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Pharmabulletin Décembre 2013 EDITORIAL Chères consœurs, chers confrères, Connaissez-vous le point commun entre la margarine, les allumettes, le Coca-Cola, la cafe- tière, et la méthode Coué ? Tous ont été inventés par un pharmacien ! Sans aller aussi loin, cela doit nous inciter à innover nous aussi… L’exemple actuel est bien entendu l’E.N.M. (Entretiens de Nouvelle Médication). Bien sûr, comme Monsieur Jourdain, nous le pratiquions déjà sans le nommer. La différence, c’est que maintenant nous disposons d’outils, d’une structure et d’un canevas précis, et surtout que nous sommes reconnus et rétribués pour le faire ! N’hésitez donc pas à vous lancer…. Un autre exemple, c’est la nécessité urgente de quitter parfois notre comptoir pour rencon- trer les autres acteurs du terrain : médecins généralistes dans les cercles locaux, GLEM …. Il y a quelques semaines, nous avons participé Laure Geslin et moi-même, à une réunion de tous les prestataires de soins de première ligne, avec la volonté de proposer une ligne de conduite commune pour améliorer la sortie d’hôpital de nos patients. La présence (peu courante) de pharmaciens dans cette démarche a été unanimement ap- préciée. Pour être reconnus dans notre rôle, nous devons être présents, actifs… et innovants ! Bien confraternellement, Phn. Luc Defrance, Président SOMMAIRE Echos du Conseil Fédéral ……………...2 Au revoir Mr Wavreille…………………...3 Se soigner demain à Bruxelles………..4 Compte-rendu Soirée du 12.10……….6 AUP : La Fusion d’officine……………….8 Service conseil—fiscal/comptable…..10 Annonces……………………………………..11

Pharmabulletin -decembre2013 FR 1 - UPB-AVB...Pharmabulletin Décembre 2013 EDITORIAL Chères consœurs, chers confrères, Connaissez-vous le point commun entre la margarine, les allumettes,

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  • Pharmabulletin

    Décembre 2013

    EDITORIAL

    Chères consœurs, chers confrères,

    Connaissez-vous le point commun entre la margarine, les allumettes, le Coca-Cola, la cafe-

    tière, et la méthode Coué ? Tous ont été inventés par un pharmacien ! Sans aller aussi

    loin, cela doit nous inciter à innover nous aussi…

    L’exemple actuel est bien entendu l’E.N.M. (Entretiens de Nouvelle Médication). Bien sûr,

    comme Monsieur Jourdain, nous le pratiquions déjà sans le nommer. La différence, c’est

    que maintenant nous disposons d’outils, d’une structure et d’un canevas précis, et surtout

    que nous sommes reconnus et rétribués pour le faire !

    N’hésitez donc pas à vous lancer….

    Un autre exemple, c’est la nécessité urgente de quitter parfois notre comptoir pour rencon-

    trer les autres acteurs du terrain : médecins généralistes dans les cercles locaux, GLEM ….

    Il y a quelques semaines, nous avons participé Laure Geslin et moi-même, à une réunion

    de tous les prestataires de soins de première ligne, avec la volonté de proposer une ligne

    de conduite commune pour améliorer la sortie d’hôpital de nos patients.

    La présence (peu courante) de pharmaciens dans cette démarche a été unanimement ap-

    préciée.

    Pour être reconnus dans notre rôle, nous devons être présents, actifs… et innovants !

    Bien confraternellement,

    Phn. Luc Defrance,

    Président

    SOMMAIRE

    Echos du Conseil Fédéral ……………...2

    Au revoir Mr Wavreille…………………...3

    Se soigner demain à Bruxelles………..4

    Compte-rendu Soirée du 12.10……….6

    AUP : La Fusion d’officine……………….8

    Service conseil—fiscal/comptable…..10

    Annonces……………………………………..11

  • ECHOS DU CONSEIL FEDERAL (CF) DU 22 OCTOBRE 2013

    Outre les sujets récurrents dont vous êtes régulière-

    ment informés via les annales APB, voici quelques

    points à relever dans ce qui ce dit actuellement au

    Conseil Fédéral de l’APB.

    Triple Helix :

    C’est sous ce nom que l’APB mène une réflexion avec

    les Unions Professionnelles, quant aux stratégies

    nouvelles et aux synergies entre les unions et l’APB à

    développer dans le futur. Nous en sommes à la

    phase d’état des lieux. Nous vous tiendrons réguliè-

    rement au courant des développements de ce projet.

    Dossier Pharmaceutique Partagé (DPP) :

    La phase de test est entamée et de manière satisfai-

    sante. Des soirées d’informations dans les unions

    seront organisées en janvier 2014.

    Rôle de garde :

    Une réflexion en profondeur est entamée sur ce su-

    jet, au travers de 7 points de vue particuliers :

    � le ressenti des pharmaciens : situations non ur-

    gentes : nécessité de redéfinir vis-à-vis de la po-

    pulation la notion de garde.

    � le CF insiste sur la mise en place d’un hono-

    raire de disponibilité forfaitaire, surtout important

    dans le cadre des postes de garde médecins, car

    les patients visitent surtout la pharmacie de

    garde la plus proche. L’honoraire de disponibilité

    est une priorité de l’APB. Le CF insiste également

    auprès des pharmaciens pour demander une taxe

    de garde dans tous les cas de figure !

    � organisation hétéroclite : nécessité d’homogénéi-

    ser l’organisation du rôle de garde et l’affichage

    des pharmacies qui sont de garde : utiliser des

    systèmes plus cohérents.

    � dialogue avec les médecins : concordance entre

    les rôles de gardes, efficience, communication.

    � sentiment d’insécurité pendant les gardes, cer-

    tains équipements sont nécessaires.

    � gestion du stock, indisponibilité du produit.

    � autres : contact médecin difficile, travailler plus

    en DCI et les tournées réduites des grossistes.

    Formation continue à partir de 2014 :

    Voir article en page 7.

    AG APB :

    Suite au départ de F. Babylon et C. Elsen, l’AG de fin

    novembre élira une nouvelle équipe. Une seule

    équipe s’est signalée, composée de Charles Ronlez,

    Jan Depoorter, Alain Chaspierre et Dirk Vos.

    Budget soins de santé 2014 :

    Globalement, le budget 2014 ne prévoit pas de nou-

    velles économies pour les pharmaciens. Mais les éco-

    nomies structurelles sont maintenues (les baisses de

    prix habituelles). Il n’y a cependant pas de budget

    disponible pour de nouvelles initiatives.

    Maisons de repos :

    Une économie de 10 millions par an est prévue, les

    modalités ne sont toujours pas définies. L’APB s’est

    opposée à la proposition de l’INAMI, dans laquelle

    une tarification à l’unité est prévue, avec une diminu-

    tion des honoraires à l’unité si la délivrance ne se fait

    pas en PMI. L’APB revendique surtout la DCI obliga-

    toire et la promotion de la PMI.

    Magistrales :

    La réforme de la magistrale, qui pointe enfin à l’hori-

    zon, vise une revalorisation de la magistrale par une

    adaptation des prix des matières premières à la réali-

    té ainsi qu’une simplification et une revalorisation des

    honoraires pour obtenir une rémunération correcte.

  • AU REVOIR MONSIEUR WAVREILLE,

    BONNE ROUTE DOMINIQUE !!!

    Le 28 octobre, Dominique Wavreille a passé ses der-

    nières heures « officielles » au sein de notre équipe. Ce

    fut l’occasion pour ses collègues de le remercier et de le

    fêter,… et ce fut une belle fête !!!

    Ce fut aussi l’occasion d’un dernier échange avec lui.

    UPB-AVB : Dominique, voilà que tu mets un terme à

    une belle et longue carrière de 42 années, dont la moi-

    tié chez nous. C’est un beau parcours et un exemple de

    fidélité.

    DW : Oui, et d’autant plus que cela fait bien plus que

    21 ans à la fédé, car avant d’être salarié, j’y travaillais

    déjà comme consultant en informatique, pour la filiale

    informatique de Phillips d’abord, puis pour mon propre

    compte.

    UPB-AVB : A l’époque, cela consistait en quoi ?

    DW : J’installais le matériel et les programmes sur le

    système informatique de la fédé et je formais le person-

    nel. En 1992, lorsque la fédé a décidé de développer

    une application maison sur AS400 pour la tarification et

    de me la confier, Monsieur Praet m’a proposé de m’en-

    gager comme salarié, ce que j’ai accepté. Jusqu’il y a un

    mois, c’était encore cette application qui était utilisée,

    mais qui a été modifiée et améliorée durant toutes ces

    années.

    UPB-AVB : L’informatique a toujours été ton cheval de

    bataille ?

    DW : Oui, mais plus à temps plein. Avec l’embauche

    d’un deuxième informaticien dans l’équipe, qui a pris en

    charge les développements sur PC, ma fonction a évo-

    lué vers la gestion du service de tarification.

    UPB-AVB : Et devenir « le monsieur Wavreille » que

    tous nos pharmaciens s’arrachent. Depuis l’annonce de

    ton départ, ils sont nombreux à s’être manifestés pour

    regretter ton départ. Avec le recul, quelle est ta plus

    grande satisfaction ?

    DW : Ce témoignage des pharmaciens en est évidem-

    ment une, et certains me l’on dit personnellement. Mais

    je dirais aussi d’avoir informatisé la fédération et d’avoir

    considérablement réduit le temps consacré au traite-

    ment de l’INAMI, puisqu’on est passé de 2 mois à 5

    jours.

    UPB-AVB : Et le plus grand regret ?

    DW : Que certains pharmaciens nous aient traité de

    voleurs lors de refus par les mutuelles. Cela n’a pas tou-

    jours été facile de me sentir agressé par certains, alors

    que nous sommes au service du pharmacien, que nous

    faisons tout pour les servir au mieux. Sans être une ex-

    cuse, tout le monde a droit à l’erreur. Heureusement, ce

    n’est pas la majorité et beaucoup sont reconnaissants.

    UPB-AVB : As-tu envie de faire passer un dernier mes-

    sage à nos membres ?

    DW : Je peux ? Il est vrai que je ne risque plus rien …

    Je leur dirais d’avoir le souci de la rigueur, de soigner

    leur écriture en pensant à ceux qui doivent les lire

    après, de respecter nos consignes, et tout ça en fait

    dans leur propre intérêt. Et puis, j’ai envie de leur dire

    merci pour la confiance qu’ils m’ont accordée. Enfin,

    certains ont manifesté des craintes avec mon départ. A

    ceux-là, je tiens à les rassurer. Comme je l’ai dit ce midi

    aux collègues, si on me remercie aujourd’hui pour mon

    travail, c’est sympa, mais je le dois à toute l’équipe, et

    l’équipe, elle est toujours là, et bien préparée.

    UPB-AVB : Dans quelques minutes, on va se dire au-

    revoir. Qu’est-ce que cela te fait ?

    DW : C’était ma décision de prendre ma préretraite.

    J’attendais donc ce moment, mais là, je suis ému, par

    l’ambiance qu’il y avait aujourd’hui pour me fêter, par

    l’équipe avec laquelle j’ai partagé tant de moments…

    UPB-AVB : Tu as des projets ?

    DW : Plein, dont des voyages ; au programme Saint-

    Jacques de Compostelle, la Corse, le Portugal,… Je vais

    enfin aussi pouvoir consacrer plus de temps à l’aqua-

    relle, et pour le reste je fais confiance à mes huit en-

    fants et mes dix petits-enfants.

    UPB-AVB : Merci pour tout, Dominique, et profite bien

    de ta retraite.

  • « SE SOIGNER DEMAIN À BRUXELLES, UN DÉFI À RELEVER »

    C’était le titre du colloque organisé par la Fédération

    des Associations de Médecins Généralistes de

    Bruxelles (FAMGB) le 5 octobre. Elle y présentait de-

    vant un parterre de responsables politiques bruxellois

    deux documents :

    - Le Livre blanc de la médecine générale à

    Bruxelles.

    - Le manifeste de la première ligne de soins à

    Bruxelles.

    Comme vous le savez, une de nos priorités est de

    favoriser et encourager la concertation entre les phar-

    maciens et les médecins. C’est dans cette logique que

    nous y avons participé pour représenter les pharma-

    ciens de Bruxelles.

    Dans le cadre de la 6ème réforme de l’Etat, prévoyant

    une régionalisation de la première ligne de soins, la

    FAMGB a dressé un état des lieux et a émis une série

    de recommandations, avec l’objectif d’optimaliser les

    soins de la première ligne de soins dans l’intérêt de la

    santé et du bien-être de la population bruxelloise. Ces

    recommandations sont réunies dans le « Livre Blanc

    de la Médecine Générale à Bruxelles ».

    Lors de la rédaction de cette expertise, un constat

    s’est rapidement dégagé : la logique actuelle - de

    type pyramidale – doit faire place à une dynamique

    de réseaux de soins intégrés fluide autour du patient

    afin de lui assurer une prise en charge efficiente

    adaptée à son état et à sa situation actuelle. Une col-

    laboration étroite avec tous les secteurs en soins de

    santé primaires est indispensable. C’est donc toute la

    première ligne de soins à Bruxelles qui doit se reposi-

    tionner, être entendue et être présente à la base des

    projets.

    La FAMGB a donc réuni les intervenants bruxellois de

    la première ligne de soins afin de proposer une vision

    unique et cohérente, définie dans le « Manifeste de

    la première ligne de soins à Bruxelles ».

    L’objectif de ce manifeste est d’assurer à Bruxelles

    une première ligne forte et de proposer une solution

    nourrie du souci de la santé et du bien-être de la po-

    pulation bruxelloise.

    Après avoir mis en exergue l’évolution que connaît la

    première ligne, à savoir l’évolution sociodémogra-

    phique, les spécificités bruxelloises et l’évolution des

    métiers des prestataires de soins, le manifeste met en

    évidence la nécessité de renforcer la première ligne

    de soins en :

    � Développant une culture de l’interdisciplinarité

    durant la formation initiale des professionnels de

    la santé : renforcer la formation des étudiants à

    l’approche interdisciplinaire et développer des

    synergies entre les sections académiques médi-

    cales et paramédicales.

    � Optimisant les structures de coordination exis-

    tantes et les réseaux multidisciplinaires locaux.

    Pour répondre aux nouveaux défis qui l’attendent, la

    première ligne doit créer une plus-value au niveau de

    l’organisation des soins au domicile du patient et de

    l’intégration des projets et des services de la première

    ligne.

    Le pharmacien est le premier acteur des soins de première ligne ; il est souvent le premier vers

    qui le patient se tourne. Il nous a paru fondamental d’être partie prenante de ce projet, pour

    bien évidemment soutenir cette démarche fondamentale mais aussi pour y défendre notre

    place. C’est dans cet esprit que nous avons accepté d’être signataire de ce manifeste et que

    nous ferons en sorte de représenter les pharmaciens bruxellois au sein de ce conseil, pour le-

    quel tous les politiques présents au colloque ont reconnu sa nécessaire création.

  • Bruxelles ne dispose pas d’un lieu où positionner

    cette première ligne forte et coordonnée. Ce mani-

    feste propose de créer ce lieu en instituant une

    coordination stratégique bilingue, le « Conseil

    Bruxellois de la Première Ligne de

    Soins » (CBPLS) – de « Brusselse Raad van de

    Eerstelijnsgezondheidszorg » (BREG).

    Ce Conseil sera le point de contact décisionnel pour

    les différents acteurs de la première ligne et pour

    les décideurs visant à mettre en œuvre la politique

    de la santé à Bruxelles dans le cadre des soins pri-

    maires. Les décisions prises au sein de ce Conseil

    devraient faire autorité parmi ses membres afin de

    permettre la mise en place d’actions réellement

    concrètes au sein de la 1ère ligne, dans le strict

    cadre des compétences qui lui seront allouées.

    Sa mission : offrir une plateforme de concertation

    entre tous ses membres avec pour objectifs :

    � Faciliter l’échange mutuel d’information ;

    � Identifier les manques et les besoins non cou-

    verts au niveau de la 1ère ligne de soins ;

    � Veiller à ce que tous les métiers de la 1ère ligne

    bénéficient d’une représentation profession-

    nelle locale de façon à ce que chaque discipline

    soit facilement identifiée et identifiable à

    Bruxelles ;

    � Faire émerger des propositions organisation-

    nelles et soutenir l’ajustement des pratiques

    afin d’améliorer la répartition des ressources ;

    � Offrir un espace de réflexion et un soutien dans

    le développement des projets qui doivent être

    mis en œuvre dans le cadre des soins ambula-

    toires ;

    � Identifier les bonnes pratiques et émettre une

    série de recommandations (non contrai-

    gnantes) ;

    � Emettre un avis sur les différents projets poli-

    tiques relatifs aux soins (cure et care) ambula-

    toires. La demande d’avis au CBPLS devrait

    être contraignante.

    Y seront représentés :

    � Les prestataires de soins médicaux, paramédi-

    caux et non médicaux exerçant en ambulatoire

    dont les pharmaciens.

    � Les services ambulatoires dans le domaine de

    l’action sociale et de la santé.

    � Les projets pilotes liés aux soins ambulatoires

    (Réseaux multidisciplinaires locaux (RML)),…

    Vous pouvez consulter le Manifeste de la première

    ligne de soins à Bruxelles dans les news de notre

    site web www.upb-avb.be.

    RECEPTION DE NOUVEL-AN : 11 JANVIER 2014

    Démarrez 2014 en découvrant avec nous les plus belles

    façades de l’Art Nouveau bruxellois durant une visite

    en car, guidée par l’Atelier de Recherche et d’Action Ur-

    baines (ARAU). Bloquez déjà la date du 11 janvier

    2014 dans votre agenda ! Nous nous donnerons ren-

    dez-vous à 14h30 à l'auberge de Boendael, pour ensuite

    prendre le car à 15h pour la visite guidée. De 18 à 20h,

    nous vous proposerons ensuite une réception conviviale

    animée par un groupe de joyeux musiciens. L’invitation

    suivra prochainement...

  • PRÉPAREZ AUJOURD’HUI VOTRE REPRISE DE DEMAIN—12.10.2013

    C’est sur ce thème qu’en collaboration avec Belme-

    dis, CFG-Fidulife, Curalia, Sofiadis et la Banque Van

    Breda, nous avons organisé une après-midi d’infor-

    mation à destination des pharmaciens diplômés de-

    puis 2 à 8 ans.

    De l’avis de tous, ce fut un franc succès, tant au ni-

    veau de la participation (65 avaient répondu pré-

    sents) que des exposés. Les participants seront invi-

    tés dans les prochains mois à approfondir les sujets

    abordés lors de soirées spécifiques.

    Fort de ce succès, nous avons décidé avec nos par-

    tenaires d’organiser cet événement tous les deux

    ans.

    L’après-midi a commencé par un exposé de mon-

    sieur Claude Boffa, professeur à Solvay Brussels

    School sur le thème :

    � Reprise d’officine : Comment manager pour

    assurer le succès de cette nouvelle aven-

    ture ?

    Financièrement, est-ce faisable ? Quels sont les

    moyens à disposition ? Passer de titulaire ou ad-

    joint à indépendant, comment gérer le change-

    ment et concilier au mieux vie privée et profes-

    sionnelle ? Entre approche marketing, gestion de

    ressources humaines et gestion financière, par où

    commencer ?

    Vinrent ensuite des témoignages très intéressants

    de pharmaciens sur trois thèmes :

    � Monsieur Tamouro nous a raconté les étapes de

    la reprise de son officine.

    � Madame Demuyter nous a fait partager com-

    ment elle a vécu la fusion de son officine avec

    celle de son voisin, et comment sa qualité de vie

    s’en est trouvée améliorée.

    � Monsieur Legros, de CFG-Fidulife nous a expli-

    qué la possibilité de commencer une reprise par

    la location du fonds de commerce, avec les

    avantages que cela représente.

  • A partir du 1er janvier 2014, la formation continue

    sera obligatoire pour les pharmaciens. Cette forma-

    tion ciblera essentiellement les médicaments et les

    soins pharmaceutiques, même si d'autres thèmes

    en lien avec la profession pourront également être

    abordés. Des points - ou crédits - seront attribués

    aux formations reconnues.

    Le pharmacien devra obtenir (minimum) 20

    crédits par an, dont au moins 16 par le biais

    de formations consacrées aux médicaments

    et aux soins pharmaceutiques.

    • Pour les 4 crédits restants, les formations con-

    sacrées à d'autres sujets pourront aussi entrer

    en ligne de compte.

    • A terme, la concertation locale entre pharma-

    ciens et/ou avec des médecins permettra éga-

    lement d'obtenir des crédits.

    • Une soirée de formation continue

    « traditionnelle » représentera 3 crédits. Si

    vous participez à sept soirées de formation de

    la SSPF, vous aurez donc récolté les précieux

    crédits nécessaires.

    • Les pharmaciens ayant des difficultés à partici-

    per à ces soirées de formation pourront égale-

    ment suivre d'autres formes de formation, no-

    tamment de l'e-learning. Vous devrez toutefois

    obtenir au moins 12 crédits par le biais de for-

    mations présentielles.

    • Les autres formes de formation, pour les-

    quelles le pharmacien ne doit pas se déplacer

    (e-learning, vidéoconférences, live-streaming),

    ne peuvent entrer en ligne de compte que pour

    8 crédits.

    Un site web convivial sera créé pour diffuser toutes

    les informations sur les formations accréditées et

    les crédits qui leur sont attribués. Sachez aussi que

    l’APB reviendra plus largement sur le sujet dans

    l'un des prochains numéros des Annales APB.

    Source: APB

    FORMATION CONTINUE : OBLIGATOIRE DÈS 2014

    Le groupe s’est ensuite réparti en deux groupes

    pour participer, de manière plus interactive, à deux

    ateliers, le premier animé par Monsieur Boone de la

    Banque Van Breda et Monsieur Legros de CFG Fi-

    dulife, le deuxième par Monsieur Vossen, de Cura-

    lia :

    � Comment financer son projet ?

    Comment établir le plan financier ? Quels élé-

    ments prendre en compte pour proposer un

    prix ?

    � A quoi faut-il penser ?

    Quels sont les pièges à éviter au cours des dif-

    férentes étapes d’une reprise d’officine ?

    Quelles sont les personnes ressources ?

    Vinrent enfin une courte présentation du métier de

    grossiste par Monsieur Nanetti de Belmedis et de

    notre union par notre directeur Monsieur Van der

    Maren.

    La journée s’est terminée par un dernier atelier,

    plus festif, puisqu’il s’agissait, avant de passer à

    table, de s’initier à la cuisine Thaï en préparant le

    repas sous les conseils avisés de deux Chefs pro-

    fessionnels.

  • LA FUSION D’OFFICINE : 1 +1 = 3

    Dans le contexte financier actuel, certaines officines éprou-

    vent parfois des difficultés et se demandent comment conti-

    nuer à exercer leur profession dans de bonnes conditions.

    Une solution de plus en plus envisagée ces dernières années

    par des confrères et consœurs est la fusion d’officine.

    Ce concept permet au pharmacien titulaire d’entrevoir l’ave-

    nir plus sereinement et améliorer son cadre de vie tout en

    conservant une partie de sa pratique professionnelle.

    Que signifie une « fusion d’officine » ?

    On peut distinguer différents types de fusions.

    � La fusion d’officine la plus répandue consiste au rachat

    et à la fermeture d’une officine par une pharma-

    cie voisine. Cette procédure de rachat et de fermeture

    peut être faite avec le soutien financier d’autres con-

    frères voisins qui tireront un avantage de cette ferme-

    ture. Le pharmacien cédant (dont la pharmacie sera

    fermée) peut conclure un accord avec l’acheteur pour

    continuer à travailler dans la pharmacie de l’acheteur

    selon des modalités à négocier (ex : adjoint salarié).

    � Une fusion d’officine qui correspond au regroupe-

    ment de 2 officines (tenues en personne physique ou

    en société) en gardant les 2 pharmaciens comme res-

    ponsables (ex : co-titulaires) de l’officine restante (la

    seconde officine est fermée).

    Une structure est créée (société ou association) pour

    englober les 2 officines. Ceci se fait facilement si au

    départ les 2 pharmacies étaient gérées en personne

    physique. Les 2 pharmaciens possèdent chacun des

    intérêts (parts de sociétés, pourcentage…) dans la

    structure créée selon des accords définis par les 2 par-

    ties.

    Le fait de créer une nouvelle société pour englober

    deux officines qui étaient déjà en société est plus lourd

    et engendre plus de démarches mais n’est pas impos-

    sible.

    La fusion permet la réalisation d’économies dans les frais de

    gestion : 1 seul bâtiment, 1 parc informatique, diminution

    des charges, facilité pour les congés…

    La fusion d’officine dans une localité a un impact sur la légi-

    slation (cadastre des officines) et bloque tout transfert d’of-

    ficine dans l’entité dans un rayon de 1,5 km pour une pé-

    riode de 10 ans.

    On peut aussi imaginer un rapprochement de 2 officines par

    mise sous une même structure (société) de 2 pharmacies

    qui restent toutes les 2 ouvertes mais qui profitent de la

    sorte d’avantages au niveau de la gestion : mise en com-

    mun de moyens (personnel), achat groupé, spécialisation

    des tâches entre les deux dirigeants pharmaciens. Cette

    solution est plutôt à envisager pour de grosses officines.

    Quelles conditions faut-il remplir pour fusionner ?

    Le transfert, ouverture ou fusion d’officine est réglementé

    par l’AR du 25/09/1974 (modifié par l’AR du 08/12/1999) qui

    fixe les critères géographiques et démographiques à respec-

    ter.

    L’autorisation de fusionner 2 (ou plusieurs) officines peut

    être accordée à condition :

    1) qu’elles soient établies dans la même commune ou

    dans une commune limitrophe;

    2) qu’après fusion, le nombre d’officines dans chaque

    commune concernée ne soit pas inférieur au nombre

    d’officines pouvant être autorisées par commune (1) ;

    3) que l’officine qui serait fermée après fusion ne se

    trouve pas :

    - à environ 1km de l’officine projetée ET si celle-ci

    couvre les besoins de 2.500 habitants;

    - à environ 3km de l’officine projetée ET si celle-ci

    couvre les besoins de 2.000 habitants;

    - à environ 5km de l’officine projetée ET si celle-ci

    couvre les besoins de 1.500 habitants.

    (1) Attention : pour calculer le nombre d’officines auto-

    risées, on tient compte du fait que plusieurs pharma-

    ciens exercent de façon effective et à temps plein dans

    la même officine. Toutefois, ce principe ne peut pas

    s’appliquer si elle a pour effet de réduire à moins de 2

    officines dans les communes de moins de 7.500 habi-

    tants et à moins de 3 dans les communes de plus de

    9.000 habitants.

    En cas de fusion, un rapport d’expertise tel que prévu dans

    l’AR 13/04/1977 est exigé.

    Disposez-vous d’une protection après la fusion ?

    Durant une période de 10 ans aucune officine ne peut être

    ouverte ou transférée dans un rayon de 1,5km autour de la

    pharmacie qui demeure après la fusion.

    Exception : le transfert d’une officine existante dans un

    rayon de 100 mètres ou en cas de force majeure peut néan-

    moins être autorisé dans cette zone.

  • Procédure d’instruction des demandes

    Les demandeurs d’une fusion doivent remplir un formulaire

    délivré par l’AFMPS (commission d’implantation) et le ren-

    voyer par lettre recommandée. Les documents à joindre à

    cette demande sont :

    � un plan détaillé à l’échelle sur lequel le demandeur in-

    dique le lieu d’implantation des pharmacies les plus

    proches et la distance jusqu’à ces dernières, le lieu

    d’établissement des officines à fusionner, la distance

    entre celles-ci. En cas de demande de maintien

    (temporaire) de l’autorisation (d’une des 2 officines), il

    est demandé de joindre à la demande le lieu d’implanta-

    tion de l’officine fermée et des officines les plus proches,

    la distance entre toutes les officines.

    � la preuve de la possession du lieu de l’implantation solli-

    cité (si cela se fait dans un lieu différent d’une des 2

    officines existantes).

    � une photocopie légalisée du diplôme de pharmacien ou,

    par une personne juridique, une copie des statuts com-

    plets et éventuellement la décision de procuration à la

    personne mandatée qui introduit la demande.

    � la preuve que le demandeur est le détenteur légitime de

    l’autorisation relative à la pharmacie visée.

    Un avis sera demandé auprès de certaines instances (CMP,

    Inspection, organisation professionnelle).

    Les démarches auprès de la commission d’implantation et

    l’avis final de cette dernière se font dans des délais précis

    réglementés (Cfr. AR). L’examen de la demande est subor-

    donné au paiement d’une redevance auprès de l’AFMPS.

    Pour une fusion il est de 1667,19 € (montant au 05/12/2012,

    montant revu chaque année).

    Aspect financier

    Comme dans les cas de cession et/ou reprise de pharmacie,

    les personnes concernées doivent s’entourer de personnes

    compétentes (comptable, expert agréé) afin de les conseiller

    au mieux. Pour rappel, un rapport d’expertise tel que prévu

    dans l’AR 13/04/1977 est exigé.

    Un dossier complet devra être constitué pour déterminer

    précisément ce qui rentre dans la fusion des officines (la

    clientèle, le stock, le mobilier, le bâtiment, le personnel, des

    parts de sociétés,…).

    Les documents comptables (état de la tarification, livre de

    caisse, documents fiscaux, inventaire, contrat personnel, bail

    de location…) doivent pouvoir être consultés par les parties

    en toute transparence.

    En résumé

    Fermeture provisoire Fermeture définitive Fusion

    Durée de conservation du

    numéro d’officine Max. 3 ans Supprimé Supprimé

    Protection en cas de demande

    d’implantation d’une nouvelle

    officine

    Oui

    (3 ans max) Non

    Oui, dans un rayon de 1.5 km

    pendant 10 ans

    Possibilité de transfert à proximité

    (autre officine) Oui Oui Oui

    Rédaction pour AUP (Association des Unions de Pharmaciens)

    Sources : Dossiers APB « Répartition des officines-2012 », « Reprises et remise d’une pharmacie - 2011»

    Service juridique APB/ Bureau de comptabilité Fidulife-CFG

    Conclusion

    La fusion est une solution à envisager par certains confrères ou consœurs qui veulent améliorer leurs conditions de travail et

    cadre professionnel. Chaque cas de fusion est différent et répond à des besoins ou attentes particulières venant des protago-

    nistes. La fusion doit être basée sur de bons rapports confraternels dès le départ.

    C’est une décision importante qui doit être bien réfléchie de part et d’autre.

  • SERVICE DE 1ER CONSEIL EN MATIÈRE COMPTABLE ET FISCAL

    Quoi ?

    Un service gratuit (*), réservé aux membres de l’UPB-

    AVB, de 1er conseil en matière comptable et fiscal.

    Qui ?

    La société Fidulife, spécialisée en comptabilité et fisca-

    lité des pharmacies (près de 250 clients pharmaciens)

    dans laquelle l’UPB-AVB est associée avec 2 autres

    Unions de pharmaciens (URPPN et UPHOC).

    Comment ?

    Ce service est organisé sur RDV, 1 mardi par mois,

    entre 12h00 et 15h30. Le RDV a une durée maximum

    de 30 minutes dans le but de réaliser un premier con-

    seil, une étude plus détaillée pouvant toujours se faire

    sur base d’une offre.

    Quel genre de conseils ?

    Voici quelques exemples de sujets qui peuvent être

    abordés lors de ces RDV de premier conseil :

    � Conseils comptables,

    � Conseils fiscaux,

    � Optimalisation fiscale (rémunération, intérêts,

    dividendes, tantièmes, location immobilière, véhi-

    cules, autres avantages en nature,…)

    � Analyse de la santé financière de l’entreprise dans

    le cadre d’un nouveau projet, …

    � Passage en société,

    � Reprise/Remise d’officine : 1er contact en vue

    d’évaluation, faisabilité, plan financier, accompa-

    gnement, conventions, conseils, …

    � Difficultés : analyse des solutions, examen des

    marges, …

    � …

    Quels sont vos engagements ?

    Aucun. Le service de premier conseil (maximum 30

    minutes) est gratuit. Si vous souhaitez une étude plus

    détaillée, un accompagnement complet pour un projet,

    … une offre vous sera alors envoyée et il vous appar-

    tiendra d’y souscrire ou non.

    En pratique

    Les RDV se font 1 mardi par mois, entre 12h00 et

    15h30 dans les locaux de l’UPB-AVB—Rue Colonel

    Bourg 127-129 Bte 4—1140 Bruxelles

    Date 2013 : 17/12

    Dates 2014: 28/1, 25/2, 25/3, 22/4

    Pour obtenir un RDV, contactez-nous au 02/219.40.56

    ou envoyez un mail à [email protected]

    (*) Ce service gratuit vous est offert par l’UPB-AVB dans le

    cadre de son partenariat avec Fidulife.

    L’UPB-AVB vous propose un service gratuit grâce à sa collaboration

    avec Fidulife, fiduciaire spécialisée en comptabilité et fiscalité des

    pharmacies.

  • RECHERCHE D’EMPLOI

    Jeune pharmacienne (UCL 2013) cherche CDI/CDD,

    temps plein/partiel, comme phn-adjoint ou remplaçant

    sur Bruxelles. Disponible immédiatement.

    0489/47.64.28

    Pharmacienne 30 ans d'expérience cherche emploi le

    lundi ou le jeudi à partir de Janvier 2014. Région

    d’Enghien +30km. GSM : 0476/88.73.20

    Pharmacienne expérimentée (7 ans de gérance)

    cherche emploi temps plein de pharmacien adjoint ou

    titulaire à partir de janvier 2014 – Bruxelles et Brabant

    Wallon – GSM : 0498/37.47.83

    Assistante en pharmacie, organisée, méthodique, so-ciable, cherche emploi - connaissance d’offigest – Contact : e-mail : [email protected] – GSM :

    0486/12.88.42

    Pharmacienne diplômée ULB 2013, cherche CDI temps

    plein de pharmacien adjoint à Bruxelles – Motivée, sou-

    riante et dynamique. GSM : 0488/58.47.28

    Pharmacienne ayant 1 an d’expérience, dynamique

    souriante, organisée et esprit d’équipe, cherche emploi

    temps plein à Bruxelles et environs.

    GSM : 0495/10.21.72

    Assistante en pharmacie, souriante, dynamique, moti-

    vée, précise cherche emploi - temps plein - à

    Bruxelles. GSM 0484/67.51.13

    Assistante en pharmacie, motivée, précisé et sérieuse,

    cherche emploi pour un an (ou moins) – remplace-

    ment, temps plein ou mi-temps. GSM : 0496/70.81.08

    Pharmacienne expérimentée (5 ans), spécialisée en

    aromathérapie et nutrithérapie cherche +/- un mi-

    temps ou remplacement sur Bruxelles.

    GSM : 0488/37.28.94

    Pharmacienne souriante, dynamique et motivée re-

    cherche un CDI temps plein ou mi-temps dans une

    pharmacie "assistée" sur Bruxelles disponible à partir

    de septembre. GSM : 0485/29.50.94

    Pharmacienne expérimentée bilingue FR/NL, bonne

    connaissance de l’anglais, indépendante, libre les mar-

    dis à partir de mi-septembre - Bruxelles (Woluwé –

    Evere – Schaerbeek). GSM : 0477/47.27.79

    Pharmacienne cherche emploi à Bruxelles, CDI, 30 ou

    38 h/semaine. GSM : 0489/65.48.89

    Jeune assistant en pharmacie cherche emploi CDI -

    temps plein ou partiel - Bruxelles – souriante, dyna-

    mique et sociable – GSM : 0479/70.34.47 ou

    E-mail : [email protected]

    Assistante en pharmacie avec expérience cherche em-

    ploi, connaissance du néerlandais, région de Bruxelles.

    GSM : 0484/13.39.40

    Pharmacien cherche temps plein (exp. +10ans) à

    Bruxelles ou en Wallonie. Connaissance français et no-

    tions d'anglais. GSM : 0488/11.94.79

    Pharmacienne diplômée en juin 2013 : recherche un

    poste à Bruxelles à partir d’octobre 2013 un CDD ou

    CDI. GSM : 0486/51.71.23

    Pharmacienne souriante, dynamique, polyglotte, moti-

    vée et ayant 10 ans d’expérience, cherche emploi

    temps plein – CDI – dans pharmacie « assistée » à

    Bruxelles. GSM : 0474/51.65.42

    OFFRES D’EMPLOI

    Pharmacie Schaerbeek cherche pharmacien adjoint –

    pour un CDI - parlant arabe. GSM : 0487/15.26.44

    Pharmacie cherche assistante mi-temps (20 à 25

    heures/semaine) pour compléter une équipe existant.

    Contact : GSM : 0487/64.45.00

    Adjunct en/of vervanger gezocht voor apotheek in

    Dansaertwijk te Brussel.

    Tel.: 02/513.55.02 of 0477/65.30 Pharmacie à Anderlecht recherche pharmacien adjoint

    30 h ou 38h/semaine, durée indéterminée.

    E-mail : [email protected] GSM : 0497/68.55.80

    ANNONCES

  • Rédaction :

    Laure Geslin

    Luc Defrance

    Francis Van der Maren

    Mise en page :

    Chantal Breuer

    Rosa Martin

    Illustrations :

    iStockphoto

    Laure Geslin

    UPB-AVB

    Union des

    Pharmaciens de Bruxelles

    Rue Colonel Bourg

    127-129 Bte 4

    1140 Bruxelles

    Tél. : 02/219.40.56

    Fax : 02/217.82.64

    E-mail : [email protected]

    Site web : www.upb-avb.be

    OFFICINES A REMETTRE

    Pharmacie à remettre à Charleroi

    pour arrêt d’activité.

    Chiffre d’affaires 350.000 €.

    GSM : 0495/46.58.23

    Pharmacie à céder dans quartier

    agréable. Commune à facilitées. CA

    € 700.000 à 750.000. Immeuble à

    discuter.

    Infos : [email protected]

    A remettre à Woluwé Saint-Lambert,

    pharmacie de quartier en SPRL

    (clientèle Union Européenne, à proxi-

    mité d’une école, de 3 crèches et

    d’un centre médical), CA de 426000 €

    en progression, avec achat, ou non,

    du bâtiment (rez 100m²).

    GSM après 19h : 0486/75.88.76.

    Pharmacie à remettre située à

    Schaerbeek, avec ou sans bâtiment.

    C.A. 360.000 €. GSM :0473/47.37.26

    Schaerbeek, pharmacie à remettre

    avec bâtiment. CA 330.000€.

    Tél.: 02/241.15.64

    Pharmacie à remettre - quartier Mé-

    rode, face à un hôpital.

    CA 500000 €. Marge brute hors TVA

    28,8 %. Avec ou sans bien immobi-

    lier en très bon état.

    GSM : 0498/27.92.90

    Pharmacie à remettre à Molenbeek,

    Bd du Jubilé, avec ou sans le bâti-

    ment. Contact : 02/751.90.91

    Drogenbos, cession pour fin de car-

    rière. Pharmacie (société) + maison à

    reprendre. Bénéf. br. 180.000 €.

    Clientèle bilingue. Pharmacie avec

    potentiel.

    Tél.: 02/377.90.73 ou 02/353.14.00