ao 14 RueNicoleX para pleitear, uma úl-tima vez, a causa de seu ami-go, relativa a um apaziguamen-to conjugai. Foi M. Mautéquem recebeu o embaixador.Não lhe ocultou ele qua "cer-tas coisas sâo irreparáveis".

E' possível que Matilde nãotivesse sabido des .a entrevistade M. Mauté, preferindo estenão a informar.

O Jesus, vous voyez que Ia[porte

Est fermée au deyoir qui[ frappait...

Unicamente, o que Verlainemesta data 1879, dissimula, éque "Ia vieille folie" jà escavaà caminho: e não demoraria aquebrar sua longa resistência.

(Tradução de Solena Benevi-des Viana). jf

.._._.+

. VIAÇÂCULÉBEA SANTOS BHMONT S,

A Diretoria foi saber aos Snra. acionistas que, á página 13.254 do"Diário Oficial", do dia 26 de Julho próximo findo, foi publicada a certidãode arquivamento dos atos de sua constituição social no Departamento Na-donal de Indústria e Comércio, sob n.° 30.512.

Outrosim, aproveita o ensejo para cientificá-los de que dentro depouco convocará os acionistas para as inscrições no livro competente e en-trega das ações definitivas, sendo, destarte, da maior conveniência, que to-dos procurem ter em dia os certificados das ditas ações.

Na mesma ocasião, a Diretoria terá grande satisfação em dar conhe»cimento dos atos eomplementares de seu aparelhamento para inicio dosserviços de transportes.

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DOM CASMÜRRO'

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Recordações e viagens

Minha visita a família Hugode PAUL VERLAINE

Foi precisamente após umaestada nas Ardennes belgas, queme dirigi, em agosto de 1868,acompanhado de minha mãe,viuva havia dois anos, a Bru-xelas, com a intenção de vêrVictor Hugo que, todos os anos,deixava a casa de Ouerneseypara passar uma "temporada"na do filho Charles.

Chegámos pois, pela pequenaestação do Luxemburgo, numdos bairros mais tranqüilos dacidade e por isso mesmo de-liciosos, além de bem perto doa"boulevards" que formam, comos de Paris, a antítese justa-mente mais hugótica que sepossa idealizar: tudo é silêncio,luxo íntimo e profusão de ri-queza discreta, si se puder arris-car esjas palavras profusão ediscreta, que, sem embargo,fpintam b3in a coisa, si bemque aparentemente também con-trastem entre si.

O fiaere, por indicação nossa,levou-nos defronte à "Stationdu Nord", à primeira casa dofaubourg de Saint-Josse-Ten-Norioe, então chamado grandhotel liégeois, um lugar bas-tante confortável e modesto queencontrei, há dois anos atrás,transformado num esplêndido"Bar américain", com depen-dèncias. etc.

Exatamente o tempo de mevestir e me dirigi, antes aospulos do que correndo, à Pra-ça das Barricades onde moravaCharles Hugo.

Essa praça náo é uma ma-ravilha. E' um testemunho daprovíncia menos pitoresca quese possa imasinar e da épocaabominável do fim do últimoImpério. Certamente o seu no-me revolucionário é devido aalgum episódio da guenra daIndependência belga (perdão !nada do jornal, mas o hábito,o tolo hábito...). Bairro, aliássossegado que fosse, estucado,agradàvelmente ornado de ai-gum arvoredo, sem comércio ou.qualquer burguesia abastada.

Bati ã porta de uma casa emtudo igual às outras da praça:uma praça Vintimille em pon-to menor, de habitações maisbaixas, brancas e de postigosbrancos.

Uma criada abriu a porta eme informou que o senhorVictor Hugo não havia "che-

gado ainda", mas que não tar-daria, que entretanto Madameestava... Pedi o iavor de melazer anunciar, favor este qu£obtive, e mil versos de Sainte-Beuve, do próprio Victor Hugo,me sussurraram ao ouvido aoavistar a fiel companheira dequem o poeta dizia em 1835 :

"Cest elle ! La vertu sur ma"Cest elle: La vertu sur ma

[ tête ipenchée,La figure d'albâtre en ma mal-

[ son cachée,Larbre qui, sur la route oü Je

[ marche ã pas lourds,Verse des fruits souvent et de

[ 1'ombre toujours...

e me surpreendi, ao pene-trar timidamente na peque-na sala aonde me condu-ziu a criada, a murmurar, demim para mim, esta frase das"Consolations", este livro ínbi-mo, discreto, histórico como me-mórias peculiarmente inéditas:

" Vers trois heures souventjTaime à vous aller voir".

Uma sala bem pequenina,com efeito, ao abrigo da re-verberação violenta de uma tar-de tórrída contra a cruel ai-

DOM CASMURRO

vura da praça por veneztanase esrjêssas cortinas de matizesverdê-escuro. A senhora Hugo,que se levantara ligeiramente,para me receber, de um amplosofá que ela me convidou a par-tilhar, estava com0 que veladapor um desses imensos chapéusde palha, tais como o usavamas mulheres de então, e do qualum longo elástico permitiaaproximar ou afastar as abasseguras pela mão, conforme ovento ou o sol.

Mui graciosamente me fezsentar e me falou de mim, dosmeus trabalhos, dos meus pro-jetos. Eu não disse que, porum bilhete escrito na véspera,antes da minha partida a Bru-xelas, havia prevenido o Mestrea resoei^o da minha visita. Dai,provavelmente, o convite dacriada, depois de enunciado omeu nome, para que eu entrassee esperasse. Assegurou-me agrande simpatia do marido pe-los jovens literatos e por mime os meus versos em particular.A polidez ! Desculpou-se, emseguida, nor me receber naquelaescuridão toda a que chamavajovialmente de "tout cette nuit",e se pós a falar-me de nevral-elas. olhos doloridos, colírios eassim por diante, com notávelfacilidade de elooução e, pare-eeu-me. alguma exaltação do-entia ou pelo menos febril.

Eu estava gostando daqueletom animado, franco e às ve-zes, quando ae tratava de arte,acima do ordinário, vibrante; eexaminei, com o mais vivo inte-j-êsse, aquela cabeça ardente,aqueles pobres olhos enfermos,porém refulgentes de um fogoestranho, aqueles traços a umtempo finos e dos mais acentua-nos, a tez de uma espanhola e acabeleira quasi de mulata tendogrande testa bojuda, que foiuma formasura em 1830. e fi"cava, naquela fronte tt>da depaixão, como a marca sobera-na da Inteligência. Essa mu-lher, por si mesma já tão üve-íessante, aparecia-me de algummodo qual a Musa do Roman-tismo, desposando até nos seusexcessos — dos quais tinha tan-ta noção que os percebia oulhes criava a escusa, freqüente-mente cruel — as idéias, asopiniões, até mesmo os enganosdo seu genial cônjuge; também,um pouco, comoa Consoladorado exílio, a Inspiradora, nosmomentos de aflição moral ede lassidão intelectual, do P«-ta cansado das lutas ordinária-mente tediosas da política; co-mo a alma simpática e a almaaltaneira, amiúde amarga dastristezas da vida... e da mor-te. Esposa, segundo consta, àsvezes dolorosa, mãe que por duasou três vezes sofreu, e quanto !

¦¦• n í rs, f * J

^1 ^r^v fV RR^ 'V-Ov^

PAUL VERLAINE. Desenho de Emile Cohl para "Les

Hommes d'aujourd'hui". Bibliot. Bricio de Abreu.

Grande figura enternecedora aoextremo.

Como ali estivesse eu, todoanimado numa palestra que, só

por si realmente me cativava,ou melhor, creio eu, ainda maispela pessoa e a personalidadeda minha interlocutora, abriu-se a port-a e Victor Hugo apa-receu aos meus olhos pela P^1"meira vez.

Eu conhecia Victor Hugo pelaimensa quantidade vista de re-

Duas traduções de Verlainepelo poeta Onestaldo de Pennafort

ÂUéqoJde. efumían. 2)/auíome.

Un três vieux lemple antique :a AmAnfir- /fim tn.ni

s'ecroulant

Sur le sommêt 'indleis

d'un mont )»«"«;Ainsi qu-un roi déchu pleurant son t me,

Se mire, vale, au tam d'un fleme lent,

Grâce endonnie et regará somnolent,Une ndiade âgée, auprès d'm aulne,Avec un brin de saule agace un jauneQui lui sourít, bucohque et galant.

Sujet rmij et fade qui m'attristesDis. quel poete entre tous les artistes,

Quèl ouvrier morose fopera,

Tapisserie usée et surannée,Bunale comme un décor d'opera, rFactice hélas ! comme ma destmee ?

Les sanglots longsDes violons

De VautomneBlessent mon coeurD'une languer

Monotone,

Tout suffocantEt blême, quand

Sonne 1'heure,Je me souviensDes jours anciens

Et je pleure.

Et je m'en vaisAu vent mauvais

Qui m'emporteDeçà, dela,Pareü à la

Feuille morte.

At&goJda

Um velho templo em ruína» num outelroJá meio amarelado pelo outono,Como um rei destronado chora o trono,Mira-se n'água morta do ribeiro;

Ao pé do amial, com um ramo de salgueiro,Uma ninfa anciã, tonta de sonoProvoca um fauno, em laníuiuo abandono.

Que sorri, bucólico e matreiro.

Tema üisipido e üiEènuo que me atrlstas,

Que poetastro, entre todos os artistas.Te imaginou, — que artífice mofino.

Tapearia desbotada e arcaica,Como um cenário de ópera, — prosaica,E tão factícia como o meu destino.

Gatição- OjutonalOs longos sonsDos violões,

Pelo outono,Me enchem de dôrE de um Unguor

De abandono.

E choro, quandoOuço, ofegando,

Soar a hora,Lembrando os diasG as alegrias

E ais de outrora

E vou-me ao vento(Jue, num tormento,

Me transportaDe cã pra lá,Como faz à

Folha Morta.

tratos-litografias, glabros de to-pête Louis-Philippe, pelas da-guerreotipos de pouco tempodepois, em chorão do golpe deEstado; posteriormente nelasprimeiras fotografias, de barbacrescida e de cabelos tosquia-dos, tiradas em Pierre Petit. Nomomento exato em que falo,os cabelos antes sal do que pi-menta, a barba antes pimentado que sal, e o bigode quasipreto, ainda, o tornavam positi-vãmente belo; é, na minha opi-nião, o ponto culminante do seufísico, na opinião um poucovulgar de que sou forçado, porser bem francês, de empregaraqui. Acrescente-se a isso, paraa face, pequenos olhos aindabrilhantes, não sem malícia,traços regulares. nariz forte,bons dentes, tez um tanto crês-tada, poucas rugas ainda: car-regava bem e muito bem os seussessenta e cinco anos contados.De traje preto e amplo, segu-rava um chapéu de feltro altoque êle colocou sobre uma pe-quena mesa; sem esperar quea sua esposa houvesse termina-do de me apresentar, estendeu-me a mão e, enquanto a senho-ra Hugo se retirava, depois deme rogar, de concerto com êle,que eu ficasse para o jantar,por seu turno, este me fez sen-tar ao lado dela. no mesmosofá em que eu acabava de teruma palestra tão inesperada,não menos tão tópica.

A bem dizer, eu estava agita-do. Muito. Pudera! Eu era,como nós todos, "duplamentehugolatra: 1830, o 2 de dezem-bro, estas duas datas me acos-savam...

Todavia, o homem de gêniocomeçava a me impor mais emVictor Hugo do que o homemde partido. Por isso, fiquei en-cantado pelo seu acolhimento(iodo literário, tão gentilmen-te literário !

Sim, eu estava agitado, porémpreparado. E aquela comunhãode uma hora com a digna com-panheira do grande homem,algo dele que era ela, e o tomde voz tão sugestivo, haviam,senão rompido, ao menos des-feito a minha timidez, e focom uma alegria modesta c— meu Deus, por que o nãoconfessar ? — uma loquacidaderespeitosa que palestrei comêle.

Citou-me versos meus — ósublime e doce manhoso! — Li-sonjiou o meu orgulho de cri-anca por uma controvérsia queêle sofreu paternalmente queeu sustentasse a propósito dequê ? dos primeiros versos, dosprimeiros artigos que eu lu-

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cubrava então... Entre outrascoisas, retlve isto:

"M. Leconte de Lisle est unpoete três remarquable, mais jeconnais Achile, Vénus, Neptune;quant à Aknllleus, Aiphrodlte,Poseidon, serviteur..." e mil

outras obserações judiclosas,..No que concernia a Impasslbi-lidade, nossa expressão pom-posa de então, a nós Parnasla-nos, acrescentou êle: "Vous enrevicndrcz",

A conversação pairou em se-guida sobre um mundo de coi-sas, e me retirei bem tarde,com a persuasão, cara ao meuespírito e ao meu coração, deque o Mestre era, além de tudo

— com todos os defeitos ineren-tes e indispensáveis a um ho-inem digno de ser — um ho-mem distinto e ura homem bom.

Que diabo queriam que eu fi-zesss em Bruxelas depois dessa

inesperada ventura ? Ir-me em-bora bem depressa, levando co-migo a boa nova: que VictorHugo se interessava por mim!

E, por Deus, que me fui bem

cTrad de Fernando Maron).

No Quartier. Recordaçõesdos últimos anos

de Paul Verlainede " CONFESSIONS "

Empreendo uma série de no-tas autobiográficas a propósitode uma estada bastante longano bairro chamado Lalino, ai-ternando, é bem verdade, comuma vida mais calma, na qualserão encontrados pormenoresinteressantes, assim o espero,num livro intitulado "Mes hô-pitaux", no prelo e dos quaisapareceram alguns fragmentos.

A minha juventude decorreraem Batignolles. em ca;meus pais, e na rua ChapJal,numa pensão cujos "fiscais"nos levavam duas vezes por dia,salvo bem entendido, quintas esábados, ao então liceu Bona-parte, depois Condorcet, depoisFontanes, e de novo e definiti-vãmente talvez, mas quem sabe] ?Condorcet, onde fiz estadosbastante medíocres cortadosaliás por um diploma de ba-charel em letras.

Como a minha presença nastais Batignolles era o resulta-do de alguns dias de férias,sempre guardei uma grata re-cordacão daquelas regiões deboa burguesia.

Recordo-me até com certaemoção da pequenina rua Hé-.lène onde aprendi a ler aossete anos, confesso-o com enor-me embaraço.

Mais tarde, quando me tor-nei um grande espicho de re-

tórico, outros estudos dos me-nos clássicos me atiraram paraum naturalismo prático, paracertas ruas daquelas paragens,a que Monsieur Prudhommechamaria de mal freqüenta-das... e por lá ainda passo,não sem um certo enterneci-mento sui generis.

Sob pretexto de estudar ju-risprudência, inscrevi-me naEscola da praça do _pintfaéon,

la a algumas ses-soes mais ou menos soporificasde direito francês e de direitoromano, sem esquecer owtrbssessões "ès caboulots" da ruaSoufflot) (o "caboulot" era co-mo quem diria o embrião dacervejaria de mulheres contem-porãneas), de sorte que o es-tudo das "leis e costumes"foi cedo abandonado por esteseu criado.

Este, animado por uma rela-tiva facilidade e pela indulgên-cia de pais perfeitos, apesar deum pouco fracos às vezes, pas-sou logo uns seis meses a nãofazer outra coisa senão andarem pândegas; depois entroucomo agenie numa companhiade seguros, o que lhe permitiavisitar com mais freqüência odivino Quartier. ,

Naquela ocasião, liguei-me a"celebridades" tais como essebelo André Gill, esse belo Ver-

msrsch, ambos mortos de modotão lamentável; o já escritorprovençal Paul Arene, bemvivo, éle, e tanto melhor paraas ietras ! os três Cros, dos4juais um deles, que pena!...4jauaner e Valac^;, que penatambém! Merat, a quem te-nno o prazer de dar um apêr-to de mão todas as segundas-feiras à noite no Café Voltai- Jra: e tuttl quanti desde eaSáO-muito freqüentei.

Digamos ainda que, na mi-nha qualidade de morador "mar-gem-direitista", eu fazia as mi-nhas excursões "margens-esquer-distas" em companhia, a maio-ria das vezes, de François Cop-pée, do saudoso Philippe Bur-ty e dos velhos amigos Louis-Xavier de Ricard e Edmond Le-pslleüer, moradores desse Mont-martre e dessas Batignolles.

Reuniamo-nos quase semprenum pequeno café -ia Rue deFlturus, perto do teatro "Bo-bino", e ali, o quanto discutia-mos arte e literatura, de nadavaleria apenas referir ! Algu-mas vezes, um moço alto e gor-do, apenas saido da primeiraadolescência, tumultuoso e fre-quentemente presunçoso, parti-cipava dos nossos ágapes decerveja e de rum "batizado":era Victor Noir.

(Tradução de Fernando Ma*ron).

Glória e miséria dos últimos anos:Hospitais, Abrigos e Tavernas

de François PorchéAo envelhecer é comum que,

muito antes de sua morte, o ho-mem esteja esgotado. Os anosq>e ainda lhe restam nada maissãc que um apêndice. As ocur-rências deste período final sãocomo um prolongamento, e as-serr.elham-se menos a uma no-va etapa, que a continuação ouagravação do passado.A elas soma-se uma linha geralcujas direções estão esgotadas.Antes de desaparecer da cena,há muito deixou de representaro seu papel. A comédia no quelhe diz respeito, está finda an-tes do inicio do último ato. Damesma forma, na marcha deuma longa enfermidade, pode-se distinguir um período de lu-ta, dividido em várias fases,alternadas por melhoras e peo-ras. esperanças e apreensões,porém, quando o doente estádesenganado, sobrevem uma fa-se suprema em que, emboracertos de que chegou seu fim,nos limitamos a prolongar avíüo com balões de oxigênio.

Quantas vidas assemelham-sea moles Lias prolongadas! Quan-tos-fins de vida; que, por ve-zes, durando vários anos, sãocomparáveis a essas agoniasque se sustem com o auxiliode balões de oxigênio! Tais re-ílexões:'¦' se ^aplicarão ¦ a Verlaine 1ha integra .talvez .não, mas emparte- sim; O poeta, em 1885,

3S

conta apenas quarenta e doisanos, mas seu corpo já está de-vastado. Fisicamente está ve-lho; salvo, resalvamos, a res-ptito da excitação sexual. Fau-no, êle o será toda a vida.

Porém, intelectualmente, tam-bém, declina. Pois se Amour,Eunheur et Parallèlement, nes-ta da ia ainda não tinham si-do publicadas, as poesias queestes três belos compêndios en-cerram já estavam escritas. Asque se seguiram, assinalam umdeclínio patente. Em seguidavirão as mixórdias.

O período de dez anos, queabrange desde o falecimento deMme. Verlaine, até a morte dopoeta, não oferece à atenção dobiografo, nenhuma particulaxi-dade original? Não será maisque uma série de pequenos fa-tos tristes, aflitivos, dos quaisse pode desprezar os detalhes,ou bastaria enumerá-los super-ficialmente? Não pensamos as-sim. E' certo que a existência deVerlaine, considerada no seuconjunto, apresenta cores som-brias que permanecerão, ou quemais ainda se condensarão, semmudar de colorido.

Mas, o paralelismo que já as-sinalamos enfcMe a celebridadenascente por um lado, e o des-fecho, a decadência social, diaa dia agravada, de outro; estesimultâneo movimento antago-

nico, cheia e vasante, adquirirá,prolongando-se uma amplitudeque emprestará aos últimos anosde Verlaine um aspecto fora docomum, quasi fabuloso e cons-tituirão traços singularmenteimportantes na ímpressãc quedo poeta ficou após sua morte.De modo que, seria falso sus-tentar que, se Verlaine tivessemorrido ao m^smo tempo quesua mãe, sua vida seria idên -ifáca ao que foi, e sua obra fi-caria aliviada dum grande pe-so inútil. Aconteceu até que osdois movimentas antagônicos, aforça de pgrsistir, deixaram deser paralelos, terminaram porencontrarem-se, embora eonscr-vando direções e extremidadesopostas. Desde então, sua du-pia personalidade, form-iu umcircuito, este sistemn de dois po-los, esta unidade de duplo as-.pecto, que se chama antítese.

A antítese, Glória e Miséria,c marcante em todo o resto da

vida de Verlaine, nos seus úl-ümos de? mus de existência,Êle é como a praça para onde 'convergem todas jas [avenidasdeste destino, o cimo em que oarco do triunfo se ergue acimada lama. Mais ainda, os doistermos do contraste não dei 7XBjam de reagir um sobre ooutro. A glória de Verlaina Se-neficiou-se com a miséria naqual sossobrou, o que, dado o

Croquis de Verlaine sobre Napoleão III.

grande valor do poeta, revestia,aos olhos de toda a mocidadeidealista, um patético dominan-te. O renome do escritor lu-crou, também, com os desregra-mentos do homem, com sua em-briaguês, seus maus hábitos, seusórdido deboche cinicamenteexibido, pois, também isto, to-das essas cousas ilegítimas e to-das essas aflições, representampor sua associação ao gênio, umconflito extraordinário.

E não é tudo. A miséria e adecadência, por sua vez, arre-botaram, & glória literária queas acompanhava, alguns dosseus esplendores. Os valonas mo-rais empenhados no debate, fo-ram, concomitantemente, cor-rompidos. A figura desagrada-vel do burguês viciado, que de-lapidou sua fortuna em todosos excessos, desaparece. A indi-gência tomou aspecto de injus-tiça. O alcoolismo transmudou-se. em bebedeira dionisíaca. Alubrlcidade e |a |perversidade,aureolam-se com um prestígiosobrehumano.

Tais são os riscos do idealis-mo desenfreado, de que a épocaestava imbuída, que chegam arejeita,r as noções sobre as quaisse apoiam, como se empurra-ria com o pé uma escada paraaliçar-se às nuvens. A todos osinimigos das leis, Verlaine eraparalelo admirfãvel. Privilégiossociais, privilégios morais, eis oque êle criava!,.. Seus gestosobcenos pareciam sublimes.

Retrocedamos agora aos grausdeste profundo aviltamento que,

por uma estranha reviravolta,deveria por fim terminar peloenalteclmento do poeta.

Segundo M. Ernest Raynaudtudo quanto a mãe de Verlaineconseguira salvar da sua fortu-na, reduzia-se, quando foi mo-rar com Verlaine no paliso SaintFrançois, a algumas ações, quoescondia do filho, e cuja rendanão atingia a 90o francos. Su-ponhamos que se tratasse deObrigações a 3%, perfazia istoUm capital de 30.000 francos.Esta quantia é um pouco supe-rior a que é possível deduzir-seda situação por Verlaine, porocasião da morte de sua mãe.Recordamo-nos que o poeta, em1874, fora condenado a pagar asua ex-mulher, como contribui-ção da despesa com a educaçãoda criança nascida dessa união,uma pensão anual de 1200 fran-cos. Este pensão nunca foi pa-ga. No dia 25 de Janeiro de

1876, quatro dias após o faleci-mento de Mme. Verlaine, o Juizde paz do XII distrito, a re-quisição de Mr. Guyot-Sionnest,advogado de Matilde, apresen-tou-se no Hotel du Midi paraproceder a aposição dos selos

no quarto da falecida. Apesardos graves erros de Verlaine,apesar do egoísmo cauteloso como qual se havia escusado, du-rante 13 anos, a seus deveres,este seqüestro nessa alcova, temalgo de horrível. Mme. Delporte,4;m suas "Memoire inédits" ésingularmente reservada sobreeste ponto. E' fora de dúvidaque assumira, sòsinha, durantelongo tempo, os encargos queVerlaine, em boa justiça, deve-ria ter compartilhado. Mas, em

DOM CASMURRO

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tornando-o um Verlaine admi-rável, purificado pela uneão do.gênio, seria preciso o olharcompreensivo duma grande ai-ma, o que Mathilde não era.

De seu ladoà Verlaine arvo-rava-se em censor. Jà comobom católico, julgara indecenteque sua ex-consorte tivesse sebeneficiado com o divórcio(l'evangite selon Na"uet", co-mo êle dizia . Que tivesse, acstrinta e três anos, pensado emrefazer um lar,era o cúmulo dainconveniência, isto o enojava.Desde então, sempre a injuria-va quando se referia a "Ia fem-me Delporte", "repouse sanspudeur", "Ia coquine detesta-ble". Ela era para êle.

Celle à qui mon nom sut[plalre

Quand javais un sou vail-[lant.

Exprobava-a, dizendo-a ladra,de o haver esbulhado vilmen-te: "Entreguei meus títulosà minha mulher, que ainda nãose havia tornado a casar, parao filho. Ora, ela me recusa tu-do, ver, educar, e notícias domenino".. E' preciso que o juizde paz "obrigue Mme., a cum-prir o seu deverzinho e devol-va-me alguns vinténs sobre m20.000 frs. à mais, que ela pos-sue, conseqüência da minhaboa vontade". Pois durante

tado, "cílios de coelho branco*e uma cabeleira fulva. Eis ossinais que nos fornece sobre elaM. Raynaud, o que deve serverdadeiro, pois, apesar de poe-ta, M. Raynaud, no exercíciode suas funções, tinha olhos d«policia. Entretanto, foi estamesma Marie que Verlaine tor-nou célebre sob o nome deFrincesse Btmckine:

Et qui pourrait dire ce corpsSinon moi, son chantre et

[son prêtre.Foi ela ainda a heroina às

"Deux mots sur une filie",uma das melhores narrativas,em prosa, que Verlaine esore-veu. Salvo uma separação dealguns meses, em 1885, Paulpor 3 anos vivera com sua mãe.A presença da velha senhora, aténa miséria que começava, asse-gurava ainda uma dignidadehurguesa ao domicílio comumOs desregramentos de Verlai-ne, êle os praticava tóra. SÓtrazia para casa os últimostransboraainentos das baforadasalcoólicas. Morta sua mie, de-sapareceu a suprema «alvaguar-da. Todo o entrave entre o ho-mem e os preconceitos sociaisrompeu-se. A uescliisilioiçüicomple.a-se, sem a qual a idéiade "fora da lei" UM a> tert»formado. Cosumado o ultimaresvalamento, o poeta estava

meses ainda, nãu-cessara, cmbo aptc a paraar para a, legenda^

.. Marín ne répondtt pas » mot -» allant déerockarà Vespa^'tíf^batol^S nTe

«CONFESSIONS". - Pág. 281. Des. de B. Mahn, para "Oeuvres Completes".

rem-se as aulas, não voltou aoColégio de Pons. Em Paris,prosseguiu os estudos em Boi-lin, depois em Fontanes (maistarde Condorcet). Mallarmé,professor de inglês nes* últi-mo estabelecimento, dará no-ticias do garoto a seu pai, ofe-recendo-se até para proporcio-nar um encontro na porta doliceu, pois o menino era exter-no; ou enão, o que creio maisprovável, foi Verlaine que te-ve esta idéia.

Porém, George, & saída, erasempre acompanhado. O proje-to não teve êxito. A partir de1887, Verlaine, em sua corres-pendência, exprimira sempre odesejo de ver o filho. Escreveraà Mme. Guyot-Sionnets. En-carregará Vanier de consultaros advogados, mas, em verdade,nunca demonstrará uma inten-ção séria de levar o caso aostribunais.

Entretanto, fosse qual fossea solução, poderia ter intenta-do a ação, pois, não creio quea assistência judiciária lhe fos-

1886, foram os seus últimos re-cursos que ela arrancou de umasó vez; despojou-o completa-mente, Além do que, quando ojuiz de paz arrolou o pacote detítulos que constituía (Juasi tô-da a herança da mãe de Ver-laine, descoberto por Cranzy,

o hospedeiro, no colchão da ve-lha senhora, entregou-o a

Verlaine, que poderia tê-lo so-negado. Ora, foi o posta que,esponjaneamente, apresentou omasso ao magistrado, dele re-cebendo felicitações |pelo |seugesto, chamando-o de "homemhonesto", designação esta rece-bida por Paul com algum or-guino. Mas Chanzy, que issis-tia à cena, ficou também estu-pefato e furioso, pois Verlainesem contar as dividas de suamãe, era devedor, pessoalmente,ao hoteleiro, de uma grandequantia. O poeta avaliou, maistarde, seu débito pela allmen-tação e alojamento, em 1825francos durante 1 ano aproxi-mado (quer dizer, |desde suachegada ao "Hotel du Midi",até sua entrada |no hospital,em julho de 1886. O aluguel

dos quartos era de 20 francospor mês, isto daria, proximada-mente, 4 francos e 40 centavospor dia, pela alimentação.

Depois da saída do juiz depaz, l'Auv.ergnat chamou seulocatário de "poire". De fato,sti Verlaine não mente, foi de20.000 francos (vede bem, 20.000francos ouro) que foi despoja-do nesse dia. M. Mareei Cou-lon, que disculu o caso, julgaa quantia exagerada, Segundosua opinião, foi feito um acôr-do entre o embargado e os em-bargantes. e o magistrado teveque dividir o pacote em dois,

DOM CASMVRRO

e como Verlaine fixe em 3500francos, o que lhe tocou da he-rança materna, verifica-se Wco sacrifício fica reduzido a pro-porções mais modestas. Nada,porém, orova que Verlaine ba-nha cedido uma quantia multosuperior a que lhe ficara. Aba-tendo as despesas de estadia omanutenção de sua mãe no ho-tel, desde princípios de outubrode 1885, as despesas decorren-les da última enfermidade, eos gastos de funeral, restariamao po«a uns 500 °u 600 trancos

Esta importância foi aumenta-da de "uma soma" de 2.400francos", |proveniente da he-rança de Rose Dehée, irmã de¦Stéphanie, falecida em fevem-ro de 1886.

Além disso, Verlaine possuía,ainda, alguns créditos: — 900francos que, lhe eram devidospor Mr. Carrette, notárlo emJuniville desde 1882, e 11-500francos que emprestara ao aba-de Sallard.

ra insultando, de mendigar recursos. Quando pôde nova-mente andar, certa noite, em-briagado, subitamente disse:"Vou matar minha mulher I"Isso se passou no pateo 8aint>François, em presença de M.Ernest Raynaud.

A cena lhe foi lembrada ai-guns anos mais tarde, quandoera comissário de polícia, poruma rapariga ojue fora presanuma "batida da policia".Esta moça, uma certa MarieGambier, teve, depois da morteda mãe de Verlaine, relaçõeslíntimaa e fnaquentescom,"Mon-sieur Paul" Assim, pois, naque-Ia noite, arrastando a pernaesquerda, Verlaine partira em-punhando um revólver. Umgançon do café, por nome Au-guste, agarrou-o na rua, e coméle lutou, conseguindo trazé-lode voi;a. Com o auxilio deMarie, o bom M|. Rayna-uM,mudou a roupa do bêbedo, edeitou-o. Para acalmá-lo, re-citou-lhe versos de Sagesse:

Soyez béni, Seigneur qui m'avez[fait Chrétien...

Então Verlaine beijava-lhe asmãos e também as de Marie,e soluçando dizia: "Perdão !perdão !"

Marie tinha um nariz arrebi-

E' este o trabalho preparato-rio que assistimos. Marie seráa ar.4íice. Com a sua cabeleirade fogo, camisola vermelha compintinhas brancas, seu aspectode "petit incendie" alegra o po-bre reduto, e instala em casa, oriso, o deboche e a orgia.

Marie Gambier é a primeiramulher na vida de Verlaine quepode ser identificada com segu-rança.

"Ce coucher qui tournait an[collage",

durou isto 4 meses Inteiros. Ofato não impedia a rapariga de,durante a noite, exercer a pro-fissão. Pontualmente ao baterdas 7 horas, se esquivava discie-tamente. Pois se ela precisava,ora de botinas, ora de uma som-trínhal As "horas" regressava,por vezes, abominavelmene, bê-beda. O fauno dolente, estendi-do sobre o edredon vermelho,admitia esse modo de vida semse revoltar. Foi Marie que umdia o abandonou por um outro,chamado Célestin, noT-ista. seuconterrâneo toneleiro de profis-são, mas habitualmente deso-

Os dez últimos anos de suavida. o poeta passou em Paris.

Agora que terminamos essasmiseráveis contas, liquidemosum ouro capítulo mais dolo-roso ainda: o do pequeno Gsor-ge. No momento em que, oomo desaparecimento de sua mãe,ficou em solidão moral, o poe-ta tem retornos de ternurapara com o filho, que não viadesde 1879, e que, durante anos.sua ternura por Luclen, pare-ceu mesmo tê-lo feito esquecercompletamente. A 30 de outu-ro de 1886. Mathilde casou-se,com um empreiteiro de cons-truçóes, tornando-se MadameDelporte, George, ao reabri-

Quanto a Mme. Delporte.manjeve-se inflexível na recusade deixar o menino aproximar-se do pai; é que desde Rethel,última etapa de Verlaine natentativa de soerguer-se. a st-tuação mudara. A história deLétinois sucedendo a históriade Rimbaud, parecera uma re-incidência. Acrescentai a Istoo alcoolismo inveterado, a boc-mía crapulosa. A decadência dePaul, parecia irremediável. Oaspecto do personagem, após oprocesso de Vouziers, adquiriacores atrozes. Para apagartantas manchas da figura deum Verlaine digno de piedade,

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Pela primeira vez no Brasil, publicação das obrascompletas e ilustradas de

DOSTOIEVSKIA Livraria José Olympio Editora, que vem pre-

parando há longo tempo a publicação das obras com-pletas de Dostievski, está finalmente dando início aexecução do grande plano. As traduções que lançamostios romances do genial escritor são' esplêndidas e fei-tas através dos melhores textos até hoje conhecidos,baseados nas edições oficiais russas. Estas edições(1926-1929) foram publicadas após os importantíssi-mos estudos escrupulosamente procedidos na obra deDostoievski, a partir de 1920, por determinação doGoverno da U.R.S.S.. E', pois definitivo esse extra-ordinário levantamento de uma das obras máximasdo, espírito humano em todos os tempos, realizado pordestacados especialistas num fecundo esforço de pes-qüisa ede crítica. Definitivo e quase que uma novi-dade para o. público brasileiro, porquanto uma dasraríssimas edições estrangeiras completas e baseadasnas edições, oficiais, russas — os in-8 "à la gerbe" daNouvelle -.Revue Française — foi muitíssimo poucodivulgada entre nós, devido ao reduzido número deexemplares chegados. .

Para conseguir objetivo de tamanha importán-cia -^ como .seja o de trazer para a cultura nacional,em edições cuidadas e honestas, as obras completas¦de^Dostoievski, conta a Livraria José Olympio com a

- ValiOSa. .í-nnpprarãn rln ilnnJn^ o., n j í, ¦|^.; ¦¦[H|T ÕuErÕITRACHEL cDE QUEIROZ, LÚCIO CARDOSO, COSTANEVES, JOSÉ' GERALDO VIErRA, ROSÁRIO FUS-CO. .E com.. um ícunho de ineditismo nâw bibliografiamundial de Dostoievski, as edições serão ilustradasprofusamente por grandes artistas — bicos-de-penade SANTA. ROSA e MARTA SCHIDROWITZ, xilo-gravuras de AXEL LESKOSCHEK e OSVALDO

: (òOELiDl. Parte gráfica excelente, sendo tirados para_¦bibliófilos exemplares- de Iuau, ein lurmato grandee.ótimo papel "Buoffant" creme, especial. Formatoin-8.-.Relação das obras:

Oé IRMÃOS KARAMAZOV — 3 vols.Tradução de Rachel de QueirozIn rodução de Otto Maria CarpeauxX logravuras de Axel Leskoschek

CRIME E CASTIGO — Acompanhada do DIÁRIO DE RAS-KOLNIKOVTradução de Rosário FuscoIlustrações de Santa Rosa

UM JOGADORTradução de Costa Neves

1 Xilogravuras de Axel Leskoschek

O ADOLESCENTE — 2 vols.. Tradução de Lúcio Cardoso

Xilogravuras de Axel Leskoschek

NIETOCHKA NEZVANOVATradução de Costa NevesXilogravuras de Axel Leskoschek

HUMILHADOS E OFENDIDOSTradução de Rachel de QueirozIntrodução de Otto Maria CarpeauxXilogravuras de Osvaldo Goeldi

NOVELAS (UMA HISTORIA ABORRECIDA — NOTAS DEINVERNO SOBRE IMPRESSÕES DE VERÃO — A VOZSUBTERRÂNEA — O CROCODILO)Tradução de Costa NevesXilogravuras de Osvaldo Goeldi

O IDIOTA — 2 vols.Tradução de José Geraldo VieiraIlustrações de Osvaldo Goeldi

RECORDAÇÕES DA CASA DOS MORTOSTradução de Rachel de QueirozXilogravuras de Axel Leskoschek

OS POBRES DIABOSTradução de Rachel de Queiroz

O ETERNO MARIDOTradução de Costa NevesXilogravuras de Axel Leskoschek

DIÁRIO DE UM ESCRITOR — 4 vols.Tradução dei Álvaro Lins.

EDIÇÕES DA

LIVRARIA.

iosi OIympioEDITORA

BTJA DO OUVIDOR, 110 - RIO DE JANEIRO

Dez anos sem fugas, será possi-vel ? Náo haverá alguma con-tradição, segundo o nosso modode pensar, ao atribuirmos a Ver-laine a necessidade de, de doisem dois anos fugir à sorte e asi mesmo ? Ou será que estaânsia arrefeceu com a idade] ?Não nos parece. Cremos que apsicose que o atingira durou atéa morte. Talvez já existisse atéantes da partida com Rimbaud,desde a infância, desde a noiteem que o pequeno Paul fugiu docolégio. Apenas Verlaine, entrenove e vinte e sete anos, estácoagido, não desfruta liberdade:primeiro interno, depois funcio-nàrio. No fim da vida são osempecilhos físicos e os obstáculosmateriais, a moléstia e a nüsé-ria, que se opõem aos retornosperiódicos de seus pendores.Verlaine torna-se sedentário,malgrado seu desejo. E mesmoassim, como vamos ver, aparen-'emente.Que se compare sobre este pon-to, o destino de Verlaine com ode Rimbaud, e se verá que oslampejos de fuga são tão acen-tuados, que o mal que o atinge

é, forçosamente, mais intenso.Além de que, em Rimbaud, aviolência de caracter, o gostopronunciado de aventura, adquire nas evasões.sadas partidas. Em breve o fu-gitivo encontrou aplicação. Adoença converteu-se em uma se-gunda vocação a do duplo Rim-baud, pioneiro, explorador, cor-rtspondente da Sociedade deGe4)grafia. Em Verlaine, almatímida, é diferente; a fuga,mewriojias^ épocas _de_Jlvre ex-pahsão, permanece na proporçãoda frouxidão. E" uma acomo-tíaicão do desejo de partir, comos senjimentos caseiros dumpequeno burguês, dos Batignol-les, que, com freqüência, sentefalta do emprego de funciona-rio. Não obstante achamos quemesmo nos últimos anos quandoVerlaine parece definitivamen-te fixado em Paris, a impaciên-cia latente em s£u sangue, ve-lha necessidade de se locomover,não o abandonou. No círculoinfernal de que não pôde sair,o infeliz não deixara de rodar,indo do hospital a mansarda, damansarda o asilo, do asilo a no-vos pousos, e de lá, novamente,ao hospital. Andarilho da cida-de mais que nunca vagabundo.

Dajiuis dix ans ma jambe[ganche

Tu me jouas combien de[tours!...

escreveu Verlaine no ano queprecedeu sua morte. A hidar-trose do joelho, que se declararaem 1885, tornou-se, ràpidamen-te, crônica. O joelho logo se an-quilosou. Depois a artrite reu-mist/al propagou-se por todolado esquerdo. "Mão esquerda,tal como a perna esquerda, em85", escreve Verlaine a Vanier,do hospital Saint-Antoine a 14de fevereiro de 1891. Além distoo poeta era sifilítico diabético,alcoólico, sofria de cirrose do fí-gado e hipertrofia cardíaca.

Foi no começo de julho de1886 que, pela primeira vez, Ver-laine entrou para o hospital.Aparecera-lhe "bobos" nas per-nas, isto é, úlceras. Não foi semgrandes hesitações que pediupara ser hospitalizado. "E' pro-vàvelmente uma tradição umbeneficio poético, o hospital.Por mais tentadora que seja aperspectiva, esperarei ainda umpouco". Mas depois de dois me-ses passados em Tenon e qua-tro meses e meio em Brous-seis, quase em seguida, qua-se imediatamente, passou umano inteiro,, partilhado en-tre vários,.hospitais - ou ãsl-~los (Cochin, Vincennes outravez Tenon, outra Vincennes, ou-tra Broussais), o hábito veio, aprincípio resmungando desagra-dável, depois quase terno, a res-peito desses lugares de recolhi-mento, no recesso dos quais ces-savam as preocupações de manu-tenção quotidiana, as reclama-ções dos aluguéis, e os gritos dasmegeras. Era uma espécie de pri-

são mais suave, uma "prisoabon enfant".

Calculamos que, de julho 1886até sua morte, em nove anos ecinco meses do fim da existên-cia, o poeta passou, aproxima-damente, quatro anos e meio nohospital, isto é, quase metade dotempo. Longe de se queixar porse ver reduzido a ês':e extremo,o que receia, quando obtém algu-ma melhora, é uma alta preci-pitada. "Eu não seinunca, res-munga, cjuando vão me despe-dir". Verlaine arranjara raco-mendaçóes, o Dr, Jullien intei-cede em sau favor, Por Isto,desde o início seus receios eramvãos. Aos poucos, os chefes declinica, o pessoal do hospital sehabituam a ver reaparecer de ve/,em quando pela manhã, no pa-vilhão de ingresso, de preferên-cia no início do inverno, esteperegrino, calvo e capenga— "Olá! outra vez você?" Aesta familiaridade respondia comafabilidade, os olhinhos oblíquosna face mongólica, apartados,e com um misterioso sorriso. Seuaspecto é o de um mendigo di-ante dum posto de distriouiçâcgratuita de sopa, do qual é umdos beneficiados. Entre .tanto, oclamor de sua glórlajiasçei

iã\ a ociosidadecercava. Prodigalizavam-lhe in-dulgência, simpatia, deferência.Por fim, quando seu renome to-mou vuito, quando sua situaçãode "poeta hospitalizado", tor-rou-se para a imprensa assuntocorriqueiro de crítica, um " furo "para os redatares de__no_tieiário

—de—jornal, os~hospitais passa-raro a disputar a honra de re-t!£bê-lo. Desde então as proibi-ções regulamentares abranda-ram. Permitiam-lhe trabalhardepois do sinal de apagar as lu-zes, a claridade duma lâmpadade cabeceira. Pôde receber osamigos fora dos dias reguiamen-tares de visita. O lugar em queficava tornou-se um ponto deencontro onde "décadents etsymboüsbss" discutiam. Um Ihutrazia íabaco, outro lápis, livros.Um terceiro enfiava por baixodo travesseiro um frasco com"absinto". Certo dia Severineenvia rosas ao doente. Quandosua saúde permtia, levantava-seda cama, para fazer aos visitan-

tes as honras do hospital, seucastelo de miséria. As reuniões,no verão, eram no páteo, sooas árvores mirradas. A sombrade um platano projetava-se aimagem socrática do mestre. Asrecordações de Platão se mes-ciavam as cores de Paris, eüdquiriam as tonalidades de ar-rabalde. Vários artistas (comoCazais, o jovem amigo dedica-do do poeta), desenharam a fi-gura dum Verlaine envolto noburel de l'A. P.: com o enormeboné;'; sobre as melenas um fio-co de fumaça na barba, a mãonervosa apertando o cachimbo.Entre os visitantes eventuais,cujos nomes são hoje ilustras ounotórios; o "Bo" Moréas, Bar-rès, Vicaire, France, Huysmans,Lemaitre, trazido por Tellíer,Mallarmé e outros, ainda, muitojovens; Raymond de La Ta-ilhè-de, Henri de Régnier, MarcélSohwob, Pierre Louys, AndréGide. Em suma, criou-se emtorno de "Verlaine, no hospi-tal", o que se chama hoje umsnobismo. Querem um exemplosurpreendente ? Um dia umasenhora americana levou orquí-d«as para o poeta, êle pegou oorinol, encheu dágua, e nele co-locou asflorej

ifffiTcnSstente, por ocasião cmelhoras, algumas duravam vá-rias estações, havia sempre unimomento que o velho vagabundo,tendo recobrado as forças, so-fria devido a sua clausura. En-tão pedia "baixa". Mas na vés-pera ds cada saída o mesmo pro-blema surgia ! Certa vez Verlai-ne. que entrara no hospital noinverno, não tinha, no verão,roupas convenientes para sair.Solicitou a Vanier que lhas for-necesse, e pediu a Jules Tellier,que explicasse ao editor qua"des cspadrilles (19 sous) et unvague pantalon de treillis fe-raknt son beurre", de outra fei-ta, Verlaine entra no hospitalno verão, e, desejoso, no inver-no, de deixar por algum temposeu refúgio, não tinha roupasquentes. Numa dessas ocasiões(época de sua extravagantecandidatura ã Academia, foi ne-cessário proporcicnar-lhe meiosde poder receber, com decência,as visitas) os internos e os ex-ternos de Broussais, seu "vieuxErcussais de malhem* et de bo-

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Monumento de Verlaine em Metz, feito pelo escultorAman Jéan.

DOM CASMURRO

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clamorosa. Na Ia Vie LitUraire(publicada no jornal Le T4anps),Anatole France, Junta ao con-certo geral, sua flauta as-uta.,Da mesma forma irônica, êlecompõe com os traços de Ver-laine, um personagem imagina-rio, que introduz, por duasvezes, na sua obra romanesca.Enfim, Zola que, em 1880, fa-lava de Verlaine como de umdesaparecido, saúda, agora, ne-le "o mais admirável poeta des-te fim de século."

Em 189o o pintor Carriêrefaz de Verlaine um retratoque foi um dos melhores. Aman

por sua VS2 solicita ao

...Je luidans ma

répondis aussitôt: - "Dites à monsüur Vaumônier de ™tf' -Cdui-ei entrait

cellule quelques minutes aprés. Je Im fis part de ma «conversion ...

MES PEISONS". - Pág. 257. - Des. de B. Mahn para "Oeuvres Completes".

poeta algumas sessões de pose.Dois grandes músicos; Cebussy,Fauré, juntam as palavras deVerlaine a ssus acordes melo-diosos.

Em 1891, Jules Huret, que foo primeiro em França a iluS'jjrar um gênero jornalístico,prometedor de grande fortuna,a crítica literária, foi entrevis-tar o poeta em seu café habi-tual, o "François premier"bDUlevard Saint-Michel". A res-posta de .Vierlame é curiosaVê-se que, ao mesmo tempoem que o público, prevendo oe-les jornais o considerava comoum dos promotores do recentemovimento poético, cs jovensse afastavm de sua obra. Asnotoriedades passam depressanos cenáculos, e as rivalidadesdas ambições aceleram aindamais as variações do gosto.Desde que um autor atinge afama, pode apostar que na ex-tremiriade da vanguarda, já nãoo apreciam. Este dssprendi-mento é o sinal evidsnie dacakbridade. Assim, pois, nãoestavam longe os dias fim queo filho de um moleiro de Con-foíeng, Anatole Baju, diretordo Décadent (abril 1886), de-clarava Verlaine "o maior poe-ta do século". O próprio Ver-laine só tinha sarcasmos paraos "dècadards., que o haviampor breve tempo, reconhecidocomo chefe. Porém seus su-cessores os "symbolos", esses"éphèbes", que agora o olha-vam como um vieux, o aborre-ciam imensamente"; O simbo-lisino?... Não compreendo...Isto talvez seja uma palavraalemã, hein?... O que quere-rã dizer?... Eu, de res:o, náo

caso. Quando sofro, quan-

do me rejubilo ou quando cho-ro, sei muito bem que isto nãoé simbollsmo. Vede, todas es-tas distinções sao alemães".Já em Bonheur esquecendo suafamosa Art poétíque de Jadiset Naguère, não escrevera bemprosaicamente, um' tanto a ma-neira dum Boileau mais faml-liar:

L'art tout dabord doit étreet paraitre sincère

Este modo bonachão de sub-meter-se em matéria de arteunicamente ao instinto, de li-impar a poesia a eiusao do sen-timento pessoal, esta penúriaintelectual também, é erhbara-ço visível de manejar as idéias,observe-se esta facilidade de seirritar, que só serve para dis-iarçar o constrangimento, tudoisto, era próprio para frisar,acentuar caía vez mais, os mal-untendi&os que separavam Ver-laine úa h,ova Escola, ondetriunfavam, principalmente osmetafísicos, os estéticos, os gra-maucos. Por certo da pretensa''naiveté" verlaniana. uma fcso-ria podia S2r construida1__ç|ue__contivesse tanta filosofia quan-fco a própria doutrina simbo-lista, tantos argumentos sutis,quanto a proibição tio hermé-tismo, - tan.as glosas sábias.quanjo as exegeses da poesiaerudita, porém esta teoria, Ver-laine tra incapaz de formular.iiiie oferecia apenas sua obra.tor'mais complexa que elafosse, ela a apresentava comouma substância simples, rebel-de para ser analisada, e nãotraziam para;'a discussão senãoirri.açâo, eíiquantü que ps sihirbolistas éíam"mais,, quò

''tudo

teóTicos, em seguida poetas,poetas aplicando um sistema.Elss apreciavam, mais que osversos, os programas e os ma-niiestos de que aqueles eramveículos. Além disso, numaépoca em que a métrica fran-cesa parecia inteiramenLe pos-ta em jogo, Verlaine, que noinicio da campanha pareoeruousado, retraiu-se. Nas proxi-midades de 1885, seguindo-lheo exemplo, permitia-se liberaros versos de certos entraves.Porém, quando os jovens qui-zeram ir além, e pretenderemmesmo abolir por completo asrimas, para recompor em subs-

»nheur", se cotizaram para pre-senteá-lo com uma peliça for-rada e uma cartola. O poeta fi-cou tão satisfeito que, seu pri-meiro cuidado, ao sair do hospi-tal, foi tirar, imediatamente, oretrato no atelier de Otto, narua Royale. Fizeram bem em seapressar a tirar es ia fotografiadum Verlaine excepcional, velho,porém bem vestido, pois no di^iseguinte, o poeta tendo esque-cido as visitas e gasto em be-bidas os níqueis que lhe resta-vam no bolso, vendia a peliça ca cartola.

Os três tomos de poesia quebrilham nessas trevas: Amour,cujo manuscrito foi recopiado ecorrigido, em Broussais, em 1887e que surgiu em 1888, Parallèle-ment (1889), Bonheur Ü89r,pertencem na maioria como jadissemos, à época posterior. DüAmour, o autor escreveu: "Cest

catholique, pas clérlcal, bien queorthodoxe". Êle achava no li-vro o mérito de ser "plus variede ton que Sagesse". O livroé verdade, compõe-se de peçasQue não foram colecionadas emSagesse, às quais veio se juntaro "lamento" sobre Lucien Lé-tinois, Excluindo ês'e "lamen--to", o resto da obra, a despei-to de grandes belezas, é infs-rior a Sagesse

Esta utilização dos "sous-pro-duits" é mais sensivel ainda emBonheur. A flama da vela estáextinta. A mecha incandescen-te, um espiral de fumaça e oodor da cera são o que resta doseu ardor. O poeta só reza com

DOM CASMURRO

os lábios. Conserva a atitudedo pecador arrependido, masum não sei oue de impercepti-velmente mecânico, substituiu oimpulso do coração. Em brevea inspiração católica de Verlai-ne se esgotará completamente.Com Liturgies intimes (dezoitopoemas compostos ou revistos emBroussais, fim de 1891) expan-dirá no formulário banal de de-voção, a insipidez das imagenspiedosas. parallèlement, maissincera em seu cinismo, é tam-bém, no conjunto, de um va-lor poético bem superior. O au-tor anunciava por esta forma,o trabalho a seu amigo Lepel-letier: " Uma obra completa-mente profana... até muitorija, divertida, suponho... "; unilivro "assaz ousado, um tantoorgíaco, sem muita m|?lanco-lia". A moral pode se oíuscar,porém se suprimissem "Parallè-lement" da obra de Verlaine, areduziriam de um acervo con-siderável, onde ressoam notasvibrantes. Como a dupla face dohomem não ficaria desfiguradase ocultassem a metade? Ra-ras são as obras em que o ero-tismo propaga um som dife-rente do verballsmo, e da por-nografia crua. Existe nisto umaoutra espécie de fé cujos fer-vores não se imitam, pois a poe-sia do ser carnal, tal como a daalma, não suporta a mistifica-ção. Porém, asinceridade nãoé o basjante. E' preciso que 3arte colabore. Nos livros se-gulntes: Cliansons jiour elk'(1891), Odes en son honneurU893), compostas infelizmentena época da seu deboche, poi1sua confissão, deixam de nosemocionar. De todos os livrosde Verlaine, "Parallèlement'

foi o que obteve maior sucessode publicação. Imagine-se quea tiragem de 500 exemplares daobra, esgotou-se em cinco anose foi reeditada em 1894. Ddresjo, a partir de 1886, Vaniercomsça a reeditar as obras an-teriorss do poeta, o que é signifi-cativo; les Fêtes galantes, lesRomances sans parles, em 1886:Çagesse em 1889; os Poèmes Sa-turniens, em 1890; Jadis et Na-guère e les Fêtes galantes (3.ãedição), em 18J1; os PoèmesSa-turniens (3.à edição) 1894.

Nos dez últimos anos, Verlai-ne publica ainda: les Memoiresd'un vetif; Louise Leclercq(1886); Dédicaces (1890); MesHôpllaux (1891); Mes Prisons,Élégies, Quinze jours en Hollan-de (1893); Dans les Limbes;Fpigranimes (1894); Confessions.Prefácio das Poésies completesd'A. Rimbaud (1895). Escreve'versos

e "prosas" para váriasrevistas, que, na maioria, nadapagam.

E', aproximadamente, em 1887,que o renome do poeta começaa transpor os limites do cena-culo. A Jules Talher, entusiastae bom, cabe a honra de (*er per-suadido o cético Jules Lemaitre,seu ex-professor no liceu doHavre, de dedicar a Verlaineum dos seus artigos da Revuebleue (reunidas em volumes sobo tytulo de Contcmporains). Oartigo bem trocista, e que pa-iece hoje em dia assaz superfi-ciai, mais que não deixou deconstituir a primeira ponte lan-cada entre Verlaine e o públuco, apareceu em 7 de janeirode 1888. No mesmo ano Tal-lier, de seu lado, no livro, "Nos

poetes" rende ao mestre, aquem venera, uma homenagem

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AS*~mmW *ÊâmmVerlaine no Hotel de Lisbonne. Desenho

Museu de Nancy.

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tituição uma nova forma poe-tica, chamavam barbaresca-mente "vers-Hbrisme", Verlai-ne resistiu. Passou então porreacionário enquanto que êlese julgava um guarda conser-vador das tradições.

x mrwesnarépo—no encaixado arcaico da

"Escola romana", antes de vol-tar ao "pavé-du-roi", um cias-sicismo rigoroso, e dizia de Ver-laine à J. Huret: "um Parna-siano, apesar de tudo". Quan-to a Mallarmé, ás "quartas-feiras", na rua Rome, forma-va num círculo brilhante, on-de dispunha de um prestígioigual ao que agrupa uma so-ciedade de espíritas em tornode um médium famoso, frus-tou o esclarecimento dos con-ceitos que a obra de Verlainelhe sugerira. Louvou, princi-palmen.e, o poeta pela extra-vagãncia de sua vida, revolta-do contra as leis, pelo despre-zo das regras e costumes pre-estabelecidos.

Assim, pois, Verlaine, em vi-da, conheceu tudo quanto aglória proporciona, inclusiveesta parte variada de amar-guras que arrasta consigo: in-gratidão, injustiça, desdém,contestações, deferêndaa re-servadás. Em 1891, surgiu naFasquelle a antologia de suasobras, intitulada Choix de poé-sies. Sua tiragem inicial foi de1500 exemplares, sendo, no es-paço de quatro anos até a mor-te do au.or, reeditada por qua-tro - vezes. O renome de Ver-laine já ultrapassara as fron-teiras. A maioria das Revistasbelgas publicavam estudos sõ-bre o poeta. O mesmo aconte-ceu na Alemanha, desde 1890,logo depois na Inglaterra, naHolanda, na Rússia, na Aus-tria, na Itália, na Boêmia.

Mas a obra de Verlaine, úl-tima forma exasperada do li-rismo pessoal, sendo insepará-vel de sua vida e de sua len-da, fez com que certos círculosliterários, na província e noexterior, quizessem conhecer ohomem, o místico cristão, omonstro "bacânico" e dioni-síaco, o "hors la loi" o poeta"que vivia no hospital e que

Paul Verlaine parecia ter en-fim conquistado a calma e aserenidade. O "vento máu" deque tinha sido tantas vezesJoguete havia passado. Até adoença lhe tinha deixado ai-gum tempo de repouso. Recen--t.es trabalhos pagos de modomais justo ou menos Injusto doque de costume, afastavam oscuidados materiais mais ima-diatos. Os íntimos do poeta,que acabavam de festejar oseu cincoentenário, tinham aesperança de que um períodode ttrabalho> fecundo, de feli-cidade relativa ia abrir-se paraêle, .

— Não desejo ser mais, diziaéle sorrindo, do que um simplesburguezinho da rua Mouffe-tard.

E, na verdade, Verlaine, des-de alguns meses, levava umaexistência mais pacifica e me-tódica;. tinha renunciado qua-

esIAvera na prisão**. Dai re-sultou as viagens de conlexên-cias dum ritual singular, emque o conferencista, raptadoem fiacre a saída de um asilo,ou a porta de um pardieiro;devidamente rodeado, era lo-"go depois arrebatado no de-sembarque, por outra turmaque não o largava. En'jretanto,acontecia, ás vezes, que o via-jante, entre uma harretada eum aperto de mâo, desapareciasubitamente; corriam a suaprocura e o iam encontrar emalgum bar; traziam-no a todapressa para o local em que opúblico já estava reunido; umadama do comitê obriga-o a to-mar uma clara de ovo, paraclarear a voz, e levam-no pa-ra o salão.

No dia 4 de agosto de 1893,o poeta endereçou ao Secreta-rio vitalício da Academia fran-cesa, uma carta na qual de-clarava ter a honra de candi-datar-se, e manifestou a in-tenção de apresentar-se "na

próxima eleição". Firmou-se,roman jicamente, Paul Verlaine,homem de letras em tratamen-to no hospital Broussais. A ca-cieira vaga era a de Taine.Verlaine, como devemos ima-ginar, não tinha nenhuma pro-habilidade de ser eleito. Mas.no François-Premier, onde fa-zia ponto o candidato a Ro-tonde, Vicaire tinha o seu lu-gar; no Café-Ifcouge, no Mur-ge, no Muller, no Pellorier, noSolclirOr no Procopc e até namargem direita, no Chat-Noir,o gesto do "Pauvre Lélian"(anagrama que Verlaine arran-jara para si mesmo, nos Hom-mes d'aujourd'hui) estrugia oentusiasmo.

Zola candidatou-se ft mesmavaga na Academia, mas, tam-bémí (suas experiências pre-cedentes tinham demonstrado»estava cer:o da derrota, apre-sentou-se por diletantismo. 7.o-la porém, era um homem mo-rigerado, um burguez, um tra-balhador assíducf, um forma-lista sob todos os pontos devista, o que êle erguia no"Pont des Arts", ora-penas irbandeira de uma escola lite-raria, de uma escola já relê-gada, conttra a qual precisa-mente, havia dez anos, os Sim-rjolÍs\as reagiam. Assim, pois,a candidatura de Zola, por for-ça de se repetir, deixou indi-ferente a mocidade do Quartlerlatin. O desafio de Verlaine,ao contrário, a apaixonou, tísem dúvida provoca riso. Demistura com literatos, entre sclientela das tavemas via-secarabineiros, estudantes de me-dicina, futuros advogados, no-tários, oficiais de justiça e gen-te do "fórum", todos de cas-ta, onde o bom senso, rara-mente deixa de existir, "LesBaju", também eram imune-raveis, principalmente as que,

decadentes, depois de terem di-rígido na rua Monsieur ie Prin-ce ou rua "Cujas", alguma ga-seta retomavam ao seu mister.Não importa, as pequenas "Re-vuís", fremiam. Cada dia res-soava o seu echo fervoroso, seurumor satírico. A candidaturade Verlaine era a candidaturado "sous-sols", a canuklatur.ida boêmia. A 15 de fevereirode 1894, o poeja escreveu umasegunda carta ao Secretariovitalicío, desculpando-** pornão poder, devido a uma indis-posição, fazer as visitas exigi-das. No dia 22 do mesmo mêda Academia procedeu a eleiçãoà vaga de Hippolyte Taine. Fo-ram candidatos: Anatole Le-j-oy.Beauliou, Htenri Houssaje;Emile Zola, Emile Montégut,Paul Verlaine. Houve cinco es-crutínios. Zola e Verlaine nãoobtiveram vo:ios. Não houve"quorum". A eleição foi trans-ferida para outra data. No dia31 de maio seguinte, Albert So-rei foi o eleito.

Poucos meses depois faleciaLeconte de Lisle; Verlaine te-

—ve a tentação üe se lornar a~candidatar, porém, desistiu.Mas, devido a morte do mestreparnasiano, a dignidade dePríncipe dos postas estava semtitular. Um "referendum*" ins-ti/uido por "la Plume" em ou-tubro de 1834, conferiu ao man*.drião a coroa ilusória.

Entretanto, sob outro aspec-to, o da vida privada, a desci-da em aspirai, continua: Ver-laine debate-se inutilmente navoragem que o traga. Mesmoo homem menos sistemático,custa a livrar-se dos ambien-tes a que pertenceu na moci-dade. Ainda em 1886 o poetapergunta a Jules Tellier se nãopodia arranjar-lhe "un petit

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Verlaine no leito de morte (d'après nature par Cazais)

A morte de Paul Verlainede A. F. Cazais

se completamente ao café; oabsinto, essa sereia de olhosverdes, que teve influência tãomá sobre o seu destino, não btentava mais;, algum "amer-pioon", tomado às escondidasno balcão de um botequim vi-zinho, era, fora disso, a únicadoçura que êle se permitia.

Há menos de um ano, êlemorava no n. 39, da rua Des-cartes, num pequeno aparta-mento de duas peças e uma co-zinha, em companhia de Eu-génie Krantz, Essa amante in-termitente do Pauvre Lélian;parecia lier-se fixado ali, destavez, definitivamente.

Nessa modesta casa, a biblio-teca surgia ao lado da máqui-na de costura de Eugénie, cos-tureira, nas horas vagas, dosgrandes armaaens "Belle Jar-dinière ".

Subia-se para o apartamenta-mento por uma escada estreitae íngreme. A direita encontra-va-se a sala de jantar pobre-mente mobiliada, que dava paraa área; em frente á cozinha, àdireita, o quarto üe dormir,cujas duas janelas se abriampara a rua. Entre essas janelas,ornadas pela gaiola dos canáriose de vasos-de flores, caros àsheroinas de Murger e de Ga-

várni, encontrava-se numa cô-moda-penteadeira em acajúUm sofá de veludo vermelho,um pouco envelhecido, ocupavaum dos lados dessa paga, nomeio da qual a mesa de traba-lho do' poe.<a, coberta de laudasescritas -arranjadas metódica-mente, suportava uma pequenalâmpada à querozene, cujo're-servatõrio representava um mo-cho, o mocho de Minerva. Ali,Verlaine levava, enfim, uniavida quase feliz, e, pelo'menos,tranqüila: a vida, disse-nos êleuma vez, de um monge * Docrearrependido e recolhido porJenny L'òuvriére.

établissement, leçons ou bureau,dans un Midi, ou une Algerie".ho ano seguinte roga a Vanier*jue lhe arranje lições de in-g-ies e acrescenta: "un emploiquelconque me botterait".

fci pcnsa também em esere-ver para o teatro. Espera quePorei faça representar no 1'0-déon, "Les uns et les autres".ou seu pequeno ato, "MadameAurbin", a que se refere emsuas car.as desde 1873. Diziaque trabalhava também emuma peça, sobre Louis XVII,de três atos, em versos, desti-nando o papel de Dauphin àSarah Bernhardt, porque, elarepresentava de modo encanta-dor, e êle queria aproveitaratriz tão esbsl.a.

No dia 21 de maio de 1891.o Théatro d'Art sob a direçãode Paul Fort, deu um espeta-culo em benefício de Verlainee do pintor Gauguin. Do pro-grama constou: Le Corbeaii,d^dgar Poe, tradução de Mal-larmé, Les uns et les autres,de Verlaine, e o Soleil de Mi-nuít, de Mendes. Mas as___des.—

-piaas absorveram a "totalidade

da receita. Verlaine, que du-rante o espetáculo ficara nobar do Café Américain, nãocessara de beber e encolerisado,vociferara, bradando que estedia era o de seu "malefice".

Enfim, em outubro de 1894,os amigos do poeta, com o úni-co intuito de festejá-lo — poisdes;a vez também Verlaine na-qí lucrou pecunlariamen^e coma iniciativa — organizaramuma representação de MadameAubín, numa das noitadas docafé Procope. Aí se limitam asexperiências de Verlaine, au-tor teatral. Da mesma formaque Baudelaire, êle ensaiou vá-rias vezes este caminho, (sementretanto esforçar-se muito,como aconteceu a Baudelaire)com miríficos projetos. Suacorrespondência está cheia demanifestações desse desejo.

De tempos em tempos, saidodo boulevard Saint-Michel, cor-ria um rumor ao longo do Fran-çois-Premier ao Soleil-d'Or:"Verlaine teve alta do hospi-tal". Nos cafés, os rapazes departola sobre as vastas cabe-Leiras, transmitiam-se a notí--cia como outrora no Oeil-de-Boeuf as cortezãs teriam dito:"Alguém que vinha do inte-' ríoi*,' acaba de chegar a Ver-sailles". A volta do poe:a aoQuartier revestia-se, cada vez,do prestigio duma misteriosa"rentrée". Quando Verlaineestava ausente, uma grande fi-gura faltava "pelas ruas lati-nas". Ia-se rever, salientando-se enire o comum dos transeun-tes, este personagem mitológí-co, arrastando a perna com,sapatos gBossos, sua capa, seu

. "cache-nez", sua bengala decornouiller ferrada."O aspecto de um operáriotriste", disse Mme. Rachilde."O aspecto de um feiticeirode aldeia", declara AnatoleFranoe. „

(Trad. de Solêna B. Viana)

Sobre a chaminé, entre as fo-tografias, tinham sido espalha-das laranjas pelo mesr,e, em' intervalos iguais, à imitação deum velho costume do campoardenense;.. essas belas -manchasde cores brilhantes agradavam-lhe a Vista. Uma outra distra-ção, não menos infantil, ocupa-va-lhfe longas horas: Eugéniecomprou, um dia, em casa de umnegociante de tintas, um fras-co de ouro para dourar.

Paul, disse-lhe, entrando,isto é para dourar nossa gaiola.

Afim de agradar à sua aman-te, Verlaine, no fundo achandobem engraçado, pôs-se imedia-tamente a trabalhar, e dourounão somente a gaiola dos cá-hários, mas toda espécie deobjetos que encontrou: vasos deflores,' tamboretes e até a ca-

neta que usava.Exceto as orelhas, disse

um dia a um amigo que o sur-

40 DOM CASMURRO

Page 39: MATE DOM CASMÜRRO - memoria.bn.brmemoria.bn.br/pdf/095605/per095605_1944_00365.pdf · Quando, no dia 30 de irar-ço de 1644, às nove horas da noite, na cidade de Metz, no np 2 da

preendeu nessa ocupação, soucomo o rei Mldas, transformotudo em ouro !

Essas alegrias Infantis, o tra-balho, a leitura, a conversa dosraros amigos que o vinham vi-sltar, ocupavam seus dias, semaborrecimentos, quando, de re-.pente, suas dores voltaram. Noprincípio de dezembro, sua per-na inchou de modo inquietante.pelo OJatal, as dores de estorna-go e um reumatismo mal cui-dado, obrigaram-no a quasenão sair do quarto, Não pôde,mesmo assim, recusar um con-vite para um almoço, que lhoveio fazer o secretário do con-de Robert de Montesquiou-Fe-zensac, M. Gabriel, de Stury;deixou-se conduzir num carroaté à casa Foyot. (1)

O doutor Parisot, que pres-tava assistência ao ilus'ire do-ente, prescreveu um regime se-vero: Verlaine devia deitar-secedo; o álcool e o vinho to-ram rigorosamente proibidos eem sua mesa apenas era tole-rM" n "\eifo fiom ÁFllfl rifi-Y'"

—MãsTãpèsar desse regime aao-tado mui tardiamente a saúdede Verlaine declinou com rapi-dez.

No domingo, 5 de janeiro de1896, delirou um pouco e a fe-bre só o deixou no meio datarde. Recebeu, nesse momento,s. visita de M. M. Jules Heyee Francis Norgelet, redatorasda "Revue Rouge", que lhetrouxeram para corrigir as pro-vas de um poema escrito ai-

guns dias antes e que havia in-titulado - por que estranhopressentimento ? — "Mort (2).Verlaine ficou profundamentesensibilizado quando releu seu

poema. Permaneceu silencioso

por muito tempo. Os dois jo-vens escritores, que tinham peloPauvre Lelian uma adoração e'im devotamento sem limiKs.tentaram em vão dissipar essafúnebre melancolia

Re,lraram-se, enfim, proíun-damente impressionados. Harua. encontraram um outroamigo de Verlaine, o jovem Al-

bert Cornuty. Este estava exa-tamen.e muito inquieto a res-

pBito cio "Mestre", de quemnão tinha noticias ha muitosdias. Posto ao corrente do quehavia acontecido aventurou-sea enfrentar a rabugtóe de Eu-

génie que, disseram-lhe, mos-travasse pouco acolhedora paracom os Íntimos do poeta.Acusava-os de servirem de in-

termediàrios entre Esther PM-lo. sua rival (3) e seu Paul .a quem ela sobrecarregava de

amargas recriminações a esse

respeito. Por este motivo, ai-

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vizinho,á sòmen.e pela manha,com o auxilio de Mlie, podeVerlaine voltar ao seu leito. Omoribundo tinha pois passadoa noite no chão, protegido co-mo foi possível contra o frio,

por um "edrédon" e por algu-mas cobertas. O douxr Chauf-íard retirou-se indignado comuma tal negligência naquelemomento. Todavia suas prescri-ções foram seguidas imediata-mente; mas, como era de espe-rar-se, a reação desejada nãose operou. O sinapismo não te-

' ve outro resultado que o de fa-v,er o doente sofrer de modoterrível: "Isjo me mordei" dis-se êle a Gaston Stiegler, reda-tor do "Echo de Paris", qfieEugénie acabava de fazer en-irar no quarto de Verlaine. Sleve um gesto doloroso, comopara arrancar de seu peito núa queimadura ardente que o de-vorava.

O leito de Verlaine, observaM. Stiegler, estava coberto de—joxiiul ¦ ijiir, itfl n Viltim" P1"-mento, o poeta amassava em

guns dos melhores amigos deVerlaine não foram informadosda gravidade do seu estado

A presença de Cornuty foiacolhida com tanto mais agra-do por Verlaine, quanto este,depois da partida de seus vis;-tan.es, tinha deplorado com co-lera o isolamento a que o obn-

gava, desde algumas semanas.sua ciumenta amante.

Pediu então a Cornuty que fi-casse e este íicou até altas ho-ras da noite. Voltou, no dia se-

guinle, multo cedo, para con-tinuar a exercer suas funçõesde enfermeiro.

Na quarta-feira, Verlaine es-tava melhor. Pelas dez ho-ras depois de ter Mo os jor-nais na cama, pôde levantar,se Enquanto Eugénie Krantze Zélie. a velha criada, ajti-davam-no a vestir-se, Cornutychegou. Verlaine pediu quetosse convidar, em seu nome.nara o almoço, um dos seus

amigos comuns, Gustave le Rou-

ge, que morava perto dali, na

avenida Arago.EsSe veio depressa, com sua

jovem esposa.

A refeição foi muito cordiale até mesmo alegre; Verlainecomeu um porco e bebeu alguns

goles de um vinho branco, leve,misturado com água de Vichy.

Contou aos seus convivas quetinha recebido, na semana an-terior, de um americano deSão Francisco, uma espátula delaptsJazull «grande como uma

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"Moulage1 Iroquis de Cazals5 horas.

Este presente veio acompa-ntiado de uma carta das maislisonjeiras e de uma enormegarrafa empalhada, contendoum maravilhoso rhum virgem.

— Infelizmente, concluiu o

poeta com um sorriso, ao mes-mo tempo malicioso e melan-eólico, há muito não posso be-ber rhum... e a gigantesca es-

pátula chegou quebrada em vá-rios pedaços!... Não acham,disse, que o meu admiradoryankee estaria mais bem ins-

pirado enviando-me, a mim quecofro de gota, uma bicicleta?Seria impossível usá-la, mas eu

poderia vendê-la...E mostrou lastimosamente os

;acos da espátula.O assunto desviou-se. Servi-

ram-lhe a sobremesa em velhosla-atos nos quais estampavam-se vários personagens. Verlai-ne tornou-se de um prazer in.fantil em descobrir semelhan-cas entre alguns de seus ínti-mos e os homens desenhadosnos pratos.

Este, disse êle, é Moréas...aquele é Cazals, sem dú-vida nenhuma. E este outro,não tem a cabeça de PaternoBerrichon...?

_ E este aqui? perguntoualguém, mostrando um pratono qual estava representadoum relojoeiro em sua loja.

E' meu filho, meu Geor-ges, a quem talvez não vejanunca mais !

E uma sombra de melanco-lia invadiu, de repente, suaalegria.

Seu filho é relojoeiro?Sim, êle o foi... como os

Naundorft! Todas as grandesfamílias não tem o seu Naun-dorff? Georges é para mim o

i meu Naundorff.Verlaine pronunciou! essas

ultimas palavras com enterneci-mento. Separado de seu filho,logo depois de seu divórcio,deixou-o ainda muito pequeno;dizia sempre que o seu maiscaro desejo seria revê-lo. (4)

— Vou deixar-lhe apesar dis-so, um nome que vale bemqualquer cousa, disse aos seusconvidados.

Voltou a cair no seu deva-neio. No fim do almoço, sen-tiu-se muito cansado e teveque deitar-se, Um dos convi-dados retomou para ler em vozaita o jornal deixado por ummomento. Verlaine interessou-se um instanie pela famosacarta escrita pelo Kaiser Wil-

lielm ao presidente Kruger; depois, vencido pelo cansaço, dormiu, Os amigos presentes fi-caram perto ao aosnw ate anoite e antes de se retirarem,fizeram com que Eugénie se de-cidisse a avisar F. A. Cazalsoue Verlaine o tinha chamadocom insistência durante o cor-per do dia.

Os mesmos amigos voltaramno dia seguinte e puseram-seà disposição de Eugénie, de-samparacta, aflita, e que nãosabia mais onde tinha a cabe-ça. O doutor Parisot foi cha-mado e, desta vez, achou a si-tuação desssperadora. Na suaopinião, o desenlace fatal eraques.ão de dias.

Pouco depois da saída do mé-dico, Caziiis cne^ou, acompa-nhado de um amigo de Ver-laine, Edouard Jacquemin. Malentraram no quarto, ficaramhorrorizados com a palidez dodoente. Eugénie, dissera-lhesbaixinho: Está perdido!

Verlaine, no seu leito, teriapercebido ou adivinhado o sen-tido dessa frase, apenas balbu-ciada? Com a voz fraca e umsorriso forçado nos lábios, mur-murou: "Não calce ainda ossapatos do morto"... Esta re-tlexão, que em verlaine de-monstrava uma conciência real

cia gravidade do seu estado,alligiu os recenchegados. Ger-caram o leito do doente, esfor-çando-se para esconder suapungente inquietação. Um de-les fez um trocadilho que teveo dom de desanuviar um ins-tante a mascara dolorosa doPauvre Lélian.

Nesse momento, a respiraçãojá estava opressa e sibilante.Tivemos, a pedido de Verlaine,de virá-lo na cama, várias ve-zes, afim de procurar-lhe umpouco de alívio. Resolvemoschamar imediatamente EdmondLepeUetier, Maurice Barres,François Coppée, Gabriel Viçai-re, Jean Moréas, Laurent Tai-lhade e fomos buscar o doutorChauffard, que veio na mesm*hora.

Conversou alguns minutos como seu caro doente, que lhe res-

pondeu com imensa dificuldade,c com o olhar revelou-nos quetudo seria inútil para salva-lo,Deixou Verlaine muito comovi-do e prometeu-lhe, para enco-rajá-lo, que voltaria logo, Re-tomendou, todavia, que lhe apli-cassem sinapismos para expe-rimentar reauimar aquele or-

ganismo abatido.Acompanhando o medico a

porta, Eugénie confessou-lheque, na noite precedente, Ver-laine, quis levantar-se e caiuno chão; muito fraca para aju-dá-lo a voltar para a cama,não tinha ousado acordar seus

M,„ mãos "que apalpava, quemanuseava com um resto depaixão pelo papel e pela escri-ta". Uma hora antes* tinharejeitado com desgosto um nú-mero do "Fim de Siècle", cujasilustrações grosseiras e obcenasferiam, mesmo nesse instantesupremo, seu gosto delicado:"Levem para longe de mim to-das essas sujeiras", gritou eie !

Stiegler observa, igualmente,que Verlaine foi torturado pe-lo desejo de apertar a mão deLepelletier, de Coppée e de Mal-larmé... E repete is-oguiio ojornalista):

" Sim Coppée...Sim Lepelletier! (5)

Pouco tempo depois dessa vi-sita, Verlaine entrou em coma...E quando, pelas oito horas,seus amigos fiéis voltaram ãcasa da rua Descartes, um pa-dre, também chamado muitotarde, saía... O grande poetaacabava de expirar!

A noticia espalhou-se pron-tamente. Os amigos e os ad-mlradores acorreram. MauricieBarres foi o primeiro que apa-receu Depois de ter contem-piado alguns instantes a calmafisionomia do mestre, a quemhavia admirado, enfim repou*sada, lançou em volta dele umolhar melancólico e distantee aproximou-se da mesa ondealguns livros de Verlaine es-tavam espalhados Escolheu um

volumes (um Sainte-

(1) Nesse mesmo m@s de dezem-bro. Verlaine (êle próprio noa conta)recebeu u visito do'poeta Saint-GeorgeBde Bouhéller, muito jovem ainda eque já era chefe de uma escola lite-rária nova. o Naturalismo, Almoça-ram juntos na "Cote d'Or", um res-taurante que comerciava com vinho,na esquina da rua Vaugirard com arua Corneille. perto do Odeon. Era líu-ma das salaa desse restaurante quese reuniam então, em certas tardes,Jean Moréas e seun amigos. ErnestRaynaud, Maurice Du Plessys, Kay-mond <!e Ia Tailhède, Paul Souday.Charles M surras, Gaston Dubreuille,Henry Quittard, Lioncl dea Rlcux, etc.

(2) Este verso foi certamente oultimo aue Verlaine escreveu.

(S) Vêr o nosso artigo: "As últi-mas amantes", publicado em o "Figa-

ro", Janeiro. 1896.(4) Por uma misteriosa atração.

Georges Verlaine, nessa mesma oca-sião, desejava ardentemente ver seu

pai. Extraímos de uma carta escritapor Mme. Delporte, publicada no"Rappel" de 20 de janeiro de 1896, oseguinte trecho:

"...Fui passar uma semana pertodele (Georges Verlaine) e deixei-o a

E4 de dezembro passando muito bem.Os médicos haviam prometido dar-lhealta e eu o esperava para o dia deAno-Bon. Infeliemente, não o deixa-ram sair senão a 13 de janeiro: foiassim, nesse triste hospital (em LilleJ

que Georges soube da morte de seu pai."Ficou jni)ite..í.risís.. Bftfc..<ís9.<te-M»J«

tos meses acariciava o desejo de verEeu pai. a quem não conhecia. Nossaestada na Alttéria tornou Sste desejoimpossível de ¦ realizar-se, duranteP„Hn tempo. I-ogo que chegou tiaBéleiCH. George escreveu a Paul Ver-laina Soa cortai • recel*» «Mj»»Mrspostas. Êle contava com sua alta no

dia de Ano-Bom para ir vê-lo. E pois.com «mu* injurtic «nc di.cm qu=nu o afastei sistematicamente dele,..

(5) Foi sem duvida dessa entre-vista que se originou a lenda que narranue em seu leito de morte Verlainechamou: -Franco!.!... Franco!.!...

Não acreditamos, c M. François V.elé--Griffin também pensa assim, que

essüs palavras tenham sido prnnuni-ciadas.

41

DOM CASMÜRRO

Page 40: MATE DOM CASMÜRRO - memoria.bn.brmemoria.bn.br/pdf/095605/per095605_1944_00365.pdf · Quando, no dia 30 de irar-ço de 1644, às nove horas da noite, na cidade de Metz, no np 2 da

¦.. ."au moins ce ne fut pas la faute de la lütèralure, quiVaurait comblê d'or et d'honneurs, mais bien un peu lasienne propre et celle d'autrui, n'est-ce-pas, chère Ma-

danie ?-'— s'il était trouvé à 1'hoppital...""MES HOPITAUX". 1891. Eág^Mfr: — Desenhode B. Mahn para "Oeuvres Completes".

, Beuve) que Eugénie lhe per-mitiu levá-lo, a titulo de re-cordacaò..

Iam chegando sucessivamenteCatuíle Mendes, Vanier e oconde de Montesquiou, aeom-panhado de M de Yturl, seusecretário. Tendo prestadouma última homenagem a PaulVerlaine, passaram para a sa-

. Ia de jantar, para reunirem-se ali, deixando M. de Yfcurino quarto mortuário. Foi en-tão que, sem levar a mal, semdúvida, este tirou uma das la-ranjas que se encontravam sô-bre a chaminé, descascou-a des-cuidadamente, icomieu-a e jo-gou as cascas debaixo da ca-ma. Mas, teve de ceder seulugar às três mulheres que vi-nham proceder a "toülette"

.fúnebre... a carta de participação, que Vanier encarregou-se de expedir ao mundo literá-rio, foi terminada. GeorgesVerlaine, então em tratamentono hospital militar de Lille, foi,queremos crer, involuntariamen-te esquecido. (6) A data dasexéquias foi fixada para a sex-

. ta-feira, 10 de janeiro, as duashoras da tarde.

A notícia fúnebie estourou co-mo um raio. O prestígio qjueexercia sobre a juventude o"Príncipe dos Poetas" se ma-nifestava. Havia apenas umahora que seus olhos se tinhamfechado para sempre e já to-dos aqueles que, em Paris, re-presentam a nobreza e a inde-pendência das idéias no mun-do das letras e das artes, sedirigiam para a humilde casada rua Descartes.

Gabriel Vícaire e LaurentTailhade que, uma amiga, MineMarie C..., tinha ido buscarna rua Denfert-Rochereau, on-do os dois moravam, vieramcorrendo, seguidos em breve deJ. K. Huysmans, de Ra-childe, de Alfred Vallette, deAlberi Mérat, de Léon Dierx...

A escada estava apinhada deuma multidão enternecida erespeitosa, que chegava até arua. Em hora avançada da noi-te, chegavam ainda pessoas,que pediam o favor de contem-plar pela última vez a flsiono-mia do Mestre e de beijar suamão gelada...

Os amigos, os familiares nãopodiam entrar senão em ps-quenos grupos no quarto mor-tuário onde, perto de um fogode carvão vegetal quase extin-to, P. A. Ce-zals,três velas cor-de-rosaxava pela última vezdo autor de "Fêtes(8). Toda a noite seus amigosse sucederam para velar o cor-po. Pela manhã François Cop-pée apresentou-sé pálido e des-feito. Chorava. Tinha recebidoa notícia fatal quando voltavado Teatro Odéon, onde se répresentavar éntãoT seu drama."Pour la couronne!" — "Eleo chamou", disse-lhe Eugénie,e Coppée ficou profundamenteemocionado, Repetiu, aliás, es-sas mesmas palavras, cujo efei-to era seguro, a Catulle Men-dês, ao editor Vanier, ao con-

de Montesquiou-Fezensac, a to-dos enfim que ela consideravacomo pessoas importantes. Fran-çois Coppée exprimiu seu pe-sar por terem marcado as exé-quias para as duas horas e pornão terem pensado em mandarcelebrar uma missa pelo re-pouso da alma de seu amigo.

Depois de novos entendimen-tos com Mendes, de Montes-quiou e Vanier, aos quais jun-tou-se um representante do Mi-nistro das Belas Artes, a horados funerais foi definitivamen-

te marcada para as dez horasda manhã.

M. Montesqulou e o di-tor de Verlaine ofereceram-seexpontaneamente para se en-carregar das despesas. (9)

Durante todo o dia da quin-ta-feira chegaram cartões depezames, assim como a visitados retardatórios. (10) As tris-tes formalidades, porém, náoestavam acabadas. Era precisopreparar o atestado de óbito;ao meio dia o médico legistaapresentou-se; lançou um rá-pido olhar sobre o corpo dopoeta: "O organismo, disse êle,foi gasto até a medula; encon-traríamos dez moléstias ao in-vés de uma", Verlaine nãomorreu, pois, de um câncer, co-mo dizia Eugénie, nem de umasimples pneumonia acidental,tomo afirmou Laurent Tailha-de.

Era importante, todavia, guar-dar para a posteridade a exa-ta modelagem da fisionomia dapoeta extinto. Le Rouge e ca-sais quiseram mandar fazê-loimediatamente; disseram-lhes,porém, que era preciso, em pri-meiro lugar, obter autorizaçãoda chefia de Polícia. M. Lépi-ne, admirador de Verlaine, a-pressou-se em consegui-la. Asdiligências, (11) e as formalidades tinham exigido um certotempo. A moldagem não pôdeser feita senão na quínta-fei-ra, à tartíinha, quando os tra-cos do Poeta já estavam des-feitos de modo sensível.

Quando M. Michaud se apre-sentou para assistir, de acordocom a lei, a essa operação, acasa estava cheia por tão gran-de número de pessoas como nu.véspera.

Jules Heyne e Manuel De-valdés encarregaram-se de avi-sar ao moldador Meoni, extra-ordinariamente apto em suaprofissão e de cujos serviçosFalguière se servia há muitosanos.

Chegou logo. Cederam-lhe alugar e não ficaram perto doleito mortuário senão o comis-sário de polícia, Gustave L»eRouge, F. — A. Cazais. Umpoeta, Mr. Erasme Anger, ofe-receu seus préstimos ao mol-dador, qtue os aceitou; foi élequem segurou a lâmpada, en-quanto durou a operação. Ospreparativos estavam apenascomeçados quando StéphaneMallarmé chegou e pediu cominsistência para entrar. Apres-saram-se em conceder esse fa-vor ao nobre poeta, cuja flsio-nomia estava transformada pe-ia dor. Stéphane Mallarmé des-iJsou pelo quarto, na ponta dospés, e depositou um grande ra-malhete de violetas no meiodas coroas, das guirlandas edas palmas amontoadas.

Querido e genial Verlaine,murmurou com a voz trêmulade emoção, não nos encontramos tanto quanto eu teria de-sejado... Os mais caros e osmelhores de nossos amigos nãosão, às vezes, aqueles que qua

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4{« l». jO^êvi fc««.tl UtZ Cãu^lMM-^ &-4-U***!

Carta de Stéphane Mallarmé, relativa ao moulage de Verlaine.

se não vemos, embora pense-mos sempre neles?

A operação do moldador foiconcluída num silêncio acatou-nhante. E as testemunhas des-ta cena não puderam deixar dedesviar o olhar logo que os pe-dacos de gesso começaram acobrir o rosto do poeta que,até então estava ainda orna-do pela serenidade augusta damorte (12). Uma moldagemoferece, em menor escala, to-dos os horrores de uma disse-cação ou de uma exhumação.

(7) Desde muitos anis. ossos velasenfeitavam n chaminé da antiga dan-snrina que era Eugêne KrniitB. Kfalta de outras, foram acesas, nn con-fusão da catástrofe. Não se pode dei-Mar de pensar nesses versos;

La lumière de la bongle aponinen 1'infimt. ríatm leu <ilacen de VeniHo(8) Dois desenhistas. Mr. Ladisias

Lcevv, enviado pelo "Journal" e M.Noi! Legraml, e um fotografo, Mr.Cailladr, reproduziram também oetraços do ilustre morto,

J9) —A esse respeito Mr. -Edmond—Lepelletier afirma nue "Mr. LéonVanier não pagou de modo jilcum aadespesas com as exéquias Verlaine.'¦nmo se diz tão freqüentemente. Elasforam anldndaH pela importância de500 francos remetidas em nome doMin. da Instrução Pública e das BelasArtes, por Mr. Koujon, o qunl me

? isto n equinquando eu me mostrei espantado porterem consentido que o editor fizesseas despesas. Uma quota feita entre osamigos cobriu as despesas suplemen-tares, especialmente a cspnrtula dooficio fúnebre. (Paul Verlaine. éditionde Mereure de France. 1Ü07).

De outro lado podemos ler no nú-mero especial de "La Plume" con»a-

prado a Paul Verlaine (fevereiro de189G>:

" (Para qiie essas notas fiquemcompletas, dizemos que. graças à.gentileza do Hevtuii. Padre Morland,essas exéquias tiveram a dign:dadenue mereciam. Os 998 francos pedidospelo monopólio das cerimônias fú-nebres foram pagas assim r Ministrodas Belas Artes, 500 francos; Fran-eis Coppée. 300 francos; o resto porC. Lepelletier, Maurice Barres, Con-de de Montesquieu e Paul Verola).

(10) Relataremos entre os primei-roa qoe se inscreveram: Henri deReg-nier, Jean Richepin, Francis Fielé--Griffín, Anatole France, Albert Sa-min, Raoul Ponehon. Paul Vérola,Gustave Kahn, Michol Abadie. Hai>Ryner, EmMe Blémont, Jules Bois.Dauphin-Meunier, Henri Degron, PaulRedonnel, Léon Deschnmps, ManuelDevãldès, Raoul Gi nes tes. FernandHauser, Gabriel de Lautrec, Hené dela Villoyo. Paul Fort, Léon Maillard,Charles Morice. Charles Maurras.Maurice Du Plessys, Ernest Raynnud.Henry Bauer, Emmanuel S ignoret,Raymond de la Taillede. Séverine, etc.

(11) Cazais conhecia, na Policia,um poeta, Mr. Jean Court. Le Rou-Ke. dg posse de uma carta de seu ami-go, foi procurar esse funcionário que,muito amavelmente, ensinou-lhe ocaminho a seguir: — dirigir-se emprimeiro lugar ao comissário de po-licin do bairro; esse transmitiria opedido ao chefe de Policia, cuja asai-natura era 'ndispensável.

Assinalemos aquf, também, o des-prendimento de que deu prova M.Michaud, o comissário de polícia dobairro do Panthéon, que, na qualidadede antigo membro da Imprensa, dis-pensou com generosidade o paga-mento de seus serviços.

(12) Dessa moldagem foram repro-duüidos 50 exemplares numerados, queforam oferecidos aos amigos do Poeta.Por diversas razões alguns deles (M.

(Stéphane Mallarmé e Jean Moréas es-

pecialmente), não aceitaram o quelhes foi destinado. Dois exemplares

I quebraram-se por acaso.A primeira prova foi dada ao Musêe

Carnavalet por M. F. - A. Cazais. Omolde foi destinado, como tortemu-nha "documento" escrito de M. Méo-ni e nenhuma, máscara foi posta frvenda nem cedida por dinheiro.

Os autores deste livro sentem-se fe-lizes em agradecer a M. Paul Verola,que lhes adiantou a soma necessáriapara a execução dos 50 exemplaresdessa moldagem. Os nomes das pessoasàs quais foram distribuídas cada umadas reproduções afio: O Ministro diInstrução Pública e daa Belas Artes(Emiles Gombes), George Verlaine,

Stépfiane Mallarmé, Henrà Roujondiretor das Belas Artes. Jean Moréas.Paul Verola. Ernest Delahaye, J.-K.Huysmans, Charles de Sivry. CondeRobert de Montesqulou Fezensac, Hen-ry Bauer, Edmond Lepelletier, Ar-mand Silvestre, Maurice Barres, Ray-tnond Polncarré, F. de_Zépelin, CatulleMendes, Raoul Pouchon, FrançoisCoppée, Jean Richepin, Henry Cross,Aug. Hodin, Laurent Tailhade,- Al-phonse Humbert, Gabriel Viçai re,Mme. Rachilde, MM. Albert Mérat,FéHx Fcnéon, Jean Lorrain, FélicienRops, Dr. Chauffard, Jean Jullien, G.Le Rouge, B. Jacquemin, LéonDierx, H.E. An gera, Paterne Bcrri-chon-Dufour, Jean Court, Jean Bour-gufgnon, H. Vernot, Niederhausern-Rodo, Fernand Clerget, P.-P. Plan.M. Du Pleaays, L. Cranmer-Byng,

Adrien Mithouard, Lucien Hubert.

42. DOM CASMURRO

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x—K çao de M, Gros, diretor da ca-pela.

Depois que o Revmo. PadreLacèdre, cura da paróquia, feaa encomendarão, o féretro par-tiu e o imponente cortejo pôs-se em marcha, seguindo as ruasSaint-Germain e a rua dos Saint-Pères. (16). Atravessou a pra-ca do Carrousel, entrou na ave-lida da ópera, atingiu a praçrMoncey e desceu a avenida diClíchy, até às fortificações. (17)

Pato digno de nota: numero-sos transeuntes juntavam-se aocortejo, assim que sabiam queera Verlaine quem ia ser enter-rado,

A saída da rua Descartes, po-dia avaliar-se em cerca de cln-co mil pessoas a massa que se-

guia o féretro, e apesar da fa-aiga de um trajeto tão longo,esse número pouco tinha dimi-miido quando, enfim, o cortejoparou a diante das portas debronze do cemitério das Eatig-nolles, a quinhentos mebros dabarreira. (-8).

A mascara de gesso, unia vezarrancada, deixa aparecer des-figurado o pouie rosto que elacowia, uicJiaao e depuaüu pai'-eiaimtiue aa twba e cIeis som-braucciiias cujos pelos Iicarampresos no gesso. í\ú,o esquece-mos jamais e^se lamentável es-petâcuio!

Uma meia hora antes, eraainda Paul Veilame que tiniia-mos cUame dos ojaos; agora, naverdade, náo é mais do queum cadáver!

oüêpruüTê Mai J arme retirou-se prülundanien.ie impresso-uaclo. Ele mesmo, como sabe-mos, não devia sobreviver mui-to ao seu amigo.

A multidão dor visitantes re-¦novava sem cessar e a pe-queria sala de jantar cunu-nuava a ser invadida por ami-gos e curiosos tomados de sim-patia. Quase todos uraziain ra-malhetes ou coroas de floresnaturais. A.s cartas, as condo-lèncias oficiais ou particularesafenani de todos os pontos doglobo,

A dolorosa perda que expe-nmtntava a poesia fríincesa en-contvou éco sobretudo na Al-sacia-Lorcna, na Holanda., naBélgica e na Inglaterra; emtodos esses países, sabemos,Verlaine tinha feito, pouco tem-po antes, uma série de brilhan-tes conferências.

Vencidos pela fadiga, aque-les que tinham estado em vi-gília até então, retiram-se pa-ra um quar.o visinho, afim á".descansar um pouco. Outrosamigos, entre os quais Gabrieltie Lautrec, os substituíram.Fui em presença deste últimoe do Léon Verlaine que o corpofoi posto no caixão, na sexta-feira, 10 de janeiro, pouco an-tes da hora fixada para a saí-da do féretro Naquela estaçãudo ano, tínhamos medo que osfunerais do poeta não fossemperturbados pelo mau tempo,nada aconteceu. Nunca sol deinverno mais radioso brilhouem ceu mais puro. Desde oitohoras da manhã, uma multidãoimponente, aumentando semcessar, obstruía a rua Descar-tes. Acabou por extender-se até

o Panthéon. Essa multidão,composta de amigos de admi-í-adores e de cariemos estavaJ roflindamente recolhida e gra-ve; sua atitude nada tinha des-Éfi indiferença e dessa ironiamuitas vezes zombeteira, quese notam nos funerais oficiais

O es'.reito corredor da casarhortuária, com cortinas ne-gras, sem outro ornamento queima grande crua de prata, aci-ma da eca. estava transforma-do em câmara ardente. N*ifalta de lugar mais apropriado,o registro habitual tinha sidoinstalado numa papelaria, embaixo. Quinze páginas dêssfirfegistro foram em breve cober-tas com as assinaturas maisilustres.

,0 ataiítk desapareceu sob um^onda crescente de rosas, lilás,cvavos,'que enfeitavam comsuasfibres os despojos imortais doPi uvre Lélian, como que o en-volvendo num imenso rairHbe-fe. Toda a impressão fúnebredesaparecia: Verlaine já, entra-va na gloria!

Porque, para seus amigos,para seus fiéis. Paul Verlaine,

¦cia), em mandar demolir em meu no- |igí yer. em "pauj Verlaine" de ___________

Em "Amour" Verlai nejã—ü-^—~~Trwí^é, 1907) o texto completo dessessão. c ons a gr ado_jim—e^es»r~ãÕ~3ett jazigo discursos.

tomo o Messias crucificado daPoesia, não estava reauntrudmorto senão nos três lúgubresdias que se escoaram entre omomento em que éle deu o úl-timo suspiro e essa radiosa ma-nha de inverno, que foi, paratodos, o começo de sua apo-teose. (13)

As dez horas e um quarto, oclero de Saint-Étiènne-du-Mont,paróquia de Verlaine, apresen-tou-se e precedeu

caixão ioi deposita-do em um carro de quintaclasse e o cortejo pôs-se emmarcha.

Os cordões mortuários eramlevados por François Coppée,Catulle Mendes, Robert deMontesquieu (14), Edmond Le-pelletier, amigo _de_Jnfáncla—do -

-poeta; e Henry Rojon, diretordas Belas Artes. O Ministro dainstrução Púbica fez-se repre -sentar por M. Wells.

Na ausência de Georges Ver-laine, o acompanhamento fúne-bre era conduzido pelo cunha-do do defunto, o compositorCharles de Sivry; M. ErnestDelahaye, F, A. Cazais e LéonVanier, que seguiam imediata-mente o pequleno grupo dosamigos íntimos: Maurice DuPlessys, Ernest Raynaud, Saint-Georges de Bonhélier, AlbertCornuty, Gustave Ie Rouge,Éduoard Jacquemin.

A amante do poeta, EugénieKraust, tinha tomado umacarruagem, em companhia dasSras. Marie C e Jeanne L.Entre a multidão de poetas,pintores, escultores, artistas delodosos gêneros, muitos nãoconheciam Paul Verlaine, se-não por seus versos; mas qui-seram prestar-lhe uma supre-rr.a homenagem, Desceram dossextos andares de seus prédios,deixaram seus modestos " ate-

liers", com suas amantes po-bremente ves-ridas para sau-diir pela última vez aquele quetinha sido o Villon e o Mussetda geração precedente

Foi no meio de um cortejotriunfal que os restos mortaisdo grande poeta foram trans-portados à Igreja de Saint-Étiènne-du-Mont. As armaçõesria Igreja com o V inicial emprata, decoravam o pórtico,Uma éça tinha sido erguida nomeio da nave. Os degraus doal'.ar estavam cobertos de ta-petes negros; foi celebrada umamissa pelo Pe. Chanes. Theo-dore Dubois e Gabriel' Faurò1(5) tocaram os grandes órgãose o "Pio Jesu" de ifjiedermcyerfoi executado pelo conjunto dosmeninos do coro, sob a dire-

(1G) Quando o cortejo atravessouo caia, não distante do Instituto, Fran-eois Coppée, cansado, .teve de tomaruma carruagem onde se ocupou emler o discurso que devia pronunciar.Foi Stephiine Mallarmé que tomouem seu lugar um doa cordões raortua-

(17) Na avenida de Cliehy, CatulleMendes comprou, de um jornnleiro um

lal da tarde, que se pôs a leratentamente, continuando a segurar~>

negligente o cordão morruá-;sg gesto, atribuído, sem dúvida,

simples distração, produziu en-desagradável impres-

(18) Antes da extensão dua íorti-fícuçõca, esse cemitério: atualmentesituado no território do Clicliy. depen-dia da comunidade dos Batignollea,Era cercado por altos muros de pe-dra. Sombreado de velhos castanheirose cheio, até a primavera, de flores ede pássaros. A dois passos da portaClichv, dá a impressão do um comitê-rio de campo e parece ffelto de propó-sito para o repouso de úm' poeta.A 34 de agosto de 1889, Paul Ver-laine escrevia de Aix-lcs-Roins, àF.-A. Cazais: "Soube rrae enterraramo infelÍB no túmulo de um grande ami-KO.IVílliers 1'Isle-Adam), no cemité-rio des Batignolles, aquele em que te-nho

"o jazien da família, sabes? ene!-

mado do um túmulo portátil — penso,pois fui eu quem teve a idéia, naocasião da morte de meu pai, em1886, e que aproveitaram ila doençaque me prendia no leito, quando damorte d0 minha mãe, em 1SSG, paraorná-lo de um absurdo porta-coroas

parentesis. fazia bem, (sa, de dar

No meio- do recolhimento detodos, o caixão do poeta íotposto na cova, onde já repou-savam seu pai e sua mãe,

Um a um François Coppée,Catulle Mendes, Stéphane Mal-larmé, Edmond Lepelletier,Maurice Barres, Jean Moréase Gustava Kahn tomaram a pa-lavra à beira do túmulo enare-aberto

Os assistentes tinham escuta-do esses elogios fúnebres <Í9»com religiosa atenção e era, haverdade, um espetáculo emocio-na nte ver todos esses jovens,(cabeça

' descoberta e

. duas pri-

Cn grand bloo flc fíris; quatre nomea:Imon pètc

Et -ma mèrn et mui, puis mon íils bien[ tard

Dans Vètroite paix ãu plat''etmitíère.Blanc et tioir et vert, au long du

[ rem-part

Ci-nq tables de grit le tombcau ««.[ /Jiiste,

En vn carté long, hatit ã'un mètre[ et plus,

una chalne entourc et decore jusíc,bua de fauboitrg qui ne jruit plus.

(13) Entre esS3 opulenta massaflorida, notava-se a coroa de "IWer-eure de France" em rosas vermelhase brancas:'a da "Lorraine artiste"com a inscrição: "Nancv pour Metz":a de M. Edmond Lepelletier, em lilásbranco; a de M. de Montesquiou em

palma; a cln "Revi»? Encyclopedique",cm sempre-vivas amarelag; as da"Phimc",, da ítí,'Association frenérnledes Tíf,m1iiints"|- de Irénn Vanier, dos"Admirnteurs ní Amis", da "Sénate",etc; enfim, a colônia inglesa de Parisenviou um soberbo ramo de lilases ede orquídeas .JBjL ,

(1-1) A' snidi'(1a TRre.in. M. de Mnn-#tesquiou cedeu f.cprtezmente seu lugara Maurice Barres.

(15) Era, então, diretor da capelade Madeleine, hoje diretor do Conser-

Koel}

MARCOSLITERÁRIOS

que revelam o elevado

critério editorial da

LIVRARIA DO GLOBO

a partir de 1930 — quando foi

reorganizada em moldes mo-

dernos a Secção Editora — eis

algumas Edições Globo quemarcaram época na história do

movimento editorial brasileiro:

1931Regressando da Guerra

de Erich MariaRemarque

1932Napoleão

de Emil Ludwig1933O falecido Matias Pascal

de Luigi Jr-iianaeuo

1934Contraponto

de Aldous Huxley19^5O Livro de San Michele

de Axel Munthe

1936Os silêncios do Coronel

Bramblede André Maurois

1937A Boa Terra

de Pearl S. Buck1938Olhai os Lírios do

Campode Erico Veríssimo

1939Servidão Humana

de W. SomeraatMaughan

1940Adeus, Mr. Chips

de James Hilton

1941Jean Christophe

de Romain Rolland1942Guerra e Paz

de Leon Tolstoi

1943Os Thibault

de Roger Martindu Gard

1944Poesia e Prosa

(Obras completasde Edgar Alian Poe

eainda este ano:

POESIAS ESCOLHIDASde Paul Verlaine

Uma edição comemorativa do centenário do poeta, comSeleção — Traduções — Prefácio — Notas e Estudos

por Onestaldo de PennafortFarta documentação iconográfica e originais fac-siinilados

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DOM CASMURRO 43

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44 DOM CASMÜRRO

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nas pedras dos Mmulos, saudar,essirn, numa última homena-gem. o poeta a quem tinhamamado.

A êss* recolhimento, aliás, não.se misturavam nenhuma tris-teza, Não tínhamos visto, du-rante o trajeto, adolescentesrecitar com entusiasmo versosdo poeta? . Para Verlaine, quetinha vivido tanto tempo po-bre e desdenhado, que tinha su-portado tantos dissabores e so-

Focalizem outros a persoma-lidade de Paul Verlaine à luz

de um julgamento severo damoral e das leis sociais, que opuseram, tantas vezes, à mar-gem da vida.

írirrientos, a hora das legítl-mas vinganças da glória tinhasoado afinal.

Essa multidão entre todas se-Jeta, tal como o próprio Ver-laine a teria desejado para ho-menagear a alma de seus mor-tos, retirou-se silenciosamente.Todos os corações estavam in-flamados de nobre emulaçãopela Beleza.

Na tarde que morria, os dis-

cípulos, em pequenos grupoa,subiram lentamente a avenidaae Clichy. Os cafés que fica-vam nas vizinhanças do lugarencheram-se de uma multidãoae jovens, que discutiam, como mesmo entusiasmo de aindapouco, naquele quarteirão, ahora e que cercavam Verlaine,e que declamavam com uma es-pécie de orgulho inspirado oamais belos versos do mestre quehavia desaparecido. Era comouma volte momentânea às épo-

cas heróicas do Romantismo odo Parnaso.

Um acontecimento que, nostempos antigos, havia tido a lm-portância de um agouro veioainda aumentar a Impressãoproduzida pela morte do poe-ta. Na noite que se,seguiu &dos seus funerais, a braço daestátua da Poesia, que decorao frontespício da ópera, des-prendeu-se ao mesmo tempoque a lira de ouro que êle sus-tentava e veia cair no chão,

ÍUdeau

Para certocomo Dickens, Verdi, Pranklin,o "cosmos individual" merecee deve ser pssquisado, pois, le-va mdagadores a admirar o es-forço còm~i[Ue -remontaram—àsuperfície da vida, oblendo exi-to depois de sérias lutas. A vi-da deles foi, como uma fontede ensinamento moral. Podeservir de apoio, de consolo, em

situações difíceis. Noutros ca-sos, não psnetrar demais, nãoaprofundar, é piedade que seimpõe. Eqüivale a um ato dejustiça para reconhecermos que,infelizes, conscientes da deca-dência própria, lutaram e so-íreram demais. Assim, Byron,Shelley, Baudelaire e tantos ou-

tros escritores românticos, gran-des postas que. alimentaramideais mais distantes.

A "poesia" na vida, no quepossue de mais eterea e puro,se refletirmos bem, não estará,na maioria dos casos, na poe-sia dos versos?

E nas expansões em que res-saltam marcas autobiográficas, .não é o artista, ainda mais ar-tista quando sabe manifestar,se?

De si mesmo, disse Verlaineter buscado em seus versos alei da "simplicidade, do amorsincero, sem veleidade de seringênuo, a expressão justa, ogrito da paixão, o canto vi-bíante da alma e dos seniá.dos".

E como o conseguiu! Possui-dor que foi de todos os segre-dos e recursos da lingua, da ar-te de versificar! Exímio mala-barista verbal, empregou todosos métodos possíveis — usavacinco, treze sílabas, usava on-ze, usava novamente treze; re-corria a combinações anldgas,desusadas desde séculos. Saíado Parnaso a rir das própriasimperfeições propositadas, si-mulava enfado e também pra-zer.

Lembrava Verlaine, com isto,o músico que desafina um ins.truniento para tirar novas com-binações de som, ou arrebentatodas as cordas, com exceção deuma, à maneira de Paganinl,para patentear virtuosidade, ob-tendo nela maravilhosa orques.tração, em que as demais sealternam e cantam.

Verlaine se explica em artepoética quando diz:

De Ia musique encore et tou-[ jours,

Que ton vers soit Ia chose[ envolée,

Qu'on sent qui fult d'une âme[et alléc

Vers d'autres cleux à d'autres[amours",

"Que ton vers soit Ia bonne[aventure

DOM CASMÜRRO

VERLAINEpõeTãüá delicadeza

exatamente no lugar onde haviapassado, numa verdadeira apo.teose, os despojos mrtais doPaul Verlaine.

Os jornais relataram esse aci-dente na coluna dos acontecl-menos diversos, mas 03 admi-radores do poeta viram nissoum símbolo. A lira de ouro dapoesia francesa não se tinhaquebrado ao mesmo tempo emque se extinguia para semprea voz de Paul Verlaine, o últimogrande lírico do século XIX?

"A melodia é a vida. sensívelda poesia. Nao será pela melo-dia que o conteuuo espiritualde unia poesia, se infiltra, emnossos semiuos? A meioaia deMignon não comunica a inteirastimmiuig sensível do lied?"

O cantante aos versos de Ver-laine tentou compositores exi-gentes. Ocorre-me, ao acaso, osnomes de Debussy, o difícil com-binador de timbres, de fluideaharmônica; Fauré, o delicado;

de T^ãiÜi Magahnos Torres—Reynaldo Halut-

Eparse au vent crispé du ma-[tin,

Qui va fleurant Ia menthe et'tIe thym,

Et tont le reste est littérature.Gaston Rageot disse que Ver-

laine, nos momentos lúcidos,conservava a consciência abso-luta das reações em que se de-batia. Reincidia nas mesmasfaltas — criança grande ougrande delinqüente — mas com

a mesma percepção aguda, comuma inteligência quasi proféti-ca.

Valery define a arte delicadafle Verlaine dizendo que até novicio êle respeitava a força dainvenção suave, a expressão dedoçura, de fervor, de recolhi-

mento terno que ninguém sou-be expressar tão bem. Dissimu-lava, alternando, os recursoscom arte consumada, mes.re desutilezas, até nas produções deaparência mais insignificante.Tomava, por vezes, ares de umaingenuidade quasi infantil.

François Coppée, que foi seuamigo íntimo, disse haver ne-

le: "uma poesia natural, nasci-da, por vezes, de fonte comum;uma poesia, onde os ritmos livrese quebrados, conservam harmo-nia deliciosa, onde as estrofesvolteiam e canjam, como numaronda infantil, em que os ver-sos, que são versos e deliciosos,mais parecem uma doce músi-

ca. E nessa inimitável poesia,

êle conta todas os seus ardo-res, suas faltas, remorsos, to-das as temuras, todos os so-nhos, e patenteia sua alma tãoturva, mas tão ingênua".

Em camblantes de sons, queparecem coloridos, impregnadosde aromas finos ou de emana-ções venenosas, êle vai justlfi-car que os poetas sao aliadosde músicos, pintores, ou comodisse tão bem outro poeta:

"Les parfuns, les couleurs etles sons se repondent".

Goethe que, embora alemão,é tão latino em sentimento efoi, sempre, um encantado damúsica de Beethoven, referin-do-se a seus próprios versos,certa vez, escreveu:

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' Quem não guardará á melo-dia de: B-'ane prison, soir, Man-doiine, Heure exquise, La umeblanche1, Fantoches, Fêtes ga-tentes?...

Prescindindo da música, há deVerlaine muitos versos que nosafloram aos lábios e sabemosde cór, desde o tempo em queas antologias serviam de guiapara preferências.

Quem não terá um dia, aomenos, ao sentir-se detido pelamonotonia da chuva, na ener-vação inútil de uma hora queesperava cheia de prazer, deolhos fitos nos fios dágua queescorrem de uma vidraça, quemnão terá murmurado jaqueieromance sans parole;

II pleut dans mon coeurComme il pleut sur Ia ville,Quelle est cette langueurQui penetre mon coeur?

O bruit doux de Ia plutePar terre et snr les toits!Pour un coeur qui s' ennuleO le enant de Ia pmie!II pleut sans raisonDans ce coeur qui s' ecoeure.Quoi InuIIe tranlson?Ce deuil est sans raison.

Cest bien Ia pire penteDe ne saveir pourquoi

Sans amour et sans haine,Mon coeur a tant de peine!Há ainda uma aquarela deli.

ciosa, a que chamou: Spleen.Les roses étaient toutes rouges

, Et les lierres étaient tous[noirs.

Chère, pour pen que tu te[bouges

Eenaissent tous mes desespoira

La ciei etait trops bluc, trops[doux.

La mer trop verte et l'air trop[tendre

La mer trr.jp verte et 1'ais trop[doux.

Je crains toujours, — ce qú'[est dattendre!

Queloue fuite atroce de vous.

Du houx á Ia feuille vemie,Et du luisant buis je suis Ias

Et de Ia campagne infinieEt de tout, hors de vous, he-

[lãs!

Na arte delicada de PaulVerlaine unamos, pois, o sen-timento, considerando nele opoeta que —" pensava com ocoração!

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'ES AMIE3. Strnrrets par ffl-licencie Pablo de HerlagaesJ!

Edit. origin, m pp. et 4 f,,n. eh. (.able). Titre rouge et

tobir, teste eneadré d'un filetrouge; Tire ã 50 exempl., dont8 pour l'auteur (44 holl.,. 4grand holl., 2 ch.). Ls papierest ¦filigrané-à Ia date de 1862.L'ouvrage porte Ia date de 1868,mais parut fin 1867; il fut con-

. damné par jugement du Tribu-nal de Lilié le 6 mai 1868. II aété fait une contrafaçon de1'édition originais; on Ia recon-nait:. aux vergejures, horiza-n-tales dans 1'original et vertica-les dans Ia contrefaçon; ao motLes du titre LES AMIES, noirdans 1'originale rouge dans l'au-tre; au mot Chine de Ia justif.,c minusc. édit. orig., majusc.ds 1'autre; au inot Balcon, bminusc. orig., majusc. ds 1'autre.1867. Segovie MDCCCLXVIII

_ (Bruxelles Poulet - Malassis).in-16 couv verte muete. épuiséT. R. 8 francs. 500 francs.2.000 francs. (vente Barthou10.000 Fcs.).

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vergé. 2 ff. (faux-titre, titre)et 44 pp. Impr. Hérissey,Evreux. Réiropr. en 1898; 3e.edition en 1912. 27 Févr. 1891.Léon Vanier. in-18 couv. impr.existe réimp, 6 francs. 3 francs.5 francs. 30 francs.

M ;° A' f?c,'"™« «¦ l»d« ™»*s qui interessam pelas edições raras ,le P„l SVelam», a,u. damos pala Bibliófilos um raro documento, com especificai, de VrM ~

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AMOUR. Edit. origin. tirée ã500 ex. et 100 exempl. d'auteur.II a été tlré 50 holl. et 1 japunlque. 1 f. bl., 2 Ií. (ix-titreet titre). l f. fdédié: A monfils Georges Verlaine), 174 p.et 1 f. bl. Imp. E. Capiomontet Cie. Nouv. édit. rev. et aw-ment. 1892. 24 Mars. 1S8S.I-éon Vanier. in-18. couv. urisvert impr, épuisé; existe réimp.3 francs. 35 francs. 200 francs.h. 6 francs. 50 francs. 400 fcs.j. 20 francs. (lOn exrjls. d'au-1 teur— Vente Miohaud, 1935./2.000 Fcs. ~ Japon unique: ven-te Barthou. 7.000 Pcs.).

AMOUR. Edit. revue sur les,textes origin, et acoomoa^néede notes et variantes. Frontis-ipice et ornements graves sur

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bois par Paul Baudier. (Collect.Les Maitres du Livre,) Tire à1.990 exempl. (1.875 vél. deRives, dont 100 h. comm.; 55vél. bleu lavande et 60 gr. vé-Un). 21 Obre 1921. GeorgesCrês. in-18. 190: 130 m/m.couv. impr. épuisé, exis:e réimp.v. 22 francs. prix non indique,60 francs. v. bl. 27.50 francs.prix non indique, 75 íranes. gr.v. 33 francs. prix non indique.125 francs.

BILIO-SONNETS. Poèmesinédits. illustrat. de RichardRanit. Edi'}. orig. 1 f. bl., 2 ff.(fx-titre, titre), 1 f.

' (avant-

riropas d'Adrien Bertrand). 2ff, (préface de Pierre Dauae),66 pp., 2 ff. (table), 1 I. (nom.de 1'imprimeur). Tire à 111exempl. 100 vergé d'Arches, 5jap. rouge, 5 jap. imp. et 1vél). II a été tire, en outre, 20vjeux jap. pour Ia Société desXX. Impr. E. Paillart. .1913.H. Floury. petit in-4 couv.beige impr. épuisé rare, . 80francs. 80 francs. 150" francs.(1 expl. janon rouge — ventePerroit, 2.500 Fcs.).

BONHEUR. Edit. orig. 2 ff.(fv-titre. ti'ire) et 120 tro. II aété tire 55 ex. sur holl. Imp.Capiomont. (Comnris ds OEU-VRES COMPLaTES. T. 11), 9Juin 1891. Léon Vanier. lnllScouv. jaune impr. épuisé. 3.50francs/ 25 francs. 100 francs.h. 7 francs. 100 francs. 700francs.

BONHEUR. Nouv. édit. aus-mentée et en nartte orteinale.Imnr. Ch. Hérissgy, Evreuximt. Léon Vanier. in-18.existe réimp. 7 francs. 3.50francs. 5 francs. 35 franrs.

LA BONNE CHANSON. Edit.oriein. 1 f. bl., 2 ff. (fx-tltreet titre), 38 pp. et 2 f. n. ,ch.(ach. d'impr. et bl.). Tlré .1560 ex. et 10 ch., 10 whatm.,20 holl. Impr. L. Toinon,Saint-Germain. (Compris dans-OEUVRES COMPLETES, To-me 1). 3 Dbre. 1870. AlphohseLemerre MDCCCLXX. petit in-12 couv. creme, épuisé rare,

2 francs. 75 franc. 400 francs,c. lo francs, prix non indique.Prix non indique, w. 8 francs.200 francs. 2.000 francs. h. ifrancs. 200 francs. 2.000 fcs.

LA BONNE CHANSON. Poé-sies, 2e. édit. tirée sur papier

EiANSON. IliUS-trations (cn couleurs) de PaulGuignebault. 97 pp. Tire à 550exemp. (50 jap., tirage ã partdes illustrations et 500 vélin decuve). Imp. Durand. 1914. Al-bert M^ssein. gr. in-8 couv.impr. épuisé v. 40 francs. prixnon indique. 10o francs. J. 90francs. prix non indique. 300fraiiL^s.

CHAIR. (Dernières Poésies).Prontispioe inédit de FélicienRops. Edit. orig. 42 pp. (ycompris fx-titre et titre rougeet noir) et 1 f. n. ch. (nomde 1'impr.). Tire à 1,000 ex.sur vélin. II a été tire, en ou-tre, 12 japon aven trjple épreu-

ve du frontisrjice. Imrjrim. J.Rover, Annonay. Publié inté-gralemènt dans le numero deLA PLTJME DTJ l-?8 fév. 1396.(comnr. ds OETJVR,ES COM-

PLÈTES, Tome III). 1896. Bi-b'iothènue Artistique et Litte-raire, in-16 carré couv. creme,imjor. épuisé. 2 francs. 25francs. 200 francs. 6 francs.150 francs. 1.000 francs.

CHANSONS POUR ELLE.Edit. origin. sur papier vergé,2 ff, (faux-titre, titre), et 52

PP. II a été tire quelq, exemp.sur holl. et sur japon (ceux-ciavec couv. bleue). Impr. Ch.Hérissey. Evreux. (Compris dsOEUVRES COMPl^ÊTES, Tb-me II.). 26 Dbre. 1891.'LéonVanier. in-18 couv. rose Imprexiste réhnrj. 7." 3 francs 40francs. 250 francs. h. 6 francs.150 francs. ÊO0 francs.

CHOIX DE POESIES. Avecun portr. de 1'auteur par Eu-gene Carrière. Edit. en partteoritin. (pour les deux pièees deEonheur) et Ire. édit. collecti.ve. 2 ff. (fx-titre. tit.) et 360nn. portrait hors-texte de Ver-laine' par Carrière. en hélio- -gravura. II a été tire 10 jap.et 25 holl. Dans oes exempl.,le portr. de Verlaine est tlrésnr vélin rose glacé. Impr.Charaire, a Sceaux. Premiertiraqe à 1,500 exempl. L° 9Janvier 1896, au cours de rim-pression du'sixième mille, unepréface de François Copnée (IVpo.) fut ajoutèe au volume;elle a été maintenue ds les ti-rages ultérieurs. U8e. mille en1925. 30 Mai 1891. Charpen-ier-Fasquelle. in-18 couv.

"jauneimpr. existe réimp. 8.50. 3,50francs. 20 francs. 100 francs.h. 7 francs. 100 francs. 600francs. 500 francs. 35 francs

1.000 ffranes.

CONFESSIONS. Notes auto-biographiques. Portrait par An-quetln, Edit. orig. 246 pp (ycompr, le fx-tire et le titre),2,ff. n. ch. (table) et 1 f. n.ch. (annonces et achevé d'im-primei). II a été tlré 30 holl.Impr. Albert Tan Veldhuys, Cevol., édité par LE FIN DE

DOM CASMÜRRO

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SERMOENSD O

P. ANTÔNIO VIEIRA'DA COMPAMHIADE IESV,

Pregador de Sua Alteza.

PRIMEYRA PARTED Ê D 1 C A D A

AO príncipe,ns-

kí^BíEM LISBOA.

NaOfficinade Ioam da Costa.

M. DC. LXXIX."' ComtodtKssUctnçasy&PwilegittKtd.

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Vu R A' É'f MSIft J CE'L BBBrBKÍinl

P À N TO, N I V 1 H Y R A ,i Ji/ritr tJuu.IufttMuwrum 'Jiiamn. (fttcuuMíi/ri, ei.CoiiuonHtomm Jritu:tfiHJ,,,.„» IM J-JÍM,. m^rVU,,,^ Xu/tlw,* Jiu.tua . ílraj.l.» (Jbyt í3«*.«3>,vr ,.,„.Jn^. 00,. .J ^A.jtjl^.j*.!.. n],»C,ll,M 'Atty

Ctuui um fito uii JtfUilu*_'«yucnt$imt> Uri»' cuiuartu.ww.erbi* àfí no,—.

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¦DOM CASMURRO 47

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SIECLE, Journal ou les chapi-três de CONFESSIONS paru-rent en partie en 1894, e étémis en vente chez Vanier.(Compris dans OEUVRES COM-PLETES, Tome V). 1895. Pu-blication du Fin de Siècle, 59,rue de Provence. in-18 couv.jaune impr. épuisé. 3.50 franes,30 franos. 100 franes. 2. 20franes. 100 franos. 800 franes.(Vente Delarue Mardrus, 2,500íranes).

CONFESSIONS, par PaulVerlaine. IUustratlons de P. A.Cazais. Nouvelle édition tiréeà 1.000 exempl. sur vélin d'An-goulème et 6 jap. 269 pp. etfig. Titre rouge et noir. Portr.d'apr. Carjat sur la eouv. Impr.Boyer. Annonay (Ardèche). s.4. 1899. Blbliobhèque Artisti-que et Littéraire, 31, rue Bona-parte, tn-16 couv. biche impr-épuisé. 3.50 franes. 5 franes.35 fraes. j. 20 franes. 60 franes.200 franes.

CORRESPONDANCE ET DO-CUMENTS INÉDITS RELA-TIPS A SON LIVRE "QUINZEJOTJRS.EJtJBOLI,ANDE,*-.-AfCC'"une

íèttre de Stéohane Mallar-_mé_el_jiri_poríTalt-de-'VeTlsiriè

écrivant, d'anrès la pofnte sé-che de Ph. Zilcxen sur un cro-quis de J. Toorop. Edit. orig.S ff. (fx-titre et titre), 2 rf.(avertissement et lettre de SW-phane Mallarmé). 84 paçes.(Voir Addenda). 1897. La Haye-Paris. Maison Blok, Prinses-traat, Floury. Boulevard desCaouclnes. in-8 couv. griseimpr. rouge. émiisé. 3.50 franes.5 franes. 50 franes.

CORRE SPONDANCE DEPAUL VERLAINE. Publlée surles manuscrita originaux. Avec«ne préface et des notes tjsxAd. Van Bever. Tome 1. LET-TRÊS A EDMOND LEPELLE-TTER, LÉON VALADE, A.POÜLCT-Mfl.LASSIS ET EMI-LE BLÉMONT. Edit. orfcrtn.panter alfa. XVI tro. (fx-titre,titre et préface), 335 pp. et 1 I.n. ch. (ach. d'lmrDr.), n a été«ré 15 Jap. Impér.. 25 holl.Van Gelder et (souscrits) 30vel. de Rives). tous numér. Im-primerie Busslère. à St.-Am»nd.I/ouvraee comprendra 3 volu-mies. 26 Mai. 1922. petit in-8rcouv. chamois impr. existe 9.".

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CORRESPONDANCE. TomeH. LETTRES A EMILE BUS-MONT (suite). USON VANIER,ALBERT SAVINE, AUX CHK-RES AMIES, Edit. origin. 2 ff.<fx-titre, et titre), 361 pp. et1 f. n. ch. (ach. d'im*pr.). Ba été tlré 15 jap. imp., 25 holl.Van Gelder et (souscrits) 39vél. de Rives), tous num. Imp.Busslère, St.-Amand. 1923. Al-bert Messetn. petit ln-8 couv.chamois Impr. existe 9.". 9franes. prix non indlaué. 9franes. j. 88 franes. prix nonindlaué. 290 franes. h. 44franes. prix non indique. 100franes.

DANS LES LTWBES. Portr.de rauteur. Edit. wig. 2 ff.(liste des oauvres de 1'auteur,fx-titre, justifícat. du tiraçe deluxe), 1 f. (portrait de Verlai-ne par Ladlslas Lo^vy), 1 f.(titre), 2 pp. (préface), 45 pp.et 1 f. n. ch. (table). n a ététire 20 jap. numer. avec plèceauto^r. de rauteur et 2 por-traits dlfférents ajoutés. Imp.Hérissey. Evreux. (Çomp. OEU-VKES COMPLETES, T. HI).21 Avrll 1894. Léon Vanier,6n-18 couv. crente impr. épui-sé existe réünp. 6.". 3 franes.10 franes. 100 franes. j. 1Círanes 600 franes, 35 frpn^s

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LA DECORATION ET L'ARtINDUSTItlEL A LEXPOS1-TION DE 1889 — Edit. orig. U-rée à 30 exempl. non mis ds lecomm. 7 pp, ly compris le ti-tre), et 1 f. n. oh. (nom de

limprim. et mention: "Extraitde 1'ARTISTH, novemb. 189ü.Tire à trente exemplaires").Typographie Edmond Mon-noyer, Le Mans (Sarthe), 1890.Signé Paul Verlaine, page 7.27 Juin 1891. Sans nom de lieuni d'éditeur, gr. in-8 sans cou.épuisé T. R. prix non indique.CO franes. 150 franes 'Vten-te Delarue Mardrus, 1.50C Pcs.).

DÉDICACES. Poèmes. Por.tralt de L'auteur par P. A. Ca-zals grave par .Maurice Baud.Edit. en partie origin. 90 pp.(y compris fx-titre et lf., n.ch. portant le nom de 1'inípci-meur). Portrait de Verlaine entênue d'hopital tlré sur chine.Tire a 350 exempl. sur pur fil(1 à 50 paraphés par rauteur,aocompagnés d'une épreuve a-vant la lettre du portrait etavec le nom du souscripteurimprime (20 f); 51 a 100 para-

jShés_parTauteur (5 f), et 260«cTõrdThãlresVr-Lee-fix- de luxe

_ont la-couv; blanché. les exemplordin. Meu clair. Impr. J. Ro-yen*. Annonav. (Ovmnris dsOEUVRES COMPLETES. Tc-IKffll. 7 Juin 1890. Bibllo-thèoue BTtistique et LittéraireMDOCCXC. in-16 couv. inror.énuisé. 3 franes. 40 franes. 200franes. (Vente Perroit - 2.500

DÉDICACES. Nouvelle éditiontrês augmentée (comprenant103 pièees et 4 ballades), Edit.en partie orig. 238 pp. II a ététire 55 holl. num avec (Uneplèce autographe de 1'auteurtirée du manuscrit. Impr. Char.les Hérissey. Evreux. 17 Nobre.1894. Léon Vanier. in-16 ooüv.impr. épuisé existe réimp. 7.".3.50 franes. 5 franes. 40 franesh. 6 franes. 35 franes. 150franes.

ELÊGIES. Ed. or. 1 f. bl.,fl. (fx-titre et tit.), 53 pp.

et 1 f. n. ch. (table). II a etétire 15 jap. niunèr. contenantune plèce autographe de Ver-laine et souscrits par la librai-rie Conquet. Impr. Cb, Hé-rissey, Evreux. (Compris dansOEUVRES COMPLETES, TomoIII). 5 Mal 1893. Léon Vanier.in-18 couv. rose impr. épuisé

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EPIGRAMMES. Avec unfrontispice de F. A. Cazais.Edit. orig. tirée a 1.050 exempl.(20 jap. impér., 15 ch. 15 holl.et 1.000 vél. d'Angoulème)."Cette édition ne será jamaisrélmprimée" 78 pp. (y comprisle fx-titre et le titre rouge etnoir) et 1 f. n. ch. (nom de1'imprimeur). Portrait hora-texte. Imprimerie J. Royer,Annonay. (Compris dansOEUVRES COMPLETES, Tpmem.) 15 Dbre 189a. Biblo.theque Artistique et Littéraire,31, rue Boiiaparoe. in-16 correcouv. creme impr. épuisé. 3.50franes. 45 franes. 35o franes.j. 20 franes. 250 franes. 1.000franes. c. 15 franes. 125franes. 600 franes. h. 10franes. 10o franca. 50o franes.

FEMMES Edit. orig. tiréesur pap. vergé & 175 ex. num.de 1 & 150 et à 25 Jap. mor-quês de A Z. 68 pp. (y compr.le fx-titre et Ie titre), 1 f. (Mo-rale en raccourci) et 1 f. (ta-ble) Sans nom d'inrpr. Couvert,vert d'eau, papier moiré im-prlm. (Cet ouvrage, qui con-tient 17 pièees libres, n'a pasété recueiUi,-. dons les OEU-VKES COMPLETES). D a étéfait quelques réimpressionsclandestines: une en 1890 ti-rée a 600 exempl. sur holl.;une en 1890 tirée i 500 exempl

sur holl' une en 1917 ornée de31 gravures sur bois en ca-maieu tirée à 276 exemplaires,dont 265 vélin de hollande, IIvieux japon. 1890. Imprimesous le manteau et ne se vendnulle part. petit in -4couv. Impr.épuisé. prix non indique, prixnon indique. 25o franes. édit.1890. 15o franes. édit. 1917,500 franes. (vent Barthou 1.500Pcs.).

FÊTES GALANTES. Edit. ori-gin. tirée a 350 exempl. surpap. vergé fort plus 10 ex. surpap. de chine. 2 ff. blancs.Boition puonee aux irais de1'auteur. Impr. L. Toinon etCie, St-Germain. Ach. dlmpr.le 20 février 1869. (Comprisdans OEUVRES COMPLETES,Tome I). 10 Juil 1869. Alphon-se Lemerre, passage Choiseul,47 MDCCCLXIX. petit in-12couv. chamois clair impr. épui-sé T. R. 2 franes. 75 franes.60o franes. c. Io franes. 600franes. 4.000 franes.

FÊTES GALANTES. 2e édit.fí. bl., 2 ff. (fx-tit., tit.), 54

pp. et 1 f. n. ch. (ach. dlrnp.plus 100 ex. d'auteur. Impr PaulSchmidt.Ann. BIBLIOORAPHIE DE LAFRANCE 15 Janv. 1887. 31

Dbre. 1886. Léon Vanier ln-12couv. parchemin impr. épuiséexiste réimp. 6.". 3 franos. 35franes. 50 franes.

FÊTES GALANTES. Ornéesde 6a aessins par a. Giraramgraves sur dois par les nwm-bres de la Societe artistique auLivre iUustre. 109 pp. et fig.Tire à 2âü exempi. numer.le: 105 exempl. ae luxe reim.

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etats des eaux-fortes eb 1tirage à part sur chine desen-têtes et culs-de- lampe,num. de I & XII. Imp. parla Semeuse en f euilles sous dou-ble couverture rempliée. 1913.Librairie des Amateurs F. Fer-roud. in-8 couv. 111, épuisé. v.60 franes. 50 franes. 150 franes.4 ét. 250 franes. 250 franes.500 franes. 3 ét. 1S0 franes,

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SAGESSE. Nouvelle editionrevue et corrigée. 2e. edition en

partie origin. tirée probable-ment à ÜÜJ exempl., dont 11)0d'auteur. 2íf. n. cn. (ix-titreet titre), 1 f. (A ia Memoirede ma Mtíref, 11 pp. tpi-üittüü)133 pp. (texte et table). Dansestile réimpTession, ls po^uieChevaux de Bois a été suppri-me et rüiiipiacu par ciulLv p.u-ces nouvelles, XVII et XVIII,pp. 122-124. Ann. BIBLIOGRA-PHIE DE LA FRANCE, 19 oct.1889. Imp. Hérissey. Evreux.3e, édit. revue et corrigée, 18á'3,11-139 pp.; 4e. édit. 1896, impr.Hérissey, 5e. édit. 1899, imp.Bucloz. Aot. 1889. Leon Va-nier. in-18 couv. beige impr. ¦épuisé existe réimp. 7.", s.50francs. 15 francs, 50 íraiics.

SAGESSE. Ectltion revue surles manuscrits de 1'auteur, pré-cédée d'un avertissement etsuivie de notes et de varian-tes, recuieillies par Ad. VanBever. Portrait de 1'auteur des-siné et grave sur bois mêmesur vieux japon. Fac-similéd'un manuscrit de Sagesse (5pp.), (Coll. Les Maítres du Li-vre, 2e, vol.) XVIII pp. (aver-tissement de 1'éditeur et pré-face de l'au'eur) et 212 pp. Ti-ré à 680 exempl. numér. (440format in-18 (190:130). sur ,ver-gé fceinté d'Arches, 220' formatin-18 soleil (194:134) papierblanc fort et 20 jap. impér).Imp. Ph. Renouard. 2 ,'Juin1911. Georges Crês & Cie. in-18. 19O-130m/m couv. imp.épuisé. verg, 7.50 francs. 15francs. 200 francs. p. bl. 9francs. 25 francs. 250 francs.j. 20 francs. 75 francs. 300francs.

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SAGESSE. Poesies. Tire á1.600 ex. numér. sur vél. blancdu Marais. Impr. Brodard, Cou-Ioi*mi»rs. 17 Jvier 1923. , Cal-

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21 mais 1891, (Reprise à 1'0-p^ra-Comique, avec musique deMEix d'01onn-!?, le 3 nov 189 3, età 1'Odeon, jour de Tinaugura-tion du monument de Verlai-ne, le 28 'mai 1911, Ire -édit.separes remaniée tí'uiie pièceparue dans Jadis et ivjaguèrs'36 pp. (y compr. fx-titre et ti-tre).. Impr. Hérissey, Evreux,.Uns nouvelle edition parutcheaMíssein, en 1923. Impr. Bus-sière. 20 Juin 1891. Léon Va-nier. in-18 couv. gris clairimpjr. épuisé. 2 francs. 2 fcs.50 francs. (Catalogue "Librai-ris Thea'rale-Pcí\ Théatre Fran-cais — 1913 : 1.500 Fcs,)

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OEUVRES FOSTHUMES DEPAUL VERLAINE

' 1. VEÍ1S

DE JETJNESSE VARIA, PARAtLLELEMiENT (Additions), DE-DICACEíS (Additions), SOU-VENIRS, HISTOIRES COMMEÇA. Tex'-.e définitif collationnésur ,les originaux. 2 ff... (fx^-ti-tre ét titre)., '408 pp., 1 fl.(ach.' d'impr. II a été tire 10holl. num. imp. Bussière, St.Amand. Une réimpression parut,en 1913, en mème temps quele Tome II. 1911. Léon Va-nier éditeur A. Messein, suecr.MCMIII. oetit in-8 couv. biche. 'impr, épuisé existe réimp. 12."6 francs. 6 francs. 15 francs.h. 2o francs.OEUVRES POSTHUMES DE

PAUL VERLAINE II. CHAR-LES BAUDELAIRE, VOYAGEEN FRANCE PAR UN PRAN,CAIS, SOUVENÍRS ET PRO-MENADES, QUELQUES VERS'INÊDIT3,

CRITIQUES- ETCONFÉRENCES, DESSINS DEPAUL VERLAINE. Edit. pres-que entièrement origin, 2. ff.(fx-titrè, titre) et 432 pp. II

a été tlré io jap. et 25 holl.num. . Impr.. Bussière, Saint-Amand, le 23 mai 1913. Desexempl. de l'édit. origin. por-tam Ia daie de 1913 ont êtâimprimes par J: Dardaillon, àSaint-Denis. 1913. Albert Mes-sein, éditeur, sucesseur de LéonVanier. petit in-8 couv. biche

impr. épuisé existe réimp. 12.".6 francs, 6 francs. 30 francs,.j. 25 francs. h. 20 francs. -(Ossdeux récueils sont três incom-plets et d'inexplicables lacuness'y rema.rquent avec des inad-vertances süigulières et de nom-bn^uses inr.orrcctions. .Voir àce sujet Ia critique de M. Fran-çois Montei, BTJLLET. DU EI-BLIOPHILE, 1 nov. 1924. p.515-517).'

OEUVRES COMPLETES DEPAUL VERLAINE, Edit, orig.colltctivü, 5 vol. sur pap. v^r-gé. TOME 1 (oct. 18U8Í: Poè-mes Saturniens, Fêtes Galan-tes, La Bonne Chanson, Sa-gesse, Jaüis e^ Naguer^, 211.ux-titru eú titre), lf. (secondí'x-titre) et 432 pp. — TOMEII (févr: 1899): Amour, Bon-heur, Paralièlement, Chansonspour Elle, Liturgies intimes.Odes en son honnsur. 2ff. (fauxtitre, titre) et 448 pp. — TO-ME III (ozt. 18:j9): Elegies,Dans les Limbss,

'.Dedicases,

Epigrammes, Invectives, Chair.2 ff. (fx-titre, titre)'et 451 pp.TOME IV (févr. 1900): LesPoèmes Maudits, Louise Le-tíiercq, Les Mémoires d'un Veuf,Mes Hôpitaux, Mes Prisons. 2ff. (fx-titre, titre) et 454 pp.TOME V (oct. 1901): Confes-sions, Quinze jours en Hollan-de. Les Hommes d'a'ujourd'hui.2 ff; (fx-':.iti-e, titre) et 486 pp.Impr. Charles Hérissey, àEvreux. 2e. éd. impr. Daslis,Tours. 1898. 1899. 1900. 1901.Léon Vanier, petit in-8 couv.creme impr. épuisé 6 francs.5o francs. 100 francs. le vol.épuisé. 6 francs. . le vol. 50francs le 6 vol. 100 francs le6 vol-, (Cette éditiuii t;sl"ifí^~suffisante et souvent fautive(Ad. Van Bever et MauriceMonda). L'édition est três in-oorrec'S; les coquilles y sontnombreuses et aussi ies inad-vertance (François Montei).

OEUVRES COMPLETES DEPAUL VERLAINE. Nouv. édit.revue et corrigée. Texte défi-nitif collationné sur les origi-naux et sur les premières édi-tions. Avertissement de Char-les Morioe. 5 vol. pap. vergé(Même diapoaition .que dansl'édit. precedente; le texte tou-tetois a été, revu et 1'ordrechronologique a été adoptépoi:r les récueils)).. TOME I(avril, 1911); Poèmes Satur-niens, Fétes Galanues, La Bon-ne Chanson, Rom&nces sans.paroles, Sagesse, Jadis et Na-guère — TOME II (juin 1911):Amour, Parallèlement, Bonheur,Chansons pour Elle, Liturgiesintimes, Odes en son honneur,TOME III (nov. 1911): Ele-gies, Dans les Limbes, Dedica-ces, Epigrammes, Chair, Invec-tives. — TOME IV (juin 1912):Les Poetes Maudits,' Louise Le-clercq, Les Mémoires d'un Veuf,Mes Hôpitaux, Mes. Prisons. —TOME V (déc. 1912): Confes-sions, Quinze jours en Hollan-de, Les Hommes d'aujourd'hui.Jmpr. Btissière, St-Amand, 1911-1912. Albert Messein, sucees-

seiir de Léon Vanier. petit iri-í- couv. creme impr. existe ré-imp. 12.". le vol. 6 francs. levol. 36 franos les 6 vol. 75francs les 6 vol.

FÉTES GALANTES. Avec 31lithographies origin, de Charleset doble suite. (Devait paraítreen octobre 1914). Impr. Na-tionate. 1919. Eiiitions á'AriÜdo-usrd Pelletan R. H;ellsu.in-4 couv. impr. épuisé rare.v. 70 francs. prix non indique.600 ffranes. v. j. 375 francs.prix non indique. 2.000. francs.

FÊTES GALANTES. (Coll.Les Manuscri.s des Maítres),Repròduct, en; taille-douce dumanuscrit original ãVec unportr. grave 'd'aprés-Fa.niin-Latour. Avertissement àVEr-nestDelahaye. Tire à 49 exempl.sur jap. et 950 sur vél., tousnum. 23 Avril 1920. AlbertMessein, in-8 couv. impr. épui-sé. 30 francs. prix non indi-qué. 75 francs. j. 80 francs.prix non indique. 200 francs.

FfiTES GALANTES. LithO-graphies en couleurs originalespar Serge de Solomko. (Coll.Bibliothèque de Conteurs' etPoèl/Ss, n.° 16). Tire à 1.500exempl. num. (30 jap. imp.,avec 4 cta'.s des lithogTaphicsei; mie aquarellie orig,, 70 jarjimp., 3 états; 200 vél. d'Ar-ches, 2 états, et 1.200 vél. dehojl. teinté) plus 125 -?xr;üipl.num. réimposés petit in-8 iivec4 états. Juin 1925. Librairiedes Amat^urs F. Ferrond ni-16 couv. ill. exisle. v. 55 francsprix non indique, 55 francs.in-8. 335 frsncs. prix non in-dique. 335 francs.

"HOMBRES" ffMmmes) Edit.orig. 2 ff (fx-titre et titre). 44pp., 2 ff. (table) et lf. blanc.Tire à 25 jap. impér, et 500hoJl. Couv. marron. impr. vert.(poèmes fort libres). 1904. Im-prime sous le manteau eD hr sevend nulle part (Ed. .Messein).peti$ in-8 couv. impr. rouisérare. prix non indique. 60 fcs.250 francs. (vente Mathieu-Lr;Fortelle: 2.500 Fcs.)

"HOMBRES" (rlommes). 56pp. Tire sur pur. fil à trois fois69 exempl. num. Imorimé àStamboul. sous le manteau duca^f" Mahomet. 1'annêe de l'Hé-gire 1327. nar 1-es soins de l'eu-nuque Salik Aeà. Ne se vend.nulle part. 19P4. Bo'tega doFoff-ia. Milano. in-8 couv. im-pr. énuisé. 45 lires. prix nonindique. 45 lires.

LINVECTIVES. (Foemes) Edit.orista. lf. bl., l f. (fx-titreau verso jus'.. du tirage de lu-

^xet^l f. bl., 1 f. (titre), 155pp. et 1 p. n. ch. (annoncedes oeuvres de Verlaine). II aété tire 71 holl. numér. avecpièce autographe de l'aubeur.Impr. Hérissey, Evreux. (ComprOEUVRES COMPLETES. To-me III). 1896. Léon Vanier. in-18 couv. chamois impr. épuiséexiste réimp. 7.50 francs. 3.50francs. 15 francs. 10t franr*s.h. 10 francs. 5o francs. 300francs.

JADIS ET NAGUÉRE. (Poé-sies). Frix; 3 francs. Edit. ori-gin. tirée à 50o exempl. 159pp. (y compr. fx-titre, titre et1 p. n. ch. d'ach. d'impr. (30noí. 1884) et de justificai, detirage). Imprim. Léo Treze-nick. (Compr. ds OEUVRESCOMPLETES, Tome I) Le ti-tre primitif du recueil devaitêtre. Poèmes de Jadis et de Na-guère. Cest le der, livre de versde Verlaine édité chez Vanier.Ann. BIBLIOGRAPHIE le 3janv. 1885. comme ayant parule 12 déc. 1884. 12 Dbre 1884.Léon Vanier. in-18 couv. bleuazur impr. marron. épuisé ra-re. 3 francs. 40 francs. 200francs, (Vente Barthou; 4.500Fcs.)

JAE-IS ET NAGUÉRE. Nou-velle edition. Edit. en partieorig, tirée à 1.000 exempi. surpap. vergé plus 10o exempl.d'auteur. 2 tf. (fx-titre et ti-tre) 159 ppt et 1 p. n.' ch. Im-pr. Cn. hérissey. Evreux. Ré-impr. en 1903'. Impr. Deslls, ilTours. 1891, Léon Vanier. in-18 couv. impr. épuisé exis.eréimp. 6.". 3 francs, 5 francs.20 francs.

JADIS ET NAGUÉRE. Edi-tion revue sur les textes origi-'naux et aceompagnée de noteset variantes (par Ad. Van Be-ver). Prontisp. grave sur boispar Paul Baudier. (Coll. LesMaitrep du Livre, 83), 204 pp.et fig. Tire à 1.000 exempl. nu-mer. eo gr. vél., dont 6 h.comm.; 55 vél. de. Rives bleu,dont 3 hors comm.; et l.a75Rives, dont 100 h. comm.) Or-nemeruü grav. sur bois parP.-E. Vibert. Impr. par Cou-louma, à Argenteuil. 17 Juin1921. Georges Crês & cie.MCMXXI. ta-18. 130:í90m|mcouv. impr, épuisé. 20 francs.prix non indique. 80 francs. R.bl. 27,50 francs. prix non in-dique. 100 francs. gr. v. 33francs. prix non indique. 150

francs.

1(60 ¦DOM- CASMVRRO

Page 49: MATE DOM CASMÜRRO - memoria.bn.brmemoria.bn.br/pdf/095605/per095605_1944_00365.pdf · Quando, no dia 30 de irar-ço de 1644, às nove horas da noite, na cidade de Metz, no np 2 da

LITURGIES INTIMES (Mars1892). Poèsies. Por..rait de Pm]Verlaine par L. Hayet. Edit.orig. 2 ff, (fx-titre, titre), 31PP- et portr. hors-texte. Pu-bliée par souscrip.lon ã 375exempl. (50 jap, à 20 et 325vélin a 3 f). Typ. Plon-Nour-nt. La couv. creme comporteun dessin de Cazals pour lesjap, (Compris oeuvres com-MATES, Tome II). i6 Avril1892. , Bibliothèque du Saint-Graal, rue de I'Abbé-cle.l'Ep32.in-18 oouv. impr. épuisé rare.3 francs. 25 francs. 1.250 francaj. 20 francs. 100 franca. 600francs. (vente Delarue Mai-drus: 2.500 Fcs.)

LITUKGIES INTIMES. 2eédit. (en partie orig.) tirée à600 ex. .environ, 2 ff. bl.. 2 ff.(fx-titre et titre). 54 pp, lf ri.ch. (-able) et 2 ff. bíancs. 1893Léon Vanier. in-13 couv. jauneImpr. épuisé existe réimp.6-". 3 francs. 10 francs. 50francs.

LOUISE LECLEEC PoTEAU. PIERRE DÜCHATE-LET. MADAME AÜBIN -(un

acte). (Fros:s). Edit. orig. tiiéà 1,000 exempl. plus 100 _ed'aubeur et 22 holl. 2 ff. (faux-titre et titre). 116 pp. if. bl.Imp, Louis Boyer et Cie. As-mières. (Compris dans OEU-VRES COMPLETES, Tome IV-Nbre 1886. Léon Vanier, in-18couv. gris beige impr. épuisé.3 francs. 5 francs. 50 francs.h„8 francs. 35 francs. 200 fcs.

LES MEMOIKES D'UN VEUFíFrose.) Edit. origin. tires à1.000 ex. plus 100 ex. d'auteuret 22 holl. 2 ff. (faux-titre, ti-tre) et 224 pp. Impr. L. Boyerei Cie. Asmeres. (Compris dansOEUVRES COMPLETES, To-me IV). Nbre 1886. Léon Va-nier, in-18 couv, gris beigeimpr. épuisé. 3 francs. 5 fcs.50 francs, h. 8 francs. 35 fcs.200 francs.

MES HoPITAUX. (Prose).Portrait de Verlaine par A. F.Cazals avec ,fac-simile d'auto-graphe tire en sanguine, hors-texte. Edit. orig. 2 ff, (fx-ti-tre, et titre), 74 pp. et lf. n. -.ch. (table). II a été tiro qq.

'holl. (Compr. OEUVRES-COMPLETES, Tome IV). 29Avril 1893. Léon Vanier. in-'

18 couv, gris clair impr. épui-se existe réimp. 6.". 3 francs20 francs. 150 francs, li.6 fcs.50 francs. 300 francs. (ed. orig.vente Perroit; 2.50o Fcs.)

ODES EN SON HONNEUB.(Poèsis). Edit. orig. lf. bi.,'2 lf. ux-tiu-ü et sare), 64 pp.et if. n. cn. uaDie;. li a coatire au jap. _m_am cjiiíwlui

Mme pio^ auLosift^ie uc i«i-Uur tüouscrjus par ia. HorairisC0ü4ue.y. imputa.. un. tiens-sty, Jijvreux. luoinpns utuaOuü v-tu^o OOMri_xtàà, To-me 11). « Mai itsy.s. u_n Va-íUíír, in-ib couv. crt;iiW unyr.épuisé existe reimp. tir, 0 mu.1U íranes. 100- íranes. j. prixnon indique. 75 íranes. uuüÍranes.

OMS Hi SON HONNEUR.Avec m.s vignettes de Carleglegrav. sur bois. Ire edit, lllus-tree, 72 pp. et lf. n. ch. (acne-"ve ü'imipr.) Tire ã 49ú exempl.numér. (15 jap. ã Ia forme,dble suite sur jap. et, _;, -tuvél. d'Arches, suite ch.;' 435vél. d'Arclies.) Impr. Pichon,1921. Chez rimprimeur LnonPichon MCMXXI. in-8 Jesuscouv. impr, épuisé. v. 80 fres.prix non indique. 150 franuf,.v,s. 15o francs. prix non in- ¦clique. 400 francs. j. 300 íres,prix non indique. 1000 francs.

ODES EN SON HONNEUlt.(Coll. Lss Manuscrits des (Jiiefs-d'Oeuvres.) Reconstitutioiindele üu poeme ecnt par Vwr-laine penaant son sejour ã l'hè-pitai Broussais sur les papiers ies'plus étranges: imprimes jaunisde TAssis&ence puoiique, versode lettres d'amis ou de fournis-seurs et mème d'un pniuma.i-que et d'un lettre de fáire-part.Chaque papier a été reproduitscrupuleusement, ainsi que tousles tons des encres. Ce pre-çieux docum-ent littéraire con-tient des variantes et toutes lesretouches. Execute par les ate-liers Daniel Jacomei. Le tira-ge unique a été limite à 200exempl. numer. sur papieridentiriue à celui de 1'original.3 Avril 1925. Editions Excel-sicr, 42, Boulevard Raspail. in-8carré étui. épuisé. 225 francs.prix non indique, prix non in-dique. (En vente chez "Le Li-vr,B rare" — 2 St. AugUstin —Catalogue 1931 -^ 1 vol. 3.500Fcs.). ,

LES PLUS BELLES POÈSIESDE TAUL VERLAINE. Avecune préface de Paul Tuffrau etun portrait de Verlaine enfrontispice, poite sèche origin.par Edgar Chahine, 384 pp.Tire a 1.53o exempl. num.(100 jap. impér, réimposésin-16 gr. Jesus, 3 épreuves;1.40o vergé dArches, 1'épreuve,et 30 h.i com. num. I à XXX).Impr. Dui-and. Dbre. 1925.LArtisan du Livre Choureau &Cie. 130; 185 m/m couv. impr.existe prix d'emnn. v. 60 fcs.prix .non indique, prix non in-dique. j. 170 francs. prix ntinindique, prix non indique,

PARALLELEMENT. (PoésLss)Edit. orig. tirée 'à, 500 exempl.et. 100 exempl. d'auteur. 1 f.bl., 2 íl. (fx-titre et titre), 1 í.(préface), lie pp. et 1 f. bl.Quelques exempl. 'três rarescontiE-nnen t, encarte aorès Iatable, un poeme inédit de BO-NHEUR intitule Chasteté, avecJa note suivante: "II nous asemblé intéressant de donnerau lecteur de PARALLELE-MENT Ia" prímeur de cet .te der-nière pièce de Paul Verlaine,recue de lui pour son prochainlivre: "Bonheur". Sur Ia pro-testation de Verlaine, le poè-1113 fut suprime. Imp. Ch. Hê-rissey, Evreux. Annoncé BI-ELIOGRAFHIE DE LA FRAN-CE le 26 oct. 1889. (Comp.OEUVRES COMPLETES, TomeII.). 22 Juin 1889. Léon Va-nier. in-18 couv. beige impr.épuisé rare. 3 francs. 50 fcs.250 francs avec le poème 500francs.

PARALLELEMENT. Nouvelleedition revue et augmentée (enpartie origin.). Cont. 2 piècesnouv-Êlles: 1° sur une Status deGanumède; 2o Prologue supipri-mé ã un livre dTnvectives. 2 ff.(fx-Litre et titre), 1 f, (avertis-sement), l f. (préface de Ia ire,édit.), 124 pp. et 1 f. bl. Tiréeà SOO exempl., dont 100 pour1'auteur. Impr. Ch. Hérissey,ã Evreux. (Ni Ia préface, ni1'avertissement n'ont été repro-duits dans les OEUVRES COM-PLETES). 1894. Léon Vanier.in-18 couv. impr. existe réimp.7.". 3.50 francs. 5 francs. 50francs.

POÉSIES COMPLETES BEPAUL VERLAINE. (Coll. desFcètes Maudits). Edit. nou-

velle en 7 vol., revue sur lesetu.. origin. et les manuscritaet aumentes de pièces inédi-tes. TOME I. Vers de j-eunesse,Poèmes Saturniens, Fètes Ga-lantes, Romances sans paroles,La uornid unansoii, ¦ '*_

pp.(ach. d'impr. le 25 mai 192j>.

TOME II. Sagesse, Jadis etNaguère. 27^ pp. (achavé d'im.p.30 janv. 1924). — TOME III.Amour, Farallèl-ement. 243 pp,achevé d'impr. le 18 juin 1924.

TOME IV. Bonheur. Chan-sons pour Ells, Liturgies inti-mes, Elegies. 256pp.

' (ach'.

d'mipr. 3 juill, 19ü5). Tiragelimite a 10 vieux japon, 60 holl,500 pur fil Lafuma, jaus num.(En cours de publicaiton.) Lessept volumes, formant 1'ouvra-ge complet, ne sont pas vendusséparémfint. Impr. Coulouma1923. 1925. Les Editions de LaBanderolle Georges Crês & Cie,in-4 cour. 200: 250 m/m couv.impr. épuisé. pur fil 420 francs.prix nen indique prix non in-dique. holl. 826 fraes. prix nonindique, prix non indique, jap.1.120 francs. les 7 vol. prixnon indique, prix non indique.

POÉSIES COMPLETESILLUSTRÉES DE PAUL VER-LAINE. Tire à 500 exempl. nu-mér. dont 5q sur jap. souscritspar Rehé Kieffer et 500 vél. decuve: r

1. POÈMES SATURNIENS.Illustr. en couleurs de H. Bou-che-Leclerrq, 1914. Albert Mes-sein, in-8 couv. impr. épuisé.30 francs. prix non indique. 75francs. j. 70 francs. prix nonindique, prix non indique,

2. LA BONNE CHANSON.Illustrat. en coul. de Paul Guig-nebault. 1914. Albert Messein.in-8 couv. impr. épuisé. 30francs. prix non indique. 75francs..

3. FÊTES GALANTES.Illustrat. en coul. de RobertBonfils. 1915. Albert Messein.in-8 couv. impr. épuisé. 50flanes, prix non indique. 75francs.

4. ROMANCES SANS PA-ROLES. Illustrat. en coul. deCh. Picart le Doux. 1920. Al-bert Messein in-8 couv. impr.existe. 60 francs. prix non in-dique. 60 francs.

5. .PARALLELEMENT lllus- .trat. en couleurs de R. CrouarT.,1921. Albert Messein. in-8 couv.Impr. existe. 6o francs. prixnon indique. 60 francs.

6. JADIS ET NAGUEREillustrat. en coul. de Léon Vo-guet. 1921. Albert Messein.in-8 couv. impr. existe. 60francs. prix non indique. 60francs.

I. AMOUR. Illustrat. encouleurs de Th. Hirnimel. 1922.Albert Messein. in-8 couv, imp.existe. GO francs. prix non in-dique. 60 francs.

8. BONHEUR. Illustr. encouleurs de Pierre PelLier. 1923,Albert Messein. in-8 couv. imp.existe. 60'francs. prix non in-dique. 6o francs.

9. CHANSONS POUR ELLE.Illustrat. en couleurs de Quint.1923. Albert Messein. in-8couv. existe. 60 francs. prixnon indique. 60 francs.

10. LITURGIES INTIMESIllustrat, en couleurs de G-Assire. 1923. Albert Messein.in-8 couv. existe. 60 francs.prix non indique. 60 francs.

II. SAGESSE. Illustrat. encouleurs de Daniel Richard.1924. Albert Messein. in-3couv. existe. 80 francs. prixnon indique. 80 francs.

12. ELÉGIES. Illustrat. ericouleurs d André Cahard. 1924.Albert Messein. in-8 couv, exis-te. 70 francs. prix non indi-qué. 70 íranes.

13. DANS LES LIMBESIllustrat. en couleurs de GastonNick. 19^4. Albert Messein, in-3couv. existe. 7o francs. prixnon indique. 70 francs.

14. ODES EN SON HON-NEUR. Illustr. en coul. de PaulBaudier. 1925. Albert Messein.in-8 couv. existe. 70 francs.prix nonindiqué. 70 francs.

15. CHAIR. Ulustrations encouleurs de Maurice Guy-Loê.1925. Aibert Messein in-8 couv.existo. 72 francs, prix non in-dique. 72 francs. (Annoncedans le catalogue "Le LivreRare", 1931 — Complete: 300Its. chaque vol.).

PRÉFACE DE VERLAINE

ARTHUR RIMBAUD: Lesniuminations, Edit. de "La Vo-gue", 1886, tire à 200 exempl.(préface réimprimée dans OEU-VRES PÒ3TWUMES, Tome II).— HENRl D'ARGIS: Sodoine(préface non recueilhe en volu-me), Piaget, 1888. — EUGENEVEEMESCHE: LInfâmie. hu-maine (préface non recueillie),Lemerre, 1890. — GEORGESSUZANNE: Premiers Poèmes(préface non recueillie), tire a20o exempi,, Paris, 1891. —MAURICE BOUKAY: Chan-sons d'amour (préface non re-cueillie), E. Dentu, 1893. —EMILE BOISSIER: Dame Me-lancolie, poésies et proses ryth-mées (préface non recueillie).L. Vanier, 1893. — ARTHURRIMBAUD: Poésies completes(préface réimprimée dans OEU-VRES POSTHUMES, Tome II).L. Vanier, 1895. — VICOMTEDE COLLEVILLE: Ephémères(préface non recueillie), Biblio-thèque artistique et líteraire,1895. — PATERNE BERRI-CHON: le Vin Maudit, petitspoèmes, sonnet de Paul Ver-laine, Bibliothèque artistique etlittéraire, 1895. (réimpr. Dédi-caces; 1890).

REVUES ET JOURNAUX AUX-QUELS VERLAINE A

COLLABORE

LA REVDE DU PBOGBES,1863; L'ART, 18G5; LE PAR-NASSE CONTEMPORAIN, 1866-1869; REVUE DU XIXe. sié-

DOM CASMÜRRO

Prefaces. - Revues et journauxauxquels Verlaine a collaboré( Avec indication des preces non encore recueilles en volume)cie, 1866; LA GAZETTE RI-MÉE, 1837; L'ETENDARD, 1867;L'INTERNATIONAL, 1867; LEHANNETON, 1867-1868 (un poè-me: Les Imbeciles, publié le 24oct. 1867, et un article' sur LesIntimités, de Coppée, paru ls 16Avril 1868, n'ont. pas été re-cueillis); LA REVUE DESLETTRES ET DES ARTS, 1867;LE NAIN JAUNE, 1868 (unpoème: Le Mons Lie, paru le 23Sept., n'a pas été recueilli); LANOUVELLE NEMÉSIS. 1863; LERAPPEL, 1869 (un poème: AuPás de charge, paru le 19 mai,n'a pas été recueilli); LA PA-RODIE, 1869: LA RENAIS-SANCE LITTÉRAIRE ET AR-TISTIQTJE, 1872; L'AVENIR,journal français publié à Lon-dres 1872; PARIS-MODERNE,1882-1883; LE RÉVEIL, 1882-1833; LA NOUVELLE RIVEGAÚCHE, 1882 (Lettre À M.Karl Mohr, parue du 15 au 22déc,, non recueillie), 1883; LU-TECE, 1883-1884 (Café de let-tres, paru du 20 au 27 juilletn'a pas été recueilli), 1885-1886;LE CHAT NOIR, 1883, 1885,1889 (un poèine: Gosses, parule 2 janv. 1889 et reproduit dans

L1NTRANSIGEANT le 27 dec.1924 (Rachilde par Verlaine),n'a pas été recueilli), 1890, 1891(un article sur Là-Bas, deHuysmans, paru le 13 mai etreproduit dans PARIS-SOIR le29 mars 1924, n'a pas été re-CUeilli), 1892; LA LIBRE RE-VUE, 1884; LA REVUE CRI-TIQUE, 1884; LA REVUE IN-DÊPENDANTE, 1884 (Notes denuit jetées en chemin de fer,paru eri nov., n'a pas été re-cueilli), 1885 (un poème: Unependule, paru en janv. n'a pasété recueilli), 1887, 1888, 1889;LE ZIG-ZAG, 1885; LA RE-VUE CONTEMPORAINE, 1885;LES HOÍVIMES D'AUJOURD'HUI, 1886-1892 (27 biographiespubliés en fascieules de 4 pages,orne d'un portrait colorié, parLÉON VANIER: ns . 241, Le-conte de Lisle; 243 FrançoisCoppée; 244, Paul Verlaine(compléLée par Verlaine en oct.1894); 253, Villiers de 1'Isle-Adam; 265, Armand Silvestre;274; Edmond de Gonourt; 280,Jean Richepin; 282, Barbeyd'Aurevilly; 284, Sully-Prudhom-me; 287, Léon Dierx; 296, Ste-plmne Mallarmé; 303, Maurice

Rollinat; 318, Arthur Rimbaud;320, Ljon Vanier; 322, AnatoleBaju; 335, Charles Uros; _>i,René Ghil; 346, Anatole Fran-ce; 385, Louis-Xavibr de Ri-card; 396, Albert Mérat; 398,André Lémcyne; 898, Collé-ges Larenestre, 400, Raoul Fon-chon; 401, Gabriel Vicaire; 405,José-Maria de Hérédia; 406,André Theuriet; 424, FtancisPoictevin; ces biographies ontété comprises dans le Tome Vdes OEUVRES COMPLETES);LA REVUE WAGNÉRIENNE,1886, LA VOGUE, 1886, 1887,1888; LE SCAPIN, 1886; LADÉCADENCE, 1886; LE SYM-BOLISTE, 1886; LES CHRONI-QUÊS, 1887; LA VIE POPU-LA1RE, 1887, 1889, 1890; LA PE-TITE REVUE DE LITTÈRA-TURE ET D'ART, 1888; LACRAVACHE, 1888 (une Lettreà F. A. Cazals, parue le 13 oct.,n'a pas été recueillie), 1889(Echo "au Décadent", paru le9. mars, Lettre à _. GeorgesLecomte, datée du 17 mars1889, parue le 23. et Lettre ã

M. Georges Lecomte, parue le22 juin, n'ont pas été recueillis;LE FIGARO, suppl. littéraire,

1888, 1889, 1893 (A. ma femme,vers inédits, paru le 9 sept, etreproduit le 5 janv. 1924, n'apas éje recueillies), 19^3 (Ver-laine cn Angleterre, fragmentd'un mauscrit perdu; Cinq Let-tres à Anatole Baju, 7 janvier;Ecrit en marge de "WUhelmMeister", Six lettres à LéonDeschamps, directeur de LAPLUME, 3 mars; Arthur Rim-baud, étude inodlte, 12 miai;Au.our d'un Sonnet de Rim-baud, 17 nov. moroeaux non re-cueillis), 1924 (Sejour en An-gleterre, non recueilli); 1896,1924 (Impromptu, paru le 8 jan- ,vier, et Lettre de Verlaine aRachilde, paru le 9 mars, n'ontpas été recueillis); LES ANNA-LES "GAULOISES, 1889; LAPLUME, 1889, 1890 (Lettre du19 dec. 1889 parue le 1 janv.,non recueillie), 1891, 1892 (De-voirs d'Histoire de France, parE. Delahaye, paru le 1 juill.,n'a pas été recueilli), "1893

(unarticle sur Les Baisers morts,poésies par Paul Vérola, parule 1 juill.; A propôs d'un li-vre recent, paru le 1 sept.; AMonsieur et Madame T..,, parule 1 oct.; un article sur Toutbas, par Francis Poictevin, parule 1 déc., n'ont pas été recueil-lie), 1894, 1895, 1898 (Désappoin-tement, paru du 1 au 28 fév.,n'a pas été recueillie); ART ETCRITIQUE, 1889 (un articlesur Jules Tellier, paru le 6 juil-let et reproduit dans le suppl.httér, du Fi^aro du 4 acu'; 1921et dans L'ECLAIR du 5 aout1923; une Lettre à Jean Jullian,directeur de ART ET CRITI-*QUE, paru le 19 oct, n'ont pas

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été recueiUis), 1890, 1891, (unarticle sur Le Pèlerin passione,de Jean Moréas, paru le 3 janv.et reproduit dans LES NOU-VELLES LITTÉRAIRES du 1déc. 1923, n'a pas été recueiUi);I/AVENIB D^IX-LESBAiWS.1889; LA REVUE D'AUJOÜRD'HDI, 18M; L'ARTISTÉ, 1890,1896; LA WALLONIE, 1891; LECOURRIER FRANCAIS, 1891(Benefices, paru le 28 juin; unarticle sur Les Cornes du Faune,par Ernest Raynaud, paru le 28

juin et reproduit ds le suppl.littér. du FIG ARO le 1 mars1924; la suite de Souvenirsd-Hôpital, parue le 12 juill.;une Lettre à M. Jules Roques,parue le 12 juillet; une lettreà M. Jules Roques, parue le 2aout; Au Quartier, paru le 6aout, n'ont pas été recueillis);L"ECHO DE PARIS. 1891 (unelettre à Charles Morioe, paruele 11 mai; un^ lettre au Di-recteur de L'EHCO DE PARIS,parue le 7 juin. n'ont pas étérecueillies): L'FiCHO DE PA-RIS LITTÉRAIRE ILLUSTRS,IR92; PTN r>E ST^CT.E. 1891,1892, 1893 (Chant d'amour bru-tal, paru le 20 mai 1893, n'aspas été í-eríiieilli); LE GTLBTjAS II.LTJSTRÍ;. 1892, 1S15);VF^TDÉMIAIRE. 1891: LA CON-€>UE. 1891; LA VTE PARI-SrFINNE. -1801: LA REVUEBT.ANCJTK 1891, 1*13 (Tiondre,poème ra^u en dè>... n*a t><isété recueiUi), 1R94. 1R95 (L'hftnl-tal chez soi. r>aru le 1 mars;I^rVvfal TwrtryU. Tiani \/> 1juin: La Prteon ntiUe -nart. wr-ile 1 Wn. n'int nas été r*»f«ttil-JÍr>. 1W6: TTO R*rtfEIL CATTTO-LIOTTE. 1891. 1892 <un-? lettreà lTJnivers. parue te 1*» ianv.,rpnrr>d?-it<» tfo"<* le bullttnDU BIBLTOPHTLE le 1 fuillet1923, nas pas été recueillie); LALORRAINE ARTISTE, 1892(Souvenirs d'un Messin, parule 3 janv. et le 18 sept., napas été recueilU), 1893; LESAINT-GRAAL, 1892 (Au Poè-te de Missive, lettre parue le 25janvier n'a pas été recueillie).L'ARMITAGE, 1892, 1893 (Re-ferendum: Contraient et Liber-té, réponse de Verlaine parueen novembre, n'a été recueillie);LA REVUE MODERNE. 1892;THE HOBBY HORSE, Londres1893; REVUE ILLUSTRÉE,1833 (Les Confidences de Salon,Paul Verlaine, paru le 15 marset reproduit dans LE PIGAROle 18 mars 1924, n'a pas été re-cueilli); LA REVDE LTTTE-RAIRE ET CRITIQLE. 1893;LA CLÔCHE. 1893 (Autobioera-phie, paru le 1 sept., n'a pasété recueilli; LA REVUE PA-

RTJ5IENTJE, 1893: THE PORT-NIGHTLY KSVIBW, 1894(Craintes, paru en avríl et re-produit ds LA RHVTJE DE PA-RIS du 15 déc. 1918. n'a pas étér^ueiim: w> re^;íL;™'1896; PALL MALL MAGAZI-

NE, 1894 (Conquistador, paruen novembre et reproduit dansLA REVUE le 15 avril 1903 etla REVUE DE PARIS le 15 oct.1918, n'as pas été recueilli);ATHENAEÜM. 1894; LE PRO-COPE. 1894, 189S; LA REVUEENCYCLOPEDIQUE, 1894, 1895(Deux Poetes anglais ArthurSymons, L. Crammer-Byng,paru le 1 mai, n'a pas été re-cueilli), 1896 (Trois Letlves au-tographes de Verlaine à M. G.tooreau, datées du 30 mars, 4mai et 7 mai 1895, publiées le25 Janvier (en fac-simile) nonapas été recueillies); LE JOUíi-NAL, 1894, 1922 (Une lettreinédite de Verlaine dates du 14mars 1895, publ. le 8 janv., n'apas été recueillie); ARTE, 1895:THE SENATE, 1895 (Deux poè-tes francais: Edouard Dubus et<R. de Monüesquiou, paru enacut; Arjhur Rimbaud, paru enoct, et reproduit ds le suppl.littér. du FIGARO du 12 mal191)3 n'ont pas été recueillis),1896; L'EPREUVE LITTBRAI-RE, suppiement de PAN, i«a5;PAN, 1895; REVUE BIBLIO-lCONOfitAPUiQUii;, laa5; JjARlüVUE LIES BlüAUX-ARTd,1885; LE MONDE 1895 (Lettrede Verlaine pubiiee par Aarn.nMithoaard ie 22 -janv. non re-cueillie); LA REVUE ROUGE,ISSO; LA REVUE Dü NOKD,1896 (Poèmes de Flandre etd'Artois. 11. Marceline Des-bordes-Valmore, paru le 1 févr.n'a pas été recueilli); THESAVOY, 1893 (My visi: to Lon-don, paru en avril 1896, n'a pasété recueiUi); LA CHRONí-QUE MÉDICALE, 1896. 1890(ijjttre du 7 juillet 1890 au Di-recteur de LA REVUE MEDI-CALE publiée le 13 févr., n'aspas été recueillie); THE PA-GEANT, Londres, 189B; REVUED'ARDENNE ET D'ARGONNE,1897; LE SABITTAIRE. 1900;MERCURE DE FRANCE, 1905,1923, 1925; LA REVUE (an-cienne Revue des Rsvues),1903; VERS ET PROSES, 1905-1906 (Poèmes d'Arthur Symonstraduits par Paul'Verlaine. 1.Prélude aux Londons Nigihts,non decueillis); LES MAR-CHES DE L'EST, 1909-1910;LE TEMPS. 1911. REVUE DESLETTRES FRANÇAISES. 1912;TIMES LITERARY SUPPLÊ-MENT, 1916 (London Brid^e,réimprimé dans LES MARGESd'avrll 19191 et le Figaro du 23Janv. 1924. non recueilli); RE-

janv. 1924, non recueilli); RE-tes, poème. non recueilli); LACONNAISSANCE. 1920; LECENTRE RTISTTQUE ET LIT-TERAIRE, Bellac (Haute-Vien-ne), 1921 (2 lefres non recueil-lies); BELLES-LETTRES, 1«VU(3 lettres non recueillies): LESimWR FRÀNCAISES. 1924; LAREVÜE DE FRANCE. 1924 (4lpfctres de Verlaine a VictorHugo, non recueillies).

OUVRAGES ENTÈREMENTCONSAGRES A VER-

LAINE

AÇJONYME: Paul Verlaineet ses contemporains, par un dé-moin impartial, étude précédéd'une biographie et d'un por-trait inédit par A. Bonnet, Bi-blio'.ihèque de TAssociation, 1897,in-8; Paul Verlaine et ses con-temporains, par un témoin im-partial, avec une biographie etun portrait inédit. H. Faique,1907, ín-12. — LUCIEN ARES-SY: La Dernière Bohême, Ver-laine et son milieu, préface deRachilde, dessins et autogra-phes, Jouve, s. d. (1923), in-18.A. DE BERSAUCOURT: PaulVerlaine, poete catholique, por.trais par P. E. Vlbert, H. Fal-que, 1909, in-12. — A. VANBEVER ET MAURICE MON-DA: Bibliographie et Icono?ra-phie de Paul Verlaine publiéesd'après des documenta inédits,porttrait d'apres A. de LaGandara, A, Messein, 1926.In-16 de VI-250 pp., 1 portraitet 1 autographe. — F. A. CA-ZALS: Paul Verlaine, ses por.'raits. texte de F. Rops, E.Delahaye et H. Cornuty, pré-face de J. K. Huysmans. Bi-bliothèque de 1'Assosiation, lSflfi.in-8. — F. A. CAZALS ETGUSTAVE LE ROUGE: lesDorniers jours de Paul Verlai-ne, Mercure de France, 1911in-18 de X-273 pp. et fig,; lesDsrniers jours de Paul Verlai-as, nombreux dociunents et des-sins avec une préface de Mau-noa Barres, nouvelle édition re-vue et complete, Mercure deFranca, 1923, in-8 de X-Ü78 pp.— PAUL CLAUDEL: Verlaine,poème, avec 12 illustrationsd'André Lbote, Nouvelle RevueFrançaiis, 1923, in-16. — J.COUCKE: Paul Verlaine, Bru-xelles, Lamertin, 1896. in-8. —ERNEST DELAHAYE; Do-cumens relatifs à Paul Verlai-ne, lettres, dessins pages iné-dites recueillis et décrite, Mai-son du Livre, 1919, in-16 de 73pp., fig. et fac-sim.; Verlaine,étude biographique, Messein,in-8, 1920 (Couronné par PAca-démie Française), reproductiondu monument de Verlaine parNiederhausern - Rodo (réimpr.1923). — CHARLES DONOS(CH. de martin): Verlaine in-time, rédigé d'après les do-cumsnts reoueillis sur le Roides Poetes par son ami et édi-teur Léon Vanier, Vanier, 1898,in-16, 37 dessins et portrait-),lettres et documente inédits, —MARCEL DUGAS: Fera deBeneale à Verlaine glorieux,conférence lue à l'AllianceFrançaise le 15 février 1915,IWntuM. 1915. — MAURICEDULLAERT: Vflrüaine, Ganci,A. Siffer, 18*!, in-8. —' L.ECKHOFP; Paul Verlaine ogSymbolismen, Kristiania, Steen.1923, in-8 de 200 pp. et fig. —

F. ERMINI: Paolo Verlaine etipoeti decadenSi, Turin, Paravia.1896, in-8 <le 51 pp. — ÍTALOMAIONE: La poesia di Verlai-ne, Bolognn, Zanichelli, 1924,in-16. 38 pp. — ALBERT LAN-TOINE: Paul Verlaine et quel-ques-uns, le livre mensuel, 1920,in-16 de 56 pp. — EDMONDLEPELLETIER: Paul Verlaine,sa vie, son oeuvre, Mercure deFrance, 1907, in-8 et in-18 de568 pp. (portrait en héllogra-vure, lettres et documents iné-dits); Paul Verlaine, sa vie sonoeuvre, avec un portrait et unautographe, nouvelle édidon.Mercure de France, 1923, in-8.

PIERRE MARTINO: Verlai-ne, Boivin et Cie, 1924, in-16de 203 pp. — ADRIFN MI-THOUARD: Paul Verlaín? oule Srupule de la Beaute, Spec-tateur catholique, 1897. in-8. —E. MONOT: Paul Verlaine, con-férence faite à PUnion Artisti-rrue Lédlonienne, Tyoo»raphiede Lons-Ie-Saulnier, 1898. in-8.

POL DE MONT; Paul Ver-laine, s. 1. n. d. (1896) in-8.FRANÇOIS MONTEL; Bibllo-graphíe de Paul Verlaine, L.Giraud-Badin, 1924, in-8 da 144pp. et portraits. — CHARLESMORICE: Paul Verlaine, 1'Hom-me et 1'Oeuvre, Vanier, 1868,in-8 de 87 pp. (portraiS gravesur bois); Discours prononcé aubanouet des Amis de Paul Ver-laine pour le quizieme anniver-saire de la mort du Poete, Mes.sein, 1911, in-18. — HAROLDHICHOLSON: Paul Verlaine,Londres, Constable, 1921, ih-16ds 278 pp. — V. PICA: PaulVerlaine, Bsrgame, "Empo-riumV, 1896, in-4. — ERNESTRAYNAUD: L'Assomption dePaul Verlaine, scène pastoraisreprésentée pour la Ire, fois à1'Odéon le 28 mai 1911, précé-dée de Considérations sur PaulVerlaine, 1912, in-18. — FREDE-RIC RÉGAMEY: Verlaine des-sinateur, H. Floury, 1896, in-4.— ALPHONSE SÉX3HÊ ETJULES BERTAUT: La Vieanecdotique et pittoresque desgrands écrivains, Paul Verlai-ne, Louis-Michaud, 1909, in-16de 190 pp. (40 uess. es por-traits, lettres et documentsinédite); nouvelle édition Vald-Rasmussem, 1925. — EMMA-VUEL SIGNORET: Ode à PaulVerlaine, Vanier. 1932, in-8. —STENZEL ÍWTLH.): Paul Ver-laine, der Mensh und der Dich-ter, Leipzig, Xenien-Verlag,1913, in-8 de 70 pp. et fig. —HENRI STRENZ: Paul Verlai-ne, son oeuvre, portrait et auto-graphe, Ediíon de la NouvelleRevúe Critique, 1925, in-16 de80 pp. — WILPRID C. THOR,iraY: Paul Verlaine. Boston,HOUBhton Miíflin, 1914. in-8,107 pp., et Londres, Constable,1914, in-18, 108 pp. — GEOH-GES A. TOURNOUX: Biblio-fraphie Verlainienne, Contrlbu-

tion critique à 1'étude des litté-ratures étrangères et comparées,préface de P. Piquei, Leipzig,E. Rowohlt, 1912, in-16 de XVI-172 pp. — M. VINCENT; Con-férence sur Paul Verlaine, Nan-tes, impr. Mellinet, 1896, in-8,24 pp. — ST. WAETZOLDT:Pua Verlaine, der Dichter derDécadence, Berlin, Weidmans-che Buckhandlung, 1892, in-8.— MARY ZAPPULA: Coupd'oeÜ sur 1'état actuel de la poé-sie française et 1'influence dePaul Verlaine, Palerme, Tip.Amoroso, in-8, 29 pp. — St.ZWEIG: Verlaine, Berlin etLeipzig. Schuster et Loeffler,1905, petii in-16 de 8 portraitset dessins et 1 autogr. — STE-FAN ZWEIG: Paul Verlaine,London, Mannsel, 1913, in-8 de96 pp. — Homage à Verlaine.recueil collectif de poèmes etdiscours prononcés aux cérémo-nies annuelles du Jardin duLuxembourg de 1921 è 1924,ln-16. — LUCIEN ARRESSY:L'Agonle de Paul Verlaine,1890-1896, Escoffier, 1923. -FERNAND CLERQET; Ver-laine et ses contemporains, Bi-bliothèque de 1'Association,

"DOM CASMURRO"Redação e Adminia ração:PRAÇA FLORIANO, 55-2."

Tels.: 42-1712 (rede interna)Diretor: 42-8905

RIO DE JANEIRO

DIRE.TOH :BRICIO DE ABREU

GERENTE :Leonidas Lacerda

REDATORES:Bande:ra Duarte, MelchzedecAyres da Cruz, Alme*da Fischer,Pinheiro de Lemos, Ruben GL11,Océlio de Medeiros, Roque Ta-borda, Henrique Pongetti, An-bal Machado, Ed th MagarinosTorres, Res Júnior, FernandoMar:nho, Octavio Almeida, Ar-mando Migueis, Henrique Maron, Odor co Pires Pinto, Da-nlo Bastos e Nelson Vaner.SUCURSAIS EM SAO PAULO :Diretor: Gregoro B. Gromavzky

Rua Timbiras, 59EM PORTO ALEGRE :

Diretor: Manoelito de OrnellasRua Felix da Cunha, 1159

NO SALVADOR :Diretor: Wallr do Moraes

O presente número come-morativo do centenário deVerlaine, foi impresso «compôs o nas oficinas daGráfica "Perfecta", parauma tiragem de 55.000

exemplares.Tendo como "mai're imprmeur": Oswaldo Mello, "mse-en-page" sob a direção dt*Jayme de Oliveira e Impres-são dirigida por Avelino Si*

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Centenário do Barão do Rio Branco I *1845—1945 (Numero Especial de Natal de 1944) jí

IUZEIROS DEZ CRUZEIRO?

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irtpuOrgulha-se em apresentar alguns dos seus grandes artistas e

«eus grandes filmes para a temporada de1945/46, que será a mais# extraordináriaDE TOPA À SUA HISTORIA

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2oHiCENTURY-F0X

Ao Público do BRASILum Alegre NATALe umFeliz ANO NOVO,promebendo manber bem alba a suotradição de apresenbar sempre grandeGProduções, orgulhando-se de anunciar

alguns dos seus Fuburogespeba eu lares Sucessos:

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BUFALLO BILLJOBL MC CREA • MAUREENO"UAZA

L IMPA PAZNELL ' -e«L. Z&CstticoÉbv-

A PR.EFERIPA(piai uP C/í?t_}

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UMA AZA Bt/MA PRECE(iV/NG ANO A i^KAYER!

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DOM CASMURRO 15

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16 DOM CASMURRO

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aCparamounf.chega agora ao apogeu da sua vitoriosa carreira de produtora du

grandes espetáculos, apresentando, no decorrer da presente Tempo-rada, um conjunto de cinco filmes que, pelo estonteante luxo de suas

montagens, pela inegável originalidade dos seus argumentos, pelovalor real dos seus intérpretes e indiscutível perfeição técnica, su-

peram tudo quanto já foi apresentado na tela:

"A MULHER QUE NÃOSABIA AMAR"

(Lady in the Dark)com

Glnger Rogers, Ray Milland, WarnefBaxter, Jon Hall, com Mischa Auer.Produção e Direção de MitcheliLeisen.

Em Tecnicolor,

"PELO VALE DASSOMBRAS"

(The Story oi Dl, Wassell)com

Gary Cooper, Laraine Day, SigneHasso, Dennie 0'Keefe e CarolThurston,Produção e Direção de Cecil B. deMille.

Em Tecnicolor.

"A FAVORITADOS DEUSES

(Rainbow Island)com

Dorothy Lamour, Eddie BYacken;,;Gil Lamb e Barry Sulllvan.

Direção de Ralph Murphy.Em Tecnicolor.

"POR QUEM OSSINOS DOBRAM"

(Por Whom the Bell Tolls)Imp. 10 Anos

comGary Cooper, Ingrid Bergman, AkimTamiroff, Arturo de Córdova, Jo-seph Calleia e Katina Paxinou.

Produção e Direção de Sam Wood.Em Tecnicolor.

"O(Going

-VETERANA LÍDER DAINDUSTRIA CINEMATOGRÁFICA...

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17

Bing Crosby, Barry Fitzgerald,Frank Mc Hugh, James Brown, JeanHeather, Gene Lockhart, Portei*Hall, Fortunio Bonanova e RiseStevens.

Produção e Direção de Leo McCarey.

DOM CASMÜRRO

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O CSPETACULO CONTINUA

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um jgom Batal e feliz 3no Bonoesperando que a sorte lhes sorria em Grandes Prêmios

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SÍ IVaMiebMtâ. saúda osfans eosÜxibidores do Brasil, desejando-lhes

e aproveita o ensejo para indicar algunsde seus filmes para 1945

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Uma veiÂaamiMde •

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— 01d Acquaintance —BETTE DAVIS — MÍRIAM HOPK1NSGig Young — John Loder — Dolores Moran

Northern PorsuitERROL FLYNN — JULIE BISHOPHelmut Dantine — Gene Lockhart

Destínation Tokyo —GARY GRAIMT — JOHN GARFIELDAlan Hale — Bob Hut.on — Dane Clark

The Consta nt Nymph —CHARLES BOYER — JOAN FONTAINEALEXIS SMITH — Charles Coburn — BrendaMarshall ~ Joyce Reynolds, etc.

This is The Army —Com as Forcas Armadas de Tio Sam além deGEORGE MURPHY — Tte. RONALD REAGAN— JOAN LESLIE, etc. Técnicolor.

In Our Time —IDA LUPINONaticy Cotemai

Passage to Marseille —HUMPHREY BOGART — MICHELLE MORGANCLAUDE RAINS — Phillip Dorn — Heulmu; DantinePeter Lorre — Sydney Greenstreet, etc.

Uncertain Glory —ERROL FLYNN — PAUL LUKASJean Sullivan — Lucille Watson

Arsenic and old lace —GARY GRANT — PRISCILLA LANEGrant Mitcheíl — Raymond Massey

The Desert Song —DENNIS MORGAN — IRENE MANNINGBruce Cabot — Lynne Overman ~ Gene Lockhart

(Técnicolor)

The Conspirators —HEDY LAMARR — PAUL HENREIDSydney Greenstreet — Peter Lorre

Gentleman Jim —ERROL FLYNN — ALEXIS SMITHJack Carson — Alan Hale

The Hard Way —IDA LUPINO — JOAN LESLIEDenn s Morgan — Jack Carson

Princess 0'Rourke —OLIVIA DE HAVILLAND — ROBERT CUMMINGSCharles Coburn — Jane Wyman — Jack Carson

os quais serão, como ocorre todos os anos,os maiores filmes da temporada quealem decolher os louros da critica conquistam sempre

os aplausos do publieo.DOM CASMURRO 19

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DOM CASMURRO 21

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FONTES <LINSPIRAÇÃO

E lá no lim da praia, na boite

cfue é tonte de inspiração cfue

a musica embala os] corações

parodiando a melodia das ondas...

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22 DOM CASMÜRRO

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DOM CASMURRO 23

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"NAJ A vida das firrras editoras há sempre fatos de vivo

interesse, ora lidados a grandes vultos da literaturaque por ali passaram deixando na tradição verbal tragosindeléveis da sua verve, cuitura e talento, ora de outra or-dcm, relacionados, por ex?mpl:>, com a difusão do livro noBrasil. Ainda recentemente examinei, com curiosidade, ohistórico de uma das nossas grandes editoras e com isso re-constitui quase minuciosamente a forma pela qual o livrochegou hoje em dia a ser tão comum e procurado entre nós.

Essa editora, W. M. Jackson Inc., inicialmente comcapital norteamericano, pode ser considerada pioneira da di-fusão da leitura no Brasil. Começando suas atividades aqui,h& cerca c"e 30 anos, ainda é do tempo em que o livro,depois de pronto, era deixado na prateleira das livrariasdas capitais à espera de que os interessados o procurassem.Mas És es interessados eram poucos, naturalmente, porqueo valer da propaganda não Tora ainda reconhecido. Even-tualmente, num "sarau" ou numa confeitaria de elite é quealguém ficava sabendo por um amigo que um rjovo livrode autor festejado estava à venda. Jackson .-iniciou por essaépoca a primeira esmpanha publicitária do livro'rio Brasil,em prestando-lhe caráter eminentemente doutrinário. Eracomo que o pr meiro "leia" que e imprensa brasijeira lan-cava aos quatro ventos. Essa propaganda pró-iivro embo-ra relativa às ediçõss Jackson, era também de caráter ge-ral, pois os seus anúncios diziam: "Faça presentes de li-vros, a lembrança que perdura". Os resultados foram ma-gníficos e dentro em pouco as livrarias tiveram suas ven-das multiplicadas.

O interior do país constituía um campo sáfaro, inexplo-rado. Os livros raramente chegavam ali. e quando issoacontecia é p:rque alguém viera à capital e os levara.Jackson estabeleceu então o serviço permanente de viajan-tes, coisa inêd.ta e até revolucionária com referência a li-vros. E pela primeira vez homens percorreram o territó-rio nacional em todas as suas latitudes, vendendo livros,criando novos mercados e abrindo caminho para todos oseditores da época. Por estradas de ferro, mas quase sem-pre a cavalo e usando meios de transportes regionais, iamesses viajantes, de localidade em localidade, espalhando a

A revista "Vamos Ler" publicou em sua edi-,3o <íe 7

deste mês. sob o titulo «cima, alíun, dados h,stó-

rico.bioíráíicos sobre a vida desta editora, sua obra

em beneficio da difusão do livro e ainda sobre a sua

simpatia pelos grandes aurores nacionais. Como as

referencias feitas a W. M. Jackson Inc. s3o dei-eras

lisoníeiras a se revestem de caráter extremamente

honroso por serem estampadas em revista de grande

projeção nos círculos intelectuais e literários nacionais,

remos prazer em faze-las transcrever aqui:

cultura c o nome de grandes escritores brasileiros, e levan-

do aos mais afastados recantos o gosto pela leitura e con-sequentemente pela alfabelização.

W. M. Jackson Inc.. constituem uma organização quese projeta por todo o mundo. Possuem uma espécie de su-

perintendência mundial, com sede na Amé.ica do Norte,mas em cada pai. em c,ue existe uma filial esta e inteira-mente nacicnal. No Bras 1, por exemplo, o seu diretor ge-ral é bras:leiro nato e todos os cargos e serviços de respon-sabilidade estão entregues a brasileiros. .¦ Op? própries auxi-liares, noventa e cinco por cento são constituídos de gentenossa, incluindo pneoal das grandes oficinas que suo man-tida. na capital pauli ta. E a Companhia tem demonstra-do uma grande prefeência pelos nossos próprios autores.Excetuadas obras inFcrmativas consagradas universalmente,como a "Encicopádia e Dicionário Internacional" e outras,as obres completas dos nossos grandes escritores têm sido

preferidas. Isso cria uma mentalidade diversa da usual,relegando para um plano inferior as traduções de autoresestrangeiros e dando o devido realce aos nossos valores li-terários. Machado de Assis e Humberto de Campos, comas suas obras completas, assim como Rocha Pombo com asua "História do Brasil", e Luiz Edmundo com "A Cortede D. João no Rio de Janeiro", têm por intermédio deJackson a merecida projeção no mercado de livros.

Dizem os mal-informados que as suas edições são só-mente luxuosas. E' engano. As obras completas de Machadode Assis e Humberto de Campos são vendidas simultânea-

mente em três tipos de encadernação : luxuosa, semi-luxuosa

e popular, esta em brochura. E' - empreendimento de.

vu°to que exige recursos, pois as obra, de Humbe.to com-

preendem 40 volumes e as de Machado de As.is 31 A van-

tagem dos três tipos é colocar os bons livros ao alcance de

todas os botas e oferecer encadernações a altura das mais

finas bibliotecas. Também, não são vendidas apenas cole-

ções completas como se pode acreditar. São vendidos vo.

lumes avulsos em brochura - ês'es encontrados em todas as

livrarias e por preços viiivalmente inferiores aos normais.

Os editores Jackson lançarão futuramente as obras comple-

tas de Afrsnio Peixoto, o que es.a sendo esperado ensiosa-

mente, e é mais uma prova da preferência e admiração dessa

Empresa peles nossos autores.Ser editor não significa que se deve tirar de tudo um

resultado-comercial. Algumas vezes é necessário adotar cri-

tério especial, que sobreponha a maior divulgação do autor

ou o beneficio de terceiros, a qualquer interesse financeiro.Dois-casos típicos ocorreram com Jackson. No primeiro,notando' que havia um certo interesse em que algumas obrasde Machado de Assis fossem editadas em francês, a ed toraabriu mão de qualquer lucro, cstibdecendo uma quantiaapenas nominal, afim de que o projeto se realizasse. O se-

gundo ocorreu quando o Instituto Benjam.n Constam soh-citou permissão para uma edição, em Brai lc, do D. Cas-murro". Essa permissão foi concedida graciosamente, comonão podia deixar de ser. Houve ainda um terceiro casocom relação às obras de Machado de Assis. Foi o de um

pedido que a agremiação denominada "Os Cem Bibliófilosdo Erasil" dirigiu a Jackson, para uma edição particular elimitada do "Braz Cubas". A permissão também foi dadaa titulo gracioso, não tendo ficado a cargo de Jackson aconfecção da obra. E' verdade que já existem no mercadotrês tipos de encadernação, porém

"Braz Cubas" possui agorauma outra que, sendo limitada e particular, tem valor especial.

Seria interessante que alguém se dedicasse ao estudo dahistória das várias editoras antigas do Rio. De quando em,vez surgem retalhos de fatos séiios, pitorescos ou anedoti-cos, tirados do seu histórico, porém um trabalho completaseria de muito mais interesse."

if H^= * V^V^VVMTafgyaVWSg'OS LIVROS A OUE "VAMOS LER" SE REFERIU SAO DE AUTORES BRASILEIROS OUE 0 MUNDO CONSAGROU E ESTÃO AO SEU ALCANCE. EI-LOS^

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OBRAS COMPLETAS de MACHADO DE ASSIS31 volumes - 12.000 páginas

A nossa coleção das obras completas de Machado de Assiscontêm 4.000 páginas de escritos até então inéditos. São,ao todo, 9 volumes de romances, 10 de contos, 7 de crô-nicas, 1 de poesias, 1 de peças teatrais, 2 de críticas e 1de correspondência. As obras deste príncipe da litera-tura brasileira são indispensáveis a todos aqueles quedesejam ou te em necessidade de manejar o vernáculocorretamente.

HISTORIA DO BRASIL de ROCHA POMBO5 volumes - 2.200 páginas

inúmeras ilustrações

A melhor e a maior HLtória do Brasil até hoje publica-da. Indispensável a todos os estudantes e estudiosos,principalmente aos ginasianos, em cujo curso o estudo dahistória pátria é obrigatório. Seus 5 volumes abrangemtodos os acontecimentos e figuras históricas desde o Des-cobrimento do Brasil até o Centenário da Independência.

OBRAS COMPLETAS de HUMBERTO DE CAMPOS =

29 volumes - 9.300 páginas

Oferecemos aos apreciadores da boa literatura uma coleçãode contos, crônicas, críticas, perfis, etc, de um autorconsagrado, cujo nome é uma recomendação e que dis-

pensa quaisquer elogios ou apresentações. Como editores,limitamo-nos a dizer que tudo fizemos no sentido de queas Obras Completas de Humberto de Campos merecess.m o

qualificativo de "Uma grande edição Jackson". Do mesmoautor, a famosa serie Conselheiro XX, em 11 volumes.

A CORTE DE D. JOÃO NO RIO DE JANEIROde LUIZ EDMUNDO

3 volumes - 900 páginas - 420 ilustrações

A mai^r a melhor obra histórica de Luiz Edmundo, jáconsagrado pela crítica por outros trabalhes do mesmogênero. Centenas de nítidas reproduções de página inteira,em papel

"couché", fixando aspectos e costumes da época.São estampas de Dcbret (sendo 30 completamente inédi-tas), Stainmann, Rugendas, Koster, Chamberlain e outros.

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Mais EsclarecimentosAs nossas obras podem ser examinadas, sem compromisso em uma das lojas abaixo mencionadas. Aqueles quenão puderem nos visitar, e os que moram fórâ dessas capitais, receberão pelo correio, grátis e sem despesa ai-guma, um folheto ilustrado acerca de qualquer obra que lhes interesse — enviando, preenchido, o cupom abaixo.

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